Dans la course effrénée vers l'oblitération de notre société par ses propres mécanismes, le capitalisme ruinera du jour au lendemain tous les contemporains qui y auront pris part. Les gens de la générations TV-Ordi sont conditionnés depuis leurs premiers balbutiements, à la vision d'une société apportant toujours plus de profits et dont la manne ne cessera jamais de croître.
Dans cette expectative, résumé très succinctement ci-dessus, il est du devoir de nos générations de trouver un chemin différent de celui que nous ont laissé les précédentes générations.
Il est alors de bon augure, de rappeler à ceux qui ont une révulsion exacerbée pour l'argent, qu'il faut bien vivre mais c'est par ces quelques mots que notre société reste dans un statu-co empêchant tout développement intelligent au profit de l'argent facile. Je crée du vent et je le revend, vivement le jour ou en plus du vent on pourra revendre l'air, que de futurs bénéfices à la clefs, j'en salive!
La porte de sortie ?, et pour parler d'un personnage naviguant sur SL, c'est l'un des premiers personnage "célèbre", que j'ai découvert : Yadni qui dans un interview (dont j'aurai du mal à remettre la main sans y passer des heures) et pour reprendre en parti ses termes, disait :
être déçu du manque de philanthropie et d'esprit chevaleresque de ses contemporains.
Et c'est là tout le débat qui oppose les "méchants" capitalistes qui font de l'argent alors qu'une minorité milite corps et âme pour désenclaver son univers fétiche du "tout argent".
Mais ce débat est vain, les méchants capitalistes ont déjà trop appuyés sur le champignon et les cris d'alarmes des philanthropes tombent dans l'oreille de sourds, parce qu'après tout, "il faut bien vivre".
Mais pourquoi taper sur le coin du nez de ceux qu'on stigmatise, à tord ou à raison, je vous en laisse juge, ces pseudos capitalistes, qui au fond, pour la plupart ne cherchent qu'à mettre un peu d'épinard dans leur gamelle déjà peu rempli, quand cette société leur a édicté que c'était ainsi que l'on doit vivre, par la consommation toujours plus effrénée et les rentrées d'argent, sans limite, à la clef.
Je vous dis donc, à la prochaine crise internationale monétaire et au futur effondrement de SL.
Amis philanthropes, je vous salue