[Ecriture]Quelques questions

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Suite à l'écriture d'un petit bout de texte d'une page, mon entourage proche m'a conseillé de me lancer dans la rédaction d'un texte un peu plus conséquent d'une cinquantaine de pages pour voir si ma légère aisance narrative se confirmait.

Je dois bien l'avouer l'idée en elle même m'a plutôt plu mais je me pose quelques questions d'ordre plutôt technique ne sachant pas trop ce qu'aime le lecteur lambda.

1) On m'a notifié dans le texte que j'ai présenté que j'avais tendance à pas mal décrire l'environnement et que cela pourrait alourdir le récit. Etes vous du même avis que moi qui est : "on plante le décor avant de crier action" ou plutôt pas du tout ? Même si je sais qu'il est difficile de quantifier cela pourriez vous tenter de m'expliquer ce que le public attend de ce côté ci ?

2) Est ce que le lecteur préfère que l'histoire se déroule en territoire connu ( Héroïc-fantasy, cyber punk... ) ou bien la création d'un univers particulier avec ses règles simples, sa faune et sa flore peut être une bonne chose ?

3) Mon but serait d'écrire plutôt pour les enfants. Est ce que vous connaissez ou est ce qu'il y a des règles qui vous viennent à l'esprit pour scotcher à son livre un pré-ado entre 8 et 12 ans à l'imagination encore fertile ?

4) J'accepte tous les conseils qui ne rentrent pas dans les questions précédentes bien entendu et si vous avez des sites plutôt orientés conseil d'écriture je suis preneur.

tu ne pourra pas scotcher tout les enfants de cet age .....
mais si cela peut t'aider les 8-12 ans d'aujourd'hui adore la violence et avoir peur ... enfin c'est ce que j'ai pu constater mais je parle pour les garcons bien entendu.
ensuite , le decor , effectivement n'en parle pas trop , sinon les lecteurs vont s'endormir .
si tu vises les enfants, plante un décor assez réaliste mais avec du fantastique , c'est e qui plait le plus . il faut qu'il puisse s'identifier au héros , donc il faut que l'univers qui l'entoure soit plutot familier a l'enfant . mais s'il n'y as pas d'element extraordinaire , il accrochera moins
1) et 2) Si tu veux créer ton propre "univers" alors il te faudra passer par de longues déscriptions, car c'est très désagréable de ne pas savoir ou se déroule le récit. Par contre le dosage de descriptifs, c'est toujours très difficile de pas trop en faire, et même de grand auteurs en on trop fait (cf, parfois Tolkien). 3)Et pour ce que je sait des histoirs qui plaisent aux plus jeune (je parle de mon éxperience de conteur pour neveux et nièce de ma copine) ils ADORENT de loin ce qui est nouveaux et inconnus (bien sûr je ne généralise pas).

En tout cas bonne chance, c'est pas facile d'écrire...
Tergiverse pas, écris et au fur et à mesure tu t'améliora si ça et plais pas. J'ai déjà une fidèle fan a mon actif. (enfin moi, j'écris des poèmes)
Les meilleurs conseils sont, à mon humble avis, ceux de George RR Martin. C'est à dire :
  • Lire énormément et de tout : pas seulement des textes qui concernent ton style de texte ou ton sujet, et pas forcément toujours de la "qualité" vu qu'on peut apprendre aussi à bien écrire en voyant ce qu'il ne faut pas faire
  • Ecrire tous les jours, même rien qu'un peu (c'est là que le bât blesse pour moi)

Et de mon expérience personnelle, j'ajouterais aussi que c'est pas la peine de te lancer dans quelque chose de trop ambitieux dès le départ. On ne commence pas par écrire la décallogie qui va révolutionner la littérature Déjà passé d'une page à cinquante, ça me paraît beaucoup. Arriver à installer une ambiance et raconter une histoire de bout en bout, avec un bon rythme, c'est déjà pas évident... Evidemment, mon opinion vaut ce qu'elle vaut, je ne suis certainement pas un grand auteur, mais je ne pense pas être le pire
Soir a donné des liens intéressants pour aider un jolien dans l'art difficile de l'écriture.

Je pense qu'ils te seront utile à toi aussi :

https://forums.jeuxonline.info/showt...4&page=2&pp=15

Citation :
Publié par Soir
J'ai plein de liens... Mais en anglais. Il en existe sûrement en français, mais pour cela il te faudra faire tes propres recherches

Pour les amateurs de SF et de fantasy :
http://www.sfwa.org/writing/

Des conseils d'un auteur à succès (Orson Scott Card -> Ender's Game )
http://www.hatrack.com/writingclass/index.shtml


Le lien suivant, bien que s'adressant prioritairement aux auteurs de scénarios, contient des articles utiles pour toutes sortes de fiction, comme ceux sur l'intrigue et les personnages.
http://www.screenwritersforum.com/articles.htm

Sinon il existe deux revues, en France, utiles à lire :
http://www.ecrire-aujourdhui.com/magazine.htm
http://www.calcre.com/eee.mag/

Le logiciel writer's software companion est en réalité un cours, et c'est le meilleurs que j'ai jamais lu, je suis persuadé que tout écrivain débutant le lisant va faire de grands progrès : :http://www.writersupercenter.com/companion/

Si un jour tu as envie de te prendre la tête avec la structure profonde des histoires, tu peux te lancer dans l'étude de la théorie de Dramatica http://www.dramatica.com/theory/index.html .
Bonsoir !
Je suis dans le même cas que toi, et j'y ai déjà un peu réfléchi... J'essaye de répondre un peu en vrac.

Citation :
Publié par Acide
1) On m'a notifié dans le texte que j'ai présenté que j'avais tendance à pas mal décrire l'environnement et que cela pourrait alourdir le récit. Etes vous du même avis que moi qui est : "on plante le décor avant de crier action" ou plutôt pas du tout ? Même si je sais qu'il est difficile de quantifier cela pourriez vous tenter de m'expliquer ce que le public attend de ce côté ci ?
Je pense que l'idéal est d'introduire de petites actions secondaires, qui permettent la description du cadre, des personnages, tout en retenant l'attention... et si possible se rapportent ensuite à l'ensemble. Enfin, c'est du moins ce que j'essayerais de faire.

Citation :
Publié par Acide
2) Est ce que le lecteur préfère que l'histoire se déroule en territoire connu ( Héroïc-fantasy, cyber punk... ) ou bien la création d'un univers particulier avec ses règles simples, sa faune et sa flore peut être une bonne chose ?
Un univers particulier a toujours son charme parce qu'il aide au rêve, le piège à éviter étant le "trop" particulier, dans lequel on a du mal à rentrer (par exemple en multipliant les noms, les objets, les lieux inventés...). Pour ma part je pense que la meilleure recette est de laisser quelque part une ouverture vers le réel, ça fait partir l'imagination du lecteur beaucoup plus facilement...

Pour le 3), pas vraiment d'idée... Je connais pas assez cette tranche d'âge...

4) Ecrire des textes, des tas de petits textes, imaginer des lieux, des débuts d'histoires.... Les ressortir de temps en temps du placard et se rendre compte que ça vaut peut-être la peine de continuer.
Avoir toujours un carnet de notes sur soi !
Ne pas abandonner à la première panne d'inspiration, s'occuper en écrivant des chronologies, des fiches de personnages, faire des croquis...
Faire lire à son entourage, demander des critiques, recevoir des compliments qui sont indispensables souvent pour persévérer....
Pour ce qui concerne la description Stephen King décrit longuement des scènes sur plusieurs pages ... et je connais aucun lecteur qui s'est endormit en lisant un de ses livres
Pour moi l'environnement est primordial !
Si c'est pour les "près ados" je pense que plus d'action c'est mieux
Perso je préfère être en territoire connu comme tu le dis j'aime pas trop les univers crée de toute pièce
Citation :
Publié par Acide
1) On m'a notifié dans le texte que j'ai présenté que j'avais tendance à pas mal décrire l'environnement et que cela pourrait alourdir le récit. Etes vous du même avis que moi qui est : "on plante le décor avant de crier action" ou plutôt pas du tout ? Même si je sais qu'il est difficile de quantifier cela pourriez vous tenter de m'expliquer ce que le public attend de ce côté ci ?
Depend de ton style. Suffit de lire Balzac pour voir que des descriptions de plusieurs pages ne sont pas une tare redibitoire.
A toi de voir avec quel style tu es le plus a l'aise et quel est ton public (roman de gare/prix goncourt. Les deux ont leurs avantages et leurs inconvenients)

Citation :
Publié par Acide
2) Est ce que le lecteur préfère que l'histoire se déroule en territoire connu ( Héroïc-fantasy, cyber punk... ) ou bien la création d'un univers particulier avec ses règles simples, sa faune et sa flore peut être une bonne chose ?
Le probleme, c'est que si tu crées un univers ab nihilo, tu risques de tomber dans la derive encycopedique, en decrivant la geographie et la biologie plutot que l'histoire en elle meme (et c'est elle qui importe).
Et veille a bien tout expliquer. Y a rien de pire qu'un roman shadowrun ou l'auteur suppose que tu sais ce qu'est un Ares Predator ou un Narcojet (bon, je le sais, mais c'etait un exemple) ^^

Citation :
Publié par Acide
3) Mon but serait d'écrire plutôt pour les enfants. Est ce que vous connaissez ou est ce qu'il y a des règles qui vous viennent à l'esprit pour scotcher à son livre un pré-ado entre 8 et 12 ans à l'imagination encore fertile ?
Rajouter des illustrations qui rosquent ?
A mon avis, ca doit aider a interesser le gamin au bouquin.


@Roken : Ben t'en connais un maintenant, je suis la
Merci de vos réponses.

Citation :
Essayes de faire une petite démonstration de tes talents en écrivant une petite nouvelle sur ce forum, on pourra te donner des conseils sur ce qui va et sur ce qui va pas.
Voici le petit bout de récit que j'avais tapé. C'est un texte assez brute il doit subsister des fautes d'orthographes mais ce n'était pas mon but d'avoir quelque chose de parfaitement propre. J'ai également volontairement fait des paragraphes très courts pour faciliter votre lecture.

Citation :
La nuit venait de se propager rapidement sur les dunes. Il était impossible de voir plus loin que le premier palmier à vingt pas de là. La lune semblait avoir été avalée par le même voile ténébreux, sombre et opaque qui s’attaquait maintenant au coucher du soleil. Il ne restait déjà qu’un faible halo orangé à l’horizon. Bien qu’il résistait de toute ses forces, il savait que tous ses efforts seraient inutiles : il était temps de laisser place aux quelques étoiles restaient là pour guider le voyageur égaré. La jeune Nala se disait qu’elles étaient semblable à ces petites lucioles lumineuses qui restent accrocher dans les mailles d’une toile d’araignée inquiétante et collante attendant leur heure pour découvrir un nouveau visage de la vie.

Sa jambe droite était appuyée contre le coin de son comptoir marchand. Les brèves impulsions lui permettaient de se balancer légèrement. Elle aimait regarder le coucher du soleil allongée dans son hamac. Les cordes soutenant la poche porteuse était ficelées autour de deux grosses poutres. Le plafond était fait de quelques feuilles de palmiers finement tressés mais on sentait que la construction avait pris un peu de la bouteille. A plusieurs endroits le plafond laissait entrevoir le ciel complètement dégagé. Elle aurait pu tenter de colmater tout cela mais à quoi bon s’embêter dans un endroit ou la pluie n'est présente que dans les contes pour enfant. Et puis il faut dire que ces trous elle les aimait. La lumière du matin venait caressait son visage et les rayons du soleil lui procuraient une chaleur réconfortante la sortant doucement de ses rêves.

« Brouhhhh ça caille ce soir ! » fit la jeune fille. Elle se blottit dans une étoffe légèrement brune pour se réchauffer. En dessous de sa couche ronflait une boule de poil. C’était son plus fidèle ami : un cadeau de son père lorsqu’il était encore de ce monde. Les autres villageois trouvaient le présent déplacé au vu de la terrible mâchoire de l’animal. Il faut bien dire qu’un guépard de cet âge aurait pu lui arracher un bras sans sourciller. Bizzarement celui ci était très sociable du moins à ses yeux et lui répondait au doigt et à l'½il.

Il faisait à présent nuit noire. Elle resta là de longues minutes chassant de sa tête la moindre pensée qui aurait pu gâcher ce moment idyllique de perfection. Il n’y avait plus qu’elle et le silence. Un silence tout relatif lorsque l’on sait à quel point son ami pouvait faire du bruit en ronflant. Elle prit une grande inspiration puis expira le plus fort possible comme pour vider également son corps. Elle se sentait apaisée.

Elle gonfla de nouveau ses poumons à se les faire exploser et d’un coup de rein très vif elle sauta hors du hamac. Son compagnon ne bougea pas d’une oreille. Il était habitué aux va et vient de sa maîtresse. Elle se dirigea vers un petit placard de bois mal confectionné : les planches qui servaient de battant ne coïncidaient pas vraiment et l’ensemble faisait des mouvements assez particuliers dans des bruits plutôt inquiétants.

Elle s’empara d’un lance flamme et d’une tunique qu'elle enfila d’un coup d’épaule. Elle glissa sa tête dans la hanse de son arme et la plaça dans son dos. Ainsi paré elle se dirigea d'un pas décidé vers une toile usée et déchirée. D'un coups de revers de la main elle poussa le drap et sortit du petit cabanon.

Il était temps pour Nala de croire en ses rêves. Elle le savait. Elle siffla un grand coup pour appeler sa bête. Elle accouru à une vitesse folle trop contente de pouvoir enfin se promener. Nanoko avait le visage fermé. Elle était inquiète. Elle souffla une dernière fois profondément.
"Bon allez c'est bon on est prêt mon Poilu on va les impressionner !" fit la jeune fille en prenant la direction de la taverne voisine…
Citation :
Publié par Roken
Pour ce qui concerne la description Stephen King décrit longuement des scènes sur plusieurs pages ... et je connais aucun lecteur qui s'est endormit en lisant un de ses livres
Le seul stephen King que j'ai jamais essayé de lire, je l'ai laissé tombé au bout de douze page. Motif : c'était mortellement chiant. Les gouts et les couleurs hein.

Ca va franchement dépendre de la description. Une description neutre et objective devient à mon avis vite chiante. Si tu la teintes d'émotion, en y attachant une focalisation bien précise par exemple, ca devient certainement beaucoup plus intéressant et moins lassant.
Citation :
Publié par Acide
1) On m'a notifié dans le texte que j'ai présenté que j'avais tendance à pas mal décrire l'environnement et que cela pourrait alourdir le récit. Etes vous du même avis que moi qui est : "on plante le décor avant de crier action" ou plutôt pas du tout ? Même si je sais qu'il est difficile de quantifier cela pourriez vous tenter de m'expliquer ce que le public attend de ce côté ci ?
Juste un copié/collé :

Citation :
Publié par Nicolas Boileau
Un auteur quelquefois, trop plein de son objet,
Jamais sans l'épuiser n'abandonne un sujet.
S'il rencontre un palais, il m'en dépeint la face ;
Il me promène après de terrasse en terrasse ;
Ici s'offre un perron ; là règne un corridor ;
Là ce balcon s'enferme en un balustre d'or.
Il compte des plafonds les ronds et les ovales ;
« Ce ne sont que festons, ce ne sont qu'astragales. »
Je saute vingt feuillets pour en trouver la fin,
Et je me sauve à peine au travers du jardin.
Fuyez de ces auteurs l'abondance stérile,
Et ne vous chargez point d'un détail inutile.
Tout ce qu'on dit de trop est fade et rebutant ;
L'esprit rassasié le rejette à l'instant.
Qui ne sait se borner ne sut jamais écrire.
Un thread où ce cher Cyran poste... je ne pouvais pas manquer pareille aubaine. Donc, en piste et salut à toi Acide !

Citation :
Publié par Acide
1) On m'a notifié dans le texte que j'ai présenté que j'avais tendance à pas mal décrire l'environnement et que cela pourrait alourdir le récit. Etes vous du même avis que moi qui est : "on plante le décor avant de crier action" ou plutôt pas du tout ? Même si je sais qu'il est difficile de quantifier cela pourriez vous tenter de m'expliquer ce que le public attend de ce côté ci ?
Je dirais que la description est essentielle pour immerger le lecteur dans ton univers. Il est donc primordial d'en user tout en ne tombant pas dans quelques pièges inhérents à la narration. Tout d'abord, je ne peux que te conseiller d'alterner les types de scènes : narration, description, dialogue, etc. Ca donnera souvent une fluidité à ton écrit, mais c'est un savant dosage à faire tout même. Il faut également savoir qu'il est préférable, à mon avis, d'amener la description d'un lieu en même temps qu'un personnage le découvre. Nul besoin de "planter le décor" sauvagement, puis d'introduire une entité qui va évoluer au travers de ce décor. Fait le au fur et à mesure, comme si la scène était visualisée au travers du personnage concerné.

La clé est de faire un texte fluide. A partir de là, si ta plume te permet de pondre des pages encyclopédiques tout en conservant l'attrait du lecteur, alors profites-en pour te donner ton propre style.

Citation :
2) Est ce que le lecteur préfère que l'histoire se déroule en territoire connu ( Héroïc-fantasy, cyber punk... ) ou bien la création d'un univers particulier avec ses règles simples, sa faune et sa flore peut être une bonne chose ?
Les goûts et les couleurs. Mais de toutes façons, malgré les sous-catégories et poncifs du genre fantastique, il est rare de rencontrer deux univers de fantasy similaires. De même pour le space opera, le steampunk ou quelques autres échos de la Science Fiction.
Veille cependant à ne pas alourdir ton oeuvre par une pléthore de prénoms, titres, fonctions et lieux atypiques. Tu ne ferais que perdre ici l'intérêt de ton public.

Citation :
3) Mon but serait d'écrire plutôt pour les enfants. Est ce que vous connaissez ou est ce qu'il y a des règles qui vous viennent à l'esprit pour scotcher à son livre un pré-ado entre 8 et 12 ans à l'imagination encore fertile ?
Je ne connais que trop peu la littérature enfantine pour pouvoir te répondre convenablement. Je pense seulement qu'un zeste voilé de fantastique a toujours ce quelque chose d'émerveillant, ce que beaucoup de jeunes affectionnent. De même que l'identification au travers d'un personnage proche de leur tranche d'âge (vieux briscards s'abstenir) et avec un certain potentiel homérique.

Citation :
4) J'accepte tous les conseils qui ne rentrent pas dans les questions précédentes bien entendu et si vous avez des sites plutôt orientés conseil d'écriture je suis preneur.
Pour reprendre les si simples mais efficaces conseils de Georges R. R. Martin, distillés par notre Cyran national, sache que lire est essentiel. Et de tout, pas seulement les grands écrivains reconnus mondialement ou quelques genres obscurs. Il faut de tout pour faire un monde !

Autre chose, essaye-toi à différent type d'écriture. Tant dans la forme avec des nouvelles, essais, monologue, etc. que dans la fond avec des pavés de dialogues, de descriptions, de narrations. Ceci pour affermir ta plume.
Il y aurait bien d'autres conseils, mais ceux-ci ont plus avoir avec l'édition de ton oeuvre qu'avec sa rédaction. Bonne chance !
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