Recherche Mëryl Désespérément

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(Mais qu'est ce qu'ils ont à croire tous que je suis handicapée???) se dit elle, vexée dans sa fierté. Irritée, elle se rendit dans sa chambre et n'en bougea plus, attendant tout simplement le départ.
*Une fois dans la chambre Lorian s'assit par terre, le dos contre la porte, ne prêtât pour le moment aucune attention a Aërandis, puis elle se mit a sangloter*

Si seulement j'avais fait plus attention... personne n'aurait été blessé... du moins je crois... Séréna est très mal en point, et Joshua a disparu... Mariko est blessée, ainsi qu'Aërandis, oh... qu'ai-je fait pour être aussi maladroite...Allez Lorian, reprend toi... lève toi, et fais la tisane pour Aërandis, pense que lui souffre et pas toi.

*Puis elle essuya ses larmes et regarda Aërandis en lui souriant*

- Je vais vous faire une tisane avec les herbes que Elédor m'a données, enfin, si vous en voulez...
Darcia se leva et entrouvrit la porte. Il darda son unique oeil valide sur l'elfe, son oeil crevé rendant son beau visage assez terrible vu la mine qu'il arborait. Il mit un doigt sur ses lèvres pour faire signe à Eleldor de ne pas faire du bruit puis il ouvrit un peu plus la porte pour le laisser passer, et retourna s'asseoir en tailleur prêt de Mariko pour lui rafraîchir le tissu sur le front.
*Eleldor entra sur la pointe des pieds, referma la porte avec délicatesse et regarda Darcia prendre soin de Mariko.*

- Nos chers hôtes m'ont permis de piocher dans leur réserve d'herbes médicinales. J'ai trouvé ces racines, si vous en faites une tisane, ça guérira la fièvre en moins d'une heure. *chuchota-t-il en se rapprochant* si, bien sûr, elle a de la fièvre ...
Elle n'a pas l'air d'avoir réellement beaucoup de fièvre hormis le front chaud et un peu de transpiration, elle ne délire pas c'est déjà ça. Je les utiliserais quand même, à titre préventif.
Merci.


Une de ses pommettes se creusa, ce qui chez lui signifiait un sourire.


Comment se porte la sorcière ?
*Répéter ces mots lui pesaient mais il ne pouvait pas cacher la vérité à ses compagnons de route.*

- J'ai réussi à guérir ses blessures mais je crois qu'elle est dans le coma, et sans aide magique, on aura beaucoup de mal à la réveiller. C'est pourquoi je pris pour que Joshua nous revienne vite. *répondit-il toujours à voix basse* Mais parlez-moi de vous Darcia, que faisiez vous avant de prendre la route avec nous et pourquoi nous avoir rejoint ? C'est une mission très périlleuse comme vous l'avez déjà constaté ...
Aërandis c'était endormi en jouant, mais il semblait que Lorian ne s'en était pas rendue compte. Mais lorsqu'elle lui proposa la tisane, sa voix le tira de sa douce somnolence.

-"Merci à vous demoiselle, mais ce n'est pas la peine de vous inquiéter, je vais beaucoup mieux depuis que j'ai repris mes esprits." Puis il grimaça en attrapant la tasse à cause de la souffrance que lui infligeait ses côtes. Et ajouta dans un sourire: "En tout cas, mon esprit va mieux, le corps ne semble pas encore prêt à le suivre." Enfin, il ajouta la mine plus sombre: "Dites, je.... n'ai blessé personne durant mon inconscience ?"




HRP: Heureusement qu'Eleldor a un peu de compassion, parce que sinon je tiens a dire qu'il y a de la discrimination sexuelle au niveau des soins, pour quoi c'est toutes les herbes médicinales pour les demoiselles ?
J'étais en voyage avec la semi-démone auparavant, mais un sorcier nous a séparé avec sa magie. Nous devions rejoindre Calimport avec un autre homme qui lui aussi a disparu. Je n'avais aucune raison d'y aller hormis la visite de cette ville.

Puis, vu que mes compagnons de voyage n'étaient plus là, j'ai alors changé de route et me suis mis en direction du lieu où nous nous sommes rencontré. J'avais envi de venir faire une halte ici même, où j'ai rencontré un de mes premier frère d'armes, un Drow du nom de Delroth Baenre, qui est mort il y a quelques temps.
C'était une petite halte avant de retourner à la recherche de mon frère dans l'Anauroch.

J'aime le danger et le combat, sans doute pour cela que j'ai voulu vous rejoindre de prime abord. Mais je dois avouer que j'étais aussi très heureux de retrouver une compatriote, Mariko. Il est rare de trouver une personne élevée à Kuo Te'Lung par ici, surtout une vierge de bataille car elles quittent rarement leur faction.


Sur ces mots, il refit les couvertures de Mariko correctement puisqu'elle les avait légèrement chamboulées en bougeant.

Je suis un Maître ès Arme et de par mon enseignement même, je suis toujours à la recherche d'un moyen de m'améliorer dans mes techniques de combats. Si je peux aider des gens tout en devenant encore meilleur dans le maniement de mon arme, alors je fonce.

Il se remit à nouveau en position du Lotus, son visage semblait apaisé et ses manches relevées, dévoilant les deux dragons d'or sur ses bras, identiques à celui sur son Hast-épée posé sur le mur.


(PS : Bah quoi ? Et puis fait pas la mauvaise langue il t'en a donné une feuille prêt de la rivière !!! ^^ )
Les deux nains envoyés en éclaireurs ne trouvèrent pas Joshua. Mais l'un d'eux, arrivé au campement des aventuriers colla son oreille contre le sol et marmonna dans sa barbe. Après avoir conversé avec son équipier, il regagna la tour de garde à toutes jambes pendant que l'autre petit guerrier se plantait devant le guet, la hache à la main et l'air déterminé.

Les Duergars approchaient.

L'éclaireur revint rapidement malgré la petitesse de ses jambes et s'entretint immédiatement avec son supérieur.

Quelques minutes plus tard, Gorf Marteau-Bruyant se plantait au milieu de la tour et bramait de sa plus puissante voix :


- Ohé ! Vous tous ! D'après mon éclaireur, 2 à 300 Duergars s'approchent de notre position ! Ils seront là d'ici 24 heures, c'est à dire une bonne journée avant que les renforts que j'ai demandé à Mithril Hall n'arrivent. En attendant de tailler en pièces ces chiens gris, j'attends de tous les valides qui reposent en ce moment leurs grosses fesses dans MA tour de se tenir prêt au combat. Venez m'aider à bloquer les issues !

[HRP]La tour de garde est située sur un gros rocher qui borde la route, permettant à la tour de s'élever relativement haut. La porte menant à la tour s'ouvre directement dans le rocher et un petit escalier monte jusqu'au sommet du rocher qui est entouré d'un parapet avec des crénaux. Une autre porte bien massive permet de grimper dans les étages.[/HRP]

Edit Fröhnir : Je pars en vacances quelques jours. Ne les tuez pas tous sans moi et soyez sages !
*Lorian répondit négativement a la question du guide. Puis elle sursauta lorsque le "chef" des nains hurla.*

- Je vais aller rejoindre nos hôtes afin de combattre ces saletés de Duegards... Reposez vous encore, vous avez raison, il semble que votre corps ne soit pas prêt a resubir une bataille.*Elle sourit tendrement a Aërandis* Je reviendrais vite, dès que tout celà sera finit.*Puis elle fouille dans son sac et en sorti un baume qu'elle tendit au guide* Tenez, passez ceci sur l'endroit où vous avez mal, celà calmera un peu la douleur, c'est un baume aux plantes... Prenez soin de vous.*Sur ce elle commença a nettoyer soigneusement l'épée que lui avait prêtée Sire Darcia.*
"Merci à vous, ce baume me sera plus précieux que vous ne pouvez l'imaginer mon amie..." répondit Aërandis en attrapant le baume que lui tendait Lorian.

Puis, il se leva difficilement, ramassa sa harpe et se dirigea vers la porte, vêtu de son pantalon et des bandages qu'on lui avait fait. Il chaussa ses bottes et ouvrit la porte.


"Vous venez avec moi ?" demanda-t-il en souriant.
Assise dans un coin sombre de la chambre, un large sourire sadique et glacial éclaira le visage de la guerrière.

(Enfin de l'action! Mes chers duergars, vous ne pouviez pas mieux tomber...)
*Eleldor tendit l'oreille puis se leva, tendant une main à Darcia avec un sourire.*

- Et bien mon ami, on dirait que vous allez avoir une nouvelle occasion de peaufiner vos techniques de combat ! *la fureur pouvait se lire dans les yeux du rôdeur*
-"Nous n'avons pas le choix de toute façon" répondit-il mi-souriant, mi-grimaçant.

Puis, il entreprit de descendre voir le nain qui avait crié si fort, mais il avait beau être debout, il avait écopé d'une sale blessure dans la rivière, il continuait donc à avancer doucement en se tenant au mur. Le baume que lui avait donné Lorian aurait bien sur pu soulagé ses souffrances, mais il devait le garder pour le moment crucial.
*Voyant Aërandis avancer en se tenant au mur, Lorian avança vers lui et entreprit de le soutenir en passant son bras sous celui du guide et en le maintenant par la taille. Elle leva les yeux vers le visage du guide et lui sourit.*

- Je vais vous aider. J'espère que nos amis nains ont au moins un cheval pour vous, comme ça vous serez moins fatigué que si vous aviez marché en arrivant a la tour. Si vous avez besoin, j'ai un ou deux autres baumes dans mon sac.
Félis sortit de sa chambre et parcourut les couloirs dans la même direction que les nains. Elle ne tenait compte de ceux qui regardaient méprisants, ses oreilles pointues, elle avait l'habitude. Cimeterre à la main, elle vérifia furtivement le tranchant avec un air de psychopathe.

(Par les Ténèbres, seuls les combats me permettent de vivre, puisque je ne peux pas être comme les autres, ce sera avec vos entrailles duergars, que je regarderai avec plaisir. Pardonne moi Anoel mais je ne peux protéger des personnes avec des sentiments humains, tu en es morte par ma faute. Ne dit on pas que ceux qui veulent la force doivent perdre quelque chose en échange?)
Aërandis regarda la jeune femme en souriant..

-"Merci de votre aide et de votre proposition, mais j'espère pouvoir me passer de vos baumes."

Le jeune homme était heureux quelque part, il avait eu peur que l'on tente de l'empêcher de participer au combat, rester cloîtré pendant que les autres versait leur sang, il ne l'aurait pas supporté.
Le sourire que fît Darcia à Eleldor en prenant sa main pour se relever était étrange ... on aurait presque dit un loup féroce à l'approche d'un gibier. Puis il perdit son sourire en regardant Mariko.

J'espère que nous n'aurons pas besoin d'elle. Je ne voudrais pas la réveiller en sursaut pour fuir ou la forcer à combattre.
- Nous n'en auront pas besoin. *déclara le rôdeur* Je vais leur faire comprendre qu'il ne faut pas énerver un elfe car sa colère peut être aussi forte que celle d'un nain !

*Il aida Darcia à se lever et prit la porte. Dans les couloirs il croisa ses compagnons.*

- Quoi qu'il arrive, je ne bougerai pas d'ici. *leur lança-t-il en prenant son arc et en calant ses carquois dans son dos. Ses deux épées pendaient toujours à sa ceinture, elles attendaient simplement le bain de sang.*

*Deux minutes plus tard, Felis, Darcia, Aërandis, Lorian et Eleldor se trouvaient dans la cour, aux côtés de tous les nains réunis. Le rôdeur se mit à parler à voix basse puis un peu plus fort, on aurait dit qu'il priait car il gardait les yeux fermés.*

- Un guerrier peut-il jamais lâcher son fardeau et savourer la douceur du repos ? Près de vous, mes chers amis, j'ai longtemps rêvé que ce serait possible. Moi le banni, celui dont nul ne voulait, j'ai connu - ou cru connaître - un monde de paix et d'harmonie. Hélas, des ennemis remâchaient leur venin, tapis dans les entrailles de la Terre. Et voici qu'ils en sortent, et que revient, contre mon gré, la saison des combats. Aux armes ! A moi, l'ancestrale férocité de mon peuple ! La lutte est-elle donc l'humus de ma vie ?
Aërandis avait rapidement jaugé la situation, et celle-ci se révélait critique, bien que pressés d'en découdre avec leurs cousins gris, les nains étaient conscient de la force de leurs ennemis, et savaient que face à une telle horde leurs chances étaient faibles. Du côté de ses compagnons, il y avait de nombreux blessés, et même si certains étaient près à mourir pour protéger les autres, une mort n'a jamais sauvé de vie de cette manière.

Alors, il sortit sa harpe et la cala contre sa poitrine, qui le lança furieusement; lui aussi était blessé, mais il ne les laisserait pas mourir seuls, s'ils devaient mourir, c'était côte à côte dans une mêlée qui sera encore chantée pendant de longs siècles. Puis il joua quelques notes qui résonnèrent de manière irréelle, semblant réclamer le silence. Puis il se mit à jouer, un air calme et résolu où seule ses paroles résonnaient:


-"Regroupés au pied de la tour
Les compagnons d'infortune
Attendent sans espoir le jour
Sous le regard de la Lune.

Regroupés en un mur d'acier,
Compagnons de circonstance
Nous n'avons le droit de plier,
Car notre charge est immense.

Car vous ne pouvez compagnons,
Abandonner vos frères blessés,
Même si vous savez qu'a l'horizon
Mille duergars viennent chasser.

Compagnons attendons le soleil
Dans le sang de nos ennemis
Allons nous teindre de vermeille
En les envoyant tous au tapis.

Il est vrai que nos prières diffèrent,
Corellon, Tempus ou Clangeddin,
Que tous se penchent sur notre destin,
Admirent un combat digne de nos père.

Alors compagnons levez vos lames,
Dressez vos lames et vos esprits,
Engagez tout ! Vos vie et vos âmes,
Et jamais ce lieu ne sera pris."

Il avait mis toute sa puissance et sa magie dans ce discours, chaque parole portait le sceau du scalde, le discours enflammé, le chant de bataille. Il ne savait pas si le peu de force qui lui restait suffirait à bannir la peur et inspirer la force à tous ceux qui sont présents, mais c'est tout ce qu'il pouvait offrir. Un fois finit, il s'adossa au mur, cela l'avait épuisé, mais il devait gardé des forces pour la bataille.
Félis ne disait rien, les discours l'indifféraient curieusement. Au fil du temps, elle perdait de plus en plus son humanité et les épreuves l'avaient rendue aigrie, incapable de la moindre confiance envers quiconque. Chaque mort, chaque proche d'elle qui tombait l'avait amenée au bord d'un gouffre dont il n'était nul retour. Ses yeux étaient devenus avare de larmes et au fond de l'abysse que ses yeux turquoises offraient, il n'y avait que lassitude, quelque chose la retenait à cette vie dont elle n'en pouvait plus. Force et faiblesse se mélangeaient en elle dans un ballet sans fin.

-Que le chant de la Faucheuse commence, qu'elle nous mène dans sa folle sarabande, les Parques tissant le Destin, les guerriers valeureux tombant dans sa main. Atropos, que nos armes soit tes ciseaux, que les morts qui s'annoncent apaisent les âmes des vainqueurs... fit elle tout doucement pour elle même, soupesant sa lame en attendant l'assaut.
Darcia fit tournoyer son hast-épée et se posta prêt de l'entrée. Il embrassa le dragon d'or sur son arme et attendit patiemment que les premiers duergars arrivent. Son visage n'avait à nouveau aucune expression hormis la calme détermination de celui qui est prêt à donner sa vie pour l'honneur du combat.
*Lorian s'était mise a genoux; la pointe de son épée au sol, les deux mains sur le pommeau de celle-ci, ses lèvres remuaient mais personne n'entendait ce qu'elle disait*

Père, accompagnez ma main, guidez la de vos mouvements, aidez moi a combattre et a vaincre...

*Puis elle se releva, elle regarda ses compagnons un a un : Darcia, qui semblait attendre le combat avec impatience; Félis, soupesant sa lame; Aërandis, adossé au mur, l'air épuisé; et Elédor, prêt a combattre... elle voyait en eux une rage indescriptible, peut-être un envie de vengeance de ce que les Duegards avaient fait endurer aux deux femmes restées alitées... Lorian savait que les Duegards était de forts combattants, mais avec l'aide des nains de la tour, elle pensait que la troupe pourrait gagner, non sans risques, mais celà serait possible.*

[HRP]je pars en vacances, laissez moi quelque Duegards a tuer ^^[/HRP]
[HRP]Pas de problèmes, de toute façon, avec les vacances, nombreux sont ceux qui vont partir. La bataille risque d'être longue et ardue... Et puis il nous reste à visiter Mithril Hall, dire bonjour à Drizzt, Cattie Brie, Bruenor et Wulfgar, gravir la montagne, battre des gobelins, des yétis, résoudre les énigmes d'un dragon blanc, faire de l'escalade, affronter des Dridders et quelques drows dans une zone d'anti-magie, refaire de l'escalade et enfin convaincre les moines de relâcher Mëryl pour qu'elle et Joshua puissent enfin ... ... enfin vous voyez quoi ! Donc les absents ne vont pas manquer grand chose vu tout ce qu'il reste à faire ! )[/HRP]

La rivière était large. Pourtant, tous les duergars étaient massés au même endroit. Au gué. Le courageux guerrier nain se tenait là, au milieu de l'eau, la hache entre les mains, l'air déterminé.

L'un des ennemis s'approcha :


- Que comptes-tu faire nain ? Nous sommes plus de 300 et tu es seul ! Tu ne peux nous vaincre tous !

- C'est vrai. Mais exterminer de la vermine grise est une passion pour moi, alors comme vous êtes là, je vais en profiter !

- Chien, tu vas mourir de ma propre main !

Et le guerrier gris s'avança dans l'eau puis lança un large coup circulaire vers la tête barbue de son cousin de la surface. Le nain se baissa et donna un coup vers l'abdomen de son adversaire qui d'un bond en arrière évita l'éventration, puis il se rejeta en avant en assenant un violent coup d'estoc que para habilement le nain, juste avant que son crâne casqué d'acier ne vint s'écraser contre la face grise du duergar. Sonné, ce dernier mit une seconde de trop à récupérer et c'est seulement lorsque la lame de la hache du guerrier nain lui découpa l'épaule gauche jusqu'au coeur qu'il comprit qu'il avait perdu. Le sang gicla et vint teinter l'eau du gué d'un rouge peu engageant. Le nain poussa la dépouille du vaincu d'un coup de pied, et le courant fit le reste. Le corps flotta quelques instants, puis disparu sous l'eau légèrement en aval.

Alors, d'un seul cri, tous les combattants duergars qui pouvaient s'avancer sur le gué se ruèrent à l'assaut du guerrier solitaire qui leur barrait le passage et l'eau se teinta encore et encore de rouge, jusqu'à ne plus être qu'une rivière de sang...
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