Même Sigmund Freud ne décripterait pas ça

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Bonjour le bar.

Il y a présentement un topic sur les cauchemars, moi je viens vous parler des rêves.

Il arrive que parfois, un rêve un peu loufoque nous arrive pendant que nous dormons. Pour exemple, le petit frère d'un de mes meilleurs amis a rêvé qu'il était archer et devait viser des culs volant. C'est un cas parmi d'autre, je veux maintenant vous parler des cas extrêmes, entre autres, le mien.

J'ai fais il y a peu, dans la nuit du mardi au mercredi, un rêve inqualifiable. Je me suis réveillé, me souvenant étrangement bien du songe. Marquant une pause, je me suis assis au bord du lit, et me suis pris la tête à deux mains, d'un air de dire... : Mais qu'est-ce que c'était ?

Tenez vous bien, c'est long, voici ce dont j'ai rêvé.

L'histoire commence dans un centre commercial. Je fais partie d'une organisation secrète, pourchassant les membres d'une autre organisation secrète. En gros, on est la police et eux les malfaiteurs. Un des suspects que l'on avait arrêté s'est enfui, et a alerté tout ses collaborateurs. Il y a donc maintenant une grand débandade dans le centre, ça fuis, ça cours partout, je cours aussi. A ce moment là, un méchant qui était caché, m'attrape et me jette en arrière avec une force incroyable avant de s'enfuir. Je suis propulsé en arrière à la Dragon Ball, et d'un coup, je heurte un truc mou. Je me relève, et c'était en fait des gens, qui continuent à marcher tout droit comme si de rien n'était, rien sur eux ne laisse penser que je les ai touchés. Bref, je reprends la course au brigand, quand j'aperçois soudain un civil regardant autour de lui. Il se met à courir dans le sens inverse de la ruée. Je le poursuis, et comme il est obèse, je le rattrape vite. Mais, il est finalement agile et véloce, et il me met des feintes ! (l'enculé)

Je finis par le conduire au haut d'un escalator, qu'il emprunte avec moi à sa poursuite. Il se retrouve coincé au milieu, car un de mes collègues arrivant en bas, a compris la situation et bloque le passage. Il attend l'homme, qui d'un coup n'est plus obèse, et l'attrape.

- Qui c'est ?!? me dit mon collaborateur.

Le fuyard se retourne, et j'aperçois son visage. Il tente de se défendre calmement.

- Mais enfin, je n'ai rien fais... Laissez moi partir, etc...

C'est le détenu évadé !

- C'est lui ! Ne le lâche pas ! C'est euh... C'est euh...

A ce moment, même dans mon rêve, je ne me souviens plus du nom du recherché. L'homme alors démasqué, a un petit sourire vicieux, et c'est à partir de ce passage que nous subissons la première transplanation rêviale. Le rêve s'arrête pour reprendre autrement. Nous sommes maintenant dans une petite cité (par cité, j'entends la téci, yo). Chose bizarre, c'est toujours la même histoire. L'homme a encore changé d'apparence - c'était en fait une sorcière ! - et mon collègue et moi même sommes en son pouvoir. Je décide d'envoyer un message magique par télépathie au quartier général de mon organisation. Comme un tatouage, une marque apparaît sur la peau de mon bas ventre, du côté droit : "J'ai retrouvé le suspect."

Le message est comme fluorescent, un peu vert et violet. La sorcière continue son monologue, nous dictant son plan machiavélique, que je n'ai pas écouté, trop occupé à appeler les renforts. Soudain, elle s'arrête de parler. La rue est visible, et des voitures de police passent en nombre devant nous, sans s'arrêter.

- Quelqu'un a donné l'alerte .... ??

L'autre se défend immédiatement en levant les bras sur les côtés, d'un air de dire "j'ai rien à voir là-dedans !". Je lève les bras moi aussi, comme pour nier, mais la vilaine s'approche, et soulève mon t-shirt. Je pense alors qu'elle va voir le message, et que je suis perdu. Mais elle retire un jambon de dessous mes vêtements, et pas n'importe quel jambon en plus, le gros morceau auquel on coupe des tranches au couteau hein ! Son expression change alors du tout au tout. Elle tape du pied par terre, et grogne en me regardant, comme si j'étais le dernier des cons.

- L'enfoiré avait du jambon !! Non mais je rêve ma parole ! Du jambon !!

- Mais j'aime bien le jambon !!! (Ton de protestation et d'excuse en même temps)

- Ah bah bien ! Ah bah ça me fait une belle jambe ! "Beh, moi j'aime bien le jambon !". Pff, tu parles d'un con, non mais vraiment mais...

Elle continue son radotage, tout en mettant le jambon en charpie avec les mains. Puis finalement, elle change de disque.

- Ah t'aimes bien le jambon ? Bah tiens, bouffe-le ton jambon !

Elle m'en met dans la bouche de force.

- Mets-t-en dans le slip de ton jambon, et tout de suite ! Colles-en toi partout !

Je m'exécute (paix à mon âme), et je me retrouve vite ridicule. Je suis à genoux, et on voit mon cul, avec des morceaux de jambon dépassant d'un peu partout de mes vêtements. La sorcière ricane et s'en va. C'est alors qu'arrive une fille mignonne que j'aime bien, et qui vient se pendre (paix à son âme) aux bras de mon collègue toujours présent, comme si c'était sa petite amie. Il lui propose d'aller au ciné.

- Ouais, on y va.

Elle m'aperçoit, choquée. "Oh mon dieu... !". Puis ils s'éloignent, me fuyant comme si j'étais un déviant. Je baisse alors la tête, dépité, dégoûté de la vie.

Pof ! Nouvelle transplanation rêviale. Toujours le même endroit, mais l'histoire a changé. Je suis maintenant gambadant dans le coin, et je vois mes potes arriver d'un endroit, à environ 20-30 mètres de là. L'un d'eux avait une balle en mousse à la main, et ils discutent. Je lui crie de m'envoyer la sphère, et il la lance vers moi à la main, avec force. La balle décrit une belle courbe, la trajectoire est parfaite. Cette balle voulait que je tape dedans (ça arrive parfois, il y a des balles qui ont l'air d'être faites exprès pour votre pied, pour qu'on mettre une big retournée dedans), et c'est ce que j'ai fais. La balle fuse au loin.

- P'tain, ma balle !

Moi je me marre, car la balle est partie tout droit vers un poteau métallique et revient vers moi. Encore une fois, la trajectoire est parfaite, le rebond comme il faut, et je remets un big papa shoot dedans.

- Arrête enfoiré, c'ma balle !

Je suis encore hilare, car la balle a fait un superbe effet (étonnant pour une balle en mousse) et est revenue taper le même poteau métallique. Elle revient encore vers moi et je la rattrape à la main, mes potos arrivés à ma hauteur. Ils étaient au moins 4 en arrivant, ils ne sont maintenant plus que 3.

- T'as de la chance !

- Ouais ouais, c'est ça.

Continuant d'avancer, nous devisons comme de joyeux clampins et en quelques secondes nous arrivons devant la façade d'un immeuble. Une voiture est garée devant, et je m'amuse à envoyer le ballon dessus avec les mains, à environ 1 mètre de distance. Mais la balle réagit bizarrement, sans respecter les lois de la gravité.

- Hé, c'est zarb, venez.

Mes amis arrivent, et ne sont maintenant plus que deux. Une sorte de croûte de fer commence à se former sur la balle en mousse, et elle s'échappe de mes mains, se collant avec force à la carrosserie de la voiture. Un aimant ! Une lueur rouge commence à apparaître sur le côté visible de la balle, et le mot "TNT" apparaît. Vous connaissez Crash Bandicoot ? Ben là c'est la même. Le chiffre 3 apparut, et nous nous sommes tous précipités dans l'immeuble. L'intérieur ne va pas du tout avec l'extérieur, on aurait dit un couloir au rez de chaussée d'une maison à l'anglaise. Il y a une toute petite salle à l'intérieur, plus grande qu'un grand placard à balais, et il y a une porte sur chacun des murs. Pour plus de compréhension, disons que nous arrivons du sud, et que le bout du couloir est au nord. Les portes étaient en verre flou, le verre qu'on voit flou derrière quand on regarde au travers. Arrivés à la porte faisant face à l'Est, l'explosion se fait entendre, et nous continuons de courir, paniqués, pour finalement rentrer dans la petite salle par la porte Nord. Par la porte Est, on peut apercevoir l'entrée par laquelle nous sommes rentrés dans le bâtiment, et une grande lueur apparaît immédiatement, ainsi que sur le mur Est l'ombre des flammes provenant du dehors.

Par je ne sais quel miracle divin, des raptors pénétrèrent dans le bâtiment par l'entrée en feu. On les voit passer devant la porte Est, pour arriver devant la porte Nord qu'ils essayèrent de pousser doucement. Je la bloquais avec mon pied, pour éviter qu'ils ne rentrent, quand mon pote cria et je levais alors la tête. Il n'y avait plus de raptors, juste une sorte de gros tricératops sans cornes qui arrivait. Ne voulant pas perdre ma jambe, je l'enlève, et il pénètre sans mal dans la petite salle. D'abord hébétés et abasourdis, on ne réagit pas. Puis, on sort en quatrième vitesse par les portes sur les côtés, mes deux amis à l'Ouest et moi à l'Est. Je contourne par le Sud pour arriver à l'Ouest car une nouvelle porte est maintenant apparue sur le couloir de gauche. Mais en passant devant la porte Sud, le monstre la défonce et me mords l'épaule. Je n'ai pas mal, je ne suis pas blessé, mais je gueule quand même.

- AAAAAaaaaah ! Merde ! Vite, fuyez !

Je passe enfin la porte nouvellement apparue, et une autre transplanation rêviale interrompt le délire. Je me retrouve avec mes amis au milieu de l'océan, sur une petite île bizarre, à peine plus grande qu'un terrain de basket, rocheuse et formant comme une petite colline, des petits sillons d'eau ressemblant à des rivières coulant vers la mer. Il fait nuit, mais on peut y voir comme en plein jour, et il y a une île de taille normale au loin, paraissant habitée, car on aperçoit les lumières d'une grande ville. On descend alors vers l'eau, tout en discutant.

- Hey, ça te dirait de dormir chez moi demain ?

- Ouais j'avoue, ce s'rait cool. T'as d'mandé à tes parents ?

On continue de parler comme si on était dans les rues de Paris, nageant vers l'île principale, et...... le rêve s'arrête, je me réveille.





Je fais maintenant appel à vous, chers bariens. Comme vous avez pu le lire, pour les moins feignants d'entre vous, ce rêve ne provient pas d'un esprit normal. S'il y a des spécialistes dans la salle, psychologues et autres, je les mets au défi de me donner la signification de ce rêve, ou de me dire pourquoi je l'ai fais. Et enfin, n'hésitez pas à être franc, vous pouvez me dire si je suis un alien ou un être d'une autre dimension. Merci à vous.
Citation :
Publié par Drizzt Balmung
Et enfin, n'hésitez pas à être franc, vous pouvez me dire si je suis un alien ou un être d'une autre dimension. Merci à vous.
Tu aimes le jambon. np.
Citation :
Publié par Drizzt Balmung
Et enfin, n'hésitez pas à être franc, vous pouvez me dire si je suis un alien ou un être d'une autre dimension. Merci à vous.
Un être d'une autre dimension.
De rien.
(Ouais, j'me suis forcé à lire le dernier paragraphe :/)
Citation :
Publié par Drizzt Balmung
S'il y a des spécialistes dans la salle, psychologues et autres, je les mets au défi de me donner la signification de ce rêve, ou de me dire pourquoi je l'ai fais.
Salut, je pense que tu n'arrives pas à sortir du monde de l'enfance du coup tu rêves d'agent secret, que t'es un super héros, que t'es un bon joueur de foot ou encore que des dinosaures t'attaquent. En ce qui concerne le jambon avec lequel tu te caresse, c'est clairement des penchants sado-maso en plus d'être homosexuel ( forme de verge ). De plus, la fille est dégoutée de te voir avec du jambon plein le cul. Mais en fait la fille c'est toi et tu n'acceptes pas ton corps comme il est.

De rien.
Il est difficile de ne pas décrocher d'un long texte comme celui ci, et c'est d'autant plus difficile que tu mélanges un peu tout les temps dans tout les sens, dans un récit comme celui-là, il vaut mieux que les temps utilisés soient homogènes, là quand tu passe de présent à passé, puis juste après tu reviens dans le présent, ça fait un peu bizarre, et le texte donne moi envie d'être lu jusqu'au bout.

Pour décrypter, ne fait pas confiance à Freud. Surtout.
Citation :
Publié par Drizzt Balmung
.... Je suis à genoux, et on voit mon cul, avec des morceaux de jambon dépassant d'un peu partout de mes vêtements...
Tu es sois un zoophilie refoulé, sois un exhibitionniste refoulé, sois les deux. De rien.


(omg j'ai cherché 15mn le mot qui désigne le mec qu'ouvre son manteau en étant nue dessous mais je trouve pas )
trop long pour etre vrai.

perso je ne passe aps dun reve a l'autre comme ça et ça me parait louche, c'est plutot le meme reve qui evolue progressivement vers un truc different
Citation :
Publié par Junthao
Salut, je pense que tu n'arrives pas à sortir du monde de l'enfance du coup tu rêves d'agent secret, que t'es un super héros, que t'es un bon joueur de foot ou encore que des dinosaures t'attaquent. En ce qui concerne le jambon avec lequel tu te caresse, c'est clairement des penchants sado-maso en plus d'être homosexuel ( forme de verge ). De plus, la fille est dégoûtée de te voir avec du jambon plein le cul. Mais en fait la fille c'est toi et tu n'acceptes pas ton corps comme il est.

De rien.
Pas mal ! Cependant, je ne me caresse pas avec le jambon, je suis forcé de m'en mettre partout dans les vêtements. En vrai, je ne suis ni sado-maso ni homosexuel, juste pervers.

Par contre, pour la forme de verge du jambon, c'est chercher un peu loin... Laisse moi te rappeler l'apparence d'un jambon entier

jambon.gif

Edit : Tout ce que je raconte est vrai. Je me suis bien gardé de mettre des exagérations ou des inventions, ce récit est pure vérité. Pour les temps mélangés, c'est un de mes défauts dans les longs textes, surtout quand j'ai pas envie de soigner le truc (c'est qu'un rêve quoi). Je vais essayer de corriger ça.
Là y'a encore 20 minutes j'étais en train de rêver que j'avais inventé le Coca Light Gold Lemon et franchement c'était trop bon mais aucune idée de la formule par contre.

PS : non j'ai pas envie de me faire éclater la rondelle de citron.


C'est puissant les rêves où t'inventes des trucs, j'en ai fais un où j'avais inventé les skis-fusées moi.

Sinon, y a un autre rêve que je me souviens bien, je sautais de plate-formes en plate-formes pour ramasser des pièces et taper des mecs, comme dans un Smash Bros. Sauf que bon, là y avait une centaine de persos. Mais je vais pas tous vous les raconter non plus, un seul c'est déjà bien.

Citation :
Publié par Hello <3
T'es chelou mec.
Toi aussi tu as remarqué ?
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