Greg le millionnaire |
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La plus belle description littéraire de pluie que vous ayez jamais parcourue ?
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Pour la pluie je sais pas mais là le vent tu là eu comme jamais....
Hum désolé je sais où est la porte. Sinon: Tu les entends ? ... Les gouttes de pluies... Sur un toit de zing ? |
20/08/2006, 22h00 |
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Greg le millionnaire |
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Il faut que ce soit en français ?
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21/08/2006, 09h58 |
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Kelem Khâl La'Ri |
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peu être que ondine de Aloysius Bertran pourrait te convenir
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21/08/2006, 16h34 |
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Il serait interessant d'essayer d'en inventer une.
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21/08/2006, 16h50 |
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Pluie
sinon, on doit pouvoir réussir à faire ca si on s'y met tous... chacun lançant ses idées... que pensez vous d'une histoire ou les molécules d'eau, entraînées vers le ciel, voudrais revenir a la terre, et fusionneraient pour avoir suffisamment de poids pour que newton les y aide, avant que celui ne les séparent, écrasées au sol... |
21/08/2006, 16h56 |
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Et que penserais tu de faire comme si on était sur le cercle et pas sur le bar ?
Vous allez peut-être trouver ça un peu académique, mais on s'en tient au sujet. |
21/08/2006, 17h47 |
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Personnellement, Dr.Manhattan dans Watchmen notamment ses réflexions sur le temps, malheureusement c'est beaucoup trop long à recopier et il faut aussi saisir le contexte.
Sinon toujours dans Watchmen, Rorschach : "Suis resté dans la rue regarder brûler. Imaginant les torses manchots des mannequins; par terre; les seins noircissent; le ventre fond; un par un ils s'embrasent. Regardé pendant une heure. Personne n'est sorti. Face au feu, la tache de sang coagulée par la chaleur, comme la carte d'un nouveau continent. Me sentais nettoyé. Sentais la noire planète tourner sous mes pieds. Savais. Du savoir des chats qui hurlent comme des bébés dans la nuit. Regardé le ciel à travers la fumée chargée de graisse humaine et dieu n'était pas là. La froidure suffocante et noire est infinie et nous sommes seuls. Vivre sa vie faute d'avoir mieux à faire. Inventer la raison plus tard. Né de l'oubli; engendrant des enfants promis à l'enfer comme nous; retour à l'oubli. Il n'y a rien d'autre. L'existence est hasard. Aucun sauf, sauf ce qu'on imagine à la contempler trop longtemps. Aucune signification, sauf ce que nous y mettons. Ce monde sans gouvernail n'est pas formé par de vagues forces métaphysiques. Ce n'est pas Dieu qui tue les enfants. Ni la malchance qui les massacre, ni le destin qui les fait dévorer par les chiens. C'est nous. Rien que nous. Les rues puaient le feu. Le vide soufflait contre mon coeur, gelant ses illusions, les pulvérisant. Je renaissais alors, libre de gribouiller ma propre marque sur le vide moral de ce monde. Je fus Rorschach." http://www.amazon.fr/gp/product/2840...UTF8&s=gateway Je sais que ce n'est pas une description de quelque chose de concret, mais je trouve que cette vision de l'humanité vraiment saisissante. |
21/08/2006, 18h19 |
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Puf Puf OoOo(^_^)y-~ |
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"Ca race! Je suis trempé!"
Sinon les 3 Gymnopédies, mais ce n'est pas de la littérature. |
22/08/2006, 16h45 |
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pnvoqjvhoughvkvbiqyv |
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Un poème qu'on me lisait des fois quand j'étais petite.
Citation :
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22/08/2006, 18h56 |
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