Les mots qu'il (ou elle - ou "ça") ne lira jamais

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La vie nous a séparés, est-ce un bien ou un mal? Je n'en sais rien. Je ne sais pas ce que je suis pour toi, un fils ou un membre de ta famille éloigné par la force, en tout cas j'ai bien du mal à te considérer comme mon père. Je suis sans attaches, je n'ai ni patrie ni famille, et c'est un peu de ta faute. Je ne t'en veux pas, je ne te connais pas assez pour ça, je sais juste ce que j'entends dire par les autres et ça n'est pas toujours brillant. Peu souvent en fait. J'aurais quand même aimé vivre plus longtemps à tes côtés, que tu sois un ange ou un monstre, après tout tu es mon père et je n'ai jamais eu à m'en plaindre personnellement. On aura peut-être une relation normale un jour, si j'ai le courage de revenir au pays ou si tu te décides à venir plus souvent. On verra...Allez, à la prochaine.
Excellente initiative, ce sujet. J'ai fait ma lettre mais par écrit. Je l'ai relue puis je l'ai jetée. Ca ne regardait personne d'autre que moi et ma prose laisse à désirer lorsque je m'implique trop dans l'écriture (pourtant, c'est mon boulot).

Mais j'insiste : excellent fil . J'ai joué le jeu mais pas on-line.
"Je vous emmerde tous autant que vous etes !"

Je le dis souvent en rigolant et vous le prenez comme une bonne blague.
On dit de moi que je suis social et que je parlerai à n'importe qui.
On m'estime travailleur et motivé depuis quelques temps.

Mais en fait, vous me faites vraiment tous chier.
Je suis un pur egoiste, egocentrique et je vous emmerde.

Si je parle à tout ceux qui trainent autour de moi, c'est pour éviter les blancs qui rendent la situation encore plus chiante qu'elle ne l'est déjà.

Quand je vois le nombre de veaux qui ne savent pas entretenir une conversation et etre un minimum interressant...

Je reve d'etre seul et de m'autosuffir, tout les jours je pense à claquer la porte et à tout planter sur place pour aller refaire ma vie ailleurs.

Mais je sais qu'ailleurs, il y aura toujours un tas de con pour me casser les couilles quand je voudrais etre peinard.
Je fais ce qu'il faut pour etre pseudo intégré dans cette société de merde ou les gens se ruent au travail par train en piétenant leur voisin.

J'ai un travail, je paye mes impots, j'essaye de respecter un maximum la vie des autres.
Mais il faut toujours qu'un connard se mette en plein milieu de ma liberté et me les brise.

Je ne sais pas comment faire mais j'aspire au changement.

Mais j'ai beau vous hair, je supporterai difficilement de vous faire souffrir en partant.
Egocentrique ? Oui et alors ?

L'enfer c'est les autres.


PS : Depuis une semaine, le RER A me donne le bourdon. Pourquoi nous obligeons nous à nous parker comme des betes dans des trains surchauffés pour aller faire un boulot de merde sous payé ?

PS : A tout ceux qui me connaissent IRL et me pensent optimiste, sachez que je joue tres bien la comedie.
Comme c’est dommage,

Tu avais tout.
Tu n’as pas été mon seul amour, mais au moins celle à qui je l’ai donné. Cela ne t’a pas suffit on dirait. J’ai tout fait pour toi. J’ai travaillé comme un chien pour t’offrir ce que l’on peut espérer de mieux. J’ai résisté aux tentations qui pourtant étaient nombreuse. Je me suis transformer en compagnon idéal, en celui sur qui l’on peut compter, celui qui assure, n’importe où, n’importante quand.
Jamais je n’ai voulu tomber dans les habitudes, alors je voulais te surprendre, encore et toujours pour mériter ton amour. Mais ça n’as pas suffit.

Toi tu voulais plus. Tu voulais que je sois ton esclave, tu voulais que je pense avant toi, que je te respecte comme on respecte son maître. Mais non, je ne peux pas accepter.

Moi je n’ai pas besoin de toi pour vivre. Mon amour je te l’ai donné, maintenant garde le bien au fond de tes souvenirs. Tu as cru que tu pouvais jouer à ce jeu indéfiniment, pourtant je t’avais prévenu. A force de remplir le vase, il finit par déborder.

Tu te crois la plus forte ? Je vais te ramener à la réalité.
Loin de moi l’idée de te faire souffrir, mais si tu ne voulais pas ouvrir les yeux quand je t’en parlais, maintenant tu vas être face à cette réalité. Je t’ai protégé, je t’ai soutenu, mais j’en attendais un retour. Moi ce que j’ai vu c’est une jalouse maladive se prenant pour une déesse. Des princesses j’en ai rencontré, et tout ce que je peux dire, c’est que tu ne leur arrives pas à la cheville. Mais ce n’est pas ce que j’attendais de toi. Mais maintenant, c’est toi qui n’as plus rien à attendre de moi.

Moi je voulais de la gratitude, je voulais suffisamment de liberté pour pouvoir exister. Mais non, tu ne voulais pas me la donner. Peu à peu je me suis enfermer dans ces habitudes. Mais je suis plus fort que ça. Alors le cocon que je t’avais ouvert il y a bien longtemps, je l’ai refermé. Et toi tu vas rester dehors. Tu pourras me haïr, tu pourras dire ce que tu veux, mais après toutes ces années, ça ne ferra que montrer que tu ne me connais pas. Tu n’arriveras pas à me toucher. Au mieux tu m’agaceras, mais encore une fois fais attention à ne pas faire déborder le vase.

Alors maintenant, ouvre les yeux ma belle. Je m’en vais et toi tu vas disparaître …


PS : autothérapie encore une fois. J'ai hésité mais voilà, ça fait du bien de cracher son venin devant les yeux d'illustres inconnus (oui c'est vous cà ).
Bernie
Il était tard, nous étions tous défoncés, et la je t’ais rencontré.

Alors que j’aurais du te dire tout le bien que je pensai de toi j’ai eu le malheur de te sortir une blague (certes pas drôle) ...

Tu étais occupé et tout cela a clairement dégénéré et nous nous sommes quittés sur des noms d’oiseaux.

Je le regrette sincèrement et j’espère que tu resteras comme tu es.

@Vibro : imo, Il y a un fond de vérité dans ton texte.
Citation :
Publié par BoB304
@Vibro : imo, Il y a un fond de vérité dans ton texte.
Tellement vrai que j'ai rien à écrire sur ce fil, Vibro l'a écrit pour moi (et sûrement pour beaucoup d'autres)
Jaimerais savoir si le problème c'est moi ou si c'est toi.
J'aimerais savoir pourquoi parfois tu es si détestable et d'autres fois tu fais fondre mon coeur.
J'aimerais savoir si je suis maso ou si c'est toi qui est sado.
J'aimerais savoir pourquoi la vie, en fait j'aimerais te poser cette question pourquoi la vie a fait que tu es là et moi en face de toi.
J'aimerais savoir pourquoi tu ne m'aime pas et pourquoi tu viens dans mes bras quand je t'ignore.
J'aimerais savoir pourquoi quand toute mon attention est sur toi, j'ai l'impression que je ne t'intéresse plus.
J'aimerais qu'on arrêtes ce jeu bidon et qu'on se dise ce qu'on a sur le coeur vraiment l'un par rapport à l'autre.
J'aimerais que tu arrêtes de croire parfois que le monde entier t'en veut, que la vie ne t'aime pas.
J'aimerais savoir pourquoi je tombe amoureux d'une fille si fragile en apparence et pourtant avec le coeur si dur.
J'aimerais savoir pourquoi des fois c'est le contraire; pourquoi tu parais si dure extérieurement alors que tu es si fragile en dedans.
J'aimerais te comprendre mais je suis un homme qui est aveuglé, j'aimerais que de ton côté tu me comprennes, que tu n'émettes pas d'hypothèses sur moi.
Je ne t'ai jamais jugé sur ce que tu m'a confié, et moi de mon côté je ne te confie rien alors c'est peut-etre là où le bas blesse. Mais je ne peux pas tout te dire sur moi, il me faut une part de mystère, mais en fait ce mystère ce n'est que des conneries car il cache juste un vide.
Prend moi au sérieux quand je te dis que je t'aime. J'ai été trop long à la détente mais de toute façon les coup de foudre c'est pas pour moi, je tombe amoureux avec le temps qui passe.
J'aimerais tellement que tu m'aimes...
Je pensais jamais que toi tu me ferais ça. Quand tu es venue vers moi, j'ai tout renié, j'ai accepté de me damner pour toi. Pendant tous ces mois, j'ai oscillé entre le rêve et le cauchemar, j'ai espéré quand je te voyais avancer, nous faire avancer. J'ai accepté tout, j'ai serré les dents j'ai encaissé. Parce qu'il te fallait du temps pour en finir avec cette page de ton histoire tu m'avais dit. Pourtant j'aurais du m'en douter. Je n'aurais pas du etre si surpris de ton mail. Je n'aurais pas du esperer que tu comprennes que je saurais etre patient que je ne te demandais rien pour le moment parce que ce n'était pas le moment tout simplement. Et que la seule connerie que tu pouvais faire envers moi tu l'as faite.

Reveille toi vite et réalise qu'apres tout ce que j'ai accepté de faire pour nous deux, le fait de me prendre pour un yoyo et de me dire que tu ne pouvais pas me voir me parler le temps de tout régler, c'est la plus grosse bêtise que tu pouvais faire. Parce que je ne t'attendrais pas éternellement si tu ne me transportes pas, si tu me donnes l'impression que tu t'en fous de moi et que je ne t'ai servi que quand tu avais besoin de moi. Meme si j'ai perdu mes deux meilleurs amis et la moitié de ma famille pour toi.


Merci à l'auteur de ce poste ça fait un bien fou
Lettre à mon "moi" de y'a 4 ans :

Mec, je suis toi, le toi de dans 4 ans. Ce qui vient de t'arriver est la plus belle chose de ta vie. Tu te casse la tête pour rien là.
Stop ton délire, tu me fais honte quand j'y repense.

Je te dis pas qui c'est, ni comment elle s'appelle ni rien, mais sache que c'est ELLE et personne d'autre.

Ah oui une autre chose qui n'a rien à voir : y'a pas d'huile dans la boite de vitesse du Z3, attend pas 2000 km pour t'en rendre compte !

Dernier truc, un soir d'avril, un gros con va te faire une pure queue de poisson sur l'autoroute, ne lui fait pas d'appel, passe ton chemin...
J'ai commencé a écrire ma lettre mentalement, et le temps que je cherche mon logiciel de frappe, j'avais déjà les larmes aux yeux, il y'a des choses qu'il ne faut mieux pas remuer, même avec un couteau bien aiguisé.

Trop d'insultes échangées, s'il y'a bien une personne a qui je suis incapable de dire que je l'aime c'est elle. On se ressemble et on est si différente, elle arrive à me l'écrire mais elle est comme moi elle n'arrivera jamais à le dire, ma gorge se noue et mes larmes coulent, il y'a vraiment des choses qui ne changeront pas.
Mon p'tit chat,

Ben quoi je t'ai toujours appelé comme ça, plus de 35 ans ont passé et pourtant je te revois dans les bras de ta maman, quand elle venue voir la mienne.

3 ans de bonheur, un petit frère, je savais bien que ça aurait une fin, déjà tu passais le week-end avec ta maman qui travaillait beaucoup toute la semaine.

Je revois la première fois où tu as dis papa en hurlant et pleurant. Papa et maman étaient à une réunion, la baby-sitter a essayé de nous rassurer mais moi je te tenais, j'avais 9 ans et j'étais sure que tu avais compris que tu n'avais pas de papa, tu avais un an et demie.

Tu m'as empoisonné la vie, comme tous les petits frères je pense, mais dès que je partais en colonie tu me manquais avant même l'arrivée.

Je nous revois chanter "Vaisselle Cassée" tu finissais par "panpan tutu" et c'était trognon Je te revois aussi découvrant la neige, tout heureux.

Et puis nous avons déménagé tu avais 3 ans et demi, mais nous avons essayé de garder le lien, toi tu as connu d'autres familles d'accueil, dans certaines la vaisselle volait, dans d'autres on ne s'occupait pas de toi.

Et moi j'en ai voulu à mes parents de m'avoir donné ce bonheur et de me l'avoir repris, c'était injuste je sais qu'ils en ont aussi beaucoup souffert. A vouloir faire le bien peut-être avons nous fait le mal.

J'ai su que tu avais eu de sérieux problèmes, puis que tu étais dans une institution dont l'encadrement te faisait du bien et puis plus rien parce que la vie nous sépare, parce que pour ton bien nous ne pouvions pas te voir.

Tu as laissé des traces indélébiles dans ma vie, des sourires et des larmes, une envie de bébé à 11 ans (maman a fait une drôle de tête quand je lui ai expliqué que c'était parce qu'elle ne pouvait pas ^^), une envie d'enfant-frère plus tard que j'ai pu règler grâce à une femme formidable qui m'a ouvert les yeux sur ce que je voulais vraiment.

Tu me manques toujours autant mon petit chat, j'aimerai tellement être sûre que tu t'en es sorti, que tu as pu te construire une belle vie.

Je t'aime Anthony
Tu me manque...

Mais où es-tu donc, toi qui aurait dû être la plus proche de moi ?
Où étais tu quand j'avais besoin de toi, quand j'ai grandi, quand j'ai découvert la vie ? j'ai découvert le monde seule, alors que tout le monde me disais que tu étais là.
Mais là où ? Je ne te vois pas, je ne t'entends pas, je ne te sens pas.

Où es-tu partie pour que cela soit mieux qu'ici ? Mieux qu'avec moi ?
Qu'as-tu trouvé de mieux que je ne pouvais t'apporter ?

Je ne peux pas t'en vouloir mais j'ai parfois l'envie de hurler, de pleurer, de crier !
Pourquoi m'as-tu abandonné, pourquoi es-tu partie si vite, avant que l'on puisse se connaître, avant que tu m'apprenne la vie, avant que j'apprenne à être une fille.
Pourquoi tout le monde me dis que tu me suis dans l'ombre, que tu m'épaule, que tu me suis dans tout ce que je fais si moi, et seulement moi, je ne te vois pas ?!
J'aimerais savoir ce que tu fais, quelle "vie" tu as, si tu es heureuse...

J'ai eu 20 ans et mon deuil de toi n'est toujours pas fait, au contraire, chaque jour qui passe est plus douloureux, car il m'éloigne de la dernière fois où tu me serras dans tes bras, de la dernière fois où tu m'as dit "je t'aime", de la dernière fois que je t'ai vu, de ton dernier souffle...

Au milieu de mes amis, le soir de mes 20 ans, je ne pensais qu'à toi, aux 12 ans qui sont passés, déjà... Je ne me suis jamais sentie si seule, si loin de toi...

Une fois encore je ravale mes larmes et je referme ma coquille, mais sache que malgré tout, même si, paraît-il, je suis forte, tu me manque, Maman...
J'ai déjà posté mais ça fait tellement de bien que je mis remais.


Tu ne le connaitra jamais,j'espère. Il est ta chair et ton sang mais il n'est pas de toi. Si tu l'avais voulut ou désiré, il y aurais eut de la place pour toi dans nos vie, hélas, tu as décidé de nous effacer.

J'espère seulement ne jamais avoir à essuyer ses larmes si par malheur tu revennais, tu es egoïste, incapable d'amour, un jour, peut-être, il voudra te connaitre sache que je ne m'y opposerais pas mais au moindre signe de détresse, je t'arracherais les yeux. Je t'ai aimé, c'est vrai, tu m'as connut bléssée, furieuse, douce, câline mais jamais hors de moi.

Pour son bonheur, son équilibre je serais prête à tout, à te lacerer le visage de mes ongles, à te haïr.


Alors je n'ai qu'une requête à te faire, reste là où tu es, hors de notre vie.



Put1, c'que ça fait du bien...
Citation :
Publié par Absinthe
Arrêter de me saper encore plus le moral avec vos textes :\\

Notre moral à nous ce porte mieux grâce à ce poste!!!

Merci à toi # Par Défaut
__________________
La vie est un grand tour de Magie !
C'est ma môman qui me l'a dit...
Citation :
Publié par Teyl
Lettre à mon "moi" de y'a 4 ans
Tiens bonne idée Teyl !

Lettre à moi d'il y a 5 ans :

Tu t'apprêtes à faire des sacrifices que tu regretteras plus tard, et tu souffriras en te disant qu'ils ont été vains.

Mais moi je te le dis, tous ces moments difficiles n'ont pas été inutiles, puisqu'ils t'ont conduite finalement au bonheur absolu que tu attendais depuis si longtemps en te disant qu'il ne viendrait jamais.
Alors ne te décourage pas, car sans tous ces sacrifices, tu n'aurais jamais rencontré celui que tu as espéré pendant des années sans y croire.

Lettre à mon moi futur :

Toi qui as aujourd'hui le bonheur entre tes mains, je veux que tu fasses tout pour le conserver, ne refais pas les erreurs du passé, car tu n'auras pas de 2e chance.


Voilà ça sert à rien mais ça fait pas de mal !
Je te hais. Tu pues. Ton rire m'énerve. Juste le fait de t'entendre respirer me tombe sur les nerfs. Tu me dégoutes.

Tu sais, dans la vie, des fois, on rencontre des gens qu'on a tout de suite envie de frapper, même si on est le plus non-violent des non-violents. On ne sait pour quelle raison, mais on a envie de le frapper à chaque mot qu'il dit, à chaque fois qu'il rit, à chaque chose qu'il fait. Frapper à mort. Toi, tu fais parti de ces gens-là. Mais je me retiens, tu peux pas savoir à quel point.

Je préfère m'en aller. Ma retenue a des limites, et elles sont sur le point de briser.

Je ne veux plus te parler. Je ne veux plus t'entendre. Je ne veux plus te voir. Je ne veux plus que tu me regardes. Plus jamais.

Adieu, connard.
a mon moi d'il ya 4 ans : n'y vas pas, ne le vois, ne le cotoie pas, tu vas faire des conneries mais bon après tout c'est ce que tu cherche. T'es encore jeune et influencable, c'est sur mais trouve de meilleurs influence, tu vas te foutre en l'air.

a mon moi d'il ya 3 ans : sa y est ta fais le con et tu crois encore que sa peux être rattraper mais tu vas mal, tu fais que le con tout le temps, et ta peur, tu cache ta peur, mais tu peux encore t'en sortir, fais pas le con mec !

a mon moi de l'année derniere : bon sa y est ta fais le con royalement maintenant t'es en train de payer les pot casser, et encore le pire reste a venir, alors essaye de prendre sa bien, reste cool, le calme avant la tempête.

a mon moi de dans plusieurs année : bon sa y est sa vas mieux t'as arreter tes conneries, de te complaire dans ta merde, de penser comme un merde, bah il t'en as fallu du temps ! sa doit aller mieux, enfin j'éspère, sinon tu n'es déjà plus.
Citation :
Publié par Absinthe
Pas envie de tout déballer sur un forum
Rien n'empêche d'éditer après - ça peut être un exercice léger tout comme un exutoire.
A vrai dire je ne m'attendais pas à des réponses aussi personnelles, mais si l'exercice est jugé bénéfique, je n'ai pas de critiques à faire. J'ai lancé le sujet, les participants en font ce qu'ils veulent, et le jeu est à tout le monde. Ne croyez pas qu'on vous lise obligatoirement en portant un jugement sur ce que vous êtes. Je dois avouer que ma réserve a fait que je n'ai pu lire certaines contributions, par (cherche le mot) euh... c'était intime quoi et ce sujet est libre, c'est tout - c'est bien ainsi.

Ceux qui me remercient oublient que ce sont leurs mots-à-eux qui les ont libérés. Enfin voilà quoi...


...



Cher Toi.

Evidemment les curés m'ont persuadée du contraire alors qu'il m'affectionnaient, cherchaient à satisfaire ma soif de connaissance. L'étude des textes a été pénible, certains soirs (surtout ceux d'hiver ou on préfère rester devant la télévision que décortiquer telle ou telle histoire du nouveau testament). Las, ta présence m'a quittée après cette longue épreuve... enfin, disons que j'ai été prise d'une crise subite de rationalisme. Douze ans c'est l'âge où on se rebelle il faut croire. Ma vie de croyante n'aura duré que peu de temps. Pourtant cette illumination vers mes 7 ans, c'était quelque chose de phénoménal - d'inexpliqué. C'est à croire que mes parents ou un vilain blagueur, que quelqu'un a fait tomber un triangle d'acide dans le chocolat du matin.
Depuis tu ne me parle plus, enfin, disons que j'ai décidé de ne plus entendre ta voix.
Cependant mes habitudes de mécréante s'effondrent certains soirs - à cause de la chouette peut-être, ou de tous ces Martini (etc) complémentaires - et je me mets à douter.
Je ne vais pas te vexer en te disant que j'ai quelque fois l'impression d'entendre parler les nuages, chanter les arbres et chuchoter les cailloux ? Evidemment si tu es fabriqué comme l'ont décidé les hommes, ça ne peut te faire sourire, ou te mortifier selon ton degré d'humour. Mais effectivement c'est le brin d'herbe et la goutte d'eau, que je vénère, pas forcément un grand barbu à la voix qui transperce, et qui foudroie d'un regard.

Alors bon, voilà mon problème, il délicat. J'aimerais savoir si tu es capable d'avoir des doigts ; tu peux frapper trois fois sur ma table un de ces soirs, pour me signifier que tu existes ?

Reçois mes remerciements anticipés, passe le bonjour à tes compagnons de ma part, et évite de songer à mes péchés touça... envoie moi Pierre si tu es complètement innocent.

Salut Toi !
Citation :
Publié par Au†opsy
"Merci." à Anders Frigén et à ses musiciens, pour faire la seule musique qui puisse prendre le dessus sur mon self control et me transporter totalement.
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