Oui et non, combien d'auteurs voient leur personnage leur échapper ? Conan Doyle par exemple.
Une fois le texte écrit, il ne lui appartient déja plus  donc le lecteur d'identifiant au narrateur pensera peut être ainsi. Mais le lecteur qui ne s'identifie pas au héros
il peu imaginer que la femme pense : "Je suis libre à présent, tu ne me toucheras plus gros tarsk"
C'est justement ce qui fait les batailles de puristes - chacun enregistre à sa façon le texte, l'interprétant selon sa sensibilité puis le restituant en rp - forcément ses visions différentes vont créer un jeu "puriste" différent !
passer dont du roman au rp, est forcement un trahison de la vision de l'auteur puisqu'elle se télescope avec celle du lecteur/interprète 
Je peux être d'accord avec ça. Un lecteur particulier aura une lecture particulière et fait oeuvre de recréation, et s'approprie le sujet, les personnages. Il en fait autre chose.
Le souci avec l'adaptation pour un grand nombre qui vont évoluer dans le même monde, c'est qu'il faut trouver une lecture commune. Sinon, c'est le bordel.
On peut soit avoir des petits groupes isolés qui partagent une lecture marginale soit un groupe principal qui partage une lecture se rapprochant le plus de ce qui semble être la position de l'auteur.
Je n'ai pas vu de bataille de puristes ici. Ca aura pu être amusant.
J'ai vu une représentation de ce que tout le monde semble qualifié de très proche du texte, selon le livre, et des lectures qui revendiquent des possibilités d'adaptations.
Il y a nécessairement, dans tous les cas, un peu de jeu dans les rouages, un peu d'adaptation, pour sauve garder les nécessités de la jouabilité.
La question de Cathy après était pertinente. Il y a différentes sortes de sim rp médiévale fantastique. Pourquoi venir jouer sur Gor ? Seulement par défaut ? Aucune autre motivation ?
Après ça part un peu en vrille, et j'avoue que ce n'est pas le soir à me lancer dans la sodomie de diptères. Sur les définitions de perversités et paraphilie, sur la médiocrité des maîtres comme une fatalité inhérente à leur position (je m'en voudrais d'être méchant), du côté cucul la praline des frissons fantasmagoriques des "pervers" d'opérette ou des outragés par avance......
Une autre fois....peut-être.
|