Dans les derniers news concernant ces batârds tu aurais aussi pu citer celle de hier ;
La décision fait suite aux déclarations du président du FC Sion dans une interview publiée dans «Le Journal du Jura» du 21 mars dans laquelle il a décrit la position des responsables de la Ligue comme «stupide» et «d'une approche vilaine».
Des propos ensuite traduits en allemand et publiés dans le «Bieler Tagblatt», le même jour, avec les mots «dümmlich» et «schäbig». Selon la Commission, ces propos pourraient violer les principes de conduite de l'Association suisse de football.
L'article 13 du règlement disciplinaire de l'ASF exige un comportement dans le respect des principes de loyauté, d'intégrité et d'esprit sportif. Selon la Commission, Constantin, en discréditant le football et plus particulièrement l'ASF par son comportement insultant, a enfreint ces principes.
La Commission de discipline exige une prise de position écrite du boss de Tourbillon d'ici cinq jours. (si)
A croire que leur taff c'est chercher la merde et surtout pas promouvoir le foot suisse et traiter de vrais affaires ayant besoin d'attention.
On pourrait même ajouter les flics bernois dans le sac de cons :
Jeudi, les forces de l'ordre bernoises rapportaient des incidents entre supporters en marge du match entre Bienne et Sion. Jérémy*, sous le choc, ne se déplacera plus pour voir le FC Sion. Il raconte.
«Alors que nous nous dirigions vers la gare, à la fin du match, nous nous sommes retrouvés en face d'une centaine de supporters de Bienne. Encagoulés, ils nous attendaient armés de bâtons et de ceintures...» La fin du quart de finale de Coupe de Suisse entre le FC Bienne et le FC Sion, qui s'est disputé mercredi soir dans la cité seelandaise, a failli mal tourner pour un petit groupe de supporters sédunois. Six d'entre eux ont contacté «20 minutes» pour raconter leur histoire.
Pris en étau
La partie terminée, un petit groupe de supporters de Sion se dirigeait vers la gare. Arrivés sur un pont près de la place Centrale, ils se seraient retrouvés pris en étau par des supporters biennois prêts à en découdre. «Nous ne voulions pas nous battre, explique l'un d'eux. Nous avons alors commencé à courir pour éviter la confrontation.» Mais les assaillants les auraient empêchés de fuir. Une bagarre a alors éclaté, qui a fait un blessé, apparemment assez gravement. Le malheureux, le crâne ouvert, a dû être recousu à l'hôpital et souffrirait d'une légère commotion cérébrale.
Étudiants dans plusieurs universités suisses, se définissant comme non violents, les six amis sont «choqués». Certains ont même assisté au lynchage de leur collègue. Mais ils fustigent surtout l'attitude de la police cantonale bernoise. Car, au final, seuls des supporters du FC Sion ont été interpellés et l'un d'eux a été dénoncé pour violences et menaces.
Les forces de l'ordre pointées du doigt
«Comment une centaine de hooligans encagoulés peuvent-ils se balader tranquillement en ville un soir de match?» s'interroge ainsi un témoin. Tandis qu'un autre confie ne pas avoir vu de dispositif policier sur le chemin qu'ils ont emprunté. Pire, toujours selon ces témoins, les agents arrivés en cours de bagarre ne sont pas intervenus. «Je voulais me réfugier dans une voiture de police banalisée, mais ils m'ont dit qu'ils ne pouvaient rien faire, que je n'avais qu'à courir.» Les Sédunois se sont tout simplement sentis abandonnés à leur sort. Sentiment renforcé par le comité d'accueil qui les attendait sur le chemin restant pour enfin atteindre la gare. «Les Biennois étaient toujours là et ont continué les provocations et les coups sur le visage...» nous raconte Jérémy, qui reste «sans voix» après le laxisme de la police.
Contactée vendredi, la police bernoise a confirmé la bagarre, sans pouvoir préciser le nombre de participants. «Les supporters biennois étaient déjà dispersés à l'arrivée de notre patrouille, explique Geneviève Caumel, sa porte-parole. Nos agents ont immédiatement porté secours au Sédunois blessé.» Mais sur le dispositif policier prévu pour l'événement, c'est motus. Geneviève Caumel se borne à confirmer que «le reste des supporters valaisans ont été escortés jusqu'à la gare après l'altercation».
Quant aux interpellations, les pandores les attribuent au comportement agressif envers les intervenants.
Valais unis contre le reste de la Suisse
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