[Rap] Vos lyrics cultes

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Pato Banton

ok c'est pas du rap pur, disons que c'est progressiste entre reggae et rap. il faut s'ouvrir l'esprit les jeunes

ps : y'a pas de fautes d'anglais, y'a juste certaines expressions en patwa.

enjoy

Citation :
Now this one is dedicated to the people all over.
Remember the words of your crucial entertainer.
When I say: I do not sniff the coke I only smoke the sensimilla.
Without a doubt I am the boss, in my class I am the teacher.
If music is the fruit of life then I will be a reaper.
If M. C. business was a school then I would be head master
if a car I'd be the driver, if a bike I'd be the rider.
If M. C. business was a church Pato would be the vicar
then instead of calling me M. C. you all would call me preacher.
But fun and joke aside I want to get serious in this matter
and dedicate this style to each and every cocaine dealer.
In February 1985 Pato became a winner
because I did that tune called 'Allo Tosh Gotta Toshiba.
It shooted up the charts and nearly gave my mom heart failure.
She looked at me and said:
"Son me glad me grow you proper.
A son like you would be the pride and joy of any mother.
No make the fame get to your head just think about your future."
Those words of encouragement just made me push on further
to break down any walls and also break through any barrier.
I got a lot of guidance from G. T. who is my manager
assistance from Don Christie Fashion helped me cross the border.
I also got a lot of aid from good good sensimilla
that's why I do not snort the coke I only burn the Ganja.
One day I had to catch a train from Birmingham to London
half way on my journey was approached by this white roughian.
With greasy hair and scruffy jeans he looked just like a villain
he sat down opposite me with a Tennants [lager] in his right hand.
But I don't judge appearance I just check the way you galong
so I introduced myself to him as Mr. Pato Banton.
"Nice to meet ya, my name's Roadie and I work with P. A. Hire.
I've heard your name some place before but I just can't remember.
But anyway I'm very very very glad to meet ya.
And I've got some dope it's first class coke
you can have this for a fiver."
I looked down on the table and saw a piece of silver paper.
Inside this silver paper was some powder looked like flour.
Me asked: What it do for you? It give you strength and power?
Now everyone I want you to hear the way that roadie answered:
"Well Mr. Pato Banton the sensation is fine.
It makes me see green men and then I go to cloud nine.
All my worries and problems are left miles behind.
So no matter where I am I have a brilliant time.
If you don't believe me hold on and I'll fix you a line.
Just take one sniff of this and you'll be out of your mind."
But I took the coke and threw it right outside the carriage window.
Before he could say a word I quickly built up a five-sheeter
into my pocket for my sensi and my lighter.
I lit it with a flash and then to Roadie passed it over.
I could see that he was loving it because of his expression.
Me tell him: "This is sensi the healing of the nation.
In some places doctors use it for herbal medication.
Ronald Reagan smoke it just before him go pon television.
After Margaret Thatcher visit him she bring some back to England
then distributes it equally throughout the house commons.
But fun and joke aside it gives me deep deep meditation
it fills my heart with Niceness and I get nuff inspiration.
You could be any colour any creed or any nation
after smoking sensimilla I know you'll find the reason
why I do not sniff coke I only smoke sensimilla!
NTM Odeur de Souffre

Citation :
Réagissez à tout prix, vous ne sentez pas l'odeur du souffre?
C'est le souffle de l'individualisme, moi ça me rend ouf!
Y'a rien à faire, le fardeau pour l'homme a toujours été lourd.
Quelle que soit l'époque, la misère n'a pas de beaux jours.
Elle a toujours été là dans des conjonctures similaires.
Nichée aux mêmes endroits à toute époque, elle est millénaire.
Ne serait-il pas temps qu'on mette fin à ce règne?
Il est temps de voir plus loin pour ceux que la vie malmène.
Le politicard se dit sur le terrain, c'est bien!
Mais bien trop loin, gros roublard, du vrai quotidien!
Pour eux y'a pas le feux, c'est pas comme d'autres qui vivent dans l'attente.
Putain! Mais qui a mis cette la misère sur cette longue liste d'attente?
Personne n'avait le droit, faut interdire la misère
à tout prix, prendre parti, se débarrasser de l'hypocrisie.
C'est pas gagné, surtout avant les étrennes.
On préfère attendre qu'il gèle, désensibilisés parce que c'est pas notre problème.
J'ai pas de mots savant pour exprimer ce que ça sent, ce que je ressens.
Mais les gens savent, sont forcément au courant.

Il y a bien longtemps que je ne demande plus
ce que l'état pourra faire le jour où le nombre d'exclus
deviendra si lourd, que même dans le 16ème
les trottoirs finiront par avoir mauvaise haleine.
Cela dit, dormez tranquilles.
L'hiver sera rude, ils seront moins nombreux en avril
et puis de toute façon, depuis quand les gouvernements
s'occupent-ils des gens qui meurent?
C'est pas l'heure, non! L'heure est au redressement de leur France.
Même le ventre vide, il faut que tu y penses!
Chaque jour, boy, dans le béton des tours,
pour ceux qui ont la chance d'avoir quatre murs autour d'eux.
Mais qu'est-ce qu'on attend pour foutre le feu?
Juste d'être un peu plus nombreux
car y'a beaucoup plus de oufs, que d'odeurs de bouffe
dans les quartiers de ceux qui souffrent y'a comme une odeur de souffre.

T'as vu les Français se bouchent le nez face à l'urgence qui émane
du pourrissoir que sont les banlieues autour de Panama
et d'ailleurs c'est normal les gens n'ont pris que du macadam dans la tronche.
Attachant plus d'importance à leurs petites bronches,
endommagées par leur pollution, leur progrès élitiste.
C'est comme d'attendre une catastrophe pour qu'elle s'accomplisse,
pas de solution donnée, mon plafond reste ton plancher.
C'est ce que tu liras dans les yeux de ceux qui n'ont pas où crecher.
Y'a comme une grosse odeur de souffre et moi ça me rend ouf.
Y'a comme une grosse odeur de souffre et puis y'a plein de gens qui souffrent
Y'a aussi comme un vent de mépris et ça tout le monde le sait aussi.
On s'enlise salement, ce qui est sûr, c'est que c'est pas fini.
Je plussoie ton choix. Et j'en rajoute une couche.

Citation :
NTM - Paris sous les bombes

Il fut une époque à graver dans les annales
Comme les temps forts du Hip Hop sur Paname
S'était alors abreuvé de sensations fortes
Au-delà de toutes descriptions
Quand cela te porte
Paris sous les bombes
C'était Paris sous les bombes
Le mieux c'était d'y être
Pour mesurer l'hécatombe
Une multitude d'impacts
Paris allait prendre une réelle claque
Un beau matin à son réveil
Par une excentricité qui l'amusait la veille
C'était l'épopée graffiti qui imposait son règne
Paris était recouvert avant qu'on ne comprenne

Paris sous les bombes
C'était Paris sous les bombes

Où sont mes bombes, où sont mes bombes
Avec lesquelles j'exerçais dans l'ombre
Quand nos nuits étaient longues
Et de plus en plus fécondes
Ouais ! On était stimulés par la pénombre
Prêts pour lâcher les bombes
Prêts pour la couleur en trombe
Certains étaient là pour exprimer un cri
D'autres comme moi, juste par appétit
Tout foncedé, chaque soir Paris nous était livré
Sans condition, c'était à prendre ou à laisser
Quel est le gamin, à l'âge que j'avais
Qui n'aurait pas envié l'étendue que couvrait
Nos aires de jeux à l'époque
Quand il fallait qu'on se frotte aussi avec les keufs
Mais ce sont d'autres histoires en bloc
Je crois pouvoir dire qu'on a oeuvré pour le Hip Hop
Désolé si de nos jours, y'en a encore que cela choque

Paris sous les bombes
C'était Paris sous les bombes

Pour Mad, TCV, big-up !
Pour les funky COP big-up !
Pour les 93 big-up!
Big-up, big-up! aux autres, on a roulé au Top
J'entends encore d'ici les murmures
Le bruit des pierres sur les rails qui rhytmaient l'allure
J'ai kiffé chacune de nos virées nocturnes
J'ai kiffé ces moments qui nous nouaient les burnes
C'étaient nos films à nous
C'était aussi une façon pour nous
D'esquiver la monotonie du quatier
Où l'odeur de la cité finit par te rendre fou
Alors on allait s'évader en bande
Fallait que l'on descende dans les hangars
Prendre de l'avance sur la Comatec
Aussi sur les autres crews afin de faire le break

Paris sous les bombes
C'était Paris sous les bombes
Du cultissime anglophone, ça manquait :

Citation :
Rage Against The Machine - Bullet in the head

This time the bullet cold rocked ya
A yellow ribbon instead of a swastika
Nothin’ proper about ya propaganda
Fools follow rules when the set commands ya
Said it was blue
When ya blood was red
That’s how ya got a bullet blasted through ya head

Blasted through ya head
Blasted through ya head

I give a shout out to the living dead
Who stood and watched as the feds cold centralised?
So serene on the screen
You was mesmerised
Cellular phones soundin’ a death tone
Corporations cold
Turn ya to stone before ya realise

They load the clip in omnicolour
Said they pack the 9, they fire it at prime time
The sleeping gas, every home was like alcatraz
And mutha fuckas lost their minds

Just victims of the in-house drive-by
They say jump, you say how high
Yeah
Just victims of the in-house drive-by
They say jump, you say how high
Run it!

Just victims of the in-house drive-by
They say jump, you say how high
Just victims of the in-house drive-by
They say jump, you say how high

Check-a, check-a, check it out
They load the clip in omnicolour
Said they pack the 9, they fire it at prime time
The sleeping gas, every home was like alcatraz
And mutha fuckas lost their minds

No escape from the mass mind rape
Play it again jack and then rewind the tape
And then play it again and again and again
Until ya mind is locked in
Believin’ all the lies that they’re tellin’ ya
Buyin’ all the products that they’re sellin’ ya
They say jump and ya say how high
Ya brain-dead
Ya got a fuckin’ bullet in ya head

Just victims of the in-house drive-by
They say jump, you say how high
Yeah
Just victims of the in-house drive-by
They say jump, you say how high

Uggh! yeah! yea!

Ya standin’ in line
Believin’ the lies
Ya bowin’ down to the flag
Ya got a bullet in ya head

Ya standin’ in line
Believin’ the lies
Ya bowin’ down to the flag
Ya got a bullet in ya head

A bullet in ya head (building to a shout)
A bullet in ya head
A bullet in ya head
A bullet in ya head
A bullet in ya head
A bullet in ya head
A bullet in ya head
A bullet in ya head

A bullet in ya head (shouted/screamed)
A bullet in ya head
A bullet in ya head
A bullet in ya head
A bullet in ya head
A bullet in ya head
A bullet in ya head

Ya got a bullet in ya fuckin’ head!
Yeah!
Yeah!
Citation :
Publié par Kav`(Les trucs en bleu sont de moi :p)
Parce que les lois me cassent les noix
Je les contourne, j'applique le règlement du block que leur justice se cale des doigts
Alors nous caillassons, essuie tes pieds avant d'entrer le code pénal a pris la place du paillasson (C'est du jolie ces phrases la.)
Aucun respect envers la juge car je l'ai donné à la ur K
Le règlement du hall est incontournable,
Tu purges ta peine dans une cave si le ghetto te reconnaît coupable
Les lois sont détestables, le procureur fait du spectacle
Mais les valeurs que prône la rue sont respectables.

Article 5
Ne jamais serrer la patte à un sale flic. (Génial de chez génial)


Article 8
Ne pas laisser les plus jeunes faire n'importe quoi, utiliser le micro comme un porte-voix. (mdr. Tu parle d'une voix)


Article 10
Défourailler cette foutue vie, rester discret en affaire y a peut-être un schmitt au bout du fil. (Génial, il aurais pu dire aussi : Vas y deal frangin y'as que ça de vrai)

Article 15
Savoir éduquer nos fils. (Et après tout ça il ose mettre ça ? C'est moche le "nouveau" rap)
Refrain: Shurik'n - Les Miens

Je marche avec les miens
Combien te diront la même chose
Je garde tes arrières, tu gardes les miens
Pas de marche arrière, rien ne change un homme
Seul et ?
Moi, si j’en encaisse trop, je sais qui rendra les coups
T’auras affaire aux miens
Beaucoup te diront la même chose
Je garde tes arrières, tu gardes les miens
Pas de marche arrière, rien ne change un homme
Seul et ?
Mais eux, s’ils en encaissent trop
Ils savent qui rendra les coups
Q’un seul tienne et tous les autres suivront
Tu te rend compte, on l’a fait
Plantés au métro toute la journée
Aujourd’hui on est artistes reconnus, renommés
Pourtant, je me revois dire à mes parents
Je fais du rap, j’arrête le tas
J’ai cru qu’ils allaient me tuer
Mon père m’aurait bien collé quelques baffes
Les baffes, les coller sur les oreilles
Mon premier texte est né, engagé socialement
Du genre: énervé toute l’année
Et grillé avant d’avoir vécut
Chaque fois qu’on avait bu, on refaisait la terre
Les pieds collés à la rue
Coller nos pieds au cul des skins
Il a fallu sévir avec avec plaisir
On pouvait pas laisser des étrangers nous envahir
Le freetime est devenu la maison
En toute saison, j’ai décollé nos prénoms
Coller nos prénoms sur les murs, ça nous a plu
Un temps très court
Ce qu’on voulait tous, c’était
Déchirer sur la mesure
Regarde nous maintenant toujours ensembles
Plus forts, réalisant nos rêves
Comme un minot découvre un trésor
Alors s’il faut recommencer, j’irai
Sauf si c’est pas avec les mêmes personnes
Rares sont ceux qui ont des amis sur qui compter
Et puis, tout seul, ça sera moins bien
C’est sûr, je préfère de loin y aller avec les miens

Refrain

On vient de M.A.R.S.
Sept ans déjà, j’y crois pas
En fait, personne n’y croyait
A l’époque je crois qu’on était
Vingt tout au plus
L’arrêt de bus devenait squat quant il pleuvait
Vu qu’on était dehors même quand
Les sac à puces se planquaient
Remarqués c’est sûr, il valait mieux
Ambitieux, pas au point d’agresser l’écureuil
Ou de braquer des vieux
Acros du micro, ça nous a aidé à lire plus de bouquins
A moins faire le malin
A vouloir continuer même si demain c’est loin
C’est loin le temps de la maison hantée
Les buildings sur la tête, on en voulait au monde entier
Sur des rythmes effrénés
Effrayés, certains nous prenaient pour des voyous
Même nos potes nous chambraient
A part nous, personne croyait en nous
Dix ans de carrière on passés, gazier
Beaucoup de disques écoulés
Si on faisait de la variété
On réveillonnerait chez Barclay
En deux navets, on serait gavés
Pire, peut-être qu’on ferait construire à Stain-Tropez
Pour flamber en cabriolet
C’est pas le genre de la maison
Tout pour la rime, sans concessions
Sous nos stylos, la vie subit une prise de tension
Pourtant la tension monte d’un cran
Comme quoi on a des raisons
Malgré le "quand" dira-t-on
Après dix ans, on brandit nos blasons
Comme Toubon
Marseillais, on s’engueule parfois
Mais on se marre plus alors ça va
Les disputes ne durent pas
Je dis qu’il a fallut passer par là
Les joies, les peurs
Les potes écoutent ce qu’on dit
Maintenant ils savent qu’on écrit avec le coeur
Même si on leur dit pas
L’orgueil, c’est comme ça

Refrain
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Shurik'n - Fugitif

Refrain:

"Qui es-tu?"
Un fugitif
"Qui es-tu?"
Un haut-parleur trop souvent placé au centre du viseur
(Fin du Refrain)

"Bon, messieurs, comme nous en avons été informé ce matin, notre vieil ami est vivant, et en bonne santé."

"Oui, c’est exact, et vous ne le trouverez jamais. Il est trop malin."


Je baptise un nouveau stylo
Signe ma feuille immaculée
La Vierge n’est plus
Mordu d’arts martiaux, trop de stylos
Devant de la scène, pile au premier rang
Je capte et retranscrit les faits
Tel est mon lot
Montreur de mots, diseur d’images
Ouvreur de cages, compteur des mots
Ecrire ma rage sur page
Vomir ma noirceur
En live des caniveaux, un roi sans vassaux
Un capitaine coulant avec son vaisseau
Un rien qui dérange sur moi
Ils braquent leurs faisceaux
Là, je disparais, subtile jusqu’à l’invisible
Efface les traces sauf celles faites
Au feutre à bille indélébile, sur vinyle
Je me fous de savoir qui s’en souviendra
Ce qui compte, c’est ici et maintenant
Pas ce qui se passera dans dix ans
Sans chichis, une vérité, défaire la mer et mes verbes
J’écris souvent mes vers sur les nerfs
Acerbe, je balance mes tripes sur claire fontaine
Au feeling
J’aime pas le travail à la chaîne
Digne et si je ne t’aime pas
Je ne dirai pas que je t’aime
Ca gène et c’est ce que j’aime râler
Dire ma vérité, irriter, rester
Un haut-parleur sur on toujours prêt à brailler
Trop de choses à dire, pas le temps de pendre
Au bout d’une canne à pêche
98 un fugitif
Toujours sur la brèche
Ils ont voulu me piéger
Mais j’ai filé, esquivé les filets, assiégé
Ne croyez pas que je vais me défiler
Je reste un fugitif, futé, affûté
Une caméra, le mirador
Ne ferme qu’un oeil quand Marseille s’endort

Refrain


Les mots sont la voix du coeur
Le coeur, une voix pour les mots
Parfois les mots portent de la rancoeur
Les mains deviennent des marteaux
Plante ton cul pour éviter les pieds
Gaffe où tu les mets
Le piège se ferme avant que t’ait pu dire ...
Se fier à qui, à quoi
Les temps sont durs
On croit qu’en soit
Avant que la vie, mais à l’usure
J’en colle cinq sur ta figure
Faché sur feuille, je peux pas falsifier les faits
Les faits me gardent
Mais j’oublie pas que jadis je fus fauché
Garder les yeux ouverts
Survivre en point de mire
Trop souvent les fermer dans un soupir
Ca lasse les pires, ça tue le devenir
Brisé par le ressac d’en haut
Les barques chavirent
Faut bien le dire
Avant que ça empire
Tenter de secouer le navire
Je donne ma vérité à froid
De la basse-cour des miracles
Comme un crochet gauche, foie
Comme dit ? qui tacle
Prêt à mouiller le maillot sans compter
On joue à une touche
Et si c’est louche, on laisse filer, on touche
Le franc lourd, ça fait couler
Souvent sauvé par les guiboles
Tu trouves ça drôle
Mais crois-moi, quand t’as peur, tu voles
Y’a pas besoin de fumer, filmer
Transcrire, mémoriser, clamer
Les infos naissent quand le jour se lève
Et meurent quand le rêve naît, et là j’entre en scène
Trente-cinq au poing, bute dans la poche
Fouille chaque recoin, tout ce qui cloche
Sera sujet demain, les pontes me donneront la chasse
Pour rien
Un fugitif, toujours en place
Toi-même, tu sais, gamin
Ils ont voulu me piéger
Mais j’ai filé, esquivé les filets, assiégé
Ne croyez pas que je vais me défiler
Je reste un fugitif, futé, affûté
Une caméra cachée à l’affût
Observateur à chaque coin de rue

Refrain


"Il sort de notre périmètre, il sort de notre périmètre..."
Balance mafia k'1 fry Tu deviens tout rouge, t'as chaud, tu t'reconnais
C'est à toi que j'parle balance
Tu m'reconnais, p'tit enculé, on peut pas t'aimer
Tu parles de moi aux flics, où est l'intérêt?

MISTA FLO
Tu parles trop, on devrait t'arracher la langue avec une grue et t'la mettre directement dans le cul Tu baves en plus, tu salis la couche d'ozone, fais gaffe t'es recherché dans ma zone Passes-moi un marteau pour lui clouer son bec de lièvre On t'expose tout nu au soleil et t'attrapes la fièvre

DEMON ONE
Alors t'as chaud, c'est cramé
Tout le monde sait que t'as balancé
T'oses même plus te balader dans le quartier, t'es grillé, fiché, poucav Sur toi ça parle, y'a plus d'un contrat sur ton crâne On a même parlé de toi à l'émission Tout Le Monde En Parle Alors t'es vert, t'as ouvert ton derrière au commissaire On sait plus comment te faire taire, t'es victime d'effets secondaires Hey yo, faut pas violer la loi du silence Hé gros, balance, et nous du haut d'un pont on te balance

{au Refrain}

DRY
Si t'étais vraiment mon pote tu l'aurais pas fait
T'as gaffé, au lieu de fermer tes dents, gros, t'as bavé
On m'a dit pas sous les coups mais face à la tôle t'as perdu tes couilles Tu flippes du mitard et des embrouilles alors tu t'affoles Fais donc pas trop ta folle à frimer devant les halles mec Moi je rafale les putes qui renseignent les decks Si ton seul moyen de survie est de balance Ma devise est de balance, toujours un high kick quand ça balance

TEDDY CORONA
Je t'ai fait manger tu m'as fait plonger petit fils de pute
Tu connais le code de la rue petite langue de pute
En plus tu me connais, t'es chez toi, j'te hagal
Je vais te faire mener une vie d'alloc dans mon local
Six jours sans bouffer, sans boire ni péter
Tu cries, dans le quartier tout le monde sait que t'es une balance à vie

{au Refrain}

ROHFF
Pendant que mes potes se font remonter par l'ADN et les empreintes T'as de ces fils de putes qui jouent les chauds, qui portent plainte Aux amateurs d'mains courantes, appels anonymes J'imagine l'inspecteur a du mal à te suivre à la machine Tu frimes devant ta meuf, bluffe ton équipe, tu trahis ton baveux Devant les keufs passe aux aveux T'es qu'une balance à jamais gravée dans nos mémoires Une grosse balance quand ton reflet apparaît dans le miroir À ce qui paraît tu descends même plus en promenade au placard "Hechèm" ta famille dans l'tiéquar, tu t'fais hagar ...? T'as plus qu'à te ranger dans la droiture, changer de voiture Devenir un trave, faire une teinture On va se venger, ton cul va faire un tour de magie Assis sur une bouteille, elle disparaît devant tous les mecs de la téci Avec ton gros trou de balle à travers ta bouche on peut voir par terre tellement tu peux pas te taire Même les petits te disent plus bonjour, mais t'affichent Ce qui t'oblige à faire un grand détour pour rentrer parce qu'on t'a mis une fiche

AP & ROHFF
Tu fais ça sans vergogne, avec nonchalance, balance
A chaque phrase on devrait te scier une phalange
Tu tiens plus en place, peur d'avoir une équipe sur le dos
Si c'est le cas pour t'en sortir faut que tu te surpasses, sale race Si tu l'as fait c'est que tu vas le refaire, trahir ton frère Alors qu'il voulait se refaire, tu peux en être fier Pas de saisie sans indic, nique les poucavs dans les histoires à vingt briques ou de la résine de cana Quand j'pense que tu faisais le canard pour qu'on te fasse quécro Maintenant tu veux nous carna, kâhba sous merde, t'es qu'une serpillière C'est de ta faute si des darons se font braquer à la première prière T'aurais dû garder le silence pour toi On bougera en silence, on aurait jamais dû te faire confiance, balance
-Shuriken-La lettre-




Si tu lis cette lettre, c'est que j'ai dû m'absenter,
Un peu avant qu't'arrives mais j'pouvais pas rester le taxi attendait,
Que faire je sais plus par où commencer, j'avais plein de choses à dire,
Mais pour écrire j'suis bloqué,
Mais j'vais m'lancer, tu sais la vie c'est pas toujours comme on veut,
C'est souvent comme on peut,
Et j'ai fait comme j'ai pu pour que ton père vive mieux,
Je lui ai appris la valeur de l'argent,
Parce que dans ma famille un franc, c'était un franc gagné durement,
Le mien s'est tué au boulot, manque de pot je portais pas d'polo,
J'étais pas en guenille non plus mais au goûter y avait pas d'pépito,
Le préau était un stade de foot, un champ de shoot,
Cloué sur les bancs d'la classe y avait pas foule,
Fais pas comme moi, l'école ça aide des fois,
Plus tard tu t'en aperçois avant de t'en mordre les doigts,
Bosse et ne baisse pas les bras,
Pense à celle qui va se faire tant de soucis pour toi
A chaque fois que tu sortiras,
Celle qui te borderas toutes les nuits,
Et les jours où tu seras en colère après elle repense s'y,
T'en auras jamais deux comme ça, retiens ça,
Et n'écoute pas les cons qui pense qu'un homme ça ne pleure pas, crois moi,
Et si j'ai pu partir un doigt levé, pied de nez à la guigne,
Finalement j'ai gagné, à travers j'm'en suis tiré,
Te demande pas pourquoi j'ai la réponse ici,
Il fallait que parte pour que tu viennes, c'était écrit petit.

Il va t'falloir beaucoup d'audace, pas mal de courage,
Pour éviter les crasses, semées par ton entourage,
Et si un jour t'es vraiment mal barré,
Y' a toujours deux personnes sur qui tu peux compter,
Et ça tu l'sais.
Il va t'falloir beaucoup d'audace, pas mal de courage,
Pour éviter les crasses semées par ton entourage,
Et si un jour t'es vraiment mal barré,
Y a toujours une personne à qui tu peux penser,
Et ça tu l'sais.

On choisit pas ses parents, t'es pas trop mal tombé,
Pense à ceux qui vivent au foyer, avant de grimacer devant ta purée,
Tu subiras un peu les vannes des potes plus à la mode,
Fais pas un flan à ta mère pour une paire de bottes,
J'ai transmis mon art à mon fils, il te le transmettra,
J'espère plus tard, comme ça, tu s'ras paré pour les bagarres au lycée,
Tu va te chiffonner pour un `ta mère la pute', même si c'est pas vrai,
Je sais j'l'ai, s'il fallait je recommencerais,
Il t'apprendras à ne pas craindre la nuit,
Il te dira que c'est pas grave si tu pisses au lit, lui l'faisait aussi,
Il te dira que le sang est le même pour tous, seules les couleurs changent,
On finit de la même façon, on tend la main aux anges,
Il n'y a qu'une chose qu'il ne dira pas,
Faudra que tu l' devines dans son regard,
Entre homme on se comprend, on parle pas,
Mon père n'étais pas bavard non plus,
Paraît que j'ai le même caractère,
C'est vrai qu'au tien j'ai rien dit de plus,
Faudra que tu comprennes, que tu sois indulgent,
Ne joue pas les enfants gâtés,
Où le jour où pour sortir il te manquera des francs,
C'est mon seul regret, j'aurais voulu être là,
Te faire sauter sur mes genoux, devenir gâteux quand je te vois,
Tant pis, c'était pas marqué sur mon carnet de santé,
Le doc a dit que j'pouvais pas rester, alors j'ai dû m'envoler,
Mais si tu t'sens trop seul, largué,
Y a toujours une personne à qui tu peux penser,
Et ça tu l'sais.

Il va t'falloir beaucoup d'audace, pas mal de courage,
Pour éviter les crasses, semées par ton entourage,
Et si un jour t'es vraiment mal barré,
Y a toujours deux personnes sur qui tu peux compter,
Et tu le sais.
Il va t'falloir beaucoup d'audace, pas mal de courage,
Pour éviter les crasses, semées par ton entourage,
Et si un jour t'es vraiment mal barré,
Y a toujours une personne à qui tu peux penser,
Et ça tu l'sais,
Tu l'sais.

Saïan Supa Crew - Gpadpo

LEEROY: Il est déjà 9 heures, j'vais me faire gronder sévère en fait
y'a rendez-vous concert à gare de l'est,
si chuis pas là qu'est-ce qu'ils vont faire ?
C 'est le concert d'Valence faut qu'j'me depêche

FENIKSI:Au top il sera 10 heures je les cherche, personne,
à croire qu'ils sont tous de mèche.
Muelsa ! Allô ? Surtout fais pas comme Kesiah

SAMUEL:J'vérifie das mon keuss si tout y est et je cétra
J'embrasse une dernière fois ma dulcinée
J'ai un tracas, j'ai pas de monnaie, pas de billets,
mais faut qu'ils partent sans moi, non.

SPECTA:Putain, g-padpo, toujours ces mêmes contrôleurs
qui m'saoulent et qui m'cassent les ...
Tu m'avais dis de prendre un billet, si je t'avais écouté,
je ne serais en train de crier.

VICELOW: Coupons par Denfert-Rochereau, c'est pas ce que je t'avais dis?
si moi j'ai mon coupon dans mon keuss c'est que je bosse tôt le samedi
tu sais ce que c'est, keuss comme je suis, j'te passerai pas de la monnaie.

FENIKSI:Au nez me rit une conne à cause de ma direction erronnée
La gaffe elle l'a fait je l'ai baffée
Hé ! Le chauffeur veut se barrer, " On y va ! ", le car démarre,

LEEROY:Mieux vaut tard que jamais, me voilà,
mais sous mon nez tous les gars se barrent
Ca m'émeut j's'rai pas de la party,j'ai loupé le départ du car.

G-padpo: même pour les concerts chuis toujours en retard au rendez-vous
G-padpo: et c'est toujours de la tête des mêmes dont on se fout
G-padpo: méfiez-vous des contrôleurs ils sont partout
G-padpo (X4)
G-padpo:Vicelow 10frs pour prendre un billet
G-padpo: Specta c'est moi qui l'ai toujours habillé
G-padpo: Je ne serai pas à l'heure même si le coeur y est
G-padpo (X4)

VICELOW:J'suis kapout il fait chaud, pas de vasistas au capot
Stanislas le chaffeur, un fâcho qu'est-ce qui a de rigolo ?

SLY:Mais guette sa tête de canne.
Cané j'vais l'être, le gars se lève comme Law dans Tekken,
c'est Specta qui ricane pourtant c'est moi qui m'fait ken.

SAMUEL:Même position avec les(contro)leurs en ce qui me concerne
j'ai pas de veine, pas de possibilité d'arriver à l'heure
pour le 2ème autocar, c'est trop tard, le taxi me prendra
une barre minimum le concert en est l'enjeu

SLY:Ne suis pas le capitaine Kirk, peux pas me téléporter,
Le temps que je sois à vue de porter sab-x aura déjà fait dix portées
Humm, qu'est c'est qu'ça, non c'est pas possible,
Non, non, non mamannnnnnnn

LEEROY:Ouais ça fait 12 kilomètres que j'roule sur l'asphalte en skate.
Ca s'fait pas chuis p'têt svelte, ouais mais sur c'coup là G-padpo:
derrière l'autocar y'a pas d'pot d'échappement, c'est bête.
Ca fait de la fumée j'en ai plein la tête.

G-padpo: je tombe sur un chauffeur fâché fâcho
G-padpo: C'est chaud, y'a tête de canne qui joue le Gadjo
G-padpo: y'm'fait si mal, qu'on dirait qu'il sort du cachot
G-padpo (X4)
G-padpo: Y'a Joe l'taxi qui se croit à Montléry
G-padpo: J'ai été enlevé par un OVNI
G-padpo: En skate ça fait plus d' 12 kilomètres que j' les suis
G-padpo (X4)

FENIKSI:Enfin nous voilà tous arrivés,On a eu d'la chance,
tout le monde a sur moi les yeux rivés.

LEEROYD 'la chance, allez arrête.
T'oublies que j'me suis tapé l'équivalent
de Paris-Marseille en baskets.
J'en ai même éclaté mon skate.

VICELOW:C'qu'est arrivé dans le car c'était...

SPECTA:Ouais, mais, rappelle-toi des meufs qui avat à gare de l'est
Les jupes fendues, n'est-ce pas Vicelow ?

VICELOW:Un oui fendu, mais c'est ton crâne qui a failli être fendu
par les gars qui étaient au fond du car;

SAMUEL: (car) ting moi j'en fait avec le chauffeur de taxi
avec son tacot se prenait pour Schumacher.

SLY:Il faut me croire " Libitum Libitum Libitum", j'ai été enlevé
par des petits hommes no
Pour les lyrics cultes j'ai choisi deux titres. La particularité des ces titres est d'être dual. C'est à dire une superbe mélodie entraînante inhabituelle dans le RAP, et d'un autre coté une contenu de chanson assez dure.

Muzion tel pére, tel vice paroles de Corneilles :
Une vie naïve de 10 ans
Mère dépressive, un père absent
Style dictateur au regard tranchant :
"Qu'est-ce que tu as fils ? Dis que t'as peur !"
Il dicte la peur dans tout le foyer,
Et devient d'autant plus bestial,
Quand vient le temps de payer les bills, le loyer
'Voyez ce n'est pas que le père n'aime pas son fils
Il l'aime beaucoup !
Son vice : souvent trop saoul, s'en fiche
Et envoie trop de coups...
Tu le mets à l'épreuve, réponse : pleins de jurons,
Te défonce à coups de ceinturon et te jongle un "gêole"
Mick Jagger... Et la mère,
Visage maussage teinté de contusions,
Les yeux remplis de confusions,
Fait de son mieux mais dans son jeu : se trahit
Combien de fois a-t-elle brûlé le maïs ?
Debout devant le four, regarde sa bague et crie : " Je t'haïs
! "
En pensant à son union : " Quelle connerie ! "
Dès qu'on entend la sonnerie, plus personne ne rit
La mère place le couvert et l'enfant court dans son lit
Couché sous les draps il constipe à l'idée que ce con de
type
Viendra jouer avec lui, la main dans son slip...

After all you've done wrong, you want me to forgive you !
You say ; you love me...
How can you forget the past ?
I don't believe you !
When you say ; you're sorry !

Maintenant treize ans, souvenirs blessants
La même chienne de vie !
C'pendant l'enfant est conscient de la scène et prie
Le Seigneur de lui laisser le droit de s'en sortir !
Imagine le sang sortir de ses veines et il se dit :
"C'est pas la peine ! "
Et la haine de lui s'empare et sèche vite ses larmes...
Il ...vite son arme : "Mais qu'en est-ce que ça va finir ?!"
Et puis il encaisse, grince la porte,
Le père rentre saoul dans sa chambre
Il fait semblant de dormir, mais le père s'en fout :
"Lève-toi qu'on joue ensembles !"
Les mains de l'homme courent sur son corps,
Il aimerait tant le foutre à terre, le battre
Mais son esprit, ses bras sont morts...
Le souffle chaud de l'ivrogne jusque dans le cou
Et le père descend la main de l'enfant sur son sexe
Et l'histoire suit son cours...
Le fils e sent sale, pénétré jusqu'au mental
Et quand le rongent les menaces, il se dit :
"C'est trop !" Et demande de l'aide à sa mère !
"Cesse tes mensonges idiot ! Tu veux créer le scandale ?!"
Au fond, la mère sait, mais l'ignore...
Pour ne pas réveiller le chat qui dort (même plus)

After all you've done wrong, you want me to forgive you !
You say you love me ?
How can you forget the past ?
I don't believe you !
When you say you're sorry !

Les années passent, le passé se tasse sans cicatrice
Dehors, un homme presse sa blessure sous un temps qui
l'attriste
Un temps pluvieux, la pluie remplace les larmes quand t'en
n'as plus vieux !
Même vingt ans plus vieux, son père lui dit encore:
''Qu'est-ce qu'il y a fils ?''
_Rien, tout va bien !''
Le regard stoïque, observe son père,
Sa mère avec sans amertume,
Fume tel une Mohican sa cigarette pendant qu'ils allumaient
un calumet
Il voulut les frapper puis se dit: ''Arrête !'' ; geste
héroïque
Et le père dit: ''Fils, je suis désolé !'' la tête qui
baisse
"Salaud ! On dit que les paroles s'envolent mais les cris
restent !
Et aujourd'hui je n'ai même plus de voix ! Et toi tu crois
que t'es mon père ?
_Pour moi t'es rien !
_Si je suis quelqu'un, tout ce que t'as fait : je ferai le
contraire !"
Le fils s'en va, la vague à l'âme, pensant à hier
Se blâme, rentre chez lui embrasse sa femme puis entâme une
prière
Il monte au deuxième border sa fille
La regarde, lui dit:''Je t'aime !''
Puis à l'oreille lui chuchote:
''Déshabille...Enlève ta culotte !''

After all you've done wrong, you want me to forgive you !
You say you love me ?
How can you forget the past ?
I don't believe you !
When you say you're sorry !




La seconde Sniper Visions chaotiques

J'tenvoie ma vision de ce monde [ de ce monde]
Et de c'que j'en sais de c'que j'en pense, tu sait
Comment les gens sont, le course aux richesse
Nous a fait perdre de vue le reste
On fonce sans limite de vitesse, la tete dans le guidon
Et à coté d'ca la Terre continue à ner-tour
C'est l'histoire qui suit son cours avant d'arriver à son terme
On traverse une époque incertaine ou ca sent la fin d'ici peut
Avec la vie qu'on mène ici bas d'ici sa pue
Chacun veut sauver sa peau mais Dieu dit qui il veut
Sur cette planète faut qu't'arrete de planer
Y'a que l'oseille de fiable et de bien palpable
C'est la débauche et c'est pas sur le point d'se calmer
C'est pas gagner on peut pas nier qu'on danse avec le diable
Dans ces periodes troubles on trouve de tout
Des baiser du crane et tout plein d'malades pret à tout
Ca tourne au drame depuis les avions dans les tours
Y'a comme un truc bizarre qui flotte dans l'atmosphère
J'sais pas c'qui s'trame derrière et dans les hautes sphères
A qui on sait faire, on s'informe et on observe
On absorbe l'information telle qu'on nous la donne
On l'accepte et nous voilà formater comme des disquettes
Les gens sont conforter dans leurs à prioris
Leurs idées puantes, tout le monde adopte le pret à penser cain-ri
Pays qui combat l'axe du mal comme il l'appelle
Un max de pétrole à la clé une affaire personnelle
Qui met en danger la vie de milliers d'civils
Si vraiment ils le veulent on l'a vu par le passé
Chacun prétend mener sa guerre sainte la religion à bon dos
Que dieu me guide j'veux pas être dans l'faux
La planète s'esquinte dans certains bled on à les pieds dans l'eau
Les saisons déreglées un sacré bordel, que des catastrophes
Naturelles ou criminelles et jt'avoue que j'voit pas l'bout du tunnel
Si c'était pas autant la merde j'aurais plus beaucoup d'raison d'rapper
Si j'arretais ca s'rait synonyme de paix

Na na na na ......

Parler de c'qu'on vit la est toute ma facilité
J'y ai trouver l'inspi et le destion qu'j'ai mérité
En toute sincérité profite de l'instant présent
Faites qu'il dure longtemps que j'fasse croquer mes héritiers
Et sans, vulgarité on spresse et on stress triste moralité
On passe et on trace, sache trop d'truk crades
Trop d'villes polluées, un pays malade signe d'un monde contaminé
La pluie tombe, tristesse les éléments s'déchainent
Le sol tremble la lave coule l'aisne est peine la terre pleine
L'océan d'vient noir, le fric d'vient sal, grace a TOTAL
Vous n'irez plus à la plage par hasard
Et l'homme évolue, n'a espoir qu'en l'industrie
Ne jure que par saigne tu? l'armement et le profit
Ainsi ce monde est fait état et société
Rempli d'actes imparfaits et d'critères à respecter
Les moutons dames les bergers veulent combattre
C'est Bush contre Sadam et Sharon contre Arafath
Les combats éclatent son nom est douloureux
Mais a la fin du massacre aucun d'entre eux n'aura des bleux
Le dollar est en colère petit constat globale
Qui donne une dictature mondiale ou tout le monde coopère
Que faire ? le contraire et leur tourner le dos
Quitte a risquer un embargo et que ton pays mange des pierres
Tu nous à montrer ta puissance à travers de gros polar
Gagnant avec élégance et on a finit par l'croire
Ta massacrer les indiens persécuter les noirs
Après les diab' viens les arabes le tout en 200 ans d'histoire
Dénonce un discours haineux dès l'départ tu nous en veux connard
Qu'est c'tu compare le coran et mein kanpf
L'Irak attention, nouvelle cible des mittomans
Ca pue la coalition ou sadam se fait sodom mal
Instinct farouche attention fiston tu finit le travail du daron
Appelle ca du bouche à bouche
Combien on d' l'armement? mais aucune source économique
Pourquoi vous n'leur faites pas la guerre ? Vous les zorros d'la république
Des pédales des vraies, cachées sous de beaux déguisements
Qui tue pour leur gisement d' pétrole
Mais j'dirais qu' face à cette course mondiale
Pas d'amour mais d'or noir les states sont loins d'etre a la bourg
Malgré 2 tour de r'tard

Na na na na ......

2003 j'suis la planter dans ce putain d'décor
Dans c'monde qui m'écoeur ou l'mal nous taff au corps
Tous on s'égare les coeurs se changent en pierres
L'homme fabrique tout pour sa mort, l'enfant n'respecte plus sa mère
C'est gore, l'espérence meurt, cette vie au lance drop
Sexe au sommaire nos mère pleurent quand shétane se marre
Ou va le monde, à mon avis plus très loin,
J'joue pas le moraliste, j'suis comme les autres, j'observe de loin
Ce cauchemar réel Palestine-Israël, Irak-USA
Et bientôt un second Rahel, la planète pleure
Mais personne essuie ses larmes, on n'voit rien on n'entend rien
On n'dit rien, car le malin nous charme
Trop d'esprit pollué, tout comme cette atmosphère
Si notre planète se réchauffe c'est qu'on s'rapproche de l'enfer
Homicide volontaire et on s'dit tous innocent
Le dass et le cancer ne sont qu'des punitions du tout puissant
Dans pas longtemps ils diront aux gosses que l'oseille c'est dieu
On verra tellement d'trucs sales qu'il faudra s'en crever les yeux
J'suis pas devin mais la de-mer ca pue
Tu doit l'sentir comme moi l'espoir y'en a peu j'dirais meme qu'y en a plus
J'suis pas pésimiste, c'est ma vision du monde
On dirait qu'on y vient pour des bifetons, une bete de caisse et une blonde
Demande aux jeunes si l'avenir les fait rêver
Difficile de parler d'futur quand le monde est en train d'crever
On nous détruit chaque jour un peu plus
La haine nous contamine comme un putain d'virus
A quand l'terminus, qu'est c'que j'vais dire a Momo
Quand j'l'emmenerais au zoo
Fiston ca c'est un lion mais bon là c'est juste les os
Saisi que l'heure est grave, et tout dépend d' nous
Fils c'est la folie humaine qui met l'monde à genou
Puis merde c'est pas mon texte qui changera les choses
C'est juste un brin d'conscience avant que tout explose
La planète bleue vire au rouge entend ses cris d'douleur
Elle saigne on l'a poignardée en plein coeur
On la poignardée en plein coeur....

Na na na na ......
bon normalement j'ecoute pas trop de rap chui plutot : funK/house/electro mais ya des chansons de rap que j'aime bien donc en voila 2 : )

Premiers lyrics: Propos violents, notamment menaces de mort à l'encontre des forces de l'ordre.
[Edité par Ambla]



Sat,don choa,le rat luciano, menz

Ils disent nous représenter, mais connaissent quoi de nos existence ?
Sont-ils déjà venu dans nos rues histoire de voir ce qui se passe ?
A moi seul je te représente plus que ton député, sénateur ministres et autre fils de ...
C'est sinistre ont demande pas la Lune mais des logis décents l'état nous répond par quoi ?
Des flics qui abusent de leur pouvoir lors des descentes
On demande pas grand chose des emplois l'état nous répond avec quoi ?
Nous envoie quoi ?
Des CRS, des convois, faudrait qu'on les pleure
Quand ils meurent avec bravoure qu'ont tire un trait sur les nôtres parties
Suite à leurs bavures, pensait ils aux conditions de vie
En prison, avant que mala donne l'alerte, qu'on découvre des suicide et des lettres,
J'dresse mon ... le troisième face à leurs système
Si tu te sens faisant de même l'état récolte ce qu'il sème, me demande pas de voter
Je reste politiquement incorrect, jcompte que sur moi pour vivre du moins pour
Etre, jsuis pas un poète qui sait ou je serais dans dix ans ?
Peut être à l'abri ou dans leurs cellules de prison, à traîner dans ses rues
Devant ses même bâtiments attendant d'être frapper de la grâce de dieu ou de
Son châtiment, je prends partie pour les miens mais j'ai rien d'un prophète d'un messie
Rien d'un voyou comme ... ou Mesrine. jsuis pas un mesquine j'ai que
Le rap comme executoire, la rage en moi et contre celui qui a le pouvoir
Exécutoire je les mets au défi de vivre un jour ce qu'on a, au défi de venir
Voir ce qu'i se passe en bas au défi de venir
Vivre ce qu'on vit en nos lieux et place, au défi de venir
La température d'ambiance.

Hey, hey, hey ...
Mais t'as vraiment un balai dans le cul, le pire,
Notre acharnement te parait Ridicule, respire,
On ne compte pas sur toi pour réussir
FF c'est qu'un peut d'anarchie dans ton empire
En bref tu descends pas du singe mais du vampire,
Tu peux jurer tu sais mentir
Tu peux juger mais c'est tant pis, p't'être tu tuerais pour te remplir les poches,
Si tu dormais dehors comme ceux que t'appellent les cloches ?
Elle est chaude et froide ma vie, mais comment baisser les bras ?
Si la chance par vite, faut lui donner au lieu de baiser les draps,
J'fume et j'bois et je toujours par aide, avant qu'ils nous abattent c'est toujours pareil.


Honneur aux zinzins, ceux qui aiment la vie de rues et les ...
Chacun défend ses biens et reste de ce fait dans le bain
Ce monde part en live, on s'interroge grave, la situation s'aggrave
On sait qui a plus rien pour les braves,
Bonté divine c'est la merde sur la terre sur ma mère,
Dite-leurs que nous sommes tous mortels et respirons le même air
Eh snob : ouvre tes oreilles ne nous cherche pas querelles,
Et faut le croire notre famille on se bat pour elle
Partout dans le globe on pourri, on plombe,
Si tu savais tout ce qui se passe dans l'ombre,
Peut-être qu'à cette heure-ci ils fabriquent des bombes,
Mais combien de gens souffrent ? Combien sombrent ?
C'est pas nos chansons qui les feront vivre mais les grosses sommes, le peuple stress
Pendant que les chefs d'état se détendent, en bas ils combattent la détresse
Mais leurs mains veulent presser des détente, et serres tes fesses, distingué,
Dans pas longtemps va tout déglengé
J'espère qu'un jour tu pourras entendre ce texte,
Avant de nous cataloguer vient dialoguer avec les pestes,
On va te faire rêver comme personne t'as fait rêver !!!

Refrain :
Tant que nos coeur parlent, on est rien pour les gens
Et si l'état nous abat on entre dans la légende
Ils nous détestent et désirent qu'on se taise
Mais les frères contestent est-ce que c'est des foutaises ?
Plus ont combat la détresse et la peine plus on les blesse
Plus y a de flingues plus y a détente plus on les presse.
Ils disent qu'ils veulent pas de drogues mais laissent rentrer son argent,
Sans arrêt des contrôles pour ne pas laisser rentrer les gens,
Fracassent les portes d'une église pour chasser 200 noirs,
Peine de mort abolie mais ils tuent quand même de sang froid,
Le temps est appeler à faire son devoir,
Mettre des familles dehors qui dorment sur des trottoirs,
Ils ont tellement flics le territoire,
Que vouloir se révolter devient illusoire ou dérisoire,
Vont-ils récolter les fruits de notre haine ? On connaît que la moitié de l'histoire
Et comment veulent t'ils que j'adhère à leur système, et comment peuvent ils crier victoire ?
Après les élections ils se félicitent, ils auront l'occasion de détourner l'argent en publique,
Leurs enfants trouvent une situation assez chic,
Pour nos gars Intérim-Assedic, CRS, RMI, as-tgi ...

titre: dans la legende , album: art de rue (fonky family)
Citation :
Hé mec
Je me présente
Je m'appelle Charles-Henri Du Pré
J'habite à Neuilly
Dans un quartier mal paumé
Je suis fils unique
Dans un hôtel particulier
C'est la croix, la bannière
Pour me sustenter.
Pas un Arabe du coin
Ni un Euromarché.

Auteuil, Neuilly, Passy: Tel est notre ghetto

Hé mec, mon nom à moi
C'est Hubert Valéry
Patrick Stanislas
Duc de Montmorency
A 5 ans et demi
J'avais déjà ma Ferrari.
J'pouvais pas la conduire,
Bien sûr, j'étais trop p'tit!

As-tu saisi mon pote
Notre envie de révolte?
J'ai envie de crier
"Zut, flûte, crotte, chier... "

Auteuil, Neuilly, Passy: C'est pas du gâteau
Auteuil, Neuilly, Passy: Tel est notre ghetto.

Salut, tu - vas - bien ?
Salut, tu - vas - bien ?

Y en a marre du Fauchon,
Du Hédiard, du saumon, du caviar

Salut, c'est Patrick,
A l'appareil
Ouais, c'est Pat',
Tu vas bien?

Et moi? Et moi?
Tu ne sais pas quelle est ma vie?
A côtoyer Chantal
Ou bien Marie-Sophie
A faire le baise-main
A des pétasses mal baisées
Enfin, j'ai voulu dire
A des filles un peu coincées...

Je veux être un voyou,
Vrai de vrai hors la loi.
Mais quand t'es né ici mon frère,
Vous n'avez pas le choix.
Y en a marre des Sylvie, des Mylène
Ségolène, Gwendoline, Eglantine,
Marie-Chantal...

Y en a marre, mon frère,
On a de gros problèmes.
Y en a marre, mon frère,
De subir le système.

Mon avenir à moi est déjà tout tracé :
Boîtes privées, Science PO, l'ENA ou H.E.C.
Et dans le pire des cas
Si je ne travaille pas,
Faudra que je reprenne
La boîte de papa.

Auteuil, Neuilly, Passy: c'est pas du gâteau
Auteuil, Neuilly, Passy: tel est notre ghetto.

Salut, tu vas bien?

Nous sommes tous les produits
D'une société économique dépendante
Des fluctuations boursières
Qui déstabilisent le marché.
Oui mec!
Et pour sortir de ce carcan
Educatif, capitaliste
Il faut savoir dire non, non, non, mec!

Auteuil, Neuilly, Passy: c'est pas du gâteau
Auteuil, Neuilly, Passy: tel est notre ghetto.

Salut, tu vas bien?

Nous sommes issus d'une famille
Qui n'a jamais souffert
Nous sommes issus d'une famille
Qu'on ne peut plus souffrir...
L'idéal serait tout de même de poster des lyrics de morceaux qui existent IRL, sinon c'est pas du jeu et on peut s'amuser à disserter des jours et des jours sur des morceaux qui n'existent pas.
Quand on a un argument, on essaye de l'étayer par un exemple qui ne sort pas de nulle part. La modération tente tant que possible d'éditer les lyrics malsains sur ce thread, pour le garder propre, alors évitons d'en rajouter et essayons de montrer les artistes qui le méritent, pas les ouin-ouineurs frustrés.

On arrête le hors-sujet, mais ma boîte à MP t'est ouverte sans problèmes.
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