[D&D3] Archer

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Bonjour, je suis un joueur de D&D3(.5 meme ^^) et j'aurai voulu avoir qq conseil pour monter un archer.

Je vois plutôt mon perso comme un archer qui évite le corps à corps, et qui compte plus tuer ses ennemis à distance.
Il n'utiliserait pas la magie.

J'aurai besoin de conseil, car j'hésite beaucoup entre un guerrier et un rôdeur.
L'avantage du guerrier, c'est qu'il a qd meme souvent des dons.
Je connais beaucoup moins le rôdeur.

Que me conseillerez vous ?

Merci

Murlf
fais un elfe(arc long) voleur( attaque sournoise, utilisation d'OM, esquives ...)
tu peux te cacher ds les ombres( donc attaquer quand pesonne s'occupe de toi, choisir ta cible) et faire des attaques sournoises pour maxer tes degats

sinon, barde Archer mage est tres sympa aussi
Il y a aussi le rôdeur, dans la version 3.5 il est très orienté "chasseur", avec, au lieu de se spécialiser en ambidextrie, la possibilité de se spécialiser à l'arc.
Tu peux le rendre furtif aussi. Mais il a moins de dons qu'un guerrier, pas de sournoises et demande un peu de charisme et de sagesse.
Comme classe de prestige, il y a :
_ peerless archer dans le supplément Silver Marches
_ cragtop archer dans le supplément Races of stone
_ Initiate of bow order dans le supplément Complete Warrior mais je ne la trouve pas terrible.

Au niveau des dons, il y a :
_ tir de loin (pré requis : tir à bout portant) portée x 1 1/2
_ tir précis amélioré (pré requis : tir précis, Dex 19, BBA + 11, tir à bout portant) ignore le bonus CA du à une couverture autre que totale, ignore les chances de manquer du à un camouflage autre que total
_ tir à bout portant : + 1 au toucher et aux dégâts à 10 m
_ tir précis (tir à bout portant) : tirer sur un ennemi en mêlée sans une pénalité de - 4 au toucher
_ tir rapide (Dex 13 , tir à bout portant) 1 attaque supplémentaire par round au plus haut BBA, avec une pénalité de -2 au toucher pour toutes les attaques, c'est une full-round action
_ tir en mouvement (Dex 13, Esquive, souplesse du serpent, tir à bout portant, BBA +4) vous pouvez bouger avant et après une attaque pourvu que la distance de déplacement n'est pas plus grande que votre vitesse
_ tir distant (épique) (Dex 25, tir de loin, tir à bout portant, détection 20) tirer sur toute cible dans la ligne de vue sans pénalité pour la portée
_ précision instinctive (épique) (Dex 21, BBA +11, tir à bout portant, tir précis amélioré, détection 20) ignore la chance de manquer du à un camouflage total
_ tir prêt (tir à bout portant) : vous pouvez préparez une action pour tirer quand un ennemi vous charge, vous devez attendre jusqu'à ce que la cible soit à 4 m 50 de vous, vous faites 3d6 de dégâts supplémentaires. Les créatures immunisés au toucher critique sont immunisés.
_ tir plongeant (Dex 13, tir à bout portant) si votre cible est 10 m plus bas que vous, vous faites 1d6 de dégâts en plus
_ tir rapide amélioré (tir rapide, tir à bout portant) vous ignorez la pénalité de - 2 au toucher de tir rapide
_ nuée de flèches (épique) 1 flèche par ennemi
Archer sans pair = peerless archer dans le supplément les Marches d'Argent (Silver Marches)

Initié de l'Ordre de l'Arc dans le supplément du Combattant.

Archer du sommet du rocher escarpé dans le supplément les Races de Pierre.

Ce sont des traductions faite par moi, j'ai les suppléments en anglais et pas en français, je ne peux les avoir en double non plus.
Y a la classe de prestige archer sylvain qui est pas mal vu qu'il veut un qui n'utilise pas de sorts.

Reduction des mali camouflage entre autre avantages.

Avec base de rodeur si tu veux qu'il soit discret, de guerrier est l'idéal à mon avis.
Citation :
Publié par Frau Eternal
mali = malus au pluriel ^^

comme boni pour bonus
Et depuis quand c'est comme cela, je tiens à te rappeler que le pluriel des noms tirés d'une langue étrangère (y compris le latin) se fait par l'adjonction d'un S dans la langue française et il n'y a pas d'exception.

EDIT de plus malus, mali en latin c'est :
a - mât (de navire).
b - poutre.

En latin, la bonne déclinaision du mot original malus c'est :
malus, mala
Citation :
Publié par Elvanshalee
Tu n'as qu'à te venger sur scenario et scenarii
C'est un scénario et des scénarios.
Un forum et des forums.

Ce n'est pas parce qu'une bande de pseudo intellectuels qui ont oubliés de réfléchir ont édicté ces soit-disante règles de pluriels et qui sont relayés par les vedettes de la télévision que cela en fait une règle de français.

Si on les suis, ces individus, le pluriel de médium c'est média, or le même mot latin a donné deux mots distinct en français.

Les règles du pluriel sont spécifique à chaque langue, et en français on n'utilise pas la forme pluriel étrangère mais la règle que j'ai cité.

PS en plus le latin compte 6 pluriels différents alors pourquoi un plus qu'un autre.
@ Erindhill

Là c'est plutôt rapport à l'italien, et le petit robert indique le pluriel de scénario : scénarios, mais admet tout à fait l'emploi de scénarii, en précisant que son utilisation est "rare".

Ce n'est pas faut.

Mais c'est un cas bien précis (cf histoire du théâtre etc), et je trouve malus-mali assez ridicule. (comme quoi tout est relatif)


Citation :
EDIT de plus malus, mali en latin c'est :
a - mât (de navire).
b - poutre.
A propos de MALUS, je crois que tu fais erreur. Effectivement le sens poutre-mat existe, mais il existe deux autres sens à ce mot :
Pommier (la pomme et d'autres fruits se traduisent par malum, mali, neutre)
et BIEN SUR mauvais (mais aussi malheureux, funeste, sens repris par le malus auto ; et malin rusé méchant également)

Il y a donc deux substantifs, et un adjectif.

Citation :
En latin, la bonne déclinaision du mot original malus c'est :
malus, mala, malum
C'est un abus de language, car une déclinaison est par exemple
Corvus
- e
- um
- i
- o
- o
--
- i
- i
- os
- orum
- is
- is

OU
rosa etc etc.

Dire que la déclinaison du mot est Malus, a, um est donc faux.

Citation :
PS en plus le latin compte 6 pluriels différents alors pourquoi un plus qu'un autre.
Car l'emploi d'un mot latin en français se fait quasiment toujours en tant que sujet (cf UN MALUS), son pluriel est donc le pluriel nominatif du genre correspondant.


Malus au pluriel s'écrit donc MALI (car masculin). Ou malus pour rester très français



C'est pas beau de vouloir tourner les choses à son avantage en en oubliant les deux tiers (mais je pense que ce n'était pas fait exprès)

Citation :
Ce n'est pas parce que bande de pseudo intellectuels qui ont oubliés de réfléchir ont édicté ces soit-disante règles de pluriels et qui sont relayés par les vedettes de la télévision que cela en fait une règle de français.
On pourrait dire de désagréables choses sur ce que tu dis (tout demi dieux que tu es . Evite quand même de dire des bêtises (ah tu vois c'est pas agréable de se faire juger !) (puis parler de la sexualité des intellectuels français, c'est tabou ! )
Je ne te donnerais que ce lien en réponse :

http://perso.wanadoo.fr/prima.elemen...ges/malus.html

Comme tu peut le constater il y a plusieurs entrée avec plusieurs déclinaisons pour malus.

Malus, mali est de la deuxième déclinaison.

Malus, mala est de la 3eme déclinaison.

On donne justement un ou deux exemple en plus du nominatif singulier pas pour donner le pluriel mais pour que l'on sache de quel groupe fait partie un mot (1ere, 2eme ou 3eme déclinaison).

Et puis tu m'explique ceci :

Citation :
puis parler de la sexualité des intellectuels français, c'est tabou !
Tu as lu où que je parle de sexualité ?

PS le momminatif pluriel de malus dans le sens mauvais est bien mala et non pas mali.
tu confonds le substantif malus "mât" et l'adjectif "malus" mauvais.

Malus, i, masculin "mât" est de la deuxième (cf corvus)

Malus, a, um "mauvais"... ça dépend. Il peut être de plusieurs déclinaisons
d'où les "us", "a" "um"

Hors le malus, tel que l'on l'utilise, correspond à l'adjectif, et non au nom masculin "mât" ni même au nom féminin "pommier".

Je répète donc que je pense que tu confond l'adj et le nom.

Citation :
On donne justement un ou deux exemple en plus du nominatif singulier pas pour donner le pluriel mais pour que l'on sache de quel groupe fait partie un mot (1ere, 2eme ou 3eme déclinaison).
Pour les noms oui.

Citation :
Ce n'est pas parce que bande de pseudo intellectuels
, c'était juste un jeu de mot minable pour t'indiquer l'absence d'article (et j'ai ajouté un smiley que tu as supprimé )

bon maintenant je peux me tromper mais elvanshalee ne reste pas convaincue de ta démonstration.
Il est possible que je fasse erreur sur l'adjectif, le latin, c'était il y a 25 ans pour moi.

Il n'empêche que le pluriel de malus est malus en français (ce qui était mon propos).

Ok, je comprend maintenant pour l'allusion, je vais rajouter l'article manquant.
Tire la langue
Soit dit en passant certains n'ont pas attendus des pseudos intellos ou des vedettes pour employer ces pluriels. Remarque, je fais peut être partie de la premiere categorie

Donc je continuerais à dire des fora, des mali, des scenarii...
Citation :
Publié par Frau Eternal
Soit dit en passant certains n'ont pas attendus des pseudos intellos ou des vedettes pour employer ces pluriels. Remarque, je fais peut être partie de la premiere categorie

Donc je continuerais à dire des fora, des mali, des scenarii...
De temps en temps ouvrir le dictionnaire de l'académie française ne fait pas de mal, cela permet de voir comment s'écrivent les pluriels, au lieu d'écrire n'importe quoi au risque de rendre son message incompréhensible (un comble sur un forum qui est justement un lieu de communication).
Citation :
Publié par Frau Eternal
Soit dit en passant certains n'ont pas attendus des pseudos intellos ou des vedettes pour employer ces pluriels. Remarque, je fais peut être partie de la premiere categorie
Il y a les intellectuels qui utilisent les termes qu'ils veulent, et ceux qui savent ouvrir un dico pour utiliser les termes définis par l'Académie Française. Perso je me sens pas de faire des recherches sur l'étymologie d'un mot quand je veux le mettre au pluriel (si ça se trouve le mot que je veux accorder provient de l'allemand et donc il me faudra lui appliquer sa déclinaison au pluriel ! Sauf que je ne connais pas l'allemand donc heureusement que des gens intelligents ont dit qu'il suffisait de mettre un s à la fin sinon on s'en sortait pas).

Citation :
Publié par Grevisse
Le bon usage de Grevisse et Goosse (13e éd., 1993) indique, § 521 (« marques du pluriel/pluriel des noms empruntés aux langues étrangères ») :

« Les noms empruntés à d'autres langues forment régulièrement leur pluriel avec un S non prononcé, à l'exception des mots se terminant par un S, un X ou un Z (dans le rapport du Conseil supérieur de la langue française publié en décembre 1990 : cf. § 89, e).

Cette formule reconnaît un fait : depuis que le français existe, il a assimilé un grand nombre de mots de toute provenance, et il eût été invraisemblable que les locuteurs pussent intégrer au français la morphologie de ces diverses langues. Personne ne songe à écrire autrement que des géraniums, des dahlias, des villas, des casinos, des apartés, des clowns, etc. Il convient pourtant de rappeler que les pluriels empruntés sont un luxe inutile et souvent une marque de pédanterie, surtout si la réalité désignée a perdu le rapport avec son origine.

Ce n'est que dans la mesure où les mots étrangers ne sont pas du tout intégrés au vocabulaire français, où ils constituent des sortes de citations (voir par ex. § 522, a), que l'on peut accepter leur invariabilité ou, à la rigueur, leur pluriel exotique. Dans la suite de cet exposé, si nous rappelons ces pluriels exotiques, ce n'est donc pas pour les recommander, mais pour que la description soit complète. »
Et quelques exemples :
Citation :
Adaptations grammaticales

D'autre part, en passant d'une langue à l'autre, un mot étranger n'est plus morphologiquement analysable. Par exemple, le singulier taliban est en fait un pluriel en arabe, celui de طَالِب ṭālib. Ce qui peut prouver que la lexicalisation fonctionne est que le mot adopté respecte les règles grammaticales de la langue empruntant : ainsi, taliban, qui est censé être un pluriel en arabe, s'écrit talibans au pluriel français. De même, touareg est le pluriel de targui. Pourtant, dire un targui / des touareg passe, au mieux, pour une bonne connaissance de la langue arabe, au détriment de la grammaire française, au pire pour du pédantisme ; un touareg / des touaregs est bien plus courant, d'autant plus quand on sait que d'autres mots, plus anciens, ont subi un traitement analogue : chérubin est un pluriel en hébreu (en fait, le pluriel de ce mot se termine par -im) mais il n'existe pas de singulier *chérub en français (au contraire de l'allemand ou de l'anglais). Or, si certains clament qu'il faut dire un targui / des touareg, aucun ne veut imposer un chérub / des chérubin. L'adaptation grammaticale fait qu'un mot emprunté devient souvent immotivé, inanalysable. De fait, il sera parfois adapté dans la langue receveuse à partir d'une forme fléchie ou grammaticalement marquée pour donner naissance à un nouveau terme non marqué.

D'une manière similaire, le castillan d'Amérique du Sud, en situation adstratique avec l'anglais, n'hésite pas à adapter ses emprunts : ainsi, de a car (« une voiture »), il fait un carro, qui permet le pluriel carros (alors que un car / cars ne respecterait pas la pluralisation habituelle). De même, to rent (« louer ») devient naturellement rentar. De sorte, les termes empruntés peuvent être facilement fléchis. On remarque d'ailleurs la prédominance de certains types plus réguliers de flexions dans l'adaptation de termes étrangers. Par exemple, la quasi totalité des verbes importés en français le sont en suivant le premier groupe (verbes en -er à l'infinitif), le plus facile à conjuguer : kidnapper ou rapper en sont des exemples (et c'est d'ailleurs le même principe pour le rentar castillan).

Comme on l'a vu précédemment avec l'adaptation phonologique, les emprunts qui ne sont pas encore parfaitement lexicalisés vont entraîner des dédoublements : tel mot étranger va pouvoir être fléchis dans le respect de sa langue de départ (s'il l'était) ou bien dans celle d'arrivée. L'on constate par exemple des listes de pluriels irréguliers dans de nombreuses langues d'Europe (il suffit de lire celle, impressionnante, proposée par l'article de la Wikipédia anglophone consacrée au pluriel anglais). Encore une fois, si respecter la pluralisation de départ est la marque d'une certaine culture linguistique, c'est aussi une atteinte à la cohérence de sa langue. Les débats sont très houleux, pour le français, entre les tenants des pluriels étrangers ou francisés. La petite liste suivante montrera que la volonté de garder la pluralisation étrangère est souvent une mauvaise idée :

* pluralisation italienne : scénario / scénarii, spaghetto / spaghetti ou graffito / graffiti, etc., au lieu de la pluralisation française : scénario / scénarios, spaghetti / spaghettis ou graffiti / graffitis, etc. ;

Notons qu'en italien, du reste, le pluriel de scenario n'est pas scenarii mais scenari ou scenarî.

* pluralisation latine : maximum / maxima, papyrus / papyri, forum / fora, etc., au lieu de maximum / maximums, papyrus / papyrus, forum / forums, etc. ;
* pluralisation grecque : topos / topoï, kouros / kouroï, korê / koraï, etc., au lieu de topos / topos, kouros / kouros, korê / korês, etc.

La liste pourrait être allongée à l'envi car ces pluriels « irréguliers » ne sont pas les seuls, loin de là. Il est pourtant aisé de plaider en faveur d'une francisation complète. En effet, si l'on voulait être cohérent, il faudrait aussi considérer les pluralisations suivantes :

* de l'italien : une pizza / des pizzé, une chipolata / des chipolaté, une diva / des divé, un raviolo / des ravioli ;
* du latin : un opus / des opéra, un géranium / des gérania, un abdomen / des abdomina, un visum / des visa, un agendum / des agenda, voire un lavabo / des lavabimus et un distinguo / des distinguimus (ces deux derniers mots étant des verbes à la première personne du singulier, un pluriel régulier ferait attendre des premières personnes du pluriel) ;
* du grec : un problème / des problémata, un côlon / des côla, un titan / des titanes, un narthex / des narthekes.

On le voit : garder la pluralisation étrangère ne se fait que dans les cas où les règles le permettant sont simples. Dès qu'elle demande une meilleure connaissance grammaticale de la langue concernée, elle est abandonnée. De plus, les termes absorbés par le français depuis longtemps sont tellement lexicalisés qu'ils n'apparaissent plus comme étrangers. Si l'on voulait être cohérent, il faudrait aussi les fléchir comme ils l'étaient dans la langue de départ. Pire, que dire des termes empruntés à des langues exotiques comme le nahuatl ? Faut-il exiger que le pluriel de coyote soit cocoyoh ? De même pour les langues isolantes : un thé / des thé serait plus cohérent.

Bref, la lexicalisation grammaticale permet d'éviter ces écueils et ces incohérences.
La règle des pluriels est celle-ci :

Citation :
7. Singulier et pluriel des mots empruntés : les noms ou adjectifs d’origine étrangère ont un singulier et un pluriel réguliers : un zakouski, des zakouskis ; un ravioli, des raviolis ; un graffiti, des graffitis ; un lazzi, des lazzis ; un confetti, des confettis ; un scénario, des scénarios ; un jazzman, des jazzmans, etc. On choisit comme forme du singulier la forme la plus fréquente, même s’il s’agit d’un pluriel dans l’autre langue.

Ces mots forment régulièrement leur pluriel avec un s non prononcé (exemples : des matchs, des lands, des lieds, des solos, des apparatchiks). Il en est de même pour les noms d’origine latine (exemples : des maximums, des médias). Cette proposition ne s’applique pas aux mots ayant conservé valeur de citation (exemple : des mea culpa).

Cependant, comme il est normal en français, les mots terminés par s, x et z restent invariables (exemples : un boss, des boss ; un kibboutz, des kibboutz ; un box, des box).

Remarque : le pluriel de mots composés étrangers se trouve simplifié par la soudure (exemples : des covergirls, des bluejeans, des ossobucos, des weekends, des hotdogs). (voir Analyse 6 ; Graphies 8, 9 ; Recommandations 4, 5, 7, 8, 9.)
http://www.academie-francaise.fr/lan...he/regles.html

Tout le reste peut être intéressant comme discussion mais ne fait pas partie de la langue française.
Le reste c'est pour montrer que même en refusant (pour une raison inconnue à part "je trouve que ça fait plus classe de dire mali") la règle de la langue française alors on se heurte à la nécessité, du coup, de connaître parfaitement les origines de chaque mot pour les accorder au pluriel car il n'y a pas plus de raison de dire mali que fora, pizzé ou chérub (à part que malus on se souvient de ses cours de latin du collège alors que les autres on n'en sait rien, ce qui n'empêche pas ces mots d'être originaires d'une langue étrangère ayant des règles même si on ne les connait pas).
Le plus marrant dans cette histoire, c'est que si l'on suis leur "règle" de pluriel :

Le pluriel de médium est média.

Or si cela est vrai en latin (sans tenir compte des déclinaison), c'est parfaitement idiot en français car le même mot latin a donné deux mots distinct et d'une signification différente en français.

Comme quoi, réfléchir un minimum, avant d'utiliser certaines soit-disantes règles, n'est pas un luxe.
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