Question très judicieuse, et je ne vous remercie ps de l'avoir posée.
Procédons donc SCI-EN-TI-FI-QUE-MENT (et non pas SCI-CI-RCU-LAI-RE, ni même SCI-SSI-IM-PE-RA-TRI-CE).
Pour ce faire, je suggère d'étudier étymologiquement le mot "Porkass". Contrairement à la croyance populaire (qui se trouve erronée, notamment du fait de sa simplicité), le mot Porkass ne vient pas de "Por" (litt. "Façon de se tenir du cochon d'Inde femelle" ou "port d'Hamster dame") et de "Kass" (litt. "Pas Tricia!").
Non, l'étymologie du mot "Porkass" est bien plus profonde - sans toutefois aller jusqu'au travaux récents d'éminent professeur sur les langues indo-amaknéennes (cf quelques posts plus haut).
Décomposons donc le mot "Porkass": on a d'abord "Po", mot de l'ancien amaknéen encore répandu grâce au proverbe: "N'avoir que la Po sur les eaux". Quand on sait que le Po est lui-même un fleuve, tout s'explique.
Ensuite le mot "Rk", qui n'est plus guère usité que chez les Bworks dont il forme, avec le mot "Bwo", la racine. "Rk" signifie littéralement: "Je suis en train de faire remonter mes glaires pour te cracher dessus". C'est dégouttant mais c'est Bwork.
Efin le mot "Ass" qui... qu'est ce que vous avez à rigoler la bas les anglais?! Le mot "Ass", disais-je, terme technique d'Ecaflip pouvant désigner tout à la fois une carte particulière ou moi-même. Ou lui-même, pardon.
Voilà, nous avons maintenant expliqué le mot Porkass. Le terrain est désormais débroussaillé pour les jeunes philosophes qui veulent s'y risquer (attention aux chardons tout de même); personnellement je pense qu'après cette analyse la question se résout d'elle même et qu'il n'y a plus rien à ajouter...
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