Sur l'inégalité des chances d'accés ET de réussite dans le domaine des études supérieures, la France n'est pas mieux lotie que la Suisse:
http://www.u-cergy.fr/IMG/pdf/doc-347.pdf
Oui j'irai voter comme toujours depuis que j'ai 18 ans, et je sais déja pour qui je ne voterai pas (ni UMP, ni FN). Je n'apprécie guère qu'on me rackette dés que je fais le plein de ma voiture (ben oui les pauvres roulent au diesel), qu'on me supprime un jour férié avec comme excuse les morts dus à l'incompétence du gouvernement, qu'on m'oblige à travailler plus pour toucher moins quand je serais en retraite, qu'on est baissé ma bourse d'étude, etc... Bref toute une multitude de raisons pour sanctionner la bande de sinistres qui a le culot de dire qu'elle oeuvre pour le bien de la France.
sur les 35 heures:
"Nouveau satisfecit pour la RTT. Délivré cette fois-ci par le Commissariat général du Plan, le rapport réalisé sous la présidence d'Henri Rouilleault tire un bilan plutôt positif des 35 heures. Analysé sur son efficacité en emploi, le processus de RTT est aussi abordé sous l'angle des conditions de travail, des rémunérations, de la dynamique de négociation engendrée ou encore de son financement.
Premier enseignement, l'objectif prioritaire, l'emploi, est atteint (265 000 créations nettes, de juin 1996 à décembre 2000 dans le secteur marchand). Mais le Plan va plus loin, et, pour répondre aux critiques sur les effets d'aubaine, évalue la part de cette création dans l'emploi total généré «spontanément» chaque année (à l'origine d'un emploi sur six depuis juin 1997, la RTT a contribué à 0,8 des 4 points de baisse du chômage. Pour l'avenir, le Plan estime que la RTT pourrait conduire à créer 500 000 emplois. Resteraient donc 235 000 créations potentielles. En tout, près d'un salarié sur deux du secteur marchand (47%) travaille aujourd'hui 35 heures ou moins, contre 1,6% en 1996 !.
Le Plan s'est aussi intéressé aux conditions de travail et à la vie hors travail des salariés. Plus d'un an après l'accord, ils sont ainsi 59% à avoir connu une amélioration de leur vie quotidienne. Le bilan est nettement plus mitigé sur les conditions de travail (25% des salariés considèrent avoir connu une amélioration, 46% n'évoquent aucun changement et 29% estiment avoir subi une dégradation)."