J'aimerai apporter ma pierre à l'édifice en apportant une autre vision des choses me concernant.
Ce sujet des "popos" est dans le fond, et tel que l'a enclenché Laolaan, compréhensible de son point de vue mais aussi en rapport avec le premier opus du jeu.
Cependant, en replaçant les 2 jeux dans leur contexte que voyons nous ?, sachant que l'on a très peu (voir aucunes ?) infos sur le PvP, tout du moins dans sa forme compétitive, GW1 est conçu de manière à laisser la part belle au jeu de groupe et aux actions coordonnées pour un maximum de jeu en équipe et d'efficacité. Il fallait une certaine cohésion et surtout une très bonne construction de son groupe dans les classes mais aussi et surtout dans le build ou la manière de jouer de chacun en fonctions des classes choisies.
L'orientation de GW2 est totalement différente jusqu'à maintenant, et toutes les vidéos présentées jusqu'a maintenant le montre parfaitement bien (même si cette démo n'est absoulment pas représentative du produit final, voir les version alpha/beta de Guild Wars 1 a ses débuts, rien qu'au niveau interface pour commencer...). Ici il s'agit de "prouesses personnelles", rien qu'a voir justement l'absence de "mercenaires" on joue bel et bien pour soi et rien que pour soi, encore une fois, on reste dans le cliché du MMO classique dans le fond.
Rien qu'a voir qu'on peut s'auto heal, on est plus dépendant du bon vouloir du moine qui peut être surchargé dans le feu de l'action au point de ne plus connaitre ses cibles prioritaires et vous laisser lamentablement mourir pour faute d'être OOE.
Ceci se confirme également d'une autre manière, le fait de pouvoir "release" un joueur qui a été "down" sur le champ de bataille...
Tout ceci pour dire, que selon moi et tel que je le vois pour le moment, il s'agit bien d'un "skill" intégralement personnel sur la gestion de son propre perso sans être dépendant des autres. La est la grande différence de GW1 au 2, n'oubliez pas que le fait de faire passer GW2 en monde persistant le fait quitter son statut de CORPG, il faut aussi admettre ce coté de la chose