Les bariens ont-ils de l'imagination ?

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Dans ce sujet, vous êtes tous le narrateur de l'histoire.
Le but est très simple : Chacun racontera une histoire qui aura un lien avec toutes les autres, il fera la suite de l'histoire proposé par le précédent.

Soyez le bien, le mal, le neutre, tout est possible.

Pour commencer, vous devrez introduire votre héros le présenter, peut-être indiquer ses pouvoirs, ses qualités, défauts et finir par un élément déclencheur.
Vous pourrez continuer la suite après quelques autres héros présentés.

La seule règle est d'employer le récit à la troisième personne du singulier, et d'essayer de s'appliquer sur l'écriture.
Il est impossible de tuer un héros inventé par une autre personne que vous, sauf si celle-ci accepte.

En grosso-modo : Nous sommes tous un seul narrateur, et nous racontons tous la même histoire.

Si vous n'avez pas compris, posez des questions en MP.

CECI N'EST QUE RP ! INTERDICTION AU HRP !

Si vous voulez faire du HRP, ici, c'est en MP !!

Je commence :

"Par une belle journée ensoleillée, en le village d'Euh'Kmodo, vagabondait sur une route granuleuse un petit personnage, tout frais. Il semblait assez jeune, et ne dépassait pas la quinzaine d'années. Ses yeux brillaient la couleur bleue marine, et ses cheveux paraissaient bruns à la lumière, et noirs à l'ombre.

C'était une tête d'ange, à laquelle on aurait enlevé son auréole blonde. Son chapeau était de couleurs printanières : vert, bleu, jaune doré. Son nom était Brunait.

Un chariot de marchandises revenu du Zaapie voyageait par cette route, pour atteindre très vite la ville et alimenter les villageois, le conducteur était différent que celui dont l'ange avait l'habitude de croiser..."

Suite ?
Citation :
Publié par Hyglo-Eliatroope
Un chariot de marchandises revenu du Zaapie voyageait par cette route, pour atteindre très vite la ville et alimenter les villageois, le conducteur était différent que celui dont l'ange avait l'habitude de croiser..."

...
Effectivement le vieux Marcel avait pris sa retraite la veille, le jeune homme qui le remplaçait n'avait pas l'air vraiment très alerte, à le voir mener ses bêtes on eut dit que c'était la première fois qu'il guidait un bœuf. Amusé par ce spectacle le jeune Brunait s'arrêta sur le côté de la route en regardant passer le chariot bringuebalant, il était encore tout fou rire quand un vacarme assourdissant lui déchira les tympans, à force de cahoter à hue et à dia la poussive machine avait brisé un essieu, alors que le chauffeur de malheur s'éjectait du véhicule sans dommage, Brunait lui gisait mort, écrasé par un convoi de marchandises, triste fin pour un triste bonhomme.
Citation :
Publié par Zood.AxA
Effectivement le vieux Marcel avait pris sa retraite la veille, le jeune homme qui le remplaçait n'avait pas l'air vraiment très alerte, à le voir mener ses bêtes on eut dit que c'était la première fois qu'il guidait un bœuf. Amusé par ce spectacle le jeune Brunait s'arrêta sur le côté de la route en regardant passer le chariot bringuebalant, il était encore tout fou rire quand un vacarme assourdissant lui déchira les tympans, à force de cahoter à hue et à dia la poussive machine avait brisé un essieu, alors que le chauffeur de malheur s'éjectait du véhicule sans dommage, Brunait lui gisait mort, écrasé par un convoi de marchandises, triste fin pour un triste bonhomme.
Mort, c'est ce qu'on dit lorsque le corbillard passa par là, mais le jeune homme se releva, avec beaucoup de difficulté, et décida de disséquer le boeuf qui faillit lui causer sa perte et d'en faire une bonne côte de boeuf bien juteuse à manger. Il repartit heureux, une côte de bœuf et du vin qu'il avait volé des marchandises, chez son chez-lui, pour déguster ce bon repas aux côtés de ses frères et sœurs...
Citation :
Publié par Hyglo-Eliatroope
Mort, c'est ce qu'on dit lorsque le corbillard passa par là, mais le jeune homme se releva, avec beaucoup de difficulté, et décida de disséquer le boeuf qui faillit lui causer sa perte et d'en faire une bonne côte de boeuf bien juteuse à manger. Il repartit heureux, une côte de bœuf et du vin qu'il avait volé des marchandises, chez son chez-lui, pour déguster ce bon repas aux côtés de ses frères et sœurs...
Une fois de retour dans sa métairie, Brunait fut surpris du calme qui régnait, personne ne semblait présent. Quand soudainement, Rufus, son frère, bondit sur lui en hurlant ayant réussit sa petite blague . Brunait surpris, fis tombé le vin et la viande, le repas du soir était alors partit en un éclat, la viande fraîche se mêlant avec le vin, les verres et la crasse. Rufus était gêner de sa bêtise. Il faut dire qu'il manque cruellement d'affection, c'est ce qui le pousse à agir de la sorte, le frère cadet était un gringalet roux, qui était mépriser par les autres de par sa couleur orangée, il a subit nombreuses violences et injures de la part des habitants du villages, ce qui l'as poussé as rester cloîtré chez lui, apeuré du monde qui l'entour.
Quand à Angélique, la soeur elle restait à l'écart de la famille, se préoccupant plus de son lapin, Ségafraydo, et rêvant au prince charmant qu'elle attends comme toutes jeunes filles qui se respecte, c'est la benjamine des trois.
[On va faire un entracte et jouer à un jeu marrant, ça s'appelle "Comment gagner 6 heures hors du Bar en voulant faire le malin." Si jamais y'a d'autres candidats pour un petit séjour hors du Bar, vous pourrez aussi tenter votre chance à la réouverture et faire les malins une fois suspendus, sauf que ça ne sera pas 6 heures, pour les suivants.]

Réouverture après nettoyage, je vous fais confiance pour rester sages et dans le sujet, du coup. Sinon la prochaine fois, je sort la tronçonneuse.
Brunait, Rufus et Angélique vivaient seuls depuis maintenant trois ans. Progéniture d'un chasseur des environs, celui-ci n'était jamais rentré un soir d'automne. Quant à leur mère, elle mourut peu après la naissance d'Angélique, des complications de l'accouchement.
Les trois enfants, âgés respectivement de 16, 14 et 13 ans, s'étaient très rapidement adapté à leur indépendance forcée. Brunait, le plus âgé, dirigeait la fratrie. Il pourvoyait avec son frère cadet aux besoins alimentaires de la maisonnée. La jeune Angélique ne quittait que rarement leur petite maison aux abords du village. En effet, elle arrivait à un âge où une demoiselle ne pouvait plus guère jouer innocemment dehors. Bien que comme ses aînés, elle ne fut pas spécialement jolie, elle faisait partie des rares femmes du village et était donc jalousement protégée...
Mais pour le moment, ce fut la colère de Brunait envers Rufus qui se fit ressentir dans la faible cabanes des 3 frères et sœurs, chacun se tuent alors lors du diné où l'ont pouvais encore apercevoir entre quelques pattes, des poils de lapin, ceux de Ségafrayo.
Soudain on entendit de puissant coup matraquer la porte comme si le but était de se faire écrouler la maigre cabane qui tenait grasse au pied centrale qui était attaché avec de légères cordes à une structure à 3 pieds aux extrémités (pourris par les termites) pour former ensuite un toit en hauteur.
Brunait alla donc ouvrir pour supplier de cesser des coups aussi violent, la colères ressenti juste avant, du fait d'un repas gâchait et du meurtre d'un pauvre lapin qui n'en voulait à personne (mais qui mangeais trop) ce fit ressentir dans la voix du jeune homme, bien qu'elle se calma lorsqu'il découvrit un homme grand et façonnée comme un guerrier, bien que tout de même il ai eu un ventre bien rond qui ressortais. Celui ci fumait la pipe dont s'échapper une forte odeur de plante inconnu. Brunait après avoir baissé d'un ton fini par ne plus arriver à parlé. La grande personne, qui était blonde par ailleurs, avec de beaux yeux bleu et une pilosité qui ressortait de sa chemise puis une barbe qui lui poussait exclusivement sur son mentons, celui-ci mis a parlé:
- Bonsoir, je m'appelle Morquendi, je viens ici car on m'a signalé des vols de nourritures et de boissons, et des personnes du coins m'ont informaient avoir vue un jeune homme courir avec ce qui semblé être ce qu'on avait volé dans cette direction.
Brunait fut encore plus sans voix lorsque l'homme lui raconta cette histoire, heureusement celui ci, après avoir suer 30 litres de sueur, se souvenu avoir jetée le veaux et le vin qui n'était plus bon à rien. Il pris son courage à 2 mains pour parlé et expliqua qu'il ne savait pas où était passé le jeune homme et qu'ici il n'y avait rien, Morquendi demanda à rentré, et celui ci ne put refuser. Le grand homme à peine rentré senti l'odeur du lapin et le peu d'affaire dans la cabane, il remarqua qu'il était très peu probable que soit ici la cachette du voleur au vue la forte odeur de lapin et le peu de recoin pour cacher une bouteille de vin et une tranche de veau aussi grosse, il repartie donc en laissant tout de même un forte odeur de plante carbonisé dans la cabane.
Cependant, Brunait était anxieux depuis l'arrivée de ce personnage colossal. Même après son départ, il y eut un silence de quelques minutes dans la pauvre et débile cabane.
Le jeune garçon se rassit, sans prononcer un mot. On arrivait très bien à lire à son expression que la peur lui était monté au cerveau. Quant à son frère et sa sœur, ils replongèrent leur tête dans l'assiette, même s'il ne restait plus rien.

Brunait les regardait, puis baissa les yeux, intimidés. Ce n'était pas la première fois qu'il avait volé, et pourtant, c'est la première fois qu'on vient le suspecter... Sa sœur et son frère n'étaient pas au courant que c'était un roublard aux mœurs sauvages.

Il pencha sa tête, recroquevillé sur sa chaise, et vu dans l'unique fenêtre de la cabane le géant, posté, fixant la cabane. Les secondes passent, et décide finalement de partir...

Brunait souffla un bon coup...
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