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Puisque le rayon revue de presse est squatté par un débat (ouvrez un fil, merde alors
![]() Cet article s'intitule "Bacs à sable, plénitude, addiction et mélancolie dans le jeu vidéo" http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=3064 Si vous n'êtes pas abonnés, je pense que vous l'avez dans l'os. Mais comme j'ai bon fond, je m'évertuerai d'ouvrir des sujets sur les thèmes abordés, pour en avoir un retour coloré par sl. Rafik est un amateur de jeux vidéos, qui trouve en eux maintes qualités sans pour autant s'arrêter à l'optimisme béat et confortable du joueur qui ne pense pas. Ainsi il aborde le thème de la mélancolie, lorsque l'on a fait le tour de l'environnement offert par un jeu particulier. Je cite : "A l’image de l’alchimiste du célèbre tableau de Dürer La Mélancolie, que reste-t-il à celui qui a entièrement soupesé, mesuré, décortiqué et maîtrisé le monde qui l’entoure, si ce n’est la confrontation à lui-même? En fin de parcours, la maîtrise totale d’un jeu non linéaire semble mener inexorablement à cette mélancolie. Ce sentiment, diffus et partagé, est pourtant rarement évoqué par les joueurs entre eux, ceux-ci préférant se raconter d’anciens exploits avec nostalgie plutôt que d’accepter la rupture inévitable d’avec cet univers chéri........après des centaines d’heures d’exploration, de frustration, d’excitation ludique sans pareil, le jeu bac à sable finit par ressembler… à un bac à sable, au-dessus duquel flottent quelques souvenirs." La question est : quel est votre retour d'expérience sur le sujet ? Avez-vous ressenti cette mélancolie pour un jeu vidéo et sl en particulier (qui n'est pas seulement un jeu, mais qui défini comme un environnement vidéo ouvert, non linéaire, peut entrer dans ce type de catégorie). Et cela peut-il s'appliquer aussi à sl ? Si non, pourquoi ? |
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Fabrice Tebaldi |
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