< le kobold se leva devant l'assemblé, les rides du front renforcées par une colère mélée de surprise. Il prit la parole, prenant garde de modérer la vitesse de ses propos afin qu'ils puissent être compris de tous>
Ainsi, Roman vous vous prétendez libre. Mais comment pouvez vous vous targuer d'être un homme dénué de chaînes, vous esclave de Hel, prisonnier de ses ombres et de son sombre pouvoir.
Vous reniez ainsi les racines de notre royaume. Vous injurez le fondement de notre terre, Ymir, le premier géant. Le père de nos pères. Les loges chamaniques de mes frères trolls s'en souviendront.
Vous attaquez nos Gothis, ceux qui nous permettent de comprendre, obéir et aimer nos divins souverains. Il ont reçu le lourd fardeau de porter la parole d'Odin et de ses suivants, et vous avez l'audace de ne pas écouter.....
Je ne vois là qu'un homme enchaîné, pris dans les filets d'une folie passagère, dont l'origine est sûrement de la sombre Hel. N'a-t-elle aussi d'intêrets dans les malheurs qui accablent nos terres ?
Je ne vois qu'un pantin qui n'a plus l'usage de sa propre parole.
Amis, regardez cet être : c'est la mort qui parle à sa place. Vers qui vous tournez vous dans le doute ? sûrement pas vers les ténèbres. Quels desseins sert-il ?
Je demande à ce que soit jugé, en cet assemblée, l'homme qui a trahi et renié les siens. Honte à celui qui tourne le dos à ses obligations. Il n'est digne que de rejoindre les Bolferags !
caavoirtoutdit bençavas'asseoir etpisc'estout
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