[Her Life] Legendary.

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Bonsoir, peuplade du Bar de la Taverne.
Ce soir, c'est un type de MyLife peu voir pas encore visité qui vous est proposé, car l'auteur du récit qui va suivre est de sexe féminin.

Nous conserverons, par respect envers ses exigences, son anonymat et celui des personnages de l'histoire.

Comme tout bon MyLife demande un bon débat et une question, nous la poserons avant ce magnifique pavé.

Vous est-il aussi arrivé une histoire du même acabit ? Avez vous déjà fait le coup mais côté méchant ?
Que conseilleriez-vous à la demoiselle par rapport à son histoire ?

Citation :
Publié par L'anonyme en question
Ca, on n'oublie pas.
aujourd'hui à 02h42
Une envie d'écrire. N'importe quoi peut-être. Mais j'ai envie d'écrire.

...

Lui. Lui, c'était N. Et dans une douce ivresse, elle l'avait reconnu. Elle ne l'avait jamais vu avant, elle ne savait pas qu'il existait, et qu'elle aussi existait pour lui à partir de ce moment-là. Cette soirée allait tout changer dans la vie de M., mais elle ne le savait pas encore. De hasards en rencontres, elle se retrouva à sa table. Mystérieux, silencieux, il semblait observer chaque geste, chaque souffle, chaque murmure. Il semblait comprendre.

Non, elle n'était pas là pour ça. Elle était là pour s'amuser sans réfléchir. Mais elle ne pouvait pas ne pas réfléchir.

Et puis même. Il devait n'en avoir franchement rien à faire d'elle. Il était avec un ami, presque aussi mystérieux, mais plus lumineux, et d'autres amis avec qui elle avait plus ou moins sympathisé, ce qui l'avait amené à cette table.

Il y avait une sorte de brouhaha, ce qui était plutôt normal, pour un café. Mais autour de la table. Le cerveau "enbullé", les conversations s'enchaînaient, à propos de tout et n'importe quoi, et au bout d'un moment, elle se retrouva à côté de lui. Non, collée à lui.

Tiens, une casquette sur sa tête. J'ai bien envie de la lui retirer, pour l'embêter. Et puis elle est pas mal.

Voilà les pensées dérangées de M., qui s'exécuta aussitôt, et qui vissa la casquette sur sa tête. Puis elle se tourna vers lui. Il avait déjà pris la casquette du lumineux, enfin, de R., puisqu'elle avait appris les noms au cours des conversations. Alors elle enleva cette casquette, et N. reprit la sienne. Boudeuse, elle se cacha sous la casquette dix fois trop grande pour elle.

Et puis il la lui retira. Pour replacer la sienne, à lui, et dire :

"Elle te va mieux, celle-là."

Elle avait cru une seconde qu'il y avait comme une petite pointe de jalousie, ou bien que ça voulait dire indirectement "Je te correspond mieux que lui."

Ahah. Elle avait arrêté les films. Alors elle n'en tint pas compte. En plus elle ne le reverrait peut-être plus jamais de sa vie, après cette soirée.

...

Dès le lendemain, c'était vers elle qu'il vint.

Non, je ne dois pas m'imaginer des trucs.

Et puis elle apprit ce qu'elle n'aurait pas voulu savoir. Il n'était pas seul.

Pas grave.

De toutes façons, je ne suis pas attirée par lui, et je ne me suis pas fait de film. Il est juste gentil de nature.

...

"C'est pas marrant t'es pas chatouilleux! Et je suis hypersensible c'est pas juste!

_Mais tu sais, je suis très sensible..."

Elle s'était figée, et regardait N. Non, il avait plutôt pris possession de son regard, et elle ne pouvait s'en détacher.

Il n'est pas seul.

A cette pensée, elle tourna la tête en rougissant, ce qui ne se voyait pas dans l'obscurité. Il y avait eu quelque chose dans ce regard...

Non, rien du tout. Et je ne dois pas me faire de films.

...

Elle sentait son regard, alors qu'elle s'était appuyée la tête contre l'épaule de R. Elle ne regardait pas N. mais sentait qu'il les regardait, qu'il jetait des coups d'oeils... et il n'avait plus dit un mot après avoir vu ça.

C'est idiot, je m'imagine n'importe quoi.

...

Il approcha une main vers une mèche des cheveux de M. qu'il souleva pour observer le coin de son oeil.

"Tu as fait comme sur la photo de ton blog, non?"

Pourquoi s'est-il intéressé à mon blog? Et comment a-t-il pu être aussi observateur... Est-ce parce qu'il fait très attention à moi? ... Impossible. Arrêt du film.

Sourire convenu.

"Oui, quel observateur, N.!"

...

"Alors tu es sûre que ça va?"

C'était peut-être la cinquième fois en deux heures qu'il demandait ça. Trop gentil, le N.

"Mais oui! T'inquiète pas va, il y a R.!"

Re-sourire convenu.

...

Un texto. Pour prendre des nouvelles de N., comme ça. Parce qu'en fait il lui manquait. En ami, bien sûr. De toutes façons, M. avait R.

"Princesse."

On pouvait croire que c'était R. qui la surnommait comme ça. Non, vous avez tout faux. C'était N.

"Pourquoi tu me surnommes comme ça? En plus j'ai pas du tout l'air d'une princesse ^^

_Je te trouve gentille, très mignonne, tu as un certain style que j'aime beaucoup, j'aime aussi ton attitude, calme..."

Si je ne te connaissais pas, N., si je ne savais pas que tu avais une copine, je dirais que tu es en train de me draguer.

C'est ce qu'elle avait voulu dire. et à la place :

"Pourquoi tu fais autant attention à moi?

_Plus j'aime une personne, plus je fais attention à elle, à ce qu'elle fait, si elle va bien... C'est parce que je t'aime... bien."

Non, ce n'était pas possible. Elle secoua la tête. Elle était dans un de ces films qu'elle se faisait... Elle ignora.

...

"J'ai envie de te connaître... J'ai l'impression de trouver en toi des tas de points communs que je n'avais jamais eu avec personne jusqu'à maintenant."

Voilà, c'était la version de M., pour passer du temps avec N.

"C'est ce qui me plaît en toi aussi et c'est pour ça je veux me rapprocher, pas trop malheureusement..."

Arrêt sur image pour M.

"... Tu veux dire quoi par là?

_Je pense que tu peux le comprendre par toi-même..."

Elle ne voulait pas se tromper. Elle lui demanda quelque chose de plus explicite.

"Je pense que l'on pourrait dire que je suis jaloux d'une certaine chose mais que malheureusement je ne peux y rémédier maintenant sans faire de chagrin..."

Ce n'était toujours pas assez explicite pour elle.

"Jaloux... de R.?"

Il fit un oui sans équivoque.

...

R. s'amusait avec son meilleur ami qui le prenait dans ses bras. Comme souvent M. boudait, pour rire bien sûr. Et tout à coup, on la prit dans ses bras. C'était N.

Ah, oui. C'était pour rendre faussement jaloux R., parce qu'il n'avait pas à être jaloux normalement, puisque c'était pour rire... Ce n'était qu'une excuse pour qu'ils aient un contact. Mais ni R. ni personne ne s'en doutait. Personne à part eux deux ne savait la réelle signification de ce geste.

...

C'était un autre café. Il était plein à craquer. Elle était avec R. et en profitait. N. était avec sa copine et semblait en profiter aussi. Et puis au moment de dire au revoir, pour faire la bise, il voulut toucher son visage alors qu'elle s'avançait pour avoir un contact joue contre joue. Elle lui avait prit la main, et furtivement l'avait serrée, pour ensuite la quitter subitement, en lançant un regard... C'était la même chose pour lui comme pour elle. Quelque chose de plus fort que les gestes, c'était dans le regard.

...

Vu la situation, ils ne devaient pas faire de gestes déplacés. Et pourtant, ce ne sont pas les gestes déplacés les pires, mais les sous-entendus, ce qui se passait à l'intérieur d'eux-mêmes... Quand elle entra dans son studio, elle s'arrêta au milieu dans l'intention d'enlever ses chaussures, mais elle sentit des bras s'enrouler autour de ses épaules... Elle se figea. Il ne lui fit qu'un baiser sur les cheveux, et enfin la délivra. Ce contact l'avait secouée intérieurement, mais extérieurement elle enleva ses chaussures, comme si de rien n'était.

...

Ce n'était pas la première fois qu'ils se voyaient à deux, chez lui, seuls. Rien de plus que l'étreinte. Assise tranquillement sur le lit, elle essayait un jeu, mais elle ne réussissait pas à sortir de ce niveau là...

Une main s'insinua sur la manette. M. ne la lâcha pas, au contraire. Elle profita de cet innocent frôlement entre sa main et celle de N., pendant qu'il était sensé la sortir de ce niveau...

Non, ce n'était pas innocent.

...

"Ca va, malgré les circonstances.

_Quelles circonstances?"

R. ne lui avait pas dit. Elle et lui n'étaient plus ensemble. Problème d'atomes pas crochus. Mais elle avait dû lui tirer les vers du nez, à R.. Alors qu'elle lui faisait confiance pour dire si quelque chose n'allait pas pour lui dans leur relation.

"Et puis tu peux me faire confiance je ne te mentirai pas ni te trahirai quoi qu'il arrive même si tu remets en question la confiance ...

_Ne me dis pas les trucs que j'ai envie d'entendre, je vais finir par y croire..."

...

Il arriva, le jour où N. se retrouva seul. Tout comme M. Et ils avaient une amie commune : F. Elle habitait loin et n'avait pas le moral. Alors N. lui remontait le moral, il était gentil. Et M. restait toujours aussi stoïque, cela ne faisait pas longtemps que N. était seul, il lui fallait du temps, et de toutes façons, peut-être n'avait-il plus les mêmes sentiments? Mais au fond d'elle, elle savait. Malgré le fait qu'il était gentil avec F., c'était dans sa nature. Et pourtant, ça lui faisait mal de se dire qu'à force de jouer les stoïques, il était parti voir ailleurs.

"Tu pourrais venir dormir chez moi si tu veux! On pourrait passer plus de temps ensemble comme ça!"

Non. Impossible. Arrêt du film.

"Ben là ce soir je vais dormir chez une amie, je pourrais rester plus tard mais après je dois aller chez elle..."

L'excuse du siècle. Mais elle pouvait quand même aller dormir chez lui. Mais non, il ne fallait pas. Pour F. Et de toutes façons il ne se passerait rien. Rien du tout.

...

Ca avait commencé... normalement. Il était embêtant, il la chatouillait, mais rien de plus. Mais un petit narguilé à 19h avait rendu M. amorphe. Alors il la prit dans ses bras, à la manière d'un marié qui prendrait sa femme dans ses bras, M. ne chercha pas à comprendre, et il l'allongea doucement sur le lit. Ahah, marrant la petite promenade.

Et là, il commença. Il commença à effleurer du bout des doigts son cou et ses épaules, à effleurer de ses lèvres son visage. Non, rester stoïque.

"... Pourquoi tu fais ça...?

_Peut-être parce que... j'en ai envie..."

Elle ne bougeait plus. Enfin, pas intentionnellement. En fait, elle tremblait. elle ne contrôlait plus son corps. Elle était à la fois très détendue et très stressée, ses mains se crispaient sans qu'elle puisse y remédier. Crise de tétanie. C'était la première fois que ça lui arrivait.

...

En y repensant, son premier baiser n'était pas aussi parfait qu'elle le pensait. C'était un baiser impatient, après tout ce temps passé à faire semblant, à se retenir, de l'envie, de la colère, un peu de tout... Mais surtout de l'impatience. Elle n'en pouvait plus. Elle ne réfléchissait plus. Un parfum entêtant, et du Phil Collins en musique de fond. Et ce fut une nuit magique.

Elle se réveilla même, au milieu de la nuit, en se détachant de lui subitement, et en se demandant ce qu'elle faisait là. Et à nouveau, ils se serrèrent l'un contre l'autre, alors qu'elle sombrait dans un sommeil sans rêve, puisque la réalité était encore plus belle que le rêve.

...

Ils finirent par se revoir, une semaine plus tard. Petites marques d'affections, sans aller trop loin. Cela suffisait à M., qui ne voulait pas s'emballer, et qui sentait l'amour de N. sur elle, même sans les gestes.

...

Deux jours. Pas de nouvelles. Soit. Attendons encore.

...

Cinq jours. Un petit message pour lui rappeler sa présence, et une explication au silence. Rien.

...

Neuf jours. R. réapparaît. Toujours aussi gentil, il a évoqué N. comme si de rien n'était. Ah oui, c'est vrai, la relation entre N. et M. ne s'était pas trop ébruitée par volonté commune. Et s'il lui était arrivé quelque chose de grave qui l'empêchait de donner des nouvelles, elle l'aurait su par R. Mais apparemment tout allait bien. Au moins par cette rencontre fortuite M. avait le sentiment que tout ceci n'avait pas été un rêve, R. était comme un lien avec N., la preuve de son existence malgré le silence, d'une façon ou d'une autre.

...

Et voilà, à l'aube de deux semaines de mutisme. Incompréhension totale. Pourtant, si quelque chose n'allait pas, N. le disait toujours, même pour ce qui pouvait être embarrassant...

Avait-il eu de nouveau contact avec son ancienne petite-amie? Ne voulait-il plus de M.? Et si c'était le cas, pourquoi? Avait-il besoin de temps, pour réfléchir? Que ce soit l'un ou l'autre, pourquoi diable ne donnait-il pas un seul indice? Même un "va te faire foutre" venant de lui serait un soulagement pour M. Mais non. Elle n'a même pas le droit à ça. Elle a le droit au meilleur des mépris : le silence...

...


Le jour de ses 18 ans. C'est finalement ce jour-là qu'elle le revoit. Toujours aussi attentionné... Comme si rien ne s'était passé. Il en faudrait peu pour qu'elle retombe dans le piège. Mais le compte à rebours avait commencé, elle avait décidé de passer tout l'été dans un autre pays, pour tenter d'oublier...

D'oublier que, après trois semaines de silence total, elle avait dû se résigner à aller chercher sa réponse chez lui, se rendant compte qu'elle ne pouvait plus vivre dans le doute... Comme un détective coinçant un fugitif. Une réponse volée :

"... j'ai repris avec elle."

Ca l'avait soulagé à peine. Mais c'était toujours ça de pris. Tentant de prendre sur elle et de mettre cette histoire de côté, elle eut enfin ce qu'on pourrait appeler un coup du destin : la proposition de passer 3 mois, l'été durant, dans un autre pays. Sa réponse positive était définitivement déterminante pour sa vie à venir.

Tentant d'en savoir plus, maintenant que son temps était compté, elle le recontacta, et par miracle il lui répondit... Mais les explications étaient de plus en plus évasives, et elle avait peur de le revoir avant de partir, peur de voir ce qu'elle allait perdre innévitablement, en ayant choisi de fuir.

Alors ce fut 8 jours avant de partir qu'elle le revit, indépendamment de sa volonté. Comme elle l'avait pensé, la déchirure fut douloureuse, lorsque l'avion s'arracha du sol. Elle avait eu l'impression de mourir, alors que l'avion survolait les nuages qui s'étendaient à perte de vue, alors que le ciel était d'un bleu pur et lumineux... Le monde est si beau, vu de haut, pensa-t-elle, alors qu'elle s'oubliait. Et l'engin volant se posa enfin, sur ce nouveau sol qu'elle devrait apprivoiser pendant trois mois. Trois mois, ce n'est rien, se disait-elle pour se donner du courage, et petit à petit, elle se résigna à son sort, qu'elle avait elle-même fixé.

Ce n'était qu'un leurre. Ce n'était qu'un mensonge.

Bien qu'elle fut à plus de 2000 km de lui, elle avait l'impression de le voir à chaque coin de rue, de le reconnaître dans le visage de l'un de ses clients, d'entendre sa voix dans ses songes... C'était insupportable, et pourtant, il lui fallait patienter plus de 2 mois et demi encore... Avec l'envie de lui pardonner tout, de le récupérer coûte que coûte. Et que si ce n'était pas possible, qu'elle se contenterait juste de sa présence. Tant qu'il était heureux.


...



A son retour, transformée, il reprit contact avec elle. De soirée en soirée, elle s'était faite à l'idée qu'il était toujours amoureux de cette fameuse fille, "elle", et qu'elle ne s'en ferait qu'un ami, tant pis. Sauf qu'elle ne s'attendait pas à ce que ce soit lui qui vint vers elle.

C'était tout simplement... irréel. Elle fut heureuse sur le coup, mais l'idée d'"elle" la hantait toujours, et les doutes persistaient... Cette confiance ébranlée avait du mal à se reconstruire, elle ne savait pas s'il l'aimait véritablement, s'il voulait du concret, si elle pouvait s'investir, s'il aimait toujours "elle"... Et plus le temps avança, plus cette frayeur grandit, à mesure des signes qu'elle percevait. Elle se contentait de prendre ce qu'il pouvait lui offrir, sans se risquer à se donner elle-même.

Conséquence de cela : pas de réaction, pas de contact réel, pas de passion : une relation irréelle, tout simplement. Une relation qui n'existe pas.

Elle le revit une fois. C'était l'occasion pour elle de se révéler. Mais elle avait été incapable d'exprimer ce qu'elle ressentait, elle n'avait pu que sortir des mots qui n'avaient pas de sens, et encore, elle avait mis du temps avant de pouvoir dire quoi que ce soit.

Lui qui était malade, qui ne pouvait donner plus qu'il ne l'avait fait, elle qui n'était pas prête à se montrer sous son vrai jour, qui avait peur de tout, il avait trouvé la solution de la pause...

Et c'est ainsi, qu'elle n'eut plus de nouvelle depuis ce jour, malgré les nombreux messages qu'elle avait pu envoyer.


...



La voilà, dans la même situation que quelques mois plus tôt, avec la même personne... Ironie du sort?

On s'aperçoit que les mots ne sont et ne resteront que des mots sans aucun pouvoir, que les promesses n'existent pas, ou s'il y en a, n'y croyez pas, que le contraire de l'amour c'est l'indifférence, que la confiance est une bien belle fourberie destinée à faire baisser la vigilance des gens, que le silence est le pire des mépris, que c'est douloureux d'être aussi importante qu'un objet aux yeux de l'être aimé, qu'il est cruel de faire subir deux fois la même chose à une personne, qu'au final, on a moins mal à être inhumain.
En vous remerciant d'avoir tout lu.
(La personne souhaitant garder l'anonymat, je serait son intermédiaire avec vous. Si question ou précisions à faire il y a.)
C'est une fake pour dire que deux joliens sortent ensemble depuis la dernière irl?

Si non j'ai lu la moitié.....bah.....que dire.....c'est mignon tout plein.......


EDIT: Tiens ff a merdé....donc je peux plus dire style prem's full lecture.

bon tout lu.....bah......ironique.......mais j'ai pas aimé le coup du mutisme.....a vraiment le vilain.....quel honte.
J'ai commencé à lire mais vers le milieu j'ai lâché l'affaire. J'ai pas pigé pourquoi y avait des personnages de Matrix dans son histoire puis j'ai rien compris.
Citation :
Publié par Padre
Je vous le résume parce que je suis sympa:

Il l'a roulé une fois, et elle en a redemandé
Tu veux dire qu'ils ont baisé une fois et que après, elle en voulait encore? C'est normal non?
Citation :
Publié par Elhan
Tu veux dire qu'ils ont baisé une fois et que après, elle en voulait encore? C'est normal non?
Dans ce cas, non.
Citation :
Publié par Elhan
Tu veux dire qu'ils ont baisé une fois et que après, elle en voulait encore? C'est normal non?
J'aurais tendance à dire que ça n'est pas forcément évident.
Citation :
Publié par Elhan
Tu veux dire qu'ils ont baisé une fois et que après, elle en voulait encore? C'est normal non?
Oué, sauf qu'entre temps il l'a joliment ignoré car une de ses copines baisait mieux
La demoiselle s'est casée avec une personne dont l'ami la draguait (lui aussi était maqué). Ils se sont tournés autour pendant quelques temps, puis une fois célibataires ils ont passé une super soirée ensemble, et puis après la demoiselle a plus eut de nouvelles, et en fait elle s'est rendue compte que le mec était retourné avec son ex. Et du coup ça la faisait chier parce que elle était vraiment accro. Et puis finalement au bout d'un moment, le garçon il est réapparu, mais elle devait partir en vacances trois mois donc owned. Et après elle est revenue, et au bout de quelques temps ils se sont revus et remis ensemble, sauf que le mec il pensait encore a son ex, et au bout de quelques jours, il a recommencé a plus donner de nouvelles.

Et là du coup elle dit que les gens ils sont pas cool parce que ce sont pas des bisounours et qu'en fait ce sont des humains.

En gros. Il lui faudrait des explications pour ne plus faire ces erreurs et lui ouvrir un peu les yeux.
Apparement c'est un couple en fin de vie et y'a un mec qui drague la fille et voilà.
Enfin on s'en fou de l'histoire, on veut savoir qui sont les protagonistes surtout.

edit: ah apparement j'ai bien lu en diagonale ouais.
Citation :
Publié par C'est la vie.
La demoiselle s'est casée avec une personne dont l'ami la draguait (lui aussi était maqué). Ils se sont tournés autour pendant quelques temps, puis une fois célibataires ils ont passé une super soirée ensemble, et puis après la demoiselle a plus eut de nouvelles, et en fait elle s'est rendue compte que le mec était retourné avec son ex. Et du coup ça la faisait chier parce que elle était vraiment accro. Et puis finalement au bout d'un moment, le garçon il est réapparu, mais elle devait partir en vacances trois mois donc owned. Et après elle est revenue, et au bout de quelques temps ils se sont revus et remis ensemble, sauf que le mec il pensait encore a son ex, et au bout de quelques jours, il a recommencé a plus donner de nouvelles.

Et là du coup elle dit que les gens ils sont pas cool parce que ce sont pas des bisounours et qu'en fait ce sont des humains.

En gros. Il lui faudrait des explications pour ne plus faire ces erreurs et lui ouvrir un peu les yeux.

la 1ere fois c'est "normal" de se faire avoir, la deuxieme non

Qui me trompe une fois, honte à lui; qui me trompe deux fois, honte à moi
Citation :
Publié par C'est la vie.
Et là du coup elle dit que les gens ils sont pas cool parce que ce sont pas des bisounours et qu'en fait ce sont des humains.
À ce détail près, c'est un résumé fidèle et nettement moins chiant de l'original kilométrique.

Maintenant, quant à la véracité de ce détail, c'est certainement mieux que dans l'original.

C'est des joliens dans le texte ? Parce que déjà c'est pas très intéressant si oui, alors si en plus c'est juste des random mortels...
C'est assez random comme histoire.
Moi c'est la même chose, sauf qu'il y a plus de sexe et que je suis un plus gros enfoiré que ce mec.

Non sérieusement, la fille aurait pu tombé sur bien pire comme gars. Je ne vois pas de quoi elle se plaint. C'est la vie, et elle apprendra vite que sa situation n'est pas si mal. \o/
C'est une buse pour se faire avoir 2 fois de suite. La solution pour ne plus se faire avoir ? Réfléchir avant d'agir et éviter de se laisser guider par ses émotions.
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