#152097 |
Aller à la page... |
Langue dans l'entreprise
Suivre Fil fermé |
|
Partager | Rechercher |
|
Non mais en vrai vous travaillez tous dans des Call Center ou quoi ?
|
30/10/2016, 12h25 |
|
|
|
30/10/2016, 13h28 |
|
|
|
30/10/2016, 14h02 |
|
|
|
30/10/2016, 14h09 |
|
|
Apprends l'arabe pour discuter avec eux ?
mdr |
30/10/2016, 20h41 |
|
|
|
30/10/2016, 21h29 |
|
|
Fabuleux ce thread
Citation :
Ca serait possible s'ils devaient directement s'adresser à des clients, ou qu'ils utilisaient cette langue lorsqu'ils doivent travailler avec un collègue qui ne le parle pas. Mais ils ont tout à fait le droit de raconter leurs souvenirs de vacances en arabe. S'ils parlent beaucoup et fort et qu'ils empêchent les autres de travailler, c'est un autre problème, qui n'est pas lié à la langue. Citation :
Donc si le règlement dit "Tg et bosse", bah tu la ferme pas. La jurisprudence a confirmé qu'il n'est pas possible de prohiber des conversations étrangères au service dans une entreprise : https://www.legifrance.gouv.fr/affic...XT000007755622 |
30/10/2016, 21h32 |
|
Alpha & Oméga
|
Citation :
http://www.emploi.belgique.be/detailA_Z.aspx?id=5528 "L'emploi des langues dans les relations sociales est réglementé en Belgique. Les relations sociales englobent les contacts individuels et collectifs, tant verbaux qu'écrits, entre les employeurs et les travailleurs, et qui ont un rapport direct ou indirect avec l'emploi (par exemple, le règlement de travail et le contrat de travail)." "Lorsque l'employeur a un siège d'exploitation dans la région de langue néerlandaise, l'usage du néerlandais est imposé dans les relations sociales entre l'employeur et les travailleurs ainsi que dans les actes et documents que la loi impose aux entreprises. Pour ce qui est des employeurs ayant un siège d'exploitation dans la région de langue française, l'usage du français est imposé dans les relations sociales et dans les actes et documents. Une traduction peut éventuellement y être jointe, au choix des parties." http://www.ediv.be/site/fr/pendant-la-pause-de-midi "En principe (et surtout pendant les pauses) les travailleur-euse-s sont libres de parler leur langue (art. 30 de la Constitution). Par contre, des décrets et ordonnances prévoient l’emploi d’une langue unique dans le travail (ici le français dans la région wallonne) dans les relations verticales : les échanges entre un manager, un contremaître et son équipe. Dans les relations horizontales entre les travailleur-euse-s, l’employeur peut les soumettre à l’obligation de l’emploi d’une langue unique pour se comprendre réciproquement dans la réalisation des tâches, pour des raisons de sécurité, du service à la clientèle, etc. …" |
30/10/2016, 21h33 |
|
|
Citation :
Cela dit, je ne vois pas sur quels fondements on peut interdire à des gens de parler pour des conversations privées une autre langue que la la langue de travail. Après, je peux comprendre que ce soit gênant, car ça instaure une barrière supplémentaire avec les autres collègues et ça peut donner l'impression d'être volontairement exclu. Dans mon bureau, on est 4. Si je me mettais à parler anglais avec ma collègue qui a un bon niveau, cela exclurait de fait les deux autres collègues. Je pourrais comprendre qu'ils le prennent mal si cela devenait récurrent. Du coup, ça relève plus du chef de service qui peut en parler avec les personnes en question. Par contre, je vois pas sur quelle base on pourrait les contraindre... Cela dit la situation inverse me semble aussi problématique à ce compte là. Dans certaines boîtes, on recrute des personnes parlant peu ou pas français. Si tous tes collègues parlent du week-end ou de la dernière émission à la mode en langue française, tu vas forcément te sentir un peu exclu. Je suppose que là aussi on peut faire un effort pour intégrer la personne dans les discussions. Dernière modification par Aedean ; 30/10/2016 à 21h58. |
30/10/2016, 21h51 |
|
Suivre Fil fermé |
Fil d'ariane
Connectés sur ce fil1 connecté (0 membre et 1 invité)
Afficher la liste détaillée des connectés
|