[Immobilier] Le logement en tension ou en manque d'adéquation

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Perso je pense qu'il faut la carotte et bâton dans ce genre de cas. La carotte c'est faire en sorte qu'il soit rentable d'investir dans de l'immobilier sinon tu peux être sûr que l'argent ira sur autre chose de plus rentable. Sans pour autant tomber non plus dans le piège où on taxe plus rien ou alors on donne trop de niche.

Et le bâton ça serait de taxer tout logement vaquant alors qu'il pourrait être loué. Évidement c'est plus facile à dire qu'à faire puisque ça demande de contrôler sinon y aurait trop de moyen de contournement.

Parce que tout de même c'est absurde de se retrouver avec certains villes et en particulier Paris, où on a un tel problème de logement et de voir dans le même temps un parc immobilier sans locataire.
D'ailleurs y compris le cas d'avoir des immeubles de bureau qui au final sont vide faute de société pour louer les espaces.


Après faut pas se leurrer, y a des gens qui n'ont aucun intérêt à ce que ça change. Puisque cette tension tire les prix vers le haut donc si le problème persiste autant c'est aussi une histoire de gros sous (mais pas manque d'argent pour investir mais pour préserver un capital d'un baisse induite par une construction trop dynamique pour palier à la demande).
Citation :
Publié par Politroc
A partir de quand une société juge qu'entre la saleté d'une maison et une vie humaine, la maison doit rester propre ?
A partir de l'instant ou la saleté en question est telle qu'elle représente un danger (incendie en particulier) pour tout le voisinage par exemple. On ne parle pas de moutons sous les lits ou d'un peu de vaisselle sale dans l'évier. A plus forte raison si le SDF souffre d'alcoolisme, de toxicomanie ou de maladie psychiatrique. C'est un problème social et sanitaire majeur qui ne peut pas se régler en légalisant les squats, ni en laissant les gens crever dans la rue il faut de véritables moyens, un accompagnement (soins, formation, conseil) complet pour permettre aux personnes abîmées par la vie de se reconstruire, en ayant conscience que certaines ne pourrons pas être autonomes avant des mois, des années, voire jamais.


Par contre, je suis totalement d'accord avec ton refus de la dérégulation libérale : au RU, ils ont encore plus de SDF que chez nous, et la crise du logement y est féroce.
https://www.google.fr/search?q=housi...=1920&bih=1012
Citation :
Publié par Aloïsius
A partir de l'instant ou la saleté en question est telle qu'elle représente un danger (incendie en particulier) pour tout le voisinage par exemple. On ne parle pas de moutons sous les lits ou d'un peu de vaisselle sale dans l'évier. A plus forte raison si le SDF souffre d'alcoolisme, de toxicomanie ou de maladie psychiatrique.
La première étape de ce traitement, c'est d'avoir un endroit où dormir, sans logement stable, nombre d'actions quotidiennes sont un vrai calvaire.

Citation :
Publié par Aloïsius
C'est un problème social et sanitaire majeur qui ne peut pas se régler en légalisant les squats, ni en laissant les gens crever dans la rue il faut de véritables moyens, un accompagnement (soins, formation, conseil) complet pour permettre aux personnes abîmées par la vie de se reconstruire, en ayant conscience que certaines ne pourrons pas être autonomes avant des mois, des années, voire jamais.
Bien sûr, la rue comme la prison marque les individus à vie, sachant de plus que ce sont souvent des personnes qui ont eu une vie difficile voir très difficile avant.
Mais un toit fait partie des premières choses à leur fournir, de même que de quoi se nourrir, se vêtir, se laver, se soigner.
"Fournir un logement", ce n'est pas "laisser n'importe qui squatter n'importe où". Les squats sont souvent des lieux d'oppression pour les plus faibles (blabla expérience personnelle ok... Mais ces témoignages me semblent décrire un truc assez logique), y compris quand certains les enrobent d'une aura glamour d'anarchisme romantique.

Je suis personnellement favorable à des procédure comme le "housing first" dont parle cet article : http://www.liberation.fr/france/2018...e-city_1634039

Citation :
L’inconditionnalité de l’aide ne signifie pas que ses bénéficiaires sont livrés à eux-mêmes. Un accompagnement par une équipe pluridisciplinaire de médecins et d’assistants sociaux est mis à leur disposition.
Donc des logements publics, individuels* ou familiaux, conçus dans cet objectif, et où les gens peuvent être accompagnés. Pas de simples locaux inoccupés attendant démolition, forcés par une asso politique qui y installe trois canapés défoncés, deux migrants paumés et une droguée après avoir tiré un câble électrique à l'arrache.


* je ne parle pas d'architecture, hein... ici, le terme s'oppose à "communautaire".
Citation :
Publié par Aloïsius
"Fournir un logement", ce n'est pas "laisser n'importe qui squatter n'importe où". Les squats sont souvent des lieux d'oppression pour les plus faibles
Dépend pas mal du squat, de sa taille et de ses raisons d'existence. Je te rejoins sur le romantisme.

Citation :
Publié par Aloïsius
Pas de simples locaux inoccupés attendant démolition, forcés par une asso politique qui y installe trois canapés défoncés, deux migrants paumés et une droguée après avoir tiré un câble électrique à l'arrache.
Je pense qu'on s'est mal compris si tu as interprété ça de mes propos.
Citation :
Publié par Politroc
Je pense qu'on s'est mal compris si tu as interprété ça de mes propos.
J'habite à Montpellier, je fréquente les Cévennes, j'ai des potes en galère chronique, du coup j'ai tendance à réagir assez vivement chaque fois qu'on parle d'occuper des logements inoccupés de manière "spontanée".

Bon, après, dans un des quartiers, ils ont squatté un cimetière pour faire un potager, avec déterrage des morts et tas d'ossements à la clé pour faire de la place. Et là, c'est mal, mais j'ai rigolé.
Citation :
Publié par Ron Jaivenduà0.016
N'y a-t-il que ça comme niches fiscales dans l'immobilier ?
Peut-il être rentable d'investir dans un bien immobilier sur des années en le laissant inoccupé ? Question subsidiaire : comment peut-on en arriver à une telle aberration ?
Je vois pas quelles niches fiscales rendent intéressantes d'avoir un logement inoccupé.
Tu paies la TF (ridicule à Paris et Hidalgo n'a pas l'intention de l'augmenter parce qu'elle pense que ça compense des prix d'achats élevés et préfère recourir à l'emprunt parce que c'est plus sain avec des taux bas et donc la dette de Paris explose) et potentiellement une taxe sur les logements inoccupés.
Et tu vas par contre payer, ou plutôt faire payer, cher au moment d'une éventuelle succession.

Tout le monde ne pense pas en rentabilité. Mais même comme ça, t'as l'augmentation du prix de la pierre qui permet de rendre intéressant d'avoir un logement vide. Ben y'a des taxes sur les plusvalue sur les résidences secondaires !

Bref, au lieu de jouer aux devinettes, tu peux expliciter ?
Citation :
Publié par Zgarr
Après il faut tout de même les construire intelligemment, les foutres tous au même endroit où le terrain est pas cher c'est donne du ghetto invivable tout en contribuant à une sorte d'exclusion géographique, loin des bassins d'emploi, loin de transports en commun, loin administration et autres infrastructures culturelles.

Le fait de densifier dans les centre actifs plutôt qu'aller s'étaler au pif ça me semble aussi pertinent même si on fait moins

Après pour les sans abris on parle plus de refuge et centre d’hébergement, et là aussi il est difficile de les construire là où ils ne risquent pas de se rendre.
Je souscris pleinement aux précisions que tu apportes.

Il faut aussi mettre en relation immobilier et transports. Et en ce sens, on peut noter que le Grand Paris Express va largement permettre de rapprocher les zones de forte implantation de logements sociaux/paupérisés des zones d'emplois. Les lignes 15 et 16 notamment vont permettre de connecter une bonne partie des zones paupérisées du 93 et du Nord-Est du 94 avec les aéroports, les centres d'affaires et les zones industrielles.

C'est surtout la politique menée sous Jospin qui, sur le plan de l'immobilier, s'est avérée être une catastrophe. Pourtant cette politique était animée de bons sentiments et les objectifs à atteindre étaient louables. Mais a posteriori, la loi SRU a surtout aboutit à gaspiller des deniers publics en très grande quantité en obligeant les communes à acquérir des logements sociaux :
- à prix d'or là où l'immobilier est cher, c'est typiquement l'exemple de Paris, avec pour seul effet de lutter contre la gentrification faute de pouvoir véritablement consacrer les sommes nécessaires au logement des populations qui sont pourtant dans les critères d'octroi de logements sociaux.
- inutiles là où l'immobilier ne coûte rien puisque le marché privé était déjà en surcapacité avec des loyers très bas... donc on se retrouve localement avec un parc de logements sociaux qualitativement meilleur que le parc privé, sans perspective pour lui de s'améliorer puisqu'il ne trouve(ra) plus preneur.

Pour limiter la casse, certaines villes (dont Paris) obligent les promoteurs à inclure dans leurs programmes une certaine quantité de logements sociaux qui sont remis gratuitement... mais l'effet induit est d'augmenter le prix des autres logements dans les programmes neufs et donc de tirer les prix de l'immobilier vers le haut dans les zones déjà tendues. Autrement dit, pour essayer sans succès de créer le parc de logements sociaux requis par la loi SRU, on augmente le prix de l'immobilier et de ce fait on augmente le besoin en logements sociaux.

De toutes les façons, c'est toute la politique du logement social en France qui mériterait d'être réécrite. Et quand on s'intéresse aux enjeux en terme de finances publiques, on se dit que cet argent pourrait être bien mieux utilisé.
Citation :
Publié par Silgar
Pour limiter la casse, certaines villes (dont Paris) obligent les promoteurs à inclure dans leurs programmes une certaine quantité de logements sociaux qui sont remis gratuitement... mais l'effet induit est d'augmenter le prix des autres logements dans les programmes neufs et donc de tirer les prix de l'immobilier vers le haut dans les zones déjà tendues. Autrement dit, pour essayer sans succès de créer le parc de logements sociaux requis par la loi SRU, on augmente le prix de l'immobilier et de ce fait on augmente le besoin en logements sociaux.
Ca existe (dans ma ville c'est 25% de logements sociaux mini dans toute construction depuis au moins 20 ans), mais en aucun cas les logements sont donnés gratuitement aux sociétés de HLM.
Certes elles payent un peu moins cher au m² ce qui renchérit du coup un peu le reste des logements, et elles ne payent pas la TVA. Mais en contrepartie elles ne choisissent pas vraiment ce qu'elles achètent, elles prennent ce qui reste (RdC, exposition plein nord, etc).

En théorie c'est sensé favoriser la mixité sociale, mais en pratique c'est surtout de la dispersion de cas à problèmes et ça donne vraiment pas envie : 4 ans j'en ai un peu plein le cul et si je pouvais je me barrerai en maison individuelle bien qu'étant célibataire (ouh ... spa bien! je sais). Et je connais pas mal de monde qui pense la même chose, tout en ayant pas plus les moyens que moi d'acheter une maison vu les prix dans mon coin.

Le pire c'est qu'une bonne moitié de ce qui est acheté par le privé dans ma résidence c'est de la défiscalisation type Pinel, avec des loyers pas vraiment plus élevés que les HLM, mais étrangement des locataires bien plus "normaux".
Mais c'est vrai qu'au bout de 9 ans, quand la défisc tombe, les loyers risquent de grimper à l'occasion d'un changement de locataire.
Message supprimé par son auteur.
Le président s'engage en 2017 à faire de l'handicap priorité de son quinquennat, au même titre que l'égalité hommes-femmes diront les médisants, exactement!

https://www.franceculture.fr/emissio...macron-sengage

Résultat

Logement : les députés mettent fin à l'obligation de rendre 100% des logements accessibles aux handicapés

Citation :
Les députés ont voté une baisse drastique des logements accessibles aux handicapés. Malgré des critiques de la droite et de la gauche, l'Assemblée nationale a adopté, vendredi 1 juin, le projet de loi "Elan", qui fait passer de 100% à 10% la part de logements accessibles aux personnes handicapéesdans la construction neuve. Les 90% restants devant être "évolutifs".
Face aux critiques, Julien de Normandie a tenté de se justifier. "Le gouvernement est pleinement mobilisé" pour "la société d'inclusion" et la plupart des logements pourront évoluer tout au long de la vie via des travaux simples, en cas d'accident ou avec le vieillissement notamment, a justifié le secrétaire d'Etat auprès du ministre chargé de la Cohésion des territoires.


Une "grave régression sociale" selon les associations


Les associations représentant les personnes en situation de handicap ont dénoncé une "grave régression sociale".
https://www.francetvinfo.fr/sante/ha...s_2782799.html
Ce qui signifie que si j'achète un appartement neuf un jour, la chambre sera sans doute plus grande que les WC et pas le contraire.

Je pense depuis longtemps qu'un remboursement automatique et complet des travaux d'adaptation coûterait moins cher à la société. Avec la loi actuelle c'est un peu comme si on obligeait chaque personne à acheter un chien d'aveugle. Autant les lieux publics (voirie, administrations, magasins...) DOIVENT être accessibles à tout le monde, autant les lieux privés sont, ben, privés. Et c'est à la solidarité nationale de s'assurer que ceux qui ont besoin d'aménagements spécifiques pour vivre puisse les réaliser.

Après, supprimer les normes sans créer les subventions pour les remplacer, c'est idiot et trompeur, on est d'accord.
Bah c'est pas plus mal. Si à côté y'a une aide pour rendre les logements des personnes en ayant besoin compatible avec leur handicap. Parce que les norme handicapé pour l'habitation c'est une perte d'espace monstre. L'un des derniers appart que j'ai visité, la SBD était limite plus grande que la chambre....
Le remboursement total des travaux au cas par cas me parait une très bonne solution, par contre j'ai lu ça nul part, ils comptent le mettre en place? Si ce n'est pas le cas, c'est vraiment dommageable pour les personnes en situation d'handicap.
Citation :
Publié par Saink
Le remboursement total des travaux au cas par cas me parait une très bonne solution, par contre j'ai lu ça nul part, ils comptent le mettre en place? Si ce n'est pas le cas, c'est vraiment dommageable pour les personnes en situation d'handicap.
Franchement, c'est "LREM". Je doute très, très fortement qu'ils le mettent en place.
- Allo ? Oui, je suis intéressé par votre annonce pour un F2. L'appartement est toujours disponible ?
- Oui, pas de problème.
- Je suis en fauteuil, il faudra prévoir des aménagements.
- Ah désolé, je viens de le louer à l'instant.

C'est sûr que la mesure ne va pas coûter cher. En même temps, soyons honnête. C'est LREM, pas la république en fauteuil.

Accessoirement, je rappelle que les handicapés/personnes dépendantes ont aussi une vie sociale, vont voir leur famille, leurs amis...
Dans une société moderne comme la notre c'est dingue de ne pas prévoir des aménagements facilitant la vie aux personnes handicapés, ça me parait logique, je ne comprends pas pourquoi ils ont lourdés cette loi :/

Citation :
C'est LREM, pas la république en fauteuil.
C'est fin
sans doute parce que ça amène des logiques avec des appartements de 25 m2 dont 6 à 8 m2 juste pour la salle de bain ? Avec forcément un espace de 1,5m2 de diamètre entièrement libre de tout équipement au milieu de la salle de bain ou des toilettes ?
Citation :
Publié par Primura
sans doute parce que ça amène des logiques avec des appartements de 25 m2 dont 6 à 8 m2 juste pour la salle de bain ? Avec forcément un espace de 1,5m2 de diamètre entièrement libre de tout équipement au milieu de la salle de bain ou des toilettes ?
Et c'est mal? Je veux dire c'est toujours mieux que rien, ce qui est maintenant le cas.
Citation :
Publié par Saink
Le remboursement total des travaux au cas par cas me parait une très bonne solution, par contre j'ai lu ça nul part, ils comptent le mettre en place? Si ce n'est pas le cas, c'est vraiment dommageable pour les personnes en situation d'handicap.
Bein, y a déjà pas mal de trucs en place.
Quand tu es handicapé, tu peux recevoir des aides de l'ANAH, de la MDPH et aussi des crédits d'impôts pour réadapter ton logement.

Entre acheter son logement neuf plus cher pour qu'il soit aux normes avec une salle de bain et un couloir énorme alors qu'on est valide et qu'on le restera ptet toute sa vie, et acheter un logement pas aux normes moins cher, puis payer pour une mise aux normes en étant aidé par des subventions si jamais on devient handicapé, je te laisse voir ce qui est le plus pertinent.

Citation :
Avec la loi actuelle c'est un peu comme si on obligeait chaque personne à acheter un chien d'aveugle.
Mais c'est totalement ça, lol.
En plus du coup, ça a fait exploser le cout des logements neufs, je trouve la décision vraiment pertinente, après c'est sûr que c'est facile de taper dessus en mode "Bouh, ils aiment pas les handicapés" mdr.

Citation :
Publié par Saink
Et c'est mal? Je veux dire c'est toujours mieux que rien, ce qui est maintenant le cas.
Bein, ça revient à acheter un 15m² au prix d'un 25m² quoi. Ça créer une montée du prix du neuf qui entraine une augmentation globale des prix de l'immobilier qui va se répercuter sur les loyers. Et donc augmenter les dépenses dans le logement et paupériser encore un peu plus les gens (en particulier les classes pauvres et moyennes).

Dernière modification par Doudou Piwi ; 03/06/2018 à 13h19.
Citation :
Publié par Saink
Et c'est mal? Je veux dire c'est toujours mieux que rien, ce qui est maintenant le cas.
D'avoir 8m² de SdB quand ton appart ne fait que 25 ? Bah si ça te dérange non, perso avoir des m² inutilisable ça me fait assez chier...
Hum je comprends mieux, quoi qu'il en soit ça semblait important pour les assos, je suppose aussi que ça dépend ou tu t'installes, à Paris, proche banlieue ou à la campagne. Si je comprends bien maintenant il ne reste que les aides que Doudou a cité, est ce vraiment efficace?
Citation :
Publié par Aeristh
D'avoir 8m² de SdB quand ton appart ne fait que 25 ? Bah si ça te dérange non, perso avoir des m² inutilisable ça me fait assez chier...
Taille moyenne d'un appartement neuf en IDF : 65m². En Auvergne : 82 m²

@en-dessous : effectivement, c'est 64,4 m² pour Paris. Différence substantielle. Concernant les villages, il y a rarement des appartements. Et ceux qui vivent en grande banlieue ont forcément moins d'argent que ceux qui vivent à paris.

Dernière modification par Mahorn ; 03/06/2018 à 17h01.
C'est le genre de moyenne qui ne veut rien dire. L'IDF ça va de Paris à des petits villages en passant par des villes de taille moyenne. Sur Paris et la proche banlieue, là où le logement est tendue et où on manque de place, c'est pas 65m² la taille moyenne d'un appartement neuf.
Que les rez de chaussé soit equipé, why not, que 100% des appart/habitations le soit, c'est une depense un peu folle ouais.
Et avec une "bourse" permettant d'amenager un appart si besoin et/ou la possibilité d'etre prioritaire meme sur un appart habité (mais pas par une personne necessiteuse) avec l'obligation de recaser dans une habitation equivalente, je vois pas quels problemes ca poserait (si les rez de chaussé sont equipés par defaut quand meme).

Pour repondre au besoi nde la famille/amis , si le rez de chaussé est equipé, ca veut dire un acces par rampe minimum (en dehors de l'equipement specifique a l'appart), la plupart des lieux doivent avoir un ascenseur non? Ya t il besoin de plus pour du ponctuel ? (un repas de famille etc) Le 100% etait un peu fou qd meme.
On peut facilement trouver un juste milieu (mais j'avoue rejoindre les sceptique quand au fait qu'on aille pas dans une autre extreme du minimum de service aujourd'hui).
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