Second life: virtualité ou réalité?

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On remarque que deux post sur jol, traitant du sujet RP love, amène beaucoup de lecteurs et d'avis différents, celui-ci amène aussi d'autres sujets mais qui, traité dans ces post, serai sortis du sujet.

Qu'en est il sur un sujet plus vaste comme "sl, virtualité ou réalité" et l'ensemble de ses activités et des comportements liées.

Le dernier sujet traitant de l'amour sur sl à été fermé (dommage car ça rentre dans la charte, personne c'est insulté et certains auraient peut être voulu s'exprimer plus tard bref...)
Je n'ai pas eu le temps de répondre à fabrice tebaldi qui justement faisais rebondir un sujet plus vaste que le rp love.

En gros est-ce que chaque activité sur sl est une forme de concrétisation réaliste ou bien de virtualité total...ou un mélange des deux et bien sur, est-ce un palliatif à sa RL.



Aussi, il est marrant de voir quel style d'utilisateur nous sommes sur second life, pourquoi nous y somme et pourquoi nous faisons ces activités.

J'ai trouvé un article intéressant de Dominique cardon, sociologue chez sense d'orange labs.
ici

Je met ici le diagramme :

http://www.monsterup.com/upload/1226953036.jpg

Son étude est intéressante, pour ceux qui ont la fleme de lire je fait un petit condensé, il distingue et défini plusieurs catégories d'utilisateurs :

-le paravent :
Les participants ne sont visibles aux autres qu’à travers un moteur de recherche fonctionnant sur des critères objectifs. Ils restent “cachés” derrière des catégories qui les décrivent.

-Le clair-obscur:
Les participants rendent visibles leur intimité, leur quotidien et leur vie sociale, mais ils s’adressent principalement à un réseau social de proches et sont difficilement accessibles pour les autres.

Le phare :
Les participants rendent visibles de nombreux traits de leur identité, leurs goûts et leurs productions et sont facilement accessibles à tous.

Le post-it:
Les participants rendent visibles leur disponibilité et leur présence en multipliant les indices contextuels, mais ils réservent cet accès à un cercle relationnel restreint (Twitter, Dodgeball).

La lanterna magica :
Les participants prennent la forme d’avatars qu’ils personnalisent en découplant leur identité réelle de celle qu’ils endossent dans le monde virtuel (Second Life)
tout en rendant encore rare l’articulation avec l’identité et la vie réelles des personnes.



Voici mon avis, il n'est pas une leçon de moral, j'aborde second life de cette manière.
Je suis clairement dans le domaine phare, la nuance étant que je ne l'étale pas, si on me demande je n'ai aucun problème sur ce sujet.

Je ne perd pas un instant que les avatars cachent des gens bien réel, mes relations amoureuses sont basé que sur la réalité, mon travail encore plus.
Je n'ai aucune approche virtuel sur second life, j'y viens pour builder et vendre, discuter, échanger, il m'est aussi arrivé de draguer.

virtuel :
Est qualifié de virtuel un être ou une chose n'ayant pas d'existence actuelle (c'est-à-dire dans les faits tangibles), mais seulement une existence dans l'imagination.



Personnellement je pense que les métaverses peuvent être dangereux.
Si chaque jour, on a qu'une hate c'est de se connecter, si on commence à zapper ces amis RL pour rejoindre ses amis SL autour d'un bar en 3d, si l'on a hate de rejoindre son amoureux/se avec qui on discute depuis de long mois sans notion de contact réaliste il y-a certainement danger.

En parlez vous à vos proches RL, je parie que non et si vous n'en parlez pas, posez vous la question bien fondé... pourquoi?


Je soulève aussi un mot dérangeant mais intéressant...nolife.
Ce mot est péjoratif, tout le monde se braquerais d'etre traité de nolife, il ne s'agis pas de dire un-tel est nolife ou l'autre pas, mais quand est-il de la définition.

Même si wikipédia n'est pas une bible, voici un extrait :

Aujourd'hui, beaucoup de nolifes pensent garder une vie sociale saine, ils passent le reste de leur temps libre sur leur ordinateur sans que cela n'affecte pour autant, à leurs yeux, leur personnalité et leur vie sociale de manière dangereuse. Pour eux, le jeu est un loisir comme un autre, et le terme nolife, dans les jeux vidéo, est perçu comme une banalité.



Donc je pose une question.
Si cette second vie et ses activités remplacent en terme de facteur temps...nos loisirs, nos émotions, notre propre identité...n'est ce pas une façon de se perdre? On pourra donc dire que notre facteur temps virtuel surpasse notre réalité.

N'en doutez pas, demain la technologie vous fera croire que vous volez, on pourra même jouir, toucher sentir.
Je serai le premier à essayer...addicte je ne sais pas.

Ce post n'est pas une chasse aux sorcières, il permet de donner son avis et d'exposer son point de vue sur sa propre façon d'aborder second life (ainsi que ses activités).

Possible que je me fasse modérer, j'aurais tenter d'ouvrir un débat, certes houleux, mais qui concerne et intéresse pas mal de gens.
Ah c'est marrant parce que Nuage m'avait orienté sur un article de Cardon il y a quelques jours, avec une polémique de sociologues derrière, et un test que nous avions fait.
Quelques échanges entre nous.
Vaste sujet Dareoner, intéressant. Je réfléchis, et je reviens si c'est encore ouvert
Le débat sur la virtualité et la réalité a déjà été posé ici, avec plus ou moins de succès, mais la question est posée avec un éclairage sérieux, j'interviendrais donc (en faisant fis du caractère enfantin du -"le vilain modo à fermé mon fil alors je lui fais la honte ne montrant que je fais des posts sérieux- qui entraîne instantanément un hors sujet d'autres protagonistes de la dérive du fil précédent)

Le modèle de Cardon a pour but une typologie des plateformes relationnelles, et non des façons dont ces plates-formes sont utilisées, d'où la relative non pertinence de ce modèle selon moi pour décrire la façon dont chacun utilise une seule de celles-ci, Second Life.

Ce d'autant que l'on peux avoir plusieurs avatars avec des "utilisations" différentes comme le RP, un travail sérieux en rapport avec son activité de touts les jours, ou cumuler avec le même avatar plusieurs attitudes face à la "réalité"de la personne qui manipule l'avatar.

Je met le mot "réalité" entre guillemets, car, en plus, comme le dit toujours un certain opticien célèbre en ces lieux, le virtuel fait parti du réel, il n'en est pas l'opposé, nos relations dans SL ne sont pas "irréelles" elles ont donc potentiellement tout autant de fonctions et de formes que les relation réelles, je pense.
Citation :
Publié par Le Masqueur Posté
Le débat sur la virtualité et la réalité a déjà été posé ici, avec plus ou moins de succès, mais la question est posée avec un éclairage sérieux, j'interviendrais donc (en faisant fis du caractère enfantin du -"le vilain modo à fermé mon fil alors je lui fais la honte ne montrant que je fais des posts sérieux- qui entraîne instantanément un hors sujet d'autres protagonistes de la dérive du fil précédent)

Le modèle de Cardon a pour but une typologie des plateformes relationnelles, et non des façons dont ces plates-formes sont utilisées, d'où la relative non pertinence de ce modèle selon moi pour décrire la façon dont chacun utilise une seule de celles-ci, Second Life.

Ce d'autant que l'on peux avoir plusieurs avatars avec des "utilisations" différentes comme le RP, un travail sérieux en rapport avec son activité de touts les jours, ou cumuler avec le même avatar plusieurs attitudes face à la "réalité"de la personne qui manipule l'avatar.

Je met le mot "réalité" entre guillemets, car, en plus, comme le dit toujours un certain opticien célèbre en ces lieux, le virtuel fait parti du réel, il n'en est pas l'opposé, nos relations dans SL ne sont pas "irréelles" elles ont donc potentiellement tout autant de fonctions et de formes que les relation réelles, je pense.
Si ce post doit etre clôturé, qu'il le sois, j'ouvre certainement un débat un chouille différent car il aborde des addictions, ses dangers et ses facettes....ou pas.

Le diagramme de cardon comporte aussi, pour moi, quelques oublis et notamment ceux que tu cite.
Il ne défini donc pas second life dans son intégralité, cependant on peut y trouver pas mal de choses similaires.

Oui le virtuel fait partis du réel, mais on peut voir beaucoup de protagonistes qui disent le contraire...le débat est ouvert, j'ai donné mon point de vue et soulevé des questions.


Noodle: tu n'es pas la dernière, qui malgré la modération, donne son point de vue.
J'ai donné mon avis en début de phrase sur la fermeture du dernier post...passons à autre chose, du moins essayons.
Ton point de vue est le bienvenue.
Question
Citation :
Publié par Le Masqueur Posté
Le modèle de Cardon a pour but une typologie des plateformes relationnelles, et non des façons dont ces plates-formes sont utilisées, d'où la relative non pertinence de ce modèle selon moi pour décrire la façon dont chacun utilise une seule de celles-ci, Second Life.
Je partage tout à fait cet avis.

Cela me fait penser au "Magic quadrant" du Gartner Group. Dans les deux cas, ces diagrammes ne proposent qu'une vision statique des faits, c'est à dire une sorte de photo instantanée établie selon des critères plus ou moins tangibles (en gros, ces critères de classification peuvent se révéler exacts à un instant T puis ne plus l'être quelques temps plus tard).

De plus, comme le dit "Le Masqueur Posté", le diagramme ne prend pas en compte la (ou les) façon dont ces médias électroniques sont utilisés par chacun, qu'il s'agisse de Second Life ou d'un autre support.

Enfin, classer les participants de Second Life de façon arbitraire dans la bulle "lanterna magica" me semble pour le moins douteux (c'est le danger de toute pseudo-étude sociologique qui se contente de définir des archétypes "vite fait bien fait"). La critique est la même pour tous les autres diagrammes du modèle en question.



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La répartition du modèle de Cardon en 5 catégories, reprise dans le message de dareoner qui ouvre le fil, peut par contre être utile pour indiquer comment chacun et chacune se "positionne" à l'intérieur de Second Life. S'il faut une définition catégorielle, pourquoi pas celle là après tout.

Maintenant, j'ai une question : quel est le sujet du thread ? S'agit-il d'établir son propre "profil" SL, décrire comment on se voit soi-même sur SL, tenter d'établir où se trouve l'investissement réel qu'on injecte dans SL, mesurer son taux de dépendance etc.. etc... ? Et s'il ne s'agit pas de ça, quel est le sujet ?

Marchi d'avônce d'éclairer ma lanterne.
Pareil que le sujet précédent :

-On évite les HS et le flood, car sur plusieurs pages après ça devient une horreur.
-Bien sur, pas de troll et d'attaques personnelles.
-Pas d'images un peu limite comme sur l'autre sujet.
-Pas de discussion sur la modération du post précédent, pour cela il y a les MPs, ou bien le formulaire pour contacter les coordinateurs de modération.

Et alors tout devrait bien se passer.
Excellente idée que ce sujet Dareoner. On l'aborde souvent en complément d'autres thèmes ici et ça mérite une discussion à part.
Vais prendre le temps de lire et gamberger un peu mais ça rejoint une idée évoquée avec Oklysh en MP mais sous un autre aspect ... et sans doute plus sérieux.

Pour le reste, chuis pas fan de lock mais il y avait quand même eu 20 pages sur un sujet animé, ce qui n'était pas arrivé depuis longtemps et c'est tout de même agréable ... Je préfère voir le positif des choses même s'il n'y a pas que du positif.

Je reviens ...
.
Effectivement la catégorisation est un peu limitée mais au moins cela a le mérite d'exister. Ya plein de sujets différents et de question en vrac Dareoner donc du coup c'est compliqué de te répondre ...

A mon avis, je dois être en mode Lanterna Magica ... toutefois ce modèle est pour moi loin d'être figé et c'est sans doute tout l'intérêt de SL ... C'est cette évolution et ces changements, cette interaction permanente au travers des expériences et les réflexions que cela produit.

Ensuite tu parles des dangers et de l'aspect no-life ... Oui sans doute il y a des dangers ... mais moins que quand tout à l'heure quand je vais monter dans ma voiture pour aller faire quelques courses. Là je serai sans doute en danger.

No-life ... Pour parler franchement, je suis beaucoup moins "no-life" depuis que je joue à SL.
Il y a qq années, j'ai tout plaqué et je suis allé m'enterrer dans un trou (très agréable avec plein de verdure) parce que la société me gonflait prodigieusement. Et j'ai fait le ménage autour de nous au niveau relations et amis. C'est toujours le cas. Toutefois, pour une multitude de raisons (et SL est une de ces raisons), la période de no-life est en train de s'estomper ... Et SL aura été un des agents de cette reprise d'intêret pour le monde environnement ... Non que je vais reprendre la vie de ouf que j'avais ya qq années ... Boulot-Pognon-Sorties-Stress-Dodo-Métro ... Plus jamais ça !!!

Mais il y a de nouveau une envie de s'impliquer un peu plus dans un monde extérieur qui pour moi va droit dans le mur ... On va de nouveau tenter d'influer un peu ... avec mes envies et mon mode de vie.

Quand à parler de SL autour de moi ... Oui ... Mais en général cela va d'une forme d'indifférence au désintérêt donc je n'insiste pas ... Je me dis que je dois faire le même effet que lorsque Jacky me parle du tuning de sa 205 GTI ... Chuis pas très bon en mode prosélyte ... Tu aimes tant mieux ... t'aimes pas tant mieux itou mais vient pas me prendre la tête.

Pour conclure ... Après être passé par une période de 10 à 12h quotidienne, je tourne entre 0 et 5 heures par jour. Et je peux passer plusieurs jours sans "jouer" ... tout comme y passer une journée ... Mais je suis sans doute plus addict à JoL et à Internet qu'à SL au final.

PS : et pour terminer par un petit sourire, spécial clin d'oeil à mon ch'tit clown préféré

http://img265.imageshack.us/img265/5088/sanstitrerd3.jpg

Et puis ... cette BD n'est-elle pas un exemple parfait de réalité, rêve, virtualité et fantasme mélangés ... Une BD dans laquelle je me suis plongé avec délices à un époque ... Palliatif ? Loisir ? Distraction ? Un peu de tout sans doute ...

/me craque une allumette en pensant à un petit fantasme qui le serre de près en ce moment ...

https://forums.jeuxonline.info/%5BURL=http://imageshack.us%5D%5BIMG%5Dhttp://img265.imageshack.us/img265/5088/sanstitrerd3.jpg%5B/IMG%5D%5B/URL%5D
Si je devait me définir sur une catégorie, je penche plutôt pour la catégorie "clair-obscure" mais sûrement du a ma méfiance maladive je dirai même que je suis plus méfiante encore sur SL qu'en RL...

-le terme "no-life" je l'ai pris souvent dans la tronche celui la par des "amis" connaissances autour de moi, et bien souvent pas des gens qui ne ce servent d'un pc que pour le boulot etc...au début ça me mettait quand même plus ou moins en colère, maintenant ranafoot...j'ai une socialisation, un job, des enfants, des amis hors sl et wow (vi je fait partie des boulets qui joue a wow clein d'oeil à Oklysh) je me considère pas comme "no-life" et quand bien même c'est ma vie, je la mène comme je veux ! non mais !

-les dangers : Oui je pense que sur sl y a du danger pour les personnes instable, tout est multiplier, tout va très vite..les sentiments, connaissances etc...le danger viens surtout du recul que l'on peut avoir sur les gens et si ils partagent ta vision de la plateforme ou non.

-SL j'en parle un peu, pas forcement très bien perçu d'ailleurs...donc maintenant je me bat pas non plus pour faire valoir mon point de vue a ce sujet, je laisse plutôt tomber.

-ma période de connections a vue une chute vertigineuse de 10/15h par jour à 1 ou 2 h voir pas du tout, j'ai fait un vrai breack de plusieurs mois. et la avec l'extension de wow qui viens de sortir, je pense pas être trop présente sur sl dans les jours/semaines a venir (dépend de mon temps à pex au level 80 re clein d'oeil à Oklysh)

Voila le point de vue d'une peusdo no-life qui file vite bosser
Quelques idées plaquées vite fait au passage.
D'accord avec Corrinaa et le marqueur. le schéma monte situe juste des plateformes avec leur utilisation théorique attribuée par Cardon, voire les créateurs des plateformes. Leur utilisation réelle peut être "détournée" ou "améliorée" par les utilisateurs qui s'approprient l'outil.

Si j'étais méchant je dirai que le schéma est une représentation soignée pour un powerpoint de sociologue d'entreprise.
Il est à prendre ou à laisser en bloc, il est joli, mais veut-il dire quelque chose. Dans des commentaires sur le sujet de la pudeur, cardon critiquait aussi son propre schéma, mis sérieux mi ironique, sur le mode du type qui a pondu un truc mais à qui on ne la fait pas.
Rien ne vaut à mon sens un discours construit, un essai, une démonstration.

Par ailleurs la distinction entre réalité et virtualité m'apparaît aussi artificielle. SL est dans la réalité qui influe sur son utilisation et sur laquelle il influe. Ce n'est pas un monde à part, en dehors. Si on fait le parallèle avec l'utilisation addictive d'un produit, il ne viendrait à personne l'idée d'affirmer que l'on s'absente du monde réel sous l'emprise de stupéfiant ou d'alcool. Nous y sommes encore, sous un autre mode, sous un autre aspect.

D'ailleurs si il y a danger, c'est plus pour moi un danger collectif qu'un danger individuel. Evidemment, à travers l'utilisation abusive de sl, le "nolife" va se désocialiser. Ce sera un "échec" individuel, une trajectoire éventuellement tragique, mais j'allais dire : "et alors ?".
Lorsque je rencontre certains toxicomane, à l'alcool, aux drogues, à ce que vous voulez, j'ai parfois du mal à être convaincant en leur disant d'arrêter. Je le fais, évidemment, mais au delà des recommandations médicales, je n'ai pas de modèle de vie à leur fournir, clef en main, ni les moyens de les aider pour y arriver.
Un danger collectif car cela pourrait détourner (comme les autres addictions à internet) une part non négligeable de la population des préoccupations sociales, politiques. Les détourner de leur implication dans les affaires de la cité. La version moderne du pain et des jeux.

S'il faut en revenir à soi pour illustrer le propos et alimenter le sujet, disons que je n'utilise pas second life pour me créer une identité de fantaisie, un véritable identité virtuelle. J'essaie que mon avatar soit le plus proche possible de ce que je pense être. Je ne peux pas m'affranchir totalement dans l'exercice d'une certaine projection narcissique, d'un moi qui subit d'abord le filtre de mon propre regard avant de se donner à voir.
Mais grosso modo, mon personnage est moi. Il fait ce que je pourrais éventuellement faire. Il ne fait pas ce que je ne pourrais jamais faire.
Mes proches sont au courant. Ils savent ce que j'y fais.
Mes collègues de travail sont au courant; Cela peut faire l'objet de conversation sans aucun tabou. Ils ne connaissent pas le nom de mon avatar mais pourraient facilement l'avoir s'ils souhaitaient un contact IW.

Je participe à des réseaux politique, syndicaux par d'autres moyens sur le weB. Je participe à des réseaux professionnels.
J'ai un blog totalement fermé à tout autre, où je suis le seul à mettre les pieds.

Dans le schéma de cardon, je me situerais, en dehors de site genre meetic, un petit peu partout.
Ma catégorie sl . S'il faut choisir, plutôt phare : rien n'est secret, tout peut se dire et se partager.
Encore que la catégorie phare soit sujette à caution. Finalement nous savons bien que les informations distillées ne vont rester disponible que pour un public restreint qui sera en mesure d'aller chercher l'information. Ce public restreint évoluant dans les mêmes eaux.
En cela l'ouverture n'est jamais totale, et nous sommes plus ou moins dans le clair-obscur.

Ah, et je suis fiché à la dcri (forcément)
Citation :
Publié par dareoner
Personnellement je pense que les métaverses peuvent être dangereux. Bien sûr dangereux, glisser peu à peu vers le "no-life"... maintenant, je pense que lorsque tu as des signaux d'alerte et que tu en prend conscience, c'est assez facile de tirer sur le bouton "arrêt" et freiner en douceur ou brusquement. Cependant, c'est la même chose avec un forum, Flickr, SMN, etc... tout ce qui peut être en contact avec autrui par le biais du non "RL" dans un 1er temps.

Sl et moi : j'y suis arrivée par hasard, par curiosité et aussi, il y a 2 ans, éloignée de la famille, dans une région inconnue, sans social, la naissance de mon 3è enfant et la perte brutale de mon père...
Donc beaucoup de temps de connexion (bon même si j'étais pas mal AFK).
Depuis avril 2008, j'ai fortement réduit. Je me suis recentrée, agis comme un électron libre au gré de mes envies à moi (concerts, pict, discussions, rires, aller + facilement vers les autres, mais autres que francos, et d'un mini groupe de potes ou d'ami(es) francos.

En parlez vous à vos proches RL, je parie que non et si vous n'en parlez pas, posez vous la question bien fondé... pourquoi? SL est également installé sur le PC de mon mari où parfois je peux me log, et que monsieur est à proximité. Pour lui, SL est un jeu (lui, il WOW)et là, j'ai tendance à me fâcher gentiment avec lui , ou un truc de luc et là j'explose de rire à chaque fois qu'il me sort ça, au même titre qu'il me balance "vite, dépêches-toi, tu vas louper ton amant" ...
Et dernièrement, j'ai montré à ma mère, tout comme je lui ai parlé d'une personne "rencontrée" sur SL et qui m'est très chère.

Je pense être proche de ça, véritablement
-Le clair-obscur:
Les participants rendent visibles leur intimité, leur quotidien et leur vie sociale, mais ils s’adressent principalement à un réseau social de proches et sont difficilement accessibles pour les autres. sélection naturelle , intuitive.
Une personne, une fois, a enfoncé des portes chez moi... mais à la suite de quoi, m'a blessée... Alors possible que depuis, je puisse à la fois me "livrer" comme me "refermer".

Pour moi, un "no-life", c'est une personne, qui ne sait plus dire stop au virtuel, quelqu'il soit (plate-forme, jeux, etc...). Qu'elle y plonge totalement et s'identifie totalement à son avatar, à une histoire qu'elle peut s'inventer, au rejet total de la RL... du moins perdre la notion du "QUI JE SUIS RELLEMENT". Et ça, j'en ai vu ici ou sur SL, pas vous? C'est vraiment triste pour ces personnes, et parfois je me demande ce que font leurs familles RL, ami(es) etc...

C'est mon avis à moi, toute seule et personne d'autre et que je m'aime bien, pour le meilleur et le pire En tout cas, une chose est certaine, j'assume pleinement mon avatar, qui est la projection de mon moi (même si je me suis égarée, un court moment, sur un chemin qui n'était pas le mien)! Avec tous ses défauts
Citation :
Publié par Chrissou Subagja
(vi je fait partie des boulets qui joue a wow clein d'oeil à Oklysh)
Nobody's perfect... My name is nobody.

Citation :
Publié par vallys baxter
Pour moi, un "no-life", c'est une personne, qui ne sait plus dire stop au virtuel, quelqu'il soit (plate-forme, jeux, etc...). Qu'elle y plonge totalement et s'identifie totalement à son avatar, à une histoire qu'elle peut s'inventer, au rejet total de la RL... du moins perdre la notion du "QUI JE SUIS RELLEMENT". Et ça, j'en ai vu ici ou sur SL, pas vous? C'est vraiment triste pour ces personnes, et parfois je me demande ce que font leurs familles RL, ami(es) etc..

On a pas la même définition du no life alors (bien qu'il n'y ai pas de réelle définition, c'est plus une interprétation).

Pour moi un no life est quelqu'un qui n'a pas de vie. Quand il est employé pour les jeux vidéos, et plus souvent pour les jeux en ligne, pour moi ça ne veut pas forcément dire être déconnecté du monde réel et s'identifier à son personnage.
Pour moi c'est juste quelqu'un qui à un temps de jeu tellement énorme, qu'il ne fais plus rien à coté, et donc n'a plus de vie.
J'ai d'ailleurs eu ma période no life sur DAoC il fut une époque, ou pendant presque un an j'ai joué 18 heures par jour.

Casual gamer => Gamer => Hardcore gamer => No life. En fait pour moi c'est juste un surnom comme d'autres pour un joueur plus ou moins assidu.
Je pense qu'on peut cependant catégoriser la tranche d'age des utilisateurs en fonction de l'utilisation qu'ils en font. "L'expérience de jeu" peut être une façon d'expliquer les différentes visions sur tel ou tel sujet.

Certains sont nés avec une manette de jeux entre les mains, ils ne jouaient plus ou très peu aux "barbie - légo - action man", mais préféraient délirer avec Mario le plombier. On peut dire que ces utilisateurs ont une expérience au virtuel quasi immédiate. Ils ont une relation au virtuel fusionnelle, au même titre que la réalité, elle fait partie de leurs vies et cela ne les dérange pas. Ils n'ont pas eu à s'adapter à ces nouvelles technologies, ils maîtrisent les outils du web et du multimédia comme Nadal avec sa raquette. On peut suggérer que ces "Joueurs" ressentent et vivent des émotions à travers tous ces personnages et ces histoires virtuelles sans pour autant devenir psychotique et risquer de terminer dans un asile. Ils arrivent à cohabiter avec toutes ces facettes de leurs personnalités.

Mais il y a eu un avant "virtuel", et la génération précédente a du s'adapter à tous ces nouveaux codes. Maintenant on voit les grands développeurs de jeux vidéos cibler un plus large public. Ils s'attaquent à toutes les générations et mamie peut jouer à la wii avec son petit fils sans problème. Mais cela reste une activité, un loisir et n'a pas de but en soi. C'est juste pour le fun, et si en plus elle peux acquérir une habilité supplémentaire pour améliorer sa réalité c'est encore mieux. Pour reprendre l'exemple du "palliatif", si mamie joue à la wii c'est parce qu'elle veut améliorer son swing ou tout simplement garder la forme. Peut être qu' après avoir explosé son petit fils à la wii, elle ira défier les grands sur une pelouse verte dans la réalité.

Je pense que Second Life réuni toutes ces générations de joueurs, avec des expériences de jeux très variées. L'un peut avoir 15 ans d'expérience de jeu sur d'autres plateformes tandis que son voisin a installer Second Life en même temps qu'il a appris à se servir d'internet. Du coup le rapport au virtuel sera totalement différent et les 2 utilisateurs ne pourront peut être pas se comprendre. Ou du moins l'attente sera différente.
Citation :
Publié par TomateYcrouton

PS : et pour terminer par un petit sourire, spécial clin d'oeil à mon ch'tit clown préféré

Et puis ... cette BD n'est-elle pas un exemple parfait de réalité, rêve, virtualité et fantasme mélangés ... Une BD dans laquelle je me suis plongé avec délices à un époque ... Palliatif ? Loisir ? Distraction ? Un peu de tout sans doute ...
Bien vu le choix du tome !!!! Merci Toto !!!

Ben vi, ma BD est le reflet de SL et moi aussi je m'y suis plongée avec délices, même si je n'étais qu'ado à l'époque (merci pour le clin d'oeil Toto)
Et Musky/ie est mon pseudo depuis mon 1er PC avec accès au net et au 1er monde virtuel (deuxième monde).

Petite présentation de Wikipédia :
Citation :
Œuvre de science-fiction monumentale explorant tous les thèmes de la psychanalyse et les mythes fondateurs de l'humanité, à travers le parcours d'Axle Munshine, un haut fonctionnaire d'un empire galactique appartenant à un univers parallèle et de son compagnon d'infortune, Musky, une éternaute au sexe d'abord masculin qui, durant la progression de l'histoire, tombe en amour et change pour le sexe féminin, comme sa race le lui permet.
Plus loin dans l'histoire, Musky se fait kidnapper et enfermer dans un caisson, où elle change de monde pour arriver dans le nôtre. C'est alors Muskie, la fissoeur de Musky, de sexe également féminin qui prend sa place aux côtés d'Axle. Musky et Muskie, toutes deux éternautes, paraissent âgées de 13 ans, mais ont en fait 300 ans, étant immortelles jusqu'à ce qu'elles décident de vieillir pour quelqu'un.
...et j'ai trouvé mon compagnon de voyages, Mister Bluu, dans le rôle d'Axle


Citation :
-Le clair-obscur:
Les participants rendent visibles leur intimité, leur quotidien et leur vie sociale, mais ils s’adressent principalement à un réseau social de proches et sont difficilement accessibles pour les autres.
Voilà où je me situe sur le net en général et plus particulièrement sur SL, à la différence qu'il faut croire que mon monde et/ou moi ne sommes apparemment pas difficilement accessibles.

J'ai été "addict" à plusieurs "jeux" virtuels, avec à chaque fois, cette nécessité de m'investir personnellement pour les autres.
Dans le 2ème monde, j'organisais des visites guidées de ce Paris virtuel pour les noobs débarquant dans le jeu.
Sur un autre jeu, j'ai créé un site, un forum et même des rencontres RL pour les joueurs...
Sur SL, j'ai voulu regrouper mes amis créateurs et jouer à la marchande.

Suis je une nolife ??? Non J'ai une vie RL de toute façon qui ne me le permettrait pas et qui restera toujours prioritaire à mes yeux.

J'aime explorer toutes les possibilités d'un "jeu" mais je peux tout aussi bien l'abandonner du jour au lendemain. Bon, sur SL, y'a un hic... tellement de choses dans le domaine créatif à explorer que je m'y perds un peu et que je suis encore loin d'avoir fait le tour.
Je me connecte essentiellement le soir, 3/4 heures, mais il n'est pas difficile pour moi de ne pas me connecter. J'évite en journée, surtout le week end, car je sais très bien que je ne verrai pas le temps passé et que je peux y passer des heures de par mes activités SLiennes.
Je ne m'ennuie jamais sur SL, j'ai une TO DO list impressionnante pour ma petite "entreprise" même si je n'ai pas pour but de faire fortune, juste de payer mon loyer. On me prend juste pour une folle... boulot RL/ boulot SL.... faut être un peu syphonnée

Je ne RP pas, dans le sens, jouer un rôle qui n'est pas moi. Je ne suis pas fashion addict (malgré le forum), changer de fringues tous les jours me fatigue (sur SL hein ?) mais j'aime avoir un joli avatar tout de même. En aucun cas je ne m'identifie à lui, c'est juste une poupée de pixels

Je ne parle que très rarement de SL en RL, cela reste mon petit monde comme je ne parlais pas des autres jeux avant. Parfois, j'aimerai et quand cela m'arrive, le regard de certains ne m'encourage pas à continuer : cela reste puéril à leurs yeux, autant que jouer à WoW ou aux Sims.
bonne question

Second life fut pour moi d'abord purement virtuel (c'était pour voir des potes d'un forum) - mais on y rencontre des gens réel, je crois que ça dépend des limites qu'on se donne. Je ne faisait pas de rp, donc les rencontre avait un coté plutot rl de création de lien (avec de bonnes et mauvaises surprises)

Il m'arrive d'y passer 3/4 heures comme 20 mn. Je suis plus accros au net en fait

Cela dit le Virtuel SL m'a étonnement permis de rencontrer quelqu'un en RL (bisou mon ) - un Roleplayer qui n'en ai pas a son premier jeu. SL nous permet de nous "voir" tout les jours malgré la distance tout en s'amusant, rencontrant des gens et faisant du rp

Cela dit cela reste virtuel (pour moi) on y montre ce qu'on veut bien montrer. Ce n'est qu'en franchissant le barrière (cam, rencontre rl ) qu'on franchi la frontière entre les deux
Citation :
Publié par Blanche Neiige
...
Pffiiiiiiiii ... elle cause de mieux en mieux Blanche Neiige A croire qu'elle a déjà pas mal gambergé sur le sujet
J'peux faire le stroumph grognon à tes côtés ? Promis j'irai pas farfouiller sous ta jupe (girl with a little extra repered ... quoique).
SL pour moi est un loisir comme un autre où je manie un personnage que je déguise au gré de mes envies et de mes goûts.
Elle ne représente pas grand-chose pour moi malgré une certaine fierté quand je la trouve jolie où bien habillée.
Mon compagnon rl trouve que sl c’est débile mais ça ne le dérange pas que j’y joue mais faudrait pas que j’y passe tout mon temps quand même hein, il a ses loisirs à lui, moi les miens puis les nôtres.
J’ai un partner depuis 1 an avec qui je partage énormément de choses, des discussions, des rigolades et surtout une très grande amitié qui même si elle n’existe que par le biais de sl, a beaucoup d’importance à mes yeux et il est le seul à connaître pas mal de choses sur moi rl.
Le cyber sexe ouais bof j'ai testée hein comme pas mal de mondes 1 ou 2 fois je pense et ben depuis le temps que j'ai pas pratiquée, mon av a due se refaire une virginité.
Ensemble on ne joue pas à être amoureux ou à être un couple sl mais juste à être 2 amis, notre partnérisation est juste la concrétisation de notre amitié à nos yeux.
J’ai dis que je m’en balançais de la personne qui est derrière l’écran, j’avoue avoir été dure dans mes propos, je voulais dire que je ne cherche pas à connaître des renseignements sur la personne qui manipule son av, à moins que celle-ci veuille confier quelques brides de rl peu importe pour moi sl permet d’être tous sur le même piedestal gros, vieux etc sur sl nous sommes tous égaux caché derrière nos avatars.
J’ai connue une fille sur sl qui était en fauteuil roulant en rl, sl lui permettait de s’évader et d’oublier son quotidien. Alors si sl sert à faire du bien à certaines personnes et bien tant mieux.
Au début je suis rentrée dans second life sans avoir de barrières puis je me suis laissée porter par des mots qui m’ont touchées, il me semble avoir dit d’ailleurs ici même « les mots traversent l’écran et vous touchent en plein cœur » je pense avoir été à cette période sûrement plus fragile en partie à cause de ma rl.
De cela j’en ai tirée des leçons, ma rl allait mieux et moi aussi par la même occasion, depuis je joue sur sl et je considère sl comme un jeu, je partage avec d’autres personnes des rigolades, amitiés etc mais qui pour moi reste dans le cadre de sl.
Depuis que j’ai fais le choix de vivre sl de cette façon là, je ne m’en porte que mieux, n’acceptant pas que des mots puissent me toucher et me faire mal ! c’est une barrière que je m’impose.
C’est pas évident à expliquer mais c’est vraiment ce que je vis et j’en suis satisfaite !
Citation :
Publié par dareoner
"sl, virtualité ou réalité"

Vais m'en tenir à la question, hein ?

Virtualité ET réalité

Nous sommes bien dans une réalité virtuelle, certes artificielle, immatérielle (et encore) mais pas imaginaire.

La frontière est bien plus floue dans les MMORPG classiques, qui font eux intervenir des environnements imaginaires dans lesquels on doit se glisser.
J'avoue
Je me connecte environs 3 hrs en moyenne par jour. C'est grave?
Mais j'ai une vraie vie, une vraie famille, un vrai bateau, une vraie caméra et des vraies montagnes ou faire de belles randonnées.

Sans rentrer dans la segmentation proposée par Cardon (merci des liens), j'utilise une simplification pour expliquer en RL ce que SL est.
Je considère deux extrêmes:
- L'avatar proche de la personne RL, souvent le même prénom, un look similaire et pas (ou peu?) de RP. Des activités et intérêts proches de ceux de la vie RL. Deux sous-groupe, celui qui donne des infos RL (email, tel, photos, etc...), l'autre qui restera derrière un rideau pour éviter des ... dérapages? Je serai de ceux-ci, je porte même mes lunettes dans SL.... mais ne me demandez pas mon adresse RL.
- L'avatar qui est une projection d'une autre personnalité, une qui permet d'avoir plein d'expériences pratiquement impossibles en RL, celui qui se fait un AV de l'autre sexe par exemple. Qui sait, j'ai peut-être tenté l'expérience?

Mais au fond, qu'elle est la question? Virtuel vs Réel? Je participe à un monde virtuel mais j'ai des ressentis bien réel...

Et quand je dis dans SL "j'ai apprécié ce moment de complicité avec toi", c'est un sentiment bien réel.

Et puis mes photos SL, elle sont bien réelles non?
__________________
Philippe Chaplin

Le Blog-Bande d'Images Virtuelles: http://philippechaplin.skyrock.com/
Les images:
Suis clair-obscur et je ne rajouterai rien parce que ce forum me gave, réellement dans sa gestion et son contenu.
Citation :
Publié par Lygandis
Virtualité ET réalité
Je plussoie. SL, comme tout autre domaine du virtuel est réel. Que cela soit plus propice à l'imaginaire que les domaines purement matériels c'est possible, mais un bon livre ou un bon film, bien que moins interactifs, laissent aussi libre cours à notre imaginaire. Qui ne s'est jamais imaginé dans la peau de ... (Scarlett, Robinson Crusoë, Indiana Jones, Capitaine Kirk, etc..) ?
.
Catégorie Clair-Obscur...Jamais de RP, j'ai eu la douloureuse expérience de voir deux de mes collaborateurs glisser du RP vers la "NoLife", plusieurs mois plus tard ils arrivent à s'en sortir ...mais à quel prix : perte de l'emploi pour les deux et séparation pour l'autre.

@corrinaa : j'ai subit cette descente aux enfers, me situant dans la catégorie supérieur de la tranche d'age que tu sites, avec une existence préalable normale...1 an plus tard, mon existence est toujours aussi normale, la descente aux enfers m'a permis de "grandir". Je suis un grand chanceux ma descente aux enfers est tombé au moment ou dans ma vie professionnelle, j'ai été contraint à travailler sous un stress permanent...Que ce soit au travail ou en famille, mon état visible a toujours été mis sur le compte du stress travail, par ma famille, ma hiérarchie et mes collaborateurs.
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