RP : La Taverne du serpent Cimmérien d'Aquilonie

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Comme elle était venue l'ambiance electrique repartie, du moins entre nos 3 principaux protagonistes.
Le groupe quant à lui continuait de jouer! Grindor taper du pied en rythme et la petite serveuse improvisait une danse endiablée, tout ce petit monde s'éclatait joyeusement ne se doutant aucunement du drame qui avait failli se jouer.

Karandja posa sa question, les yeux de cyriadis s'aggrandir d'étonnement et elle explosa de rire, et la si Karandja avait failli succomber aux charmes de la dame, il se refroidi trés vite... Le rire de Cyriadis etait... Hum... fort particulier... trés sonore il débutait sur un cri de hyene, et se terminait sur un grognement de sanglier ( oui oui je sais je ne me fais pas de cadeau... mais bon je ne vais pas passer mon temps a rire dans aoc hein... ^^)

-"Excuse mon rire Karandja... pour répondre à ta question, non tu n'es pas à l'auberge de la tête de serpent, ici on aime les serpents entier et pas seulement leur tête, la tete de serpent c'est un peu plus bas dans la rue, et ne me demande pas ce que ses occupantes ont fait de la queue du serpent, ma réponse risquerais d'etre inconvenante pour une dame.."

-"Grindor! sert un pichet de cervoire à Karandja, il l'a bien merité!"
Le guerrier semblait désappointé. Aussi bien par la réponse de la délicieuse jeune femme, que par son rire surprenant.

Il se redressa de toute sa taille d'ours, lentement, comme s'il s'éveillait d'un songe troublant.

-Pourtant le Cimmérien que j'ai croisé a dit que ...

Karandja secoua sa crinière brune, un sourire de plus en plus franc fleurissant à nouveau au dessus de ses épais favoris qui lui donnaient un air de Glouton aux yeux d'acier.

-Bah peu importe. Merci pour ton hospitalité et la cervoise Cyriadis. Mais on m'attend.

D'un geste souple, il empoigna le marteau de guerre, puis le balança sur son épaule droite. Il vint à la rencontre de la jolie blonde, visiblement pressé.


-Et on ne m'attend pas ici je crois.

Il prit le pichet des mains de la serveuse, et en le dressant en direction du groupe, comme pour porter un toast, il poussa un hurlement d'encouragement qui couvrait presque la musique.

Le guerrier avait une bonne descente, mais une fois son bras retombé, une fois le pichet reposé, un engourdissement terrible s'empara de ses membres.

Les martellements du tambour faisaient résonner son crâne. Il n'étais pas sur du tout que Cyriadis s'adresse à lui, mais il voyait ses lèvres fines remuer, peut-être pour une invitation à un baiser.

Encore une fois, le Cimmérien secoua sa crinière noire, chassant ses pensées confuses, et se dirigea vers la porte d'une démarche hasardeuse.
Cyriadis regarda partir Karandja, une phrase qu'il avait dites la marqua...

-"Que dis tu? un Cimmérien?? un Grand type avec les cheveux long et des tresses ??? il ne portait pas un sac débordant de saucisses avec un serpent a crete cousu dessus? ( oui Grindor rempli les sacs de provisions de saucisses)

Cyriadis voyait que karandja la regardait, souriait béatement, mais n'avait pas l'air de comprendre ce qu'elle disait....

elle fit signe a la serveuse de l'aider, elle se mirent de chaque cotés et attrapèrent karandja par le bras, pour l'emmener s'asseoir.

-Karandja vient par ici, tu ne peut pas partir dans cet état!! tu es complètement saoul!!

-Grindor , pourquoi lui avoir rempli un pichet de cuvée spéciale????!!!!! s'ecria Cyriadis en colère

-mais mais mais.... je pensais bien faire... dit Grindor

-je ne te paye pas pour penser , mais pour obeir!!!!! Améne moi de l'eau !!!

Grindor obtempéra! et Cyriadis jeta un pichet d'eau glacial au visage de Karandja
Le guerrier chancelait vaillamment vers la sortie. Un pas après l'autre, il voyait la porte se rapprocher, puis narquoisement sautiller sur le coté.

Son murmure était à peine audible, couvert par la joyeuse musique.

-Voilà, un autre pas, et c'est bon. Peut-être un pas de plus alors. Cesse de bouger porte !

Il avançait toujours pourtant, lorsque le plus heureux des changements se produisit.

Bien consciente certainement d'avoir été rude, la copropriétaire des lieux venait de se glisser sous son bras gauche. Elle se pressait à présent contre lui, ses seins rebondis et chauds pressés contre les côtes hélas armurées du guerrier.
Cela aurait pu suffire au bonheur du Conquérant, mais les Dieux même bannis de cette étrange taverne étaient toujours avec lui.

Bien évidemment mue par une jalousie féminine toute légitime, la serveuse brava la timidité naturelle qui faisait son charme, pour se glisser sous le bras droit du Cimmérien.
La masse d'acier tomba avec un craquement sourd sur le sol.

Les lèvres esquises de la stygienne continuaient de remuer, et Karandja s'amusait de leur mouvement.
Il suivait les deux sirènes envoutantes, aussi souple et léger qu'un ours tiré brusquement de son hibernation.

Sous le regard haineux de l'homme menaçant, Karandja, ravi et surpris de tant d'attentions ne put s'empêcher de lui tirer la langue. Oh discrètement bien sur, il ne voulait pas gâcher ses chances avec ses deux nouvelles conquêtes.

Conquêtes qui refusant à le laisser partir, se disputaient la propriété du séduisant guerrier avec moult expressions incompréhensibles.
Telles des murènes qui refusent de lâcher leur proie, les séductrices entrainaient Karandja vers le banc qu'il venait de quitter. Elle commençaient à le mettre à l'aise.

- Doucement les filles y en aura pour vous de...

Et brusquement, ce fut le drame.

Une sensation horrible parcouru le Conquérant. L'haleine glacée de la mort venait de le ramener à une bien triste réalité. Il était certes bien assis sur le banc. Et les deux superbes femmes étaient là, devant lui.
Mais elles n'avaient plus l'air aussi lubriques tout à coup.
Et alors que les mèches brunes de sa crinière retombaient devant ses yeux exorbités, Karandja recouvrait l'usage entier de ses rares facultés mentales.

Et l'eau fraîche continuait de dégouter de son menton, glonflant ses favoris, et maculant sa cote d'anneaux rutilante.

-
Mais qu'est-ce qu'il vous prend femmes ?
Karandja était pour le moins trempé...

-"Kara, retourne a ton travail, merci de ton aide. dit Cyriadis à la serveuse"

puis elle se retourna vers l'homme trempé.

-"Désolée pour la douche, mais je ne pouvais en aucun cas te laisser partir ainsi, Grindor s'est un peu... trompé de cuvée quand il t'a servi... quand tu t'es levé tu as parlé d'un cimmérien, est ce un Grand type avec les cheveux long et des tresses qui portait un sac débordant de saucisses avec un serpent a crete cousu dessus? "
- Heu ça y ressemblait oui.

Une fois encore le conquérant Cimmérien secoua sa tête.
Au moins cette eau avait eu le mérite de lui éclaircir les esprits, et d'adoucir la chaleur insoutenable de toute cette ville.

- Je cherche quelqu'un moi aussi. Et ça ne peut pas attendre une vie est en jeu.

Tant bien que mal, Karandja dut s'arracher aux yeux mystérieux de son interlocutrice.
Retrouvant déjà ses esprits, il lutta contre les effets engourdissants du breuvage.


Karandja se dirigeait tant bien que mal vers la sortie, ramassant son Marteau de Guerre. En se redressant à nouveau, sa tête se mit résonner comme si ce sauvage de musicien tapait directement sur ses tympans sensibles.
Aussi pressé qu'il l'était avant que les effets du breuvage ne s'abattent violemment sur lui, il partit en hâte, sur deux jambes mal assurées vers la porte de sortie en trainant son Marteau d'acier sur le sol derrière lui.

Avec un simple signe de tête pour l'homme menaçant qui le regardait maintenant avec deux yeux plus écarquillés que colériques, il se retourna une dernière fois vers la Stygienne propriétaire des lieux.

- Cyriadis, j'aimerais que tu mettes un fût de cette bière de coté. Il faut absolument que je fasse goûter ça à des amis.

Puis en essayant de faire le ménage dans ses souvenirs, et de se rappeler où et comment rejoindre les quais Sud de Khemi, il franchit la porte sans demander son reste.
Des vies étaient en jeu, et trop de temps déjà s'était perdu.

...

A quelques rues de là. Khamsin était inquiet de ne toujours pas voir arriver son
Supérieur.
Mais les ordres étaient clairs. S'il ne devait pas se montrer avant la mi-journée à l'auberge de la Tête de Serpent, le contrat était considéré comme effectif, et il devait frapper avant que l'ennemi ne soit à nouveau entouré de sa garde personnelle au grand complet.
Khamsin avala une dernière pincée de raisins secs avant de ceindre son voile brun.

Il se dirigeait d'un pas décidé vers le plus sanglant et le plus abouti des ses assassinats. Mais ceci est une autre histoire.
-"A la prochaine, pas de soucis pour la biere il y en a plein dans la cave! dit Cyriadis

et c'est ainsi Cimmérien repartit comme il était venu... enfin un peu plus humide...

Cyriadis se retourna vers Kalys
-" Je crois qu'il est aussi l'heure pour nous de repartir, nous devons aller à Cornach, peut être croiserons nous sur la route notre ami Cimmérien"
Kalys acquiesa d'un signe de tête.
-"Grindor garde la maison, et continue les auditions, je te fait confiance... Par contre ne sert pas de la cuvée spéciale."

Cyriadis et Kalys prirent leur affaires et franchir la porte de la taverne non sans fredonner un air entêtant d'Eluvétie...

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rejoignez nous à l'exterieur de la taverne https://forums.jeuxonline.info/showthread.php?t=902467
Citation :
Wolfgar avait traîné en ville toute la matinée, il avait eu rarement l'occasion de passer dans ces genres d'endroits, regarder ce que pouvait offrir les boutiques exotiques. ....
Modifié pour passage à l'extérieur : ici
Le soleil était encore haut lorsque l’improbable Dragor – son habituel port altier pour le moins mis à mal par une mâtinée de combats aussi salissants que triviaux… - poussa la lourde porte de la taverne pour s’en jeter enfin un petit mérité derrière le collier.

Habitué à l’ambiance calme et feutrée des tavernes Stygiennes - et bien qu’on soit encore heureusement loin des bouges puants de Cimmérie - l’assassin ne goûtait que très moyennement ces estaminets Aquiloniens par trop bruyants mais l’appel d’un bon Thé au nectar de miel restait trop fort.

A peine l’huis passée, deux choses le frappèrent.

La première fut la foule compacte déjà présente à une pareille heure – preuve s’il en était que l’Aquilonie n’est bien qu’une nation de décadents avinés. Pas étonnant lorsque l’on tolère d’être gouverné par un Barbare hirsute au phrasé rustique et sans manières !

La seconde fut ce colosse obèse et patibulaire qui se planta devant le Stygien - empêchant toute progression vers l’intérieur. Il faut bien reconnaître que ce tas de viande fourbe frappa l’assassin bien plus durablement que la trop nombreuse clientèle vu qu’il lui asséna une gifle en pleine figure sans crier gare en grognant :

- Allons vieux cep fripé, pas d’mendiants sudiste céans à s’t’heure, que d’la bonne gens d'souche comme y faut !!!

Et d’attraper l’infortuné Dragor par ses braies de soie déjà bien mises à mal par des hordes d’ennemis nauséabonds pour le lancer - tongs par-dessus tête - sur les pavés irréguliers de l’avenue principale.

Paradoxalement peu porté sur la violence dés lors que la lumière est haute et l’adversaire en alerte, l’Assassin se contenta de s’éloigner en maudissant en silence le tas de viande qui levait des doigts railleurs dans sa direction – promettant sa famille, ses proches et tous les habitants de ce fichu royaume au mortifiant venin de Seth.
Grindor se frottait les mains il venait de virer encore un inopportun de la taverne du serpent, encore un Stygien puant, il faut dire qu'il ne les aimait pas trop...Même si sa maitresse et son compagnon etaient Stygiens, il entendait faire sa propre loi quand ils n'etaient pas là, et qui sait un jour ils ne reviendrais pas et la taverne lui appartiendrait, et là plus un seul stygien ne mettrait les pied dans les lieux.

La serveuse blondinette( en chef) qui avait suivi la scene intervint, pointa son doit sur Grindor et tempêta telle une furie

-"Mais tu n'es pas malade!!!! tu veux que Dame Cyriadis nous mettes dehors!!!! D'une c'est un stygien que tu as viré!!! je te rappelle que notre maitresse est Stygienne, et de deux meme si il avait un air de mendiant, tu n'as pas remarqué que ces derniers jours notre maitresse accueillait trés bien les personnes qui lui ressemblait, du moins aussi mal vêtu!!! tu t'es dit que ça pouvait être un de ses amis?????

-ben ... heu.... mouais... t'as raison! grogna Grindor ( les femmes ont toujours raison ^^ héhé il faut se le dire )

-"pfff bon a rien!!!"

la serveuse sortit de la taverne et courus apres l'homme qui venait de sortir...
En voyant arriver cette gamine à la mine contrite droit sur lui, l'indescriptible Dragor se dit qu'il allait encore prendre cher et son premier réflexe fut de lever les mains pour éviter de ramasser une seconde calotte sur son noble visage déjà bien assez éprouvé à son goût. Histoire d’éviter d’être en plus éborgné par un ongle mal taillé au passage, il ferma les yeux et attendit que le premier gnon s’abatte sur sa pauvre tête dégarnie.

Trois secondes plus tard, ne sentant rien venir, il ouvrait un œil prudent pour apercevoir la donzelle plantée devant lui, mains levées et paumes ouvertes en signe d’apaisement avec un sourire engageant aux lèvres.

- Comment te sens-tu, voyageur ? Ce méchant gorille ne t’as pas blessé au moins ?
- Fillette –
rétorqua l’Assassin en se redressant et en feignant de recoiffer son crâne chauve pour cautionner sa position défensive risible – comment veux-tu qu'un tel pataud puisse ne serait-ce qu'espérer frôler celui qu'on appelle "le Puma de Khemi" tant ses réflexes sont stupéfiants ?
- Sans vouloir t’offenser, le carmin de ta joue dit le contraire, Puma…
taquina la jeune fille en lançant un clin d’œil complice.
- Ah ça… ricana le Stygien avec son insupportable faconde. Ca n’est pas ce sac de saindoux le responsable mais le tout dernier Ymirien d’un groupe de cent que j’ai décimé avant de venir.
- Tant de bravoure doit donner soif…
- Dire le contraire serait mentir !
- Dans ce cas, accompagne-moi dans la taverne : le premier verre est pour moi !
- Dragor l’Assassin n’accepte pas la charité, petite !!! Enfin pas trop souvent...
- Charité ? Oh mais non enfin : c’est uniquement pour te remercier de ne pas étriper le lourdaud à l’entrée, cela va sans dire…
- Jeune fille, tu as ma parole dans ce cas et ce faquin te doit la vie !


Lorsque Dragor franchit à nouveau l’huis derrière la serveuse, il ralentit savamment et tira une grosse langue molle et chargée à Grindor en affichant un air supérieur des plus agaçants. En réponse, l’offensé se contenta de pousser un grondement bestial fatigué en dévoilant des dents carnassières ce qui eut pour effet de propulser l’Assassin de l’entrée au comptoir sans pratiquement toucher terre.
La serveuse que nous appellerons "Nina" lança un regard foudroyant a Grindor disant "gentil toi, couché, sinon pas susucre", elle se retourna ensuite vers le Stygien.

-"je te prie encore une fois d'excuser l'accueil de Grindor, notre maitresse est Stygienne comme toi et n'aurait pas tolérer la manière dont il t'a traiter... et heu... si jamais tu la croise il serait mieux que cela reste entre nous... avec les 35h, et le chômage dans la cité... nous ne voudrions pas perdre notre emploi...ce n'est pas un mauvais bougre... il a surtout mauvais caractère... Je t'apporte un pichet de bière? elle est tres bonne et bien fraiche!
Dragor n’était pas bon à grand-chose mais s’il en était une où il excellait c’était... l'Art de la pause. Amenant devant le visage de Nina une main curieusement fine sous la couche de crasse, il cligna de l’œil et fit claquer ses doigts théâtralement avant de lancer :

- Jeune fille, cette histoire restera entre-nous, tu as ma parole, la parole de Dragor le Maître-Assassin ! Car je te suis gréé de m’accorder autant d’attention, conscient que je suis de ne pas présenter aussi bien en ce moment que je le souhaiterai…
- Qui de mieux qu’une humble serveuse pour savoir combien les apparences peuvent être trompeuses, puissant Dragor ?
minauda la jeune femme, amusée par ce curieux olibrius à sa façon presque attachant.
- Je vois qu’on se comprend. Par contre s’agissant de la boisson, je ne peux décemment empoisonner ce corps superbe avec un liquide fermenté ! Aurais-tu du thé au nectar de miel servi à la Khemiry ? Je ne te cache pas que c’est même la raison majeure à ma présence ici !
- Vraiment ? Du thé Stygien chez nous ? Malgré les propriétaires, la norme serait plutôt au vin doux et à la bière, tu sais…
- Ah pourtant le patron du dernier établissement où j’ai tenté d’entrer m’a clairement dit « Barre toi de chez moi, sale Clodo, et vas plutôt laper cette pisse de thé au miel chez les autres macaques au bout de la rue ! ».
-Hum, nous ne servons pas de thé... comme vous vous en doutez la clientèle du coin n'en raffole pas vraiment, je vais cependant aller voir dans la cuisine, ma maitresse y a sa reserve personnelle et elle ne m'en voudra certainement pas de lui en prendre un peu, par contre je crains de ne pas savoir ce que vous entendez par "servir à la qui m'irite", on vous irite en vous servant le thé en Stygie??? je vais vous le servir à ma maniere si vous n'y voyez pas d'inconvénient, à moins que vous ayer envie de me montrer comment on vous irrite!

La jeune Nina était toute rosissante devant le Stygien crasseux, il faut dire qu'elle avait un faible pour les Stygiens, Kalys, le compagnon de sa maitresse était d'une beauté rare... mais déjà pris... elle se dit qu'elle aussi aimerais bien avoir Son Stygien à elle ...
Cyriadis poussa la porte de la taverne... elle tomba sur un tableau des plus étranges.... en effet Nina la serveuse était entrain de courrir apres un stygien portant des haillons encore pire que ceux de wolfgar ( c'est dire...), Grindor, ronchonnait tout seul derriere le bar, un groupe était entrain d'auditionner... se servant de pattes de chameaux comme trompettes et et des tables comme batterie...

cyriadis respira un grand coup....

-"SILENCEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE" cria t elle
-"Grindor! Nina! que se passe til ici? je reviens et c'est déjà le cirque!!?? vous voulez peut etre que je vous remplace???"

La serveuse s'arrêta de courrir et se jeta a genoux devant sa maitresse

-" Ne chatiez pas Maitresse je vous en prie!!! Tout est de ma faute !!! je ne sais pas ce qui m'a pris"

-" Bon passons... mais que je ne t'y reprenne plus...en attendant prépare nous des vetements propres et trouve quelque chose a la taille de Wolfgar!!"

-"Grindor sert nous a boire!"
Wolfgar se tenait derrière Cyriadis, il leva les sourcils quand à son annonce ...

-"Tu sais, j'en ai pas besoin, ce que je porte me suffit à me protéger du temps, déjà qu'ici il fait une chaleur à pas pouvoir respirer, c'est pas nécessaire de changer de tenue !"

Il frotta ses vêtements poussiéreux et réajusta son kilt ! puis il entra dans la taverne à la suite de Cyriadis et de Kalys.
-"Pas de soucis wolfgar, il est vrai que j'ai du mal a t'imaginer avec un pagne...."

-"Grindor!!! A BOIRE pour mes compagnons!!!

Cyriadis parti dans l'arriere piece pour se changer, notant néanmoins la présence d'un étrange Stygien dans la place
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