Des rêves défiant la raison

Répondre
Partager Rechercher

Des rêves défiant la raison

I - Le jeu de la plume
1270 A.A., quelque part en Némédie


Le jour de ses six ans, la petite Ysedda, cadette de la Maison Adorik, a reçu de son grand père, le célèbre mercenaire Amalric, un tout petit chaton. Malgré ses suppliques et ses lamentations, ses parents refusent que le chat dorme dans la couche de l’enfant. En ce jour de fête, la petite fille s’endort avec ses grands yeux aux éclats émeraudes pleins de larmes, ses petits poings serrés le long de son corps…

* * * * * * * * * * * *

Alors que brillait une lune rouge sang dans le ciel de Némédie, la petite fille se réveilla brusquement. Elle avait entendu un bruit dans sa chambre. Après avoir frotter ses yeux encore pleins du sel de ses larmes, Ysedda s’assit sur sa couche et regarda autour d’elle. Dans un coin de la pièce, un étrange animal l’observait. Ses plumes étaient d’un bleu profond et éclatant, hormis celles de ses ailes, dorées et brillantes comme de l’or pur. Le tour de ses yeux était blanc, veiné de noir, tandis que son petit bec était d’un jaune vif. La petite fille tendit un doigt émerveillé vers le volatile.

- Je sais ce que tu es ! Tu es un paon ! Le plus joli des oiseaux !

Flatté, l’animal déploya ses longues et gracieuses plumes arrière en un demi cercle parfait dans un chatoiement de couleurs de tons bleutés et merveilleux. Mille yeux ronds semblaient observer Ysedda, qui battait des mains de plaisir.

- Que ces plumes sont belles !

Le paon pencha la tête et, sans que cela semblasse surprenant, se mit à parler.

- Oh, jolie petite fille, voudrais-tu que je t’en donne une ?

Les pieds de la petite fille se balançaient d’avant en arrière énergiquement, tandis qu’elle riait.

- Oui ! Oui ! Donne-m’en une ! S’il te plaît !

Le paon sortit alors de la pièce. Dans un murmure, il demanda à Ysedda de le suivre. Sans se faire prier, la petite fille descendit de son lit, enfila ses mules, sortit de sa chambre et suivit le paon. A peine dans le couloir, elle le vit entrer dans la chambre de ses deux jeunes frères. Ne voulant pas les réveiller, car elle aurait dû partager son aventure nocturne avec eux, elle marcha sur la pointe des pieds et pénétra dans la chambre. L’oiseau se tenait au fond de la pièce, près d’une autre porte, qui n’existait pas dans la réalité. Sans se poser de question, la petite fille se plaça entre les lits des garçons, profondément endormis. Le paon s’adressa à nouveau à elle.

- Si tu veux une de mes plumes, tue-les.

Et il disparût dans la pièce suivante. Dans la main de Ysedda apparut une dague, longue et effilée. Elle regarda ses frères dormir et, tout doucement, enfonça sa lame dans le cœur du plus grand. Quand elle la retira, la dague avait pris une couleur pourpre, comme la lune de cette étrange nuit. Elle s’approcha ensuite de son autre frère et répéta l’opération, sans ressentir le moindre sentiment de culpabilité. Dans le plus profond des silence, elle regarda les taches écarlates s’agrandir à travers les draps blancs et soyeux. Une fois ses deux frères morts, elle passa la porte du fond de la chambre…

… Et se retrouva dans la pièce où dormait sa sœur aînée, où elle n’allait qu’en cachette, car elle lui en interdisait l’entrée. Le paon était là. Il l’attendait. Ysedda s’approcha de lui.


- Me la donnes-tu, maintenant ?

- Non… pas encore…

Puis il regarda la sœur de la petite fille, qui dormait paisiblement, et désigna ensuite la lame que tenait toujours Ysedda. Sans poser de question, elle plaça la lame près de son cœur. Alors qu’elle la levait au-dessus de sa sœur, celle-ci ouvrit les yeux, surprise. Vivement, Ysedda planta la lame dans le cœur de la fille. Ses grands yeux étonnés la fixaient, tandis qu’un hurlement de douleur ne parvenait pas à sortir de sa bouche grande ouverte. La petite fille sourit devant l’affreux visage grimaçant de sa sœur mourante. Lentement, elle ressortit la lame des chairs sanguinolentes de la jeune fille et répéta son mouvement, inlassablement, jusqu’à ce qu’il ne reste d’elle qu’un cadavre mutilé recouvert d’un linceul rouge…

Le paon, apparemment satisfait, s’en alla vers une nouvelle porte. Ysedda, recouverte de sang, le suivit à nouveau et entra dans la chambre de ses parents. L’oiseau se tenait entre leur tête et fit signe à la petite fille de le rejoindre. Elle grimpa sur le lit et prit place entre ses géniteurs. Une seconde dague se matérialisa alors dans sa main libre. Lentement, elle plaça le fil des lames sur les gorges de ses parents. C’est alors que sa mère se réveilla.


- Ysedda ? Tu ne dors pas ? Tu veux te coucher entre nous ?

La petite fille eut un sourire malsain.

- Non, maman… Je vous regardais juste dormir… Bonne nuit, maman !

Et d’un seul mouvement de ses bras, elle trancha les gorges de ses parents, en même temps. Tandis que les corps de ses parents étaient agités de soubresauts et de spasmes, des gerbes vermeilles s’élevèrent de leur cou tranché et se mirent à pleuvoir sur Ysedda, qui riait à gorge déployée, et sur le paon, dont le plumage devint écarlate. Après un moment, la fillette lâcha une dague et tendit la main vers le volatile, qui disparut à nouveau. La patience de Ysedda arrivait à bout, mais elle suivit encore une fois le Paon.

Cette fois, elle se retrouva dans une chambre qu’elle ne connaissait pas. Dans le lit de bois précieux, un homme d’âge mûr était allongé. C’était son grand-père adoré. Pris de tremblements, la petite fille secoua la tête négativement. Le paon le fixa sévèrement.


- Allons… Après cela, je te la donne...

- Non.

- Tu en auras même deux, mais tue-le !

Alors, de partout et de nulle part, surgit une voix de femme, suave mais autoritaire.

- Jeune fille, égorge ce satané volatile avant qu’il ne fasse de toi son esclave !

Sans hésiter, elle obéit à la voix. Sa main lâcha la dague et elle s’approcha de l’oiseau. Sans qu’il ne se défende, elle saisit son cou, le serrant et le tordant de toute la force que ses petites mains avaient. Après un moment, le paon sembla devenir mou. La petite fille le lâcha et il s’écrasa au sol dans un bruit sourd, ses belles plumes se rabaissant sur lui, tel un voile mortuaire recouvrant un mort. Ne voulant plus d’une belle plume de ce méchant paon, elle fit demi-tour et regagna son lit, car elle était fatiguée après tout ces jeux stupides. Par la fenêtre de sa chambre, la lune de couleur sang brillait toujours, encore plus rouge qu’avant…

* * * * * * * * * * * *

Le lendemain, quand la petit Ysedda se leva, sans se souvenir de son rêve, elle voulut voire son petit chaton. On lui expliqua alors que, par malheur, il s’était enfui durant la nuit… Cela elle pourrait le comprendre, car sinon, comment expliquer à une enfant que le petit animal qu’elle aimait tant était mort, les cervicales brisées et le cou broyé par des mains inconnues…
(préambule : je suppose que publier ici c'est accepter la critique ? si donner son avis est contraire à un point de la charte qui m'a échappé, je me ferai un devoir d'effacer ces lignes )

Quel rapport avec l'Hyboria ?

Sauf à se servir du nom de Némédia comme d'un prétexte (c'est le cas de le dire) pour introduire un récit mi-mièvre mi-sadique et un peu mou, quel lien avec ce qui nous intéresse ?
On est bien loin du style épique, intense et allant à l'essentiel de Howard.

quelques petites corrections (puisque tu aimes écrire semble-t-il) :
* les participes passés ne se mettent pas à l'infinitif ("Après avoir frotter")
* dans "elle voulut voire son petit chaton", outre le fait qu'un "petit chaton" est un pléonasme, "voire" vient de "verum", pas de "videre" et n'a donc aucun lien avec le sens de la vue mais est une forme emphatique de "même".
* "il disparût dans la pièce suivante" > pas d'accent circonflexe sur le "u" à l'indicatif, seulement à l'imparfait du subjonctif.

Citation :
Publié par Kynan
Quel rapport avec l'Hyboria ?

Sauf à se servir du nom de Némédia comme d'un prétexte (c'est le cas de le dire) pour introduire un récit mi-mièvre mi-sadique et un peu mou, quel lien avec ce qui nous intéresse ?
On est bien loin du style épique, intense et allant à l'essentiel de Howard.
Le rapport avec l'hyboria et AoC ne me semble pas si obscur que cela.

Il s'agit d'un texte de background du personnage d'Ysedda, alias Padrezon, alors qu'elle n'était qu'une petite fille. L'action se déroule environ 18 ans avant l'accession de Conan au trône d'Aquilonie.

Le style d'Howard est peut être très bien pour mettre en scène un personnage comme Conan mais peut être que le côté mièvre que tu perçois est plus adapté pour une petite fille vivant dans le luxe et la soie de la cour de Némédie.

Tu n'es pas d'accord ?
Citation :
Publié par Kadraan
Le rapport avec l'hyboria et AoC ne me semble pas si obscur que cela.

Il s'agit d'un texte de background du personnage d'Ysedda, alias Padrezon, alors qu'elle n'était qu'une petite fille. L'action se déroule environ 18 ans avant l'accession de Conan au trône d'Aquilonie.

Le style d'Howard est peut être très bien pour mettre en scène un personnage comme Conan mais peut être que le côté mièvre que tu perçois est plus adapté pour une petite fille vivant dans le luxe et la soie de la cour de Némédie.

Tu n'es pas d'accord ?
Pas vraiment : lorsque Howard s'éloigne temporairement du point de vue de Conan pour placer le lecteur dans le vécu d'Almaric (dans Les tambours de Tombalku) ou, plus éloigné encore, dans celui de la Devi Yasmina (dans Le peuple du cercle noir), il ne passe pas pour autant à un style "plus adapté" à son personnage.
Le discours change, les lieux aussi, ainsi que les liens sociaux, mais l'âme du récit reste la même et ne vient pas dénaturer le souffle épique du monde.

Là on est à mi-chemin entre L'exorciste et Mon petit poney, et pour moi on est plus dans le "RP" mais dans le "Hors sujet", désolé.
Citation :
Publié par rackam77
Ca pique, ... je sens que Hunter Seeker va devoir surveiller ce topic
Je n'ai aucunement l'intention de déraper

Et chacun peut adopter le style qui lui plait, je ne fais qu'exprimer mon avis sur l'absence de cohérence avec ce qui, à priori, sert de base au jeu dont nous parlons

Comme je l'ai dit, si ça devait poser problème je comprendrais parfaitement la nécessité de couper court
Kynan

Perso je n'ai aucune intention de rp en reprenant le style de howard, ni même être obligé de faire un copier coller de ses persos et de sa vision. Le background est là, le monde aussi, mais tant que je reste coherent (pas de super heros ou de gars à 3 bras) je fais ce que je veux. Si je veux un perso avec une enfance heureuse je le ferais, si je veux qu'il soit idealiste ou heureux de vivre, philosophe ou fou, je le ferais.
Si apres pour toi c'est aussi du "hors sujet" ou "incohérent" car pas dans la droite lignée pure et dure de Howard, ba tant pis, je le ferais quand même
Citation :
Publié par Baptys
Si apres pour toi c'est aussi du "hors sujet" ou "incohérent" car pas dans la droite lignée pure et dure de Howard, ba tant pis, je le ferais quand même
Je garde ce petit bout de phrase perdu dans les méandres de JOL pour le ressortir à l'occasion. Vraisemblablement après la release.
Citation :
Publié par Baptys
Si apres pour toi c'est aussi du "hors sujet" ou "incohérent" car pas dans la droite lignée pure et dure de Howard, ba tant pis, je le ferais quand même
J'espère bien !
Je ne suis pas fou au point de penser que mon intervention va miraculeusement altérer la perception des autres lecteurs, ni que ce soit souhaitable

Mais, dans l'optique d'un "RP" en jeu qui me semble toujours aussi illusoire, je me vois mal être immergé en Hyboria au milieu de ce genre de... euhh... récit ?
Citation :
Publié par Kynan
Pas vraiment : lorsque Howard s'éloigne temporairement du point de vue de Conan pour placer le lecteur dans le vécu d'Almaric (dans Les tambours de Tombalku) ou, plus éloigné encore, dans celui de la Devi Yasmina (dans Le peuple du cercle noir), il ne passe pas pour autant à un style "plus adapté" à son personnage.
Le discours change, les lieux aussi, ainsi que les liens sociaux, mais l'âme du récit reste la même et ne vient pas dénaturer le souffle épique du monde.

Là on est à mi-chemin entre L'exorciste et Mon petit poney, et pour moi on est plus dans le "RP" mais dans le "Hors sujet", désolé.
Tout dépend bien entendu de l'ambiance que tu souhaites retranscrire.
Même dans le monde de Conan, la vie d'une jeune fille jouant à la poupée au milieu des coussins ou celle d'un grouillot récurant les marmites à longueur de journée est certainement bien moins trépidante et épique que celle des personnages mis en scène dans les récits d'Howard.

Cette différence de style est justement très intéressante pour souligner les contrastes et les évolutions d'un personnage, comme celui de Padrezon, aux différentes époques de sa vie.

Citation :
Publié par Kynan
Mais, dans l'optique d'un "RP" en jeu qui me semble toujours aussi illusoire, je me vois mal être immergé en Hyboria au milieu de ce genre de... euhh... récit ?
Il ne s'agit pas là d'un "RP" en jeu. Encore une fois, au vu de la date en début de texte, ce récit prend place environ 24 ans avant l'époque présumée du début d'AoC. La petite Padrezon aura certainement bien changé d'ici là !
Citation :
Publié par Kadraan
Tout dépend bien entendu de l'ambiance que tu souhaites retranscrire.
Même dans le monde de Conan, la vie d'une jeune fille jouant à la poupée au milieu des coussins ou celle d'un grouillot récurant les marmites à longueur de journée est certainement bien moins trépidante et épique que celle des personnages mis en scène dans les récits d'Howard.

Cette différence de style est justement très intéressante pour souligner les contrastes et les évolutions d'un personnage, comme celui de Padrezon, aux différentes époques de sa vie.
Si je ne suis pas d'accord avec le fond de ton propos, j'en apprécie la forme, merci de ta capacité de dialogue


Je pense que tout effort d'expression est bon, et qu'il faut une forme de courage pour se risquer à exposer à la critique un petit récit comme celui-là qui a assurément demandé des efforts à son auteur.
Et il est évident qu'écrire sur le passé de son futur perso ne peut qu'étoffer son existence propre.

Là où je diverge, c'est qu'en s'éloignant à ce point de l'oeuvre on prétend par sa présence y apporter quelque chose d'extérieur à sa sphère d'origine et de constructif, alors qu'il me semble qu'on l'appauvrit en la dénaturant : l'univers d'Howard est déjà riche, flamboyant et regorge de possibilités qui ne demandent qu'à être exploitées sans aller puiser dans des univers trop éloignés et peut-être difficilement compatibles.

Encore une fois, ce n'est bien sûr que mon avis.
Tout-à- fait...

Mais ce récit n'a pas que la Némédie comme rapport avec le monde d'Hyboria... et il n'est pas si éloigné que cela des oeuvres d'Howard...

Mais comme indiqué dans le titre, il ne s'agit que d'un rêve, et c'est un premier acte (je "quoterai" les sources de ces délires à la fin).

Quand à la critique, heureusement qu'elle existe, surtout quand elle sait demeurer courtoise, et je vous en félicite


Il ne faut pas sous-estimer ma capacité à faire un texte cohérent avec le monde dans lequel il se déroule, et j'encourage toute forme d'expression possible dans cet univers, car quid des poèmes et des chants des bardes, troubadours et saltimbanques ? Ce n'est pas parce que Howard n'en parle pas qu'ils n'existent pas


Pour le reste, je pense que Kadraan à parfaitement su expliquer ma vision des choses. Faut pas croire que Padrezon sera cette petite fille-ci IG


Et pour les fôtes, merci de me les signaler (3, je suis assez content de moi, là )... (sauf que "elle voulut voire son petit chaton" est utilisé à bon escient )


La suite est en cogitation...
Citation :
Publié par Sadra [Padrezon]
Et pour les fôtes, merci de me les signaler (3, je suis assez content de moi, là )... (sauf que "elle voulut voire son petit chaton" est utilisé à bon escient )
Je vais finir par me faire haïr mais jamais je n'ai dit que cette liste était exhaustive

Par exemple, dans "elle trancha les gorges de ses parents, en même temps. Tandis que les corps de ses parents étaient agités de soubresauts et de spasmes, des gerbes vermeilles s’élevèrent de leur cou tranché", il y a deux fautes.

D'une part il est illogique qu'elle tranche "les gorges" mais que les gerbes s'élèvent (puisqu'elles ont choisi de ne pas jaillir ) "de leur cou".

D'autre, comme toutes les couleurs issues d'un élément naturel, "vermeil" ne s'accorde pas. .
Ces gerbes ont beau être assurément rouges, elles restent vermeil : "vermeil" vient du latin pour "vermisseau", autrement dit la cochenille, dont on tirait l'écarlate.

Bon courage pour la suite, que cela cadre avec nos goût ou non ça vaut la peine d'être lu
Howard est mort trop tôt. Il n'a décrit et exploité qu'une infime partie de l'hyborée.

Comme tu le précises, ce monde est riche. Bien plus riche et divers que ce que l'on peut en voir dans les écrits d'Howard.

Mon avis est que ce monde se prête parfaitement à une multitude d'ambiances diverses et qu'il serait dommage de se limiter uniquement à celles qu'Howard a retranscrit.

Bien trop de choses restent floues ou non évoquées. A Funcom, à nous peut être également, de les imaginer dans Age of Conan .
Citation :
Publié par Kadraan
ce monde est riche. Bien plus riche et divers que ce que l'on peut en voir dans les écrits d'Howard.
Mon avis est que ce monde se prête parfaitement à une multitude d'ambiances diverses
Ce n'est pas parce que l'oeuvre d'Howard laisse nombre de zones d'ombres qu'il faut y fourrer n'importe quoi

Mais il est évident que chacun doit trouver son compte dans un jeu dans lequel il risque de passer beaucoup d'heures, alors bien sûr il serait idiot de vouloir bannir une quelconque attitude en jeu, il s'agit après tout du libre arbitre du personnage... je ne "m'attaque" qu'au style de l'écrit

Et puis après tout, il appartiendra aussi au libre arbitre de mon personnage d'équarrir les vôtres si leur philosophie lui semble parfaitement incompatible avec la sienne, comme tout barbare qui se respecte
Citation :
Publié par Kynan
je ne "m'attaque" qu'au style de l'écrit
Alors attends la fin... je te l'ai dit, ce n'était que le premier récit d'une série de rêve qui sont, quoi que tu en penses, inspirés directement de l'univers Hyborien
Citation :
Publié par Kynan
Et puis après tout, il appartiendra aussi au libre arbitre de mon personnage d'équarrir les vôtres si leur philosophie lui semble parfaitement incompatible avec celle qu'il s'en fait, comme toute barbare qui se respecte
Si tu as la curiosité d'aller lire certains textes présents sur nos forums, tu te rendra compte qu'il y a aussi pas mal de récits épiques qui s'inscrivent assez bien dans l'univers de Conan tel qu'on le connaît !

Le rêve de Padrezon est retranscrit dans un style différent mais je pense qu'il reste pleinement cohérent par rapport au background de son Templier Noir. Elle a eu une enfance dorée à la cour de Némédie. Elle n'est pas né dans un clan cimmérien, ni dans les bas fonds de Tarantia.
Citation :
Publié par Kadraan
Si tu as la curiosité d'aller lire certains textes présents sur nos forums, tu te rendra compte qu'il y a aussi pas mal de récits épiques qui s'inscrivent assez bien dans l'univers de Conan tel qu'on le connaît !
Une petite adresse siouplé ?
Répondre

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés