Me revoilà sur ses forums (qui a dit "A non pas lui ? ") par contre je n'est pas trouver de titre
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A chaque jour qui passe
Il me revient une question
Auquel je ne peux opposer une décision
Ma vie petit a petit se fracasse
Sans que je subisse aucune oppression
La tristesse fait preuve d'une belle discrétion
Tout ici devient petit à petit superficiel
Je ne peux me contenter de la vie
Qui pour moi n'est guère un défi
Je ne peux plus regarder le ciel
Sans repenser à ce que je dis
Elle est la possession des foules
Elle est un fleuve fait de larmes
Seul le temps devient son arme
Tristement la vie s'écoule.
On ne change pas ce que l'on fait
Les répercutions sont bien réalistes
Chaque erreur ne peut être sur une liste
On ne peut guère être contrefait
J?aimerai penser autrement
Pourtant cela me parait bien dément
Je suis sûrement tel que l'on me voit
Dans la tristesse je me noie
Chaque inspiration d'air difficile
Chacune de mes pensées sordides
Ce n'est plus moi qui décide
C'est l'enveloppe dans laquelle je réside.
Chaque décision m'échappe
Ma raison en elle-même dérape
Je n'arrive plus à retomber sur mes pattes.
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2)--------------
Je sombre noyé dans mes pensées
Cet abîme sans fin dans laquelle j'ai sombré
La chute lente de ma conscience aura raison de mes idées
Je ne veux pas vivre dans la folie et la cruauté
Regarde donc les hommes, les femmes
Entre eux ils se font sans raison la guerre
Pourtant eux qu?ils s'aimaient naguère
La vie n'a de sens quand on a pas d'âme
Un appel retentit dans le lointain
Les gens l'écoute avec dédain
Plus personne ne peut être serein
Avec toi je veux chanter ce refrain
Souffrir d'une mort lente est sans nul doute
Plus agréable que de vivre l'effondrement de son monde
Qui a pour seul effet de nous montrer ce qui se cache dans les ombres
L'idéologie de ce monde des nombres croissant dégoûtent
Si seulement on pouvait créer son monde
Le façonner à son image, en quelques secondes
Y exclure les individus qui agissent dans l'ombre
Un jour peut être existera cette terre féconde.
La vie est un peu comme une longue route
On l'aborde avec joie, de pleine vitesse
Puis vient e virage serré qu'il ne faut prendre avec maladresse
Les pépins sont au fruit ce que l'ennui est à l'homme.
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