[RP] Une taverne intemporelle

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Le temps estoit à l'orage. La lumière fort sombre en ce milieu de journée avoit quelque chose d'irréel. La baronne de Malpertuis, à cheval, cherchoit à s'abriter avant que le déluge ne commence. On ne lui avoit rapporté aucune auberge dans ceste campagne, et il estoit bien loin de son castel à Bélinay. Songeant à son époux qui lui recommandoit de prendre une suite, elle regretta de n'avoir point suivi ses conseils.
Alors qu'elle se préparoit à recevoir des trombes d'eau sur ses cheveux roux relevés en une coiffure compliquée, elle aperçut un bastiment au bord du chemin. Il portoit enseigne, un écu, répondant à ceste description : d'azur, au sablier d'or, ailé d'argent. Le nom de l'auberge, car c'est estoit une, était :
"Ultima Forsan".

Une auberge intemporelle, que l'on gagne lorsque l'on cherche abri ou présence, où que l'on soit... Elle estoit partout en mesme temps. La baronne, le coeur serré devant ceste sorcellerie, mais heureuse malgré tout de n'avoir pas à subir la pluie, poussa la porte de l'establissement.

Il n'y avoit encore personne à l'intérieur, hormis un homme à l'air maussade derrière le comptoir. L'endroit estoit assez bien éclairé, mais les tabourets et les tables sembloient avoir traversé les asges.


-"Bonjour !" dit Elissa avec un sourire. Elle prit place à une table et commanda avec politesse un hypocras. On lui répondit qu'il n'y en avoit point. "Une bière, alors, merci."

[HRP : je lance une taverne RP pour montrer quel genre de monde est les RR. On pourra y parler de tout, de manière strictement RP, pour donner envie aux joueurs de nous rejoindre ]
Madd était assise sous la pluie, adossée contre un mur, celle ci tombais de plus en plus, elle ne savais pas vraiment où s'abriter, tout le monde lui avait fermé la porte dessus à cause de ses yeux couleur violets...Elle éternua, se demandant où elle pourrais passer la nuit...

Soudainement, quelque chose attira son attention, elle se dirigea vers une porte qu'elle n'avais pas remarquée avant, une auberge...Elle ouvrit timidement et éternua, puis elle regarda autour d'elle...

Euhm...Bonjour tout le monde...Atchoum!
Une jeune femme masquée arriva dans la taverne,sa cape était trempée,
aussi elle alla prendre place à une table dans le fond de la pièce,elle crue apercevoir
un regard familier,deux yeux violets...
Elle salua toutes les personnes présentes dans ce petit lieu,
et sourie,retira sa cape laissant apparaitre ses yeux rouge sang et
son petit sourire indescriptible.
Elle commanda une tisane et se mit à chantonner toute seule,
un petit air qu'elle appréciée beaucoup et que si la personnes aux yeux violets
était qui elle pensée le reconaitré sans doute.
Un étrange petit animal entra par la fenêtre entrouverte et rejoignit
la jeune femme,il bondit sur son épaule et s'endormi aussitôt.
Elissa fut heureuse de voir tant de personne, féminines de surcroist, entrer dans la taverne. Avec son plus radieux sourire, elle s'avança vers elles pour discuter un peu.

-"Bonjour, mes dames... Je suis Elissa de Volpilhat, baronne de Malpertuis. Je viens de Narbonne et me rendois à Carcassonne, et vous ?"
Le rideau de la pluie ne laissoit point voir à plus de trois pieds devant soi. Ayla craignait s'être égarée bien qu'elle ait parfaite cognoissance de ces quelques lieues entre le village et sa demeure. Elle cherchoit en vain depuis fort logntemps maintenant un endroit pour s'abriter de la pluie qui redoublait encore ses assauts contre sa cape qui bien que fort chaude n'en estoit point parfaitement étanche à un tel déluge. Il lui sembla soudain apercevoir une légère lueur. Guidant son cheval vers celle-ci, elle eut la joie indicible de constater qu'il sagissait là d'une auberge, guère reluisante certe, mais un endroit qui lui permettrait d'attendre la fin de ce violent orage.
Poussant l'huis, elle fut saisi d'une douce chaleur. Elle referma bien vite afin de ne point créer courant d'air qui pouroit causer quelque mal aux personnes présentes en ces lieux.
Comme elle entrait, elle entendit une voix qui lui paraissoit bien familière. Elle avait l'habitude l'ouïr en la chapelle Saint-Antoine-le-petit. Elle s'approcha de celle-ci.

Ah ça Auvergne, vous estes aussi perdue dans cet orage? Ma foy, j'espère qu'il ne sera point long.

Apercevant les personnes avec qui elle avait engagé la conversation.

Par Aristote, je manque à tous les usages. Pardonnez moi, je me suis point présentée. Je suis Ayla d'Appérault, Vicomtesse de Melun.
*Ksandra qui était arrivée dans cette taverne bien avant que les nuages ne couvrent le ciel, sortit de la chambre qu'elle avait loué pour la nuit, réveillée par des sons de voix venant de la salle à manger de l'auberge et de son estomac qui criait famine. Elle se rafraîchit un peu le visage puis descendit afin de se restaurer un peu. Arrivée sur les dernières marches, elle aperçut nombres de voyageurs et en fut étonnée...cette auberge à son arrivée était vide à faire peur. Elle traversa la salle en saluant sur son passage toutes ces personnes qui semblaient avoir été conduites ici à cause de l'orage. Au comptoir elle héla le tavernier.*

- Mon bon sieur, auriez vous quelques nourritures chaudes ?


*la tavernière sortit de sa cuisine, c'était une petite femme toute rondelette affichant un sourire gracile, tout le contraire de son époux. Lui était grand et costaud et une énorme barbe cachait toute sa bouche et lui donnait un air d'ours mal léché.*


- Bonsoir dame tavernière, que proposez vous au menu de ce soir s'il vous plaît ?


- Ma petite damoiselle, mon mari l'a rapporté 3 beaux lièvres de ses pièges..
un bon civet et une potée aux choux et du potage ça vous ira t-y?

- Je prendrais juste un potage avec un verre de lait si vous voulez bien, merci

- Bien petite dame, posez vous là bas près de la cheminée.

*la tavernière sortit un verre, le pichet, versa le lait et lui tendit le verre.
Kassy le prit l'a remerciant et alla s'installer à sa table près du feu. Elle regarda quelques minutes les braises crépiter dans l'âtre puis fit le tour de la salle du regard. Les personnes présentes allaient du simple paysan, jusqu'aux nobles.
Il sembla à Kassy reconnaître une jeune femme qui apparemment avait dû s'enrhumer à cause du temps. Elle l'a fixa un moment puis détourna son regard afin de ne pas paraître impolie.*
Aedan entra dans la taverne , il avait un air un peu perdu , cela ne faisait que quelque jours qu' il avait rejoint cette contré ...

Il regarda sa bourse ...



Tavernier, de l'hydromel c'est possible?
Manah salua toutes les personnes présentes,elle demanda au tavernier
une autre tisane et retourna s'assoir tranquillement à sa table.
Manah ne reconnaissais pas grand monde à part cette femme
aux yeux violets maintenant elle en était sûr c'était bine Madd...
Elle sourie mais ne dit rien,elle n'était pas très causante en dehors de
ses quètes et aventures.
Par Aristote quelle saucée!


C'est trempé que le Vicomte de Châlons entra dans l'auberge. Il était pourtant habitué aux délices du climat de Champagne, mais cet orage resterait dans sa mémoire.

Sa cape trempée dégoulinait comme jamais, et à ses pieds, une flaque s'étendait avec gourmandise sur les dalles. Le tout sous le regard intrigué des convives.

S'ébrouant, retirant ses effets humides, il pataugea un peu pour aller suspendre tout cela. Affectant un air grave il scruta l'assistance.


http://orbita.starmedia.com/fufonet/auto/king-of-assassins-02.jpg


Ces gens avaient l'air de bonne compagnie, solidaires dans l'humidité et les grelottements. Il y avait même de noblesse, notamment près de la cheminée.

N'était-ce donc pas Chateau-Gontier, Appérault et Malpertuis qui se livraient dans les plus distingués des usages, à une bataille à mort pour gagner l'une des deux chaises auprès du feu. Le tout en regards de glace, mouvements subtils et attitudes de défi. Dans une valse imperceptible consistant à se coordonner son déplacement sans avoir l'air de manquer de savoir-vivre.

Les hommes avaient beau jeu de se plaindre des années de formation militaire afin de savoir placer des bottes et disposer des troupes. Les femmes elles, ne cessaient de lutter pour dépasser leurs rivales dans ce jeu muet de la préséance.


Il fallait y aller, il se dirigea vers les trois nobles dames. Elles allaient tenter quelque chose, son irruption devrait, doivent-elles penser distraire leurs adversaires. A parier, l'une ira l'inviter à s'asseoir à ses côtés, privant ainsi les deux autres de siège. Il disposait du pouvoir d'en faire triompher une.

Il décida de faire durer le combat et faisant signe à une jeune et accorte serveuse, à qui commanda une boisson. Qui lui fut servie aussitôt, ladite serveuse étant déjà équipée. Et c'est le godet à la main, goguenard, qu'il s'approcha.

http://orbita.starmedia.com/fufonet/auto/royal-couple-02.jpg


-Mes respects nobles Dames.
Chevauchant depuis prés d'une heure le chevalier avait mis sa cape sur la tète pour esseyer de bloquer le pasage a l'eau, mais cela lui avat servit pour cinq minutes, apres il s'était trempé.
Diego cherchait du regard ou passer la tempete, iln'aimait guerre la sentation moiullée et aurait volontiers prit une biere...
Il apreçut soudain une faible lumiere, un peu plus haut dans la coline. Il piqua son cheval qui partit au galop vers ce qui semblait etre une taverne. En effet, c'en était une. Le chevalier tout content jeta un coup d'oeil a l'enseigne. Il n'en connaissait pas des comme ça, mais elle paraissait annoncer quelque chose de bon, et tout de mème Diego ne se trouvait point en posision de dire non a un toit.
Il attacha son cheval dans l'ecurie et poussa la grande porte de bois. Il fut tout d'abbord embaumé par le delicieu parfum de biere, la lumiere lui vint droit dans les yeux, de sorte qu'il les ferma un intstant vant de s'y habituer. La salle était chaude et acceuillante, et pis, du monde était rasemblé! Assez normal pour une nuit de pluie... Il scruta la taverne d'un rapide coup d'oeil et apperçut Madd et Manah, heureux, sourire aux levres, il les aprocha. Il posa un baiser dans chaqu'une de leurs main, et regarda leur compagnie. Il y avait dans la taverne trois femmes et deux hommes inconus, quelqu'uns avaient eu l'air d'echaper a la pluie, ce n'était pourtant pas le cas de tous. Diego regarda les deux dames qui tenaient compagnie a Madd et Manah, il prit la main de chaqu'une d'elles deux et y posa un baiser ardent. Puis il tendit la main vers un homme qui sembalit s'être a peine aproché du petit groupe.

Un plaisir de faire vos connaisances....
Mon nom est Diego, je suis un chevalier errant...
A qui ai-je l'honneur???

Il s'assit aux cotés de Madeleine et regarda un jeune homme boire, et une dame un peu a l'ecart, il n'y preta pas beaucoup d'attention.
Il commenda ne biere, attendant les reponses de ses interlocuteurs
Un homme entra à son tour dans la taverne, rabattant la capuche de son chaperon sur ses épaules : c'était Rekkared.

Il vint s'asseoir à une table isolée où il déposa délicatement un gros livre.

http://www.citadelle.org/mediatheque/Geographie/Liban/Manuscrit-instruments-chirurgicaux.gif
C'était un exemplaire manuscrit des Archives de Saint-Félix qu'il tenait à jour - livre comptant plus de 300 registres et 700 pages où étaient consignés les noms des ducs, comtes et maires des Royaumes - et dont il vérifiait qu'il n'avait pas subi les dommages de la pluie.

Rassuré sur ce point, il salua tout le monde par un hochement de tête et commanda à boire.

_________________
[HRP] Où comment se faire de la pub...
Manah salua les nouveaux arrivant et sourie à l'arrivée de Diego,
elle l'invita à s'assoir à ses côtés et ceux de Madd...

Alors comme ça toi aussi tu t'est fais surprendre ?
Comme ça au moins nous ne sommes pas toutes seules ^^

Manah commenda une autre tisane et plongea son regard
dans la tasse amusée par cette situation.
Méonine était partie en exploration et s'était faite surprendre par l'orage. Sa belle robe trempée et ses cheveux dégoulinants, elle cherchait désespérément un abri en attendant que le temps redevienne acceptable. De loin, à travers les rideaux de pluie, elle aperçut un porche éclairé. Elle s'approcha et s'abrita dessous. Entendant parler gaiement à l'intérieur, l'envie lui vint de se joindre à la compagnie.

Elle ouvrit la porte. Timidement, elle entra. Elle ne connaissait personne et les belles robes de quelques jeune-femmes près du feu laissaient supposer que ce n'était pas des femmes du peuple ... Méonine regarda sa robe crottée, de bon tissu certes, mais rien à voir avec les riches étoffes portées par ces dames. Ses cheveux trempés, qui lui collaient au visage feraient plus penser à une souillon qu'à une femme honorable ...

Méonine s'apprêtait à ressortir ...
Manah vit une jeune femme,trempée et apparement intimidée qui
semblé vouloir ressortir,mais par cet orage il fallait mieux rester ici.
Manah ce leva et la rejoignit,elle la salua et l'invita à prendre place
à leurs côtés au lieu de partir...

Bonjour,quel affreux orage,tout le monde c'est fait surprendre...
Mais je ne me suis pas présentée,Lady Manah ou Manah tout court
si vous préférez...

Manah sourie et prie de nouveau place à la tablée,elle commanda deux
tisane et en proposa une à leurs nouvelle hôte.
Dehors l'orage grondé de plus belle avec des bourasques de vent très
impressionante...et cette pluie infernale qui ne cesse de tomber.
Méonine apprécia beaucoup le geste de la jeune-femme. Elle se laissa entraîner vers la table. Saluant les personnes présentes, elle prit un siège et s'assit. Elle accepta avec plaisir la boisson brûlante qu'on lui proposait.

"Merci pour toute votre sympathie Manah. C'est toujours difficile d'arriver dans un lieu que l'on ne connait pas. Un geste comme le vôtre est très plaisant."

Elle but une gorgée de tisane.

"Mais je ne me suis pas présentée ... Je m'appelle Méonine, j'habite à Blois, en Orléanais."
Diego regarda la nouvelle arrivante. Une dame fort plaisante et trempée jusqu'aux os. Il la détailla d'abord, comme il était en son habitude, puis il prit la douce main de celle-ci et y posa un ardent baiser. Ardent, car il venait de boire une gorgée de "Vin chaud", et que cela lui avait rechaufé tous les membres, en commençant par les lèvres.
Il sourit a la Dame repondant au nom de Méonine et se presenta a son tour

Chevalier Diego, habitant de Nevers, je me dirige actuelement vers Arvanches, Normandie pour rejoindre ma bien-aimée.
Toujours a votre service belle dame...

Puis, se sentant un peu intimidée au milieu de trois dames, il s'excusa et se dirigeat vers un homme qui venait de faire son entrée, et qui tenait un livre precieusement gardé entre les mains. Il le salua de la tête, et avant de s'assoir a la tablée il regarda le livre... un homme qui porte un livre tel, est surement interesé par un autre qui peux lui demontrer qu'il le connait. Hors, Diego avait beaucoup lu, et il ne tarda pas a reconaitre le livre. En s'aseyant il dit

c'est une trés belle editions des archives de Saint Felix que vous tenez entre les mains, Sire...
damien lu courait apres son chat blanc qui fesait encore des sienne dehors en pleine pluis celui ci entra dans une taverne damien a sa suite il attrappa son chat nommer illusion et regarda qui était present mes a sa grande surprise il ne connaissait pas cette taverne alors il regarda le prix de lz biere et sourit en voyant qu'elle etait plus chere que dans la sienne il regarda enfin les personne present .il vut d'abord diego et eut envie de repartir sur le champs mais il vut manah sa fiancer. il s'apptocha donc discretement et sans un bruit ce qui voulait dire .des chaiszer qui tombe mais damien s'en fichait seul mana h occuper son esprit il s'assied devant elle et lui souria coucou mon amour ma raison de vivre ma princesse
Lamis de Bourbon d'Orléans, Capitaine d'Orléans et Ambassadeur entra dans la nouvelle taverne, après avoir saluer tous le monde il s'asseya dans un coin de la taverne. Lamis venait a peine de rentré a Blois car il revenait de la guerre qui n'avais pas eu lieu finalement.

A peine arrivé a Blois il devrais repartir pour allez a Orléans puis à Gien. De plus, les élections en Orléanais était dans 4 jours et le duché d'Alençon venait d'être crée.

Apres que Lamis ait acheté une bière, il pensa à la médaille que son Duc Amro allait lui remettre pour récompenser son travail de meneur des troupe en tant que Capitaine des Armées. Il s'imaginait déjà avec cette belle médaille acrochée à son habit Bleu frapper des armes Orléanaise devant et de celle de sa famille derière.

Ensuite, Lamis pensa à son petit Frere Charles_XI de Bourbon d'Orléans car il avait été baptisé se matin même par la grâce de Arstote le Grand et sourtout le Magnifique.
Les Sauriens
Les tsiganes sur les routes menant de Languedoc en Alençon n’étaient point regardant sur les itinéraires, mais force était de constater qu’ici ils s’étaient bien un bout paumés.

Z’y verrons plus clair d'main … si c’te foutue flotte s’arrête de pisser de ce ‘tain d’ciel d’enfer.

L’apparition d’une inattendue auberge à l’orée des bois avait surpris certes, mais réchauffé les cœurs. Les chariots manœuvrés contre l’écurie, en campement acceptable, malgré c’tain d’pluie ; Chevaux et ânes étrillés, foin à satiété ; Les deux ours nourris et bien sanglés ; la troupe, hommes, femmes et enfants entrent dans l’estaminet.

Le maître de céans s’affole un peu. Il n’attendait telle populace. Bras en croix comme pour barrer le passage, il s’avance illico vers le vieux saltimbanque.

Je souris. Combien de fois tel accueil ? … Certains l’avaient par ailleurs payé assez cher.

L’aubergiste me propose une alternative et nous dirige vers la cuisine puis dans une salle attenante en léger contrebas.
Quelques lampes à huile prestement allumées par la main d’œuvre du lieu, montrent une grande pièce au plafond bas, jonchée d’un troupeau de sièges de bois, de quelques bancs renversés. Deux grandes tables sont collées dessus contre le mur opposé. La légère odeur de moisi est largement couverte par les alléchantes humeurs de la cuisine dont l’âtre chauffe le mur commun.
Tout compte fait, le propriétaire ne se fout pas de nous.

Les femmes offrent leur aide aux cuisines. La méfiance est de rigueur, la proposition refusée.

Roux tend une corde contre le mur chaud, les biaudes trempées y sont pendues. Les tables sont dressées en long, nettoyées, les sièges et bancs redisposés.

Ma troupe est heureuse, ça me plait.

Une matrone nous porte une grosse marmite au fumet à damner un saint.

Les Sauriens se répartissent autour des deux grandes tables, la marmaille cesse ses espiègleries, debout, recueillis, ils attendent...

Je marmonne Notre prière à Marie… m’assois, mon monde s’assoit… et les langues recommencent leur danse folle entrecoupée de hums et de slurps d’une soupe réconfortante avalée…
Tiens mon ange...salut illusion ^^
Alors surpris par la pluies ?...hihi...

Elle ce tourna vers la dame et lui sourie.

C'est tous naturel...je sais ce que c'est d'être nouvelle
arrivante dans des lieux inconnus...

Elle regarda le groupe de personnes entrer et prendre
place,elle les salua amicalement et leurs sourie,
puis elle regarda Diego,Damien,Illusion et la dame présente.
Takeshi avait chevauché depuis longtemps et n'avait pas vu aucune habitation ni aucune trace humaine. Le ciel semblait se couvrir et il sorti de son sac de voyage une houpellande et un manteau qu'il mit pour se protéger de la pluie qui tomberait d'ici peu. Il talonna son cheval qui parti d'un bon galop. Il lui fallait trouver un abri avant que... trop tard, la pluie commencait à tomber. Il parcouru quelques lieues sous une pluie torentielle. Il fut heureux de trouver enfin un abri. C'était semblait il une auberge. Il attacha son cheval dans la grange voisine et entra dans la pièce principale. Il vit qu'il connaissait beaucoup des personnes présentes et alla s'installer auprès d'elles en saluant tout le monde.

(hrp) Je suis Van Fanel dans les RR. (hrp)
Une voix grave vint s'immiscer dans la conversation des trois femmes qui devisoient auprès du feu.

Ayla se retourna. N'étoit-ce point le vicomte de Châlons qui semblait lui aussi être devenu l'hôte de cette taverne? Un léger sourire amusé se laissait deviner sur ses lèvres.

Bonjour messire. Comment vous portez-vous? Je vois comme vous n'avez point tarder à commander chopine pour vous réchaudir. Est-elle à vostre goût?
je te cherchait partout ou etait tu donc .heuresement que illusion etait la nes pas illusion.enfin c'est pas grave. ce tourne vers la personne inconnut bonjours mon nom est damien puis je savoir le votre
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