Pourquoi le developpement prends du retard

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Chikungunya

Grave épidémie à la Réunion

LE PREFET de la Réunion a annoncé un plan d’action pour lutter contre l’épidémie de chikungunya qui a atteint 6 200 personnes en neuf mois dans l’île. L’épidémie a commencé aux Comores en février 2005, pour atteindre la Réunion à la fin du mois de mars, et touche aujourd’hui toutes les régions de l’île. Les autorités australes avaient espéré que la période de l’hiver austral (avril-octobre) arrêterait la propagation de la maladie. Selon la Drass, cinquante malades supplémentaires sont enregistrés chaque jour et les autorités sanitaires craignent l’arrivée de la période des pluies, propice à l’éclosion des larves.

« Chikungunya » est un mot swahili qui signifie «marcher courbé». Maladie virale transmise par les moustiques, elle se caractérise par de la fièvre, une fatigue générale et des douleurs musculaires et articulaires qui peuvent durer plusieurs semaines. Certaines formes restent asymptomatiques. D’évolution bénigne, l’affection peut entraîner des complications neurologiques, notamment des méningo-encéphalites. Si aucun décès n’a été enregistré, deux cas compliqués ont été observés chez une femme de 56 ans et chez un nouveau-né. Aucun cas de transmission inter-humaine n’a été décrit, mais trois observations locales ont fait suspecter une possible transmission materno-foetale.

La lutte contre la maladie repose essentiellement sur la prévention de la prolifération des moustiques et la réduction des sources possibles de gîtes larvaires que constituent les eaux stagnantes.

Une mission d’expertise technique commune de l’Institut de veille sanitaire (InVS), de l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Afsset), de l’Institut de recherche pour le développement (Ird), coordonnée par l’Inspection générale des affaires sociales, a été diligentée sur place par les ministres concernés, Xavier Bertrand et François Baroin. Elle devrait rendre à la fin du mois un rapport à partir de l’évaluation approfondie effectuée lors de la troisième semaine de décembre sur les prévisions épidémiologiques, les possibilités d’éradication et les moyens et méthodes de lutte anti-vectorielle à mettre en oeuvre.

Des moyens importants ont déjà été déployés pour faire face à l’épidémie. Près de mille personnes ont été formées pour relayer les informations pratiques de protection individuelle et de destruction des gîtes larvaires. De même, 280 000 euros ont été engagés pour accroître les moyens matériels auxquels viennent s’ajouter 52 000 euros de dotation supplémentaire attribuée par le ministre de la Santé. Selon le préfet, 1 million d’euros sera prochainement débloqué pour renforcer les moyens sur le terrain et mener une campagne de communication.

> Dr L. A.
Citation :
Publié par BURET
C'est aussi mon avis car ce post avait pour but d'expliquer le retard du développement de SOG/DNL
Parce que selon toi ça a un lien quelconque avec le développement de DnL (en dehors de ton titre bien sur)?
Etant donné que c'est de l'humour déguisé, je pense qu'il faudrait nous renvoyer cet article chez nous, parce que là, y a pas de rapport avec la Taverne
http://www.runweb.com/communaute/cou...hikungunya.asp
http://www.runweb.com/communaute/cou...unya_page2.asp


ceux qui comme moi ont la chance d'habiter un peu en hauteur(Les Avirons), ben les moustiks ils ont trop froid

par contre NP3 se trouve à la ville du Port, au front de mer, 35° a l'ombre minimum

petite situation géographique :
http://www.runweb.com/savoir/communes/default.asp

Et pour revenir à la Chikungunya, j'ai vu 2 personnes atteintes : inflammation aux articulations chevilles, coudes, poignets... impossible de porter quoique ce soit ds les cas les plus graves, ni de marcher correctement

ceci dit, rester assis à dev devant un clavier ça doit être faisable
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