[Sentinelles] [Guilde Alliance] Duché d'Aarkonie

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HRP

Bonjour,

Petite présentation de la Guilde du Duché d'Aarkonie en HRP.

Le Duché d’Aarkonie, guilde de l’Alliance strictement RP, voit le jour sur le serveur Les Sentinelles. Le site donne toutes les explications sur la guilde, sa structure, sa hiérarchie, son Histoire... consultez-le site complet !


Mais voici quelques mots : 3 Maisons composent le Duché :

- La première est strictement militaire et la discipline y est celle d’une Armée.

- La seconde est « spirituelle » et « arcanique », les voies de la Sagesse et de la Foi y sont inculquées.

- La troisième est politique et administrative (carrière civile).


A coté de cela, diverses fonctions peuvent être occupées, afin que tout style de RP puisse s’exprimer en nos rangs. La structure sera mise progressivement en place, nulle précipitation de notre côté, nous souhaitons réunir une communauté de joueurs sensés et mâtures, la *roxor attitude* ne nous intéresse en rien !

Le canal de guilde sera RP uniquement, il y aura un chan non RP, sur lequel tous sms seront cependant bannis !

Nous souhaitons nous immerger dans l'univers de Warcraft, l’aventure du Duché commence, en serez-vous les piliers fondateurs ?

Merci de votre lecture...
/HRP
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http://membres.lycos.fr/sokkarie/Images/signatureaark.jpg
Histoire du Duché d’Aarkonie

L'Empire Humain d'Arathor fut fondé en Lordaeron 2900 ans avant la première invasion des Orcs. Les documents nous apprennent que les Humains abusèrent de l'utilisation des pouvoirs magiques récemment acquis, bien que nombreux furent ceux qui s’élevèrent contre cet emploi funeste de la magie. Parmi ceux-ci un noble, du nom de Sogard II, dont les lacunaires écrits forment les plus anciennes archives de l’Aarkonie. Divers documents nous indiquent qu’il fut Seigneur d’un Duché peu étendu mais où Justice et Paix régnaient depuis des années ; dans ses missives, on apprend qu’il s’insurgea violement contre l’utilisation abusive qui était faite de la magie.

Il ne fut pas entendu par ses pairs.

Peu d’années passèrent avant que, attirés par les forces magiques, des agents de la Légion Ardente retrouvèrent sans peine le chemin vers Azeroth. Ils purent ainsi le pénétrer de nouveau. La lutte reprit alors et ce n’est que bien des années plus tard que L'Orde de Tirisfal l’emporta finalement, au prix de lourds sacrifices.

Après 1700 ans de pouvoir, Arathor connus des discordances politiques et de surexpansion. Les troubles qui secouèrent les diverses nations semblent avoir entraînés la disparition de très nombreux écrits, parmi lesquels ceux du Duché d’Aarkonie dont on ignore tout durant ces 1700 années.

Les Nobles des diverses factions ne s’accordaient plus et la discorde empirait. Au sein même des divers Empires des voix discordantes se firent entendre. Des détails politiques de ces temps troublés nous ne savons que peu. Les archives aarkoniennes indiquent que celui qui était alors Duc d’Aarkonie, Aarokar Ier, fut un défenseur acharné d’une entente entre peuples de l’Alliance, il semblerait même qu’il eut rédigé un traité destiné à apaiser les velléités de chacun. Celui-ci ne parvint jamais, pour des raisons que l’on ignore, entre les mains de ceux à qui il était destiné. En l’An -620 la scission de l’Empire intervient.

Notre Duché perdit beaucoup de son ancienne gloire avec la scission impériale. Il fut en effet décidé que l'Empire Humain soit divisé en 7 nations : Azeroth, Lordaeron, Stromgarde, Kul Tiras, Gilneas, Dalaran, et Alterac… nulle mention du Duché d’Aarkonie qui sembla avoir perdu son autonomie en cette époque troublée. Le Duc Aarokar Ier était alors mourant et cet état de fait fini de l’achever. Les documents nous indiquent qu’il avait un fils, Azarkah Ier, qui fut reconnu comme simple Seigneur de fiefs et à qui le titre de Duc fut retiré dans des circonstances troubles et injustes… il avait alors 4 ans et le Régent était à la solde des spoliateurs de l’Aarkonie.

Lorsque Azarkah Ier eut atteint ses 17 ans il résolu de retrouver ses privilèges. Au prix de combats sanglants dont la royauté se désintéressa, occupée par d’autres affaires. Une vie de lutte fut nécessaire à ce que les anciennes terres d’Aarkonie revinrent à leur possesseur de sang. Des mercenaires nains, des loyalistes elfes et même une compagnie gnome servit sous les ordres de celui que l’on surnommait le « Commodor Azarkah ». Au crépuscule de sa vie, il avait eut un successeur : Aarokyr.

Jeune noble idéaliste, son premier édit reconnaissait la citoyenneté aarkonienne aux nains, elfes et gnomes qui avaient servi dans les rangs de l’armée libératrice de l’Aarkonie. Tous seraient citoyens, au même titre que les Humains d’ancienne engeance. Cette tradition fut maintenue au sein de la dynastie d’Aarkonie par son propre fils, dont le nom ne nous est pas parvenu, et tous ses successeurs.

Lors de la Seconde Invasion de la Légion, les terres de l’Aarkonie semblent avoir été durement éprouvées. A nouveau, les archives font défaut, seule la correspondance privée du Régent Hebert de Chanlend nous apprend que le Duc d’Aarkonie périt au cours des combats, son fils aîné l’accompagna dans la mort. Quant au cadet, il ne régna que quelques années puisque en 583 eut lieu la première bataille entre Orcs et Humains. Les peaux-vertes tentaient d'envahir Stormwind, mais elles furent repoussées par la cavalerie lourde du Roi Wrynn. Les troupes aarkoniennes furent presque entièrement détruites durant le siège de la Cité et surtout lorsque les Orcs se replièrent et traversèrent l’Aarkonie.

Grièvement blessé au cours du siège, le jeune Duc Sokkar fut rapatrié en ses terres pour y mourir. Mais sa mère, la Duchesse Tania, alors porteuse d’une fille, ne s’y résolut pas. Elle fit appel aux mages, aux druides, aux thaumaturges et aux nécromanciens de toutes terres pour maintenir le Duc en un état de semi-vie. Proie d’un chagrin immense, elle distribua terres et biens pour les services de magiciens parfois peu scrupuleux ou simplement dénués de talents. L’Aarkonie se réduisit à peau de chagrin et, bientôt, la Duchesse et la fille qu’elle venait de mettre au monde durent s’exiler en un lieu dont le secret est gardé.

Cela s’est passé il y a 45 années.

En un endroit tenu secret le corps du jeune Duc attend que les émissaires de la Duchesse Tania réunissent les forces disparates de l’Aarkonie pour redonner au Duché sa Gloire et sa Noblesse !



(Ce texte n'engage que les aarkoniens, c'est un texte légendaire et non-officiel de Blizzad, destiné à donner une base à notre RP, ce sont nos croyances, notre Histoire).
Un petit mot pour tenir informés de ce projet ceux qui s'y intéressent...

La Guilde est donc encore pour quelques temps à l'état de projet. Cela ne durera plus très longtemps, nous vous attendons donc pour poser avec nous les premières pierres de l'édifice Aarkonie ! Des Guild Leader sont cherchés afin que la Guilde soit dirigée par plusieurs personnes et un staff d'Officiers compétents. Si cela vous tente, contactez Daarkan sur nos forums.

Quelques questions-réponses

Mise en place progressive
- La mise en place de la Guilde est progressive, le but est d'abord de réunir une communauté de joueurs partageant les mêmes buts et aspirations, et ensuite seulement de se lancer, ensemble, dans le projet du Duché. Nous sommes également conscient que cette mise en place progressive peut engendrer divers problèmes (comme le fait que certaines personnes intéressées rejoignent au final d'autres Guildes car n'ont pas la patience d'attendre).

Plusieurs *Chefs*
- Actuellement, nous souhaitons que plusieurs Guild Leaders dirigent le Duché, si vous êtes motivé et que vous pensez être compétent à l'un de ces postes, contactez Daarkan sur nos forums.

Un simple projet ?
- Oui, je le souligne une fois encore, la Guilde est en l'état actuel un simple projet. Mais le jour de l'apparition en jeu du Duché semble s'approcher à grands pas.

Une guilde de reroll ?
- Certains d'entre vous ont des personnages 60 sur d'autres serveurs, le Duché est pour vous comme une nouvelle alternative, un endroit ou recommencer l'aventure autrement, sans course à l'XP et dans un pur esprit RP.

L'avenir de la Guilde et de son RP :
- Un *scénario* pour le Duché est prêt, il pourra avoir plusieurs orientations selon vos décisions, actions ou désirs. Au niveau RP, le but est de prendre toujours plus d'importance et de devenir l'un des acteurs principaux du server que nous aurons choisi afin d'y interagir avec les autres Guildes du lieu !

Je vous invite à laisser vos commentaires, questions ou remarques ci-dessous ou mieux, sur nos forums !
Je me nomme Arckalypse, je joue à wow depuis peu de temps ( deux jours tout au plus ) et j'aspire aujourd'hui à trouver une communauté de joueurs pour m'épauler dans mes débuts, je n'ai rien d'un roxxor et la loose est mon amie ( un peu collante d'ailleurs), c'est donc tout naturellement que je met mes services à votre disposition, aussi humbles soient ils.

Je suis bien entendu assidu au roleplay, même si je n'en fais pas la démonstration sur ce message

En vous remerciant.

Ps : je suis voleur, Humain niv. 9, répondant au nom d'Arckalypse. je suis connecté chaque soir dés 21h, me contacter in game, ou me donner sur ce forum le nom de la personne avec qui prendre contact.
Histoire du Duché d'Aarkonie, Chapitre II, l'Enfant-Duc
Cette chronique retracerait ce que fut l'enfance de Sokkar Ier Aniro, il faut savoir y discerner la Vérité au travers des habiles tournures du chroniqueur, enclin, comme tout serviteur, à faire de son maître une figure de Légende. Si certains érudits aarkoniens ont décelés dans les textes des faits "discutables", ils pensent qu'il s'agit là de métaphores et que la Vérité n'est pas remise en doute.

" [...] Le jour de la Grande Procession de l’année 566, au déclin de ce siècle qui avait vu tant de souffrances profondes traverser Azeroth, les consciences individuelles mises tant à mal et les terres du Duché ravagées par l’invasion des Peaux Vertes, la Dynastie d’Aarkonie fêtait un événement heureux, espoir diaphane de temps nouveaux: la naissance du fils du Duc Alarak et de la Duchesse Tania. Trois mois à peine s’écoulèrent quand La légion défit les derniers avant-postes aarkoniens, l’effervescence régnait à la Cour. On préparait l’exil. La Duchesse et ses enfants furent du premier convoi, accompagnés des Marquis et du Chancelier. Le Duc refusa de quitter ses terres et s’appéta à livrer un nouveau combat, entouré de sa garde rapprochée et des troupes régulières de l’Aarkonie.

La Duchesse, affligée par l’idée de la mort de son mari et abattue par la nécessité de l’exil, n’atteint pas les régions sauvages desquelles les civiles aarkoniens prenaient la direction. Elle se refugia en un lieu que le secret couvre encore de son voile. Selon la tradition, le jeune Sokkar fut couronné Duc pour succéder à son père dont on ignorait alors que l’inattendue victoire ornerait le front. C’était un fardeau bien lourd pour une tête d’enfant.

Autour de cet enfant aux parents qui semblaient condamnés, sans appui autre que celui que pourraient lui donner – et que ne lui donnèrent pas – des cousins lointains, prisonnier tout autant que pupille du Régent Herbert de Chanlend qui prétendait se servir de lui pour satisfaire son appétit de domination, toutes les convoitises se déchaînent, toutes les ambitions se démasquent.

Ce fin visage, si délicats sous les lourds diadèmes bosselés de pierres précieuses et de camées antiques, portera bientôt les traits spécifiques de ses ancêtres, lui garantissant bientôt le respect et la loyauté. Le petit Duc a fait trop tôt l’expérience des convoitises des classes mineurs, avides d’une accession facile au pouvoir. Il sait – ou il devine – qu’il est une proie pour tous ceux qui l’entourent ; et chacun espère que ce sera une proie facile.

Auprès de lui s’agitent des Comtes aimables, insinuants et habiles aux intrigues, des Barons aux rudes poignes et aux ambitions sans mesure, des courtisans serviles ou des domestiques arrogants. Tout un monde pour lequel il est un moyen, non une fin, et qui ne l’approche que pour atteindre par lui le but souhaité par le goût du pouvoir, de l’or ou du plaisir. La protection de la Garde d’élite de l’armée prétorienne lui épargne de devenir la victime de ses ministres indociles, de ses vassaux hypocrites et félons, parmi lesquels le plus redoutable, le régent lui-même.

« L’enfant Duc », ainsi le désigne-t-on, ses ennemis avec dérision et dédain, ses partisans avec une nuance de tendresse, de respect et de loyauté. Un gamin qui, à l’âge des plus pures et des plus douces insouciances, pressent déjà le cheminement lent et compliqué des combinaisons politiques dans lesquelles chacun tente de l’enserrer à son profit. Quelles illusions conservait-il ? Quels jeux puérils conviendraient à cet enfant élevé sans amour, dans un mélange de sévérité protocolaire et d’incertitudes en l’avenir de la dynastie. L’enfant Duc sera un monarque absolu à sa majorité, mais ceux qui le dirigent se gardent bien de lui laisser l’autorité. Il est au centre de cet entrelacs touffu d’ambitions, de rivalités, de haines, de rancunes et de peurs. Déjà le ducal enfant sait qu’il devra se défendre de toutes ses forces et, le plus souvent, attaquer le premier, avant que les autres aient eu le temps de l’attaquer.

Bientôt les nouvelles apprennent aux exilés que la Légion ne put ravager à sa guise les terres d’Aarkonie, que le père de l’Enfant est en vie, que l’Aarkonie n’est qu’ébranlée. Les appétits mesquins se font discrets, mais restent à l’affût. Ils savent que leur heure viendra. Ainsi les premières années de vie du jeune Sokkar marquèrent son caractère et sa destinée.

Retenu par les affaires militaires, le Duc Alarak ne pouvait que freiner les appetits des ennemis de l’Aarkonie. Malgré la demi-servitude que couvre l’apparat de la majesté ducal et quoiqu’il n’ignore plus rien, bientôt, des vilénies du régent auquel son père renouvela pourtant sa confiance, l’enfant de douze ans maintenant, fait preuve d’une personnalité et de capacités remarquables. Pour lui, tous les jeux sont fades et ternes auprès du grand jeu du pouvoir, auquel s’exerce son sang ducal. Tous les rêves sont mesquins qui n’ont pas pour objet, pour noyau, le désir de la puissance, le songe de la vertu, la souveraineté de terres reconquises et soumises aux lois ancestrales.

Comme il ne parvenait pas à assurer son empire sur le jeune duc, malgré son audace, son arrogance, ses calomnies et sa férocité, le régent Hebert et ses partisans, dont les rangs s’affinaient en même temps que l’enfant grandissait, nourrissait le projet d’imposer par les armes son autorité à la cour.

Lorsque, par une triste journée de l’année 581, l’Enfant, qui n’en était déjà plus un, vit entrer dans ses quartiers des gentilshommes en arme on eut pu craindre pour l’avenir de la dynastie d’Aarkonie. Mais l’adolescent surprit les intrus en esquissant un sourire ironique, les conspirateurs venaient de se déclarer au grand jour. De lourds rideaux tombèrent, laissant place aux Gardes Prétoriens d’élite, fidèles parmi les fidèles. Comme les rebelles tentaient de fuir, car leur lâcheté leur fit refuser un combat loyal, les portes se refermèrent devant eux. La Légende dit que le Duc égorgea lui-même le régent félon ; ses partisans, pour leur part, furent conduits dans les profondes forêts et furent passés par le fil de l’épée, sans exception. Le Duché lavé de ses traîtres, Sokkar et ses troupes d’élite prirent la direction des terres du Roi pour porter secours à son père le Duc. Tenu à l’écart des affaires du royaume par le régent félon, le jeune Sokkar apprit la terrible vérité : son père et les chevaliers de l’Aarkonie avaient été massacrés depuis plusieurs mois déjà. Aucune sépulture digne ne leur avait été donné. Il comprit alors quel piège se refermait sur le Duché, mais le temps et la malice des hommes avaient fait leur œuvre.

Le Duché semblait condamné, Sokkar savait devoir s’y rendre sans délai pour imposer la prestance de son rang et y déloger les derniers bastions déloyaux… mais le Royaume humain entier était prêt à s’effondrer devant les assauts de la Légion. L’Aarkonie serait aux côtés du Roi, quoi qu’il lui en coûte, et il lui en coûta beaucoup…

Entends-tu, défenseur de l’Alliance, l’appel de tes aïeuls ? Cette voix qui murmure aux tréfonds de ton être, et que tu n’oses, encore, écouter. Abandonne la honte qui, sournoise, t’envahit : laisse toi guider par-delà les ondes lointaines, afin que ta âme trouve, en notre Duché renouvelé, une gloire sans égale. Ne doute pas de tes sens intimes, l’Aarkonie t’appelle, prête à t’accueillir dans l’ombre de ses venelles sinueuses et de ses remparts apaisants. Viens ! Pars sur l’heure, laisse-toi envoûter par nos contrées de contraste et ses imprévisibles visages. Et lorsque tu parviendras, enfin, aux portes du Duché, tu sauras, sans ambages, que tu y trouveras Gloire et Noblesse dans le défense de nos valeurs et de nos traditions. Rejoins-nous, frère, rejoins-nous, sœur.



HRP - Quelques nouvelles du Duché d’Aarkonie, venez nous rendre une petite visite…


A l'Assaut du Donjon d'Ombrecroc !

Rapport d'exercice de la Milice.

Fouilles archéologiques.

La Citadelle d'Aarkonia
Une comptine aarkonienne de la plume d'Elenwë Alquàirë résonne, de temps à autre, comme un souvenir, dans les ruelles de Stormwind

Neuf ils furent

Lorsque le flambeau du ciel
A la pâle lumière
Fit place.
Neuf ils furent


Dans les entrailles de pierre

Lorsque le hibou
Son cri poussa


Daarkan le fidèle,

Loyauté sans faille,
Frère de l'aigle
Aux yeux perçant,
Daarkan le fidèle
Aux huit fit jurer
Sur leur flamme,
Sur leur âme.

Gloire et Noblesse !

Joie de vaincre,
Joie de servir
Si noble cause.
Gloire et Noblesse !
Cri du fond de l'âme,
Désir de se battre,
Souvenirs renaissants.

Le voici qui revient !

Tremblez pleutres !
Fuyez lâches,
Hommes au coeur de biche !
Le voici qui revient,
le duché perdu,
De ceux qui cherchent
Les pas résonnent.

http://membres.lycos.fr/aarkonie/Images/serment.jpg

Déjà le vent sait,

Celui qui jamais ne s'arrête,

Coursier doux et effréné,
Au monde donne nouvelles.
Déjà le vent sait,
Aux vivants et aux morts
Annonce l'événement.
Tous sauront !


Tâche ardue que la leur,

Mais visage fier
Et orgueil sans bornes
Ils portent chaque jour.
Tâche ardue que la leur,
Chemin semé d'embûches,
Écartez la peur
Et rayonnez de courage !


La gloire est au sommet,

Montez jusqu'au pic !
Sur le mont escarpé,
Tendez la main vers la Voûte !
La gloire est au sommet,
Allez jusqu'au bout
Pour que vos noms
A jamais dans les mémoires soient !

Dieux, esprits ou Lumière !

De tout mon coeur,
Sur ma vie et ma terre,
Je souhaite leur réussite !
Dieux, esprits ou Lumière !
Protégez-les,
Il est temps maintenant
Que Phénix s'éveille.

Les âmes poétesses sont les bienvenues au Duché d'Aarkonie !
Retrouvez ce texte dans nos grimoires.
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