Pour ma belle...Louve des enferS

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Ce que ma bouche n’ose pas
Ma plume vous le dis je pense
Dans la douleur de la distance
Dans la chaleur de votre bras.

Madame vous possédez tous les parfums
Toutes les saveurs
Toutes les couleurs
Madame votre peau est plus douce que le satin.

Des fleurs vous êtes la plus belle des roses
Et vous le dire est bien peu de chose
Et de vous cueillir l'on ose
Sans vous la vie serait bien morose.

Telle une marguerite que l'on effeuille, passionnément
Laissez moi a jamais rester votre amante
Pour que je vous déflore sans empressement
Saisissons ensemble de la vie les meilleurs moments.

Vous êtes l'inspiration de mes plus doux poèmes, de mes plus belles lettres
Vous vouliez savoir qui je suis ? Je suis... la plume a la main et je ne trouve pas les mots
Pour vous dire a quel point je vous aime, et puis tout mon mal etre !
Vous etes mon inspiration animale, mon tourment, ma dague, et mon bourreau !

Madame, je vis au rythme de vos mots
Et si je manque de patience
C’est que mon cœur, dans tous les sens
Clame votre amour à fleur de peau.
Et bien, voila qui me fais chaud au coeur. Ravie de constater que vous êtes toujours liés par le serment que je vous fis preter l'une envers l'autre il y a si longtemps à présent...

Que la lune veille sur vos nuits...

*retourne a ses songes, perdue dans une clairière isolée*
Citation :
Publié par Chante-lune
Et bien, voila qui me fais chaud au coeur. Ravie de constater que vous êtes toujours liés par le serment que je vous fis preter l'une envers l'autre il y a si longtemps à présent...

Que la lune veille sur vos nuits...

*retourne a ses songes, perdue dans une clairière isolée*

Puisse la lune être avec toi.

Ravie de te revoir ici.

Comment se passent tes aventures, loin de nos contrées ?

Quand au serment que j'ai prêté ce jour là... J'ai pour habitude de les respecter... que ce soit ceux à qui j'ai promis, mort, souffrance et calvaire... ou amour, fidélité et tendresse.



[Modéré par Fidjik : citation de contenu edite / devenu sans objet]

Hummmm !!!

Comment dire ça ???

On a l'habitude ?
On s'en fout ?

Quelque chose comme ça.



Ha non !!! j'ai trouvé.

Je suis aimée par une femme comme il y en a peu.
Donc l'avis et les sentiments,négatifs, des gens comme il y en a beaucoup m'indiffère.

Pour te répondre Surttails, meme si je pense que ton esprit étroit ne pourra surement pas comprendre, quelqu'un disait que le racisme est une manière de déléguer à l'autre le dégoût qu'on a de soi-même.

Réfléchis-y
Cela faisait quelques temps déjà que Krystal n'avait pas consulté les oeuvres d'amour de son amie GothAn avec sa dulcinée Louve-des-enferS. En fait, elle n'en éprouvait pas forcément le besoin, elle n'avait pas besoin de contempler ces oeuvres pour savoir que son amie était heureuse auprès de la femme de sa vie. Oui, son amie est avec une femme. Et quelle différence ? L'important n'est-il pas d'aimer, d'être aimé, et d'être heureux ? Depuis quand faudrait-il se baser sur des considérations morales dépassées pour aimer ? Les insultes et l'incompréhension ne sont-elles pas le fait de personnes jalouses, parfois même homosexuelles elles mêmes qui n'assument pas ... ? Et puis depuis quand ces insultes aussi vaines fussent-elles ont elles empêché deux femmes de s'aimer ? Aussi quel intérêt de cracher sa haine, à part gagner les foudres de tout ceux qui ici ne prêtent pas attention à ce "détail" et qui comprennent la force de l'amour qui unit ces deux femmes...

[Discours Gay Fierty powa ^^]

[Bjorn : Devenu sans objet ]
Rien qu’au son de ta voix, je tremble de partout,
Je sens même tes mots me pénétrer le corps,
Tes yeux me dévêtir d’un silencieux accord,
Avant de m’enlacer en me laissant surtout

Le soin d’imaginer les dessous du dessein,
Que forment nos baisers brûlés par le désir,
De nos doigts effleurant les pages du plaisir,
De mes yeux soulignant le tracé de tes seins.

Un parfum me retient à ta fontaine claire,
Tu m’invites à chercher les plus tendres chemins
De ton intimité, que caresse ma main,
Je me laisse glisser dans le chaud de ta chair.

Nous chevauchons alors au gré de nos envies,
Approchant du pays où s’épousent nos âmes,
Où deux ne font plus qu’une et délicieuse larme,
Dansant sous le soleil et saluant la vie !
Nuit d´obscurité dans tes bras,
Où ta lune éclaire nos draps,
Je m´imprègne de ton essence,
Pour m´abandonner à tes sens

Portée par d´infinis délices,
Vers le précipice, je glisse,
Vénérant avec feu ton corps,
Comme une déesse qu´on adore

Sur les bords du Brahmaputra,
Nous dansons le Kama-Sutra,
Plongés dans le monde onirique,
De nos fantasmes érotiques

Et je succombe au doux supplice,
Dans le désert, un oasis,
Avec avidité je baise
Ta peau au goût de fraise

Devant ta croupe callipyge,
Je suis soudain prise de vertige,
Ne sachant à quel sein me vouer,
Ayant des péchés inavoués

O le parfum que tu exhales,
Evoque celui des vestales,
Lorsque sur moi tu te déhanches,
En ondulant tes cuisses blanches

Etendue près de moi,
Ton regard reflète l´émoi,
Epuisée, râvie je m´endors,
Dans l´antre de ta toison d´or

Mais tu as une faim... de louve,
Et me caresses de plus belle,
Rallumant en moi l´étincelle,
Que la morale réprouve

Sais-tu que quand nos corps s´enflamment,
Peut-être s´unissent nos âmes?
Mais foin de toutes ces sornettes,
Retournons donc à nos galipettes!
Au Fil De Ma Lame.

http://www.imagup.info/images/05/1191137584_Sans%20titre%208.jpg
Bon anniversaire

D’une rencontre vécue sur le fil du rasoir
J’ai vue son ombre s’étendre sur moi un soir.
Elle avait le tranchant de son arme
Et la beauté que lui donnait son charme.
Votre chair, votre peau, madame,
Glisse sous le fil de ma lame.

Une histoire à tirer au couteau
Vécue amoureusement au fil de l’eau.
Un caractère qui n’aime pas l’ordre
M’a donné souvent du fil à retordre.
Vos émois, votre corps, votre âme,
Glissent sous le fil de ma lame.

De fil en aiguille, elle m’a emmené
Pour elle, pour sa personne à me damner.
Elle déroulait pour moi le fil d’Ariane
Me permettant de retrouver mon âme.
Vos émois, votre corps, votre charme,
Glissent sous le fil de ma lame.

Mais ce chant vocal en ce matin blême,
Qui me pousse a écrire pour vous ce poème
Réveille en moi le temps d’un battement de cil.
Que ma raison vacillante ne tient plus qu’à un fil.
Votre chair, votre peau, Gothan,
Glisse sous le fil de ma lame.
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