Pour ma belle...Louve des enferS

Répondre
Partager Rechercher
cet amour interdit
tout plein de poesie

celui de louve et gothan
depuis la nuit des temps

du ciel aux enfers
de la mer a la terre

partout on le connais
d'ou sa specialitée

un amour grandissant
pour toujours a jamais

voila pourquoi je sais
que grace a leurs volontées

toujour ces deux beautées
continueront de s'aimer

depuis peu j'ai compris,
que pour elles c'est fini

le temp c'est aréter ,
pour les laissées s'aimer

pour graver dans l'histoire,
dans le coeur leurs memoires

voila ce que je pense
de cette belle romanse

un amour sans fin
plus profond qu'un ravin

cet amour sans faille
qui jamais ne tresaille

2 coeurs qui se completes
qui nous font tourner la tete

voila enfin a jamais
leurs destin sont scélés
Dans un écrin de velours
J'ai déposé tes caresses d'amour
J'y ai mis tous nos désirs
Tout ce que l'on a pu se dire

J'ai enfermé en secret
Tous ces mots doux si parfaits
Pour qu'ils renaissent un jour
Encore plus riche d'amour

Si le temps m'était donné
Si ce quotidien on pouvait partager
Je t'offrirai ces perles de sentiments
Qui nous emportent loin sur l'océan

L'océan du désir
Aux vagues du plaisir
Où nos âmes s'accrochent et chavirent
Aux sons d'un même soupir

Si l'on pouvait accoster
Sur une île en naufragés
Se couvrir de baisers
Jusqu'à plus soif s'aimer

S'unir sur une plage de merveilles
Nos corps frissonnant au soleil
Si l'on pouvait être en ces lieux
Nos étreintes seraient de feu

Dans les sillons de mon coeur
J'ai posé ton image en douceur
Elle y baigne avec tendresse
Et se nourrit de tant de richesses

Peut être que demain
Va fleurir un nouveau destin
Faisant jaillir l'ivresse cristalline
Donnant à nos coeurs une lueur divine
C'est en te caressant la joue que tout a commencé
Dès cet instant j'ai su que j'allais t'aimer
Que mes heures et mes jours a venir n'allaient avoir de sens que toi
Ta peau m'était apparue si douce, comme un nuage on aurait dit

Je me souviens de cette pluie fine qui tombait par la fenetre ouverte
Un vent glacial avait soufflé sur nous comme un assaillant stupide
Comme si la nature s'opposait a notre amour naissant
Mais rien mon amour, rien n'avait pu m'empêcher de t'embrasser...

Savais tu chérie (^^) qu'au moment ou mes lèvres tendrement
ont toucher les tiennes ...
Que dès ce moment précis ou l'étincelle de l'amour allume le cœur
Que le monde pour moi a vacillé

Que ma vie n'a plus jamais été la même..

Je pense que nous nous sommes embrassé de longues minutes
C'est le plus beau souvenir que je garde de toi bien au fond de moi
Ce long baiser ou la douceur avait fait de nous le bonheur pur
C'est ça je pense être heureux dans la vie

Aimer si fort jusqu'à ce que je devienne tout a coup toute bête
Je garde de si beaux souvenirs de nous mon amour que je songe souvent a les mettre sur papier
A les graver a jamais l'un après l'autre jusqu'à ce que ma main ne tienne plus la plume

Sur des pages blanches que je pourrai noircir avec a la fois mon cœur et mes désirs
Je t'aime, de la page un a la page mille je jubile
De toi j'ai envie chaque jour
De tes yeux de ton corps et de tes lèvres j'ai ce mal d'amour

Alors prends soins de toi mon coeur
Et gardes ton beau sourire pour les moments de passion qui nous habitent
Quand tes doigts se dérobent
A ma vue à ma vie
Que dans la nuit ta robe
Me dévoile l'envie

Je m'envole et m'élève
En frôlant la folie
Sur le bout de tes lèvres
Je m'enroule et m'oublie

Quand tes yeux amoureux
D'un coup me déshabillent
Que d'un baiser fougueux
Tu me rends à la vie

Je découvre en ton sein l'essentiel
Le goût délicieux du fruit
Qu'on croque sur le lit du ciel
Enlacés dans les bras de la nuit.
A travers les mailles des mots
En marge des vers
Quelque part entre l’âme et l’eau
Se glisse un univers

Une aire de repos
Un coin de terre
Où s’effleurent nos peaux
Où s’effrite la pierre

Quelque part entre l’un et l’autre
A l’ombre des lettres
Un lieu secret devenu nôtre
Que nos pleurs ont vu naître

Un espace qui laisse
Libre cours à nos cœurs
Où s’étend la tendresse
Sur un drap de douceur

Entre les lignes et l’encre
Mon âme élit son paradis
Mon bateau ivre a jeté l’encre
Dans son regard où l’amour luit.
Ô sensation extrême et délicieuse!
Ô abandon profond et enivrant!
Blasphème à l'encontre d'une foi pieuse
Ou désir à jamais inassouvi et vibrant?

Un brasier infini s'insuffle en mon être
S'érigeant en une chair oblongue et droite
Cette fièvre de plaisir dont je ne suis maîtresse
Parcourent avec volupté ma peau moite

Le souffle court le regard éperdu
Je me laisse doucereusement chavirer
Dans les tumultes de son corps nu
Et dans une longue extase tant convoitée...
Mes lèvres à ses mots
Ont bu ses émotions
D’un paradis exotique
De saveurs mystiques
De sensations érotiques
D’une douceur aquatique.

Ma tête est à l’envers
Mes pieds ne touchent plus terre
Comme une odeur d’éther
Je plane dans l’atmosphère
J’ai enfin quitté la terre
Je m’envole vers son air.

Mon corps est un brasier
Je dois bien me l’avouer
Dans mes yeux petite lueur
Devient flamme sous la beauté
Je peux rester des heures
A regarder ses yeux fermés.

Sur son visage endormi
Mes doigts dessinent le contour
D’un sourire sculpté sur sa bouche
Semblant offert à mes baisers
Vais-je me laisser tenter
Ou continuer d’explorer
Ce portrait, à mes doigts, si parfait
Qu’il serait l’effigie de mon amour.

Un sceau qui laisse,
Sous le feu de sa tendresse
Une trace indélébile
Contour d’une île
Puits de caresses
Où je me perds dans l’ivresse.

Même endormie, elle est à moi
Même absente, elle est près de moi
Même triste, elle est ma joie
Même tout .... elle est
Même rien, .... je suis là et je vis.
A mort

J’écorcherai encore ma peau
Pour t’écrire un poème
Pour le rythmer, j’userai mes os
Et sans devenir blême
Je le crierai bien fort bien haut
Amor, c’est toi que j’aime

Gare à moi si je divague
Passion est blasphème
La cadence de ta vague
Tu es mon anathème
Mon amer poison, ma dague
Amor c’est toi que j’aime

Mon hypnose, mon décadent
Ma petite mort, ma gemme
Transporté par ton flux ardent
Mon cœur frôle l’extrême
Mon corps qui craque sous ta dent
Amor c’est toi que j’aime

Au milieu des moribonds
Je suis en plein baptême
Sous les yeux des furibonds
Jouit notre tandem
Faible est la chair, et à quoi bon ?
A mort, c’est toi que j’aime.
Laisse-moi te parler du rêve que j’ai fait,
Nous étions toi et moi, à la belle saison,
Etendus dans un champs, le vent nous caressait,
Il n’y avait que nous, nulle ombre à l’horizon.

Pinsons et Rouge-Gorges, en fête, s’accordaient,
Célébrant nos amours de leurs belles chansons,
Invitant le soleil, comme un témoin muet,
Pour embraser nos corps de ses joyeux rayons.

L’oreille contre mon torse, tu écoutais mon cœur,
Les yeux à demi-clos, tes mots se faisaient tendres,
Et l’écho de ton rire, tout habillé de fleurs,
Me donnait des frissons jusqu’au tréfonds du ventre.

Nos mains se baladaient, effleurant en douceur
Nos corps devenus braise, nos vêtements de cendre,
Tombant comme des feuilles, que balayait sans peur,
Le vent, qui de son souffle, nous disait de l’attendre.

Tes yeux me dévoraient, je fondais sans détour,
A ta bouche fougueuse, en mordillant tes lèvres,
Ma langue aventureuse, ivre de faire le tour
De chaque coin de peau dont je sentais la fièvre.

Alors tu me priais, de quelques mots d’amour,
De venir te rejoindre, là où les corps s’élèvent,
Unis d’un même cri, pour un divin parcours,
Laissant monter, en nous, la plus douce des sèves.
Des pupilles aux papilles
Du papier aux paupières
Tu brûles ou bien tu brilles
Aux larmes de lumière

Aux perles d’espérance
Qui parlent à mon ennui
De rêves en errances
La noce est à la nuit

De mon livre à tes lèvres
Je vole et je voyage
Je file ou bien je fièvre
Quand tu plonges en mes pages

Tes doigts me déshabillent
Lovés dans mes aveux
Mes chagrins en charpie
Chevauchent tes cheveux

De la muse à la main
De la bouche au baiser
Parée de ton parfum
Je m’endors apaisée.
Absence

Le ciel est vide
Et vide l'univers
Vide est le lac
Et vide la forêt
La vie est vide
Et mes yeux sont éteints
Un seul être me manque
Et mon coeur se déchire...
Merci pour tout cette passion.
Lorque j'ai une baisse de tension et que je me sens triste cela fait du bien de lire tout c'est poèmes d'une grande douceur.
J'espère qu'il y en aura d'autre comme ceci;

Merci pour tout c'est joli rêve partager avec nous

Bojack le Iop au coeur pas si dur que ça
Pour nos deux ans aujourd'hui passé ensemble.
Au plus vieux couple d'Amakna.
A nous.



Rouge


Rouge troublant
Au rythme des bonheurs,
Rouge vibrant
Au rythme des malheurs,
Mais toujours rouge ardent.

Les jours s'échangeant
Passent nonchalamment
Au rythme de la Lune
Montent et descendent comme la dune
Ensablée, dessablée par les vents.



Rouge sanguin
Au rythme de mon cœur,
Rouge carmin
Au rythme des senteurs,
Rouge encore plein d'ardeur.

Les jours se nuancent
Gagnent en abondance
Au rythme d’un baiser
Langoureusement offert comme une caresse
Éveillant les corps à une nouvelle jeunesse.

Citation :
Publié par GothAn
Pour nos deux ans aujourd'hui passé ensemble.
Au plus vieux couple d'Amakna.
A nous.
Déja ?
Comme le temps passe vite quand on est bien accompagnée.
Alors... à nous.
*lève son verre*.

À mains nues
se murmure la tendresse
sur un monde désenchanté
quand sur la mousse
s'étalent les avenues du corps
à la source des lèvres
se prononce doux

oser la tendresse
nue sur la mousse
boire à la source
du prononcé des lèvres
allant de l'éclat du rire
jusqu'à l'éclat du dire



Eternellement tienne.
Louve.
Montre-moi le chemin de ton coeur,
Guide-moi donc sans peur,
Je veux découvrir tes pensées,
Connaître tout tes mystères.
Aide-moi donc à te revéler,
Tout ce que je cherche c'est te plaîre,
Dis-moi,
raconte-moi,
Livre-toi,
Ouvre-toi,
Aide-moi à te comprendre,
Celle que je dois être.
POur un jour esperer apprendre
Ton coeur ne fait -il que battre??
Bat -il pour moi ?
Je t'en pris dis le moi,
Puis-je y penetrer, est-il à jamais scellé ???
Tout ce que je cherche c'est ton bonheur,
OUvre-moi les portes de ton coeur,
Soyons heureuses pour toujours,
Soyons heureuses dans notre amour.
Dis-moi,
Raconte-moi,
Livre-toi,
Ouvre-toi,
Si jamais je suis dans l'erreur ,
Dis le moi, n'aies pas peur,
Indique-moi le bon chemin,
Celui qui mène à notre DESTIN !



Eternellement tienne.

Louve.
Répondre

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés