Voici comment est le monde

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Citation :
Publié par Soir
Le monde est divisé en 3 classes.
Il y a les « oratores », ceux qui prient, le clergé dans son ensemble. Il est là pour rendre grâce à Dieu et pour le salut de nos âmes. Inutile de dire sa mission est à la fois sacrée et primordiale.

Il y a les « bellatores », ceux qui combattent, les rois, seigneurs et chevaliers. Ils sont là pour protéger les deux autres classes, sans eux on ne pourrait survivre, ils méritent d’être là.

Il y a enfin les « laboratores », ceux qui travaillent, les artisans et surtout les paysans, qui doivent faire vivre les deux autres classes.


Cet ordre, voulu par Dieu, est juste. Si les bellatores et les oratores ont plus d’avantages dans cette vie que les laboratores, ils courent aussi un plus grand risque pour leur âme. En effet, les grandes responsabilités pèsent sur leur salut.
/agree
C'est comme ça que j'envisage la société telle qu'elle devrait être dans l'idéal.
*sort en Courant*
merci Soir d'avoir relancé ce débat je désespérais qu'il reprenne kiss (si je puis me permettre )


je suis assez d'accord avec le point de vue de mobidique sur le naturel et la nécessité d'un leader dans une societé mondial ou plus petite.a la difference c'est que je vois cela en partant du bas de l'échelle et non du sommet. c'est a dire tout commence par le quartier ou on vit et pas par l'échelle mondiale.

je m'explique:

notre vision des choses est déjà assez conditionné par une vie pratique (politique et sociale) déjà préétablie depuis des lustres le tout est de tenter de voir un monde autrement que définit par une ascension sociale capitaliste ou communiste il est vrais que ces personnes qui ont définit de tels systèmes sont des gens non dénué de bon sens mais ne nous enfermons pas dans des idée préconçues tentons d'en creer nous mêmes.

comme je l'ai déjà dit et je pense qu'on est pas mal d'accord sur le sujet l'argent dirige le monde voici la phrase clé mais si on va plus loin c'est notre ego qui le dirige et qui a fait qu'on crée cet argent.

enlever l'argent de ce système mondial ne se resume pas a dire tout le monde cours au communisme non. on parle la d'un fleau social et non politique.

bien déjà dit mais je me repete cette suppression ne peu qu'apporter de bonnes choses et la principal pour ma part est sans doute celle d'un éveil spirituel de chacun, je ne vais pas rentrer dans le domaine religieux car quand on dit spirituel beaucoup d'entre nous verrons la religion en premier plan encore une fois je m'explique.

certain dans ce thread ont touché les prémices de ce fond de réflexion sans en etaler les details par la phrase qui suit : "le but de l'homme dans la vie" "recherche du bonheur"

oui en effet quand on est heureux et je reprends les parole d'un patient qui malgres son état de santé assez mal en point tien un discours véridique.

"quand on est heureux dans la vie on peu vivre avec de l'eau et un bout de pain"

c'est par ici qu'on commence notre but actuel et c'est bien le système qui nous l'impose c'est de chercher l'ascension sociale et un bien être pecunier pour planifier le bien être de notre descendance. hors supprimer la chose qui nous tien menotés reviens a dire qu'on en sera que plus heureux.

bien il va de soit comme j'ai déjà dit que tout fonction utilisant ce procedé sera voué a la disparition et c'est tan mieux.

je reprends la réflexion d'une personne qui disais ici que tout le monde aimerais faire le même metier car on aspire a plus de confort ... ben si tu enleve l'argent tu n'a plus besoin d'être toubib ou ingenieur ou je ne sais quoi pour avoir la même chose.

pour en revenir au fond de ma réflexion (désolé si je part un peu partout mais je suis bien obligé de détailler) ce procedé ne peu marcher si on a pas un éveil personnel déjà un éveil individuel sur notre manière de vivre sur notre manière de penser.

si l'homme commençais par penser des demain a l'autre au lieu qu'a sa personne tout serais diffèrent il cherche pas son bien être d'abords mais celui de l'autre car -et c'est la que tout s'emboite- mon bien être passe par celui de l'autre.

ce n'est surement pas la vision du jour vu qu'on est conditionné par un système lucratif donc un système qui se veux individualiste et non communautaire pour moi c'est la version moderne de la loi de la jungle le plus fort et le plus puissant gagne le plus pauvre restera toujours pauvre et sera rejeté par sa communauté.

bon je pense avoir déjà tout dit sur les "pour" de ce monde j'ai pas eu de "contre" pour le moment j'en attends de votre part si vous en avez.

a present voyons voir ce que mobidique présentais la question de qui va diriger un système futur d'une autre manière qu'aujourd'hui.

parlons du mot politique au sens noble du terme et pas a sa définition visuelle ou conceptuelle actuelle.

comme je disais il faut voir a partir de la racine on ne peu etablir un ordre mondial si on ordonne pas avant tout la cellule initiale.

qu'est ce donc cette cellule? nulle autre que la FAMILLE les sociologues sont d'accords pour dire qu'un état ou la famille va mal ne peu être qu'un état instable et voué a un renversement.

comme le corps humain si cette cellule est verolé ou mal en point elle va gener le bon fonctionnement de la totalité du corps.

si chaque famille se donnais le devoir de donner de bons fruits le quartier s'en sentirais bien d'ou un état social plus stable et serein et un monde enfin pret a bien fonctionner.

mobidique exprime la nécessité de dirigents oui mais comment ceux ci vont être sélectionnés.? propagande? coup d'état? non non et non oublions les methodes du passé et du present.

immaginon simplement des elections oui car la liberté de choisir est importante une democratie totale est de mise pour permettre a chaque être humain de s'exprimer.

on part de son quartier ou la communauté va élire son representant :

1-toute propagande ou demonstration est abolie pas de course vers une compagne electorale ou quoique ce soit qui peu biaiser le jugement d'autrui et en defavoriser d'autres.

2-le soncond point fait suite au premier comment les gens du quartier vont élire la personne si elle ne se presente pas ou si on ne la connait pas? d'ou la nécessité du travail pour autrui car seul les actes sont preuves de bonne foi si on est une fegnasse cela se ressentirais sur le quartier et l'image n'est pas des plus glorieuses. si on est un roublard idem.

3-voila la finalité c'est que la personne elue dans ce quartier n'est pas forcement la personne qui le voulais ardemment mais celle qui a su prouver a sa communauté par ses actes qu'elle peu faire quelque chose de noble et de bon pour eux ici la course au pouvoir se transforme plutot en un devoir et le pouvoir devien responsabilité et non confort et bien être social. avec cette vision les hommes fuirons le fardeau du pouvoir au lieu de le chercher tel est le sens de cet éveil et quand il leur est confié ils serons aptes a faire leur devoir car ce n'est pas eux qui l'ont decidé mais la communauté qui les a mis a cette place.

pour finir donc la region l'état puis le monde les gens elirons parmis les personnes qu'ils ont choisit pour l'échelle plus basse ceux qui serons aptes a diriger la region puis l'état pour le monde un seul gouvernement mais plusieurs personnes pour le monde car une seul personne ne pourra diriger un monde entier tan le fardeau de cette responsabilité sera grand.


voici ma vision de ce monde de sa politique (noble) et de son système "economique". désolé pour le gros pavé mais j'aurais aimé vous avoir chez moi autour d'un bon thé pour en discuter de vive voix j'espère que vous avez pas trop les nyeux fatigués
Citation :
Publié par Taya
C'est bien la preuve que la féodalité est un système qui se joue des époques grâce à la perfection de son mécanisme.
Je crois que, et des interventions diverses dans ce fil l’ont démontré, que le discours dominant et sa mythologie sont indépendants de la forme du système, du temps que le système a une classe dirigeante.

Etrius, tu proposes beaucoup de choses, qui dans un sens s’éloignent du sujet de ce fil, puisqu’il s’agit pour toi de proposer une solution possible. À mon avis, tu devrais lancer un nouveau fil avec ton sujet. Mais je crains que beaucoup de tes solutions ne soient irréalistes à l’échelle de la planète. Je me demande vraiment comment concilier la production et les services pour faire vivre la société sans l’intermédiaire de l’argent. Je parle d’un point de vue uniquement pratique, hein, pas idéologique.

De même, ton système de démocratie pyramidale, au lieu d’une démocratie directe, ne me convainc pas. Au bout d’un certain nombre d’échelons, les citoyens n’auraient plus voix au chapitre, du tout, même pas par un vote. Et je ne suis pas sûr que quelqu’un de doué et compétent à l’échelle d’un quartier le soit aussi à l’échelle d’un pays ou de la planète.

Andromalius, un fil sur la révolution, si la modération arrive à empêcher une prolifération de trolls, comme elle l’a fait ici, ce serait intéressant. Parfois j’ai l’impression qu’une révolution serait une bonne chose, mais un fond de pessimisme et sans doute l’amour de mon confort me font pencher vers une évolution plus douce de la société. Peut-être ai-je tort.
part a la premiere page lire le premier post et reviens pour repondre

Soir excuse moi alors je pensais etre dans le sujet vu que je répondais a ta question:

Citation :
Et vous, vous pensez que l’on peut faire quelque chose pour améliorer ce monde, même si cela revient à remettre en cause ce que l’on nous présente, aujourd’hui, comme une réalité indiscutable ?
.
mais il est vrais aussi que ton sujet lançais aussi d'autres questions notement celle de la provenance de ce système qui apparemment serais divin moi de ce coté je suis pas pour dire cela si ma memoire est bonne ce système fut instauré juste apres l'an 1000 environs par un eveque ce qui donna naissance a un système social feodal (on en a deja parlé sur le post je croit) si ce système etait divin on l'aurais retrouvé bien plus tot dans d'autres ecrits divins antérieur m'enfin bon ma culture religieuse n'est pas non plus parfaite si tu pouvais eclairer plus les sources.

mais bon si c'etait le cas et meme si on a gardé quelques traces de ce système de base aujourd'hui nous vivons a une epoque differente ou l'economie ne cesse de progresser grace a des technologies nouvelles et c'est la ou j'en reviens a mon discours l'argent prends une place de plus en plus ennorme de nos jours qu'en l'an 1000 tu me dit si j'ai tort.

pour mes solutions a une echelle modiale cela ne peu que marcher le principal est de partir sur une bonne base (le quartier) et la démocratie que je propose ne peu que donner voix totale aux gens pour élire leur représentants car si on se base sur notre démocratie d'aujourd'hui la politique est pas des plus propres 'a qu'a se souvenir du coup raffarin ... et y'en a d'autres partout dans le monde.

la politique Noble est loin d'etre confondu avec notre politique actuelle.

bon je m'arrete la car pour ne pas partir en dehors du fil je prefererais que tu exprime plus clairement ta reflexion car je peu avoir compris de travers le but de ton post

PS: j'avais ecrit un truc bien redigé mais plantage de IE resultat je reecrit le tout mais sa donne plus court mais moins explicatif peu etre dsl d'avance.
(bon j'ai tout lu, je ne suis pas certaine d'avoir tout compris, certains concepts/certaines idées/certaines notions/voire même certains quiproquos, bien que passionnants, rendent les choses assez délicates, donc voici sans prétention, mes deux centimes).

J'ai l'impression, depuis quelques temps, que le monde dans lequel nous vivons est une monde basé sur des idéologies et systématiquement idéologisé.
Je m'explique.
Depuis quelques siècles, maintenant, entre les "progrès" divers et variés et la "démocratisation" (entendez par là, l'accès plus libre à la masse) de l'éducation, on se retrouve devant un fait étrange et questionnant, qui tend à transformer chaque conversation sur le monde en un "débat" "d'idéologies" (et non pas d'idées ou bien de pensées, c'est très différent). Par exemple, erreur fréquente, Rousseau ne se place pas dans une "idéologie" de l'homme, mais dans une "pensée de l'humanité", même si les discours qui l'ont suivi et la façon dont on nous l'enseigne, tendrait à donner comme acquis que Rousseau est un "idéologiste", non c'est un "penseur". L'idéologie est une systématique de la pensée humaine, se traduisant par une systématique du monde environnant, la pensée du monde est une construction mentale visant à résoudre un problème. Aujourd'hui, on nous bassine avec "l'idéologie marxiste" et "l'idéologie capitaliste", mais cela n'a rien à voir. Les paroles de penseurs comme Marx ne sont pas une "idéologie" mais une "pensée". L'idéologie naît, non pas de la "pensée du penseur" mais de la politisation de cette "pensée". Et par raccourci idéologique (encore une fois) on résume la pensée à cette idéologie politique du monde.

Seulement avant d'être "politique", le monde "est" au sein de la pensée de ceux qui prennent/perdent leur temps à le penser avant que d'autres ne "radicalisent" cette "pensée". Ce qui fait que aujourd'hui, seul moyen d'être entendu, c'est de "radicaliser" sa pensée dans un sens ou dans l'autre, sinon, on vous sort la grande phrase "tu es quelqu'un de paradoxal", bah forcément, je suis humaine, donc à forte tendance paradoxale. Mes désirs me tiraillent, ma fainéantise aussi, mais également ma "volonté" d'aimer ce monde, parfois plus que de raison et d'avoir envie de le "changer". Le "changer"? Oui, mais comment? Alors là, c'est le branle-bas de combat des "références", celles apprises, celles lues, celles comprises (rarement, et je parle pour mon cas personnel), celles aimées ou appréciées, tout simplement celles qui nous ont "plues", au sens large du terme. Seulement, notre "idéal" se confronte à d'autres idéaux et l'avantage de "l'idéologie" contrairement aux idéaux, c'est qu'elle est démagogique et donc facilement "accessible" (toute raisons gardée, ça dépend de l'idéologie en question), moins nébuleuse. Il suffit de voir les phrases chocs, comme des slogans publicitaires, que l'on nous fait passer, en particulier sur Sartre et Marx entre "L'enfer c'est les autres" ( écrit sur des Tee-shirts) et "Le travail c'est l'opium du peuple"... Bah, si ça ce n'est pas de la "démagogie idéologique" je ne sais pas comment vous appelez ça... Cela a plusieurs avantages, un cela permet de donner un sentiment d'accès à la connaissance à ceux qui ne l'ont pas forcément et ça permet surtout de laisser les "débats" se créer dans une "stérilité" quasi systématique. Car la proximité apparente de "l'idéologie" permet de ne pas se fatiguer à penser .

Donc, ce que nous appelons, les "débats d'idées" ne sont rien de plus rien de moins que des discours stériles sur une "idéologie" ou des "idéologies", les cafés-philos en sont souvent le meilleur exemple. Seulement cette panacée d'idéologies (suffit de se balader ici, pour en trouver partout) amène un problème de fond, c'est que cette "idéologisation" (j'invente un mot là je crois) du monde est parfaitement voulue (non laissez les chinois du FBI tranquilles), dans le sens où elle permet de se poser des questions sans jamais y trouver de réponses, puisque toute "idéologie" demande "analyse pratique" et comme certains l'ont parfaitement dit, pour savoir si l'idéologie communiste est viable il faudrait pouvoir l'appliquer. Ce qui, amène un non-sens total, puisque la pensée marxiste est "taxée" depuis belle lurette d'utopie et que, même le plus niais des communistes, sait bien que ce monde "idéal" a peu de chance de voir le jour. Pourtant, il n'en reste pas moins que "l'idéologie marxiste" continue de faire des émules (et non pas "pensée", le nombre de marxistes n'ayant jamais lu Marx est flagrant), ce qui voudrait signifier que "l'idéologie" peut se passer de "penseurs", elle peut continuer sans eux, tournant à vide sur elle-même, déblatérant ses discours les mêmes cent milles et une fois déjà entendus, et ce quelle que soit l'idéologie en question. Ce qui veut encore dire que l'idéologisation du monde permet d'assurer la pérennité d'un "système" (si on continue de considérer l'idéologie comme une "non-pensée" je vous renvoie à Deleuze et Derrida si ça vous chante).

Je m'explique encore un peu (après j'arrête le pavé).
Si la "pensée" d'aujourd'hui se résume à une "idéologie" c'est gagné pour le "système", car les "idéologies" ont la fâcheuse tendance de ne pas trop évoluer, voire même de s'amoindrir au fur et à mesure du temps, puisque une "idéologie" étant politisée cherche des voix pour se faire promulguer (dans un système ayant le droit de vote) et donc à s'adapter au contexte social dans lequel elle se retrouve, (discours démago et j'en passe et des meilleurs) et surtout radicalisation d'elle-même pour se différencier des voisins. Et plus on "radicalise" moins on permet à la "pensée" (encore sous-jacente de l'idéologie) de s'épanouir. Au lieu d'aider une "pensée du monde" à faire jour et à se "matérialiser", nous voici au milieu d'idéologies tournant en rond...
Et cela a un aspect parfaitement pratique pour tout "système" pas trop stupide, c'est qu'aucun "discours" ne peut le déstabiliser et de décrédibiliser de façon suffisante à générer un consentement général des masses, puisque ce discours "idéologique" tourne à vide sur lui-même, sans aucun enrichissement extérieur et sans confrontation réelle possible avec l'idéologie voisine puisqu'elles sont tellement "radicalisées" que rien ne peut les faire se "rejoindre" et surtout pas le "discours" (à différencier de la "parole"). Alors, chacun campe sur ses positions et chacun l'en est heureux comme ça...
C'est beau non?

Ce qui m'amène Soir, à me poser une question, et c'est cette question qui répond à la tienne, en fait (mais j'avais besoin de dire pleins de trucs inutiles avant ).
Quelle est cette "réalité" dont tu parles? Certains ont présenté la leur, je viens de présenter la mienne. Pour "améliorer" le monde, encore faudrait-il réussir à lui trouver une façon "commune de le "lire"/"voir"/"comprendre", et on voit bien, ne serait-ce que sur ce fil, mais c'est partout pareil que cette "communauté" d'approche est non seulement inexistante, mais quasi irréaliste. C'était la prétention de la philosophie on voit où ça l'a menée... Elle ratitionne sur son propre problème de "définition". C'est pas inintéressant remarque, mais bon, cela n'amène pas de "solutions", ce qui fait dire à l'un de mes anciens profs "La philosophie ne pense plus elle philosophe"... J'ai trouvé ça lucide et triste. Aujourd'hui, de même on ne fait plus de politique mais de l'idéologie et tout cela tourne joyeusement en rond... Bon je suis quasi HS et je m'en excuse, mais comme le débat semblait tout de même "libre" j'ai décidé de l'écrire quand même.

(et je m'excuse si certaines notions ne sont pas clairement explicites, j'espère que le "fond" reste compréhensible et que vous saurez déduire les idées induites )
... ton idée hormis la consistance du texte est plutot bien exprimée (j'ai eu peur au depart de le lire je t'avoue hihihi ;p)
en somme combat entre l'idéologie et la pensée ce qui est utopique pour certain n'est du qu'a un garde-fou mis par une ideologie carré et qui ne va pas au dela au lieu de progresser elle stagne. c'est pas comparable d'emblée mais c'est comme les ecrits divins et ce que l'homme en fait comme politique. pour moi c'est du a son manque de volonté d'aller au dela de son bien etre poersonnelet egocentrique.

d'ou le desir furtif de Soir d'exprimer peu etre une revolution mais pour chaque changement rien que dans l'idéologie elle meme cela se passe pas des revolution plus ou moin importantes... on ne peu avancer sans.
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