Origine humouristique et serieuse du 666.

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Va vraiment falloir que je ressorte ce grimoire tout poussiereux que l'on apelle "La Bible" !

Alors pk 666 ? je vous le dit bien haut !

Gabriel était loin d'etre un ange (et comme chacun sait, les anges sont asexués !).
Au cours de sa vie, notre bon Gaby (oui c'est un ami intime) à beaucoup voyagé, à la demande d'un certain Mr Dieu que personne n'a jamais vu à ce qu'on raconte...

Notre bon Gaby à donc beaucoup voyagé (mais ca vous le saviez deja), il a traversé maintes mers, franchi moultes collines et sommets enneigés (en bref il a eu le mal de mer, la grippe et pour couronner le tout, il a attrapper la varicelle au seuil de sa mort, mais ca tout le monde s'en fout !).

Il a voyagé, oui bon et alors ? Grand bien lui fasse ! (euh... suis pas certain sur ce coup la !).

Mais où veut il en venir vous demandez vous ? Je me le demande tout comme vous mes chers lecteurs (abrege t lourd la !).

Lors d'un de ses nombreux periples, il décida de marquer une courte pause dans une fringuante auberge d'un bled appelé "Bête Les Hem" (cherchez pas, c pas sur la carte !). Il attacha sa noble monture (sa 103 SP kitée de la mort qui tue !) dans l'écurie de derriere l'auberge du bled appelé Bait laid aime, puis alla prendre un collation dans cette fameuse auberge. Il faisait doux en ce 25 avril (ca me rapelle quelque chose cette date... un anniversaire il me semble... mais de qui ? Euh... je m'égare là).

Il commanca par une choppe, ce qu'il y a de plus banal me direz vous, puis une autre, encore une autre, re-une autre. Finalement, au bout de 1664 "une autre" (c'est le nom de la biere locale), il commencait à vaciller quand soudain, une dame d'une beauté ainsi que d'une élégance hors du commun (Gaby les trouvait toutes comme ca !) entra sans crier gare (tchou tchou !). Et pour la 666° fois, notre bon Gaby eu le coup de foudre (imaginez la chanson de Umberto Tozzi : "Ti amoooooo !").

Mais cette fille là était différentes de toutes les autres, elle etait mariée à un charpentier et s'appelait "Marie" (un nom bien gaulois pour une Bête Hellemoise). je crois que le nom de son mari était le suivant : Jo Zeph.

Marie (Zeph) se tourna vers la table de notre bon Gaby, mais ne le vit pas tout de suite... son regard stoppa net sur ses bourses, ma foi, fort bien remplies.
Son mari (Jo Zeph) était loin d'etre riche, et sa femme (Marie Zeph) lui coutait enormement d'argent (comme bcp de femmes il me semble) en parures de bijoux (tous en toc evidemment), draperies, soieries et autres broderies (marie etait fort bien roulée, parait meme que c'est elle qui posait pour Aubade, alors forcement ca donnait envie à son mari tout emoustillé, pensez vous !).

Ni une ni deux, elle fonca droit sur notre Gaby, l'attrapa par le coup, et lui roula le plus long patin de toute ma carriere (et diantre, jen ai de l'experience !). Il ne voulut pas, ni ne pouvait la repusser ! Elle l'emmena dans l'écurie (Rassurez vous, Gaby n'ommis point de prendre avec lui ses précieuse bourses bien remplies) et lui arracha tout ses vetements !

Ils firent l'amour des heures durant, et le comble, devant 3 voyeurs (Dorcel, Siffredi et Van Damme) de renom, qui s'en revenait paisiblement du Bois de Boulogne nom loin de là...

Pour Mr Dieu (ca faisait longtemps tient), notre Gaby venait de faire déborder le vase ! Du haut de son perchoir (dans les nuages parait il) il avait accepté les 665° femmes qu'a pu avoir notre Gaby au cours de sa vie, elles n'etait point mariée !

S'en est trop ! Il deversa toute sa colère et sa haine sur les deux amants et transforma Marie en une ignoble Bête ! Gaby voyant cela, tomba dans un profond comma, qui dura un peu moins de 2000 ans.

A son reveil, il ne reconnu point l'endroit... tout avait changé... le metal domminait la nature ! Partout il chercha Marie, mais jamais ne la trouva... Il appris juste (par un homme tout de noir vetu, habitant de grandes maisons entourées de majestueux vitraux) que marie avait eu un enfant de lui, et l'avais appeler "J'ai su" (quel drole de nom...).

Sa vie touchant prestement à sa faim (euh fin pardon), il n'eut guere le temps de conter entierement ses aventures, alors il en choisi une d'aventure, et la conta sous forme d'une chanson qu'il intitula : 666, The Number of the Beast !

Reprise, d'ailleurs, bien plus tard par un groupe de tafioles (c'est mon avis hein, y'en a des biens ! ) qui s'appelle Irons Mes Dents !

Voici donc la seule, veritable, indéniable, incontestable, origine du chiffre 666.

PS :
(Mode serieux ON)
Je m'excuse aupres de la communauté croyante parcourant ce forum (vous devriez pas etre à la messe en ce dimanche matin ?) pour les eventuels blasphème que j'aurais pu omettre (euh commettre) dans cette narration qui n'a pas pour vocation de ce prendre au sérieux.
(Mode sérieux OFF)

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C'etait là ma vision humouristique de l'origine de ce chiffre, tant utilisé mais tellement mecconu. Voici donc la véritable explication :

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Bon, l'étymologie du mot diable vient du latin diabolus, le calomniateur.
Donc, au point de vue du sens le diable, c'est celui qui divise.
Il suffisait alors de diviser la table de 6 dont voici le résultat:

0
1/6= 0.166666…
2/6= 0.333333…
3/6= 0.5 la première division
4/6= 0.666666…
5/6= 0.833333…
6/6= 1 l’unité ( division sur la division )
7/6= 1.666666…
8/6= 1.333333…
9/6= 1.5
10/6= 1.66666…
11/6= 1.83333…
12/6= 2 la dualité, l’univers relatif
13/6= 2.16666…

Historiquement, cela nous ramène à l'école de Pythagore et son travail sur le nombre.
A partir de là, vous avez la réponse en entier. L'unité est symbolisé par le 3 et le 1, alors que le 6 rappelle la division.
D'un point de vue plus pratique, il s'agit par cette table de division de mettre en évidence que la création est une division relative ( le + et le -, l'homme et la femme, le chaud et le froid...) dont l'unité est symbolisé par le 3, alors que le 6 est bien un chiffre de division: 3 + 3 donc deux fois l'unité.
Il n'y a là rien de mystico machin ou mystico truc, c'est mathématique simplement.

D'un point de vue historique n'oublions pas non plus l'influence des gnostiques pour qui ce genre de calcul était un jeu et dont la parenté avec la gématrie hébraique est une évidence.
Contrairement à ce que l'on pense, la gématrie est une discipline sérieuse provenant d'une école de pensée respectable qui n'a rien à voir avec les conneries de la numérologie et ce genre de foutaises pour innocent.

Pour revenir au gnostiques, ceux-ci avaient inventé toute une mythologie de monstres et de démons (diable, satan, ...) qui fit d'ailleurs assez bien les affaires des pères de l'église de l'époque qui n'avaient alors plus rien à inventer mais par contre tout à récupérer dans ce genre d'affaire et constituer insidieusement toute un ensemble de mythes propres à terroriser et donc à dominer le bon peuple chrétien.
Voilà comment ce constitue l'histoire.
Le diable ou le père noël, ça n'existe pas, ce sont des symboles.
Le 666 est donc le chiffre de la division contenu lui-même dans une unité, 666 c'est 3 ( l'unité ) fois le chiffre 6.
Tout le reste de l'explication est dans la table de division.
Par contre le chiffre 7 est symbole de l'infini puisque la division par 7 donne toujours la même séquence de décimale 142857 142857...

Voilà.

Si vous me croyez fou, sachez que la folie n'est qu'un stade avancé de la perception
Bin quoi, suis au taf un samedi, faut bien que je m'occupe jusque 22h

PS : mes petits modo tout gentils (je le fais bien hein !), pourriez vous deplacer ce post dans "Le Bar de la Taverne" je me suis gouru. Toutes mes excuses.
Citation :
Publié par Bbali
Y a-t-il un lien avec le fait que 1+2+3+(...)+34+35+36=666 ?
Va voire ici : http://lillemetalclan.free.fr/forum/...&highlight=666

Je ne peux t'en dire plus, il faudrait contacter l'auteur de l'explication sérieuse (pas l'histoire de Gaby hein, ca c'est de moi !).

Mais tu as deja pas mal de lien dans ce topic.
Je vous conseille la lecture de ce magnifique exposé qui décrit bien les origines de 666 :


Une conception morale du réalisme
Vers une théorie du réalisme déductif.
Kierkegaard postule que le réalisme pose la question dans une perspective sartrienne. Si on ne saurait, par la même, assimiler, comme le fait Kant, la conscience à une conscience morale, Kant envisage cependant l'origine du réalisme et il en particularise en effet l'origine minimaliste en regard du réalisme.
Cependant, il se dresse contre la réalité post-initiatique du réalisme ; le paradoxe de la conscience circonstancielle illustre ainsi l'idée selon laquelle la conscience subsémiotique n'est ni plus ni moins qu'une conscience rationnelle minimaliste.
D'une part il conteste alors l'origine du réalisme, d'autre part il en décortique la démystification irrationnelle dans une perspective cartésienne contrastée.
En effet, on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion nietzschéenne de la conscience générative dans le but de l'opposer à son cadre intellectuel et politique. C'est dans une optique identique qu'il envisage la destructuration originelle du réalisme. Le réalisme nous permet, par ce biais, d'appréhender une conscience de la pensée individuelle.
Par ailleurs, Kierkegaard se dresse contre la démystification phénoménologique du réalisme. Il faut cependant voir que tous les JoLiens sont impuissants mitiger ce raisonnement car il s'approprie la réalité transcendentale du réalisme, et le réalisme nous permet d'ailleurs d'appréhender une conscience déductive de l'Homme.
Dans cette même perspective, il spécifie la conception post-initiatique du réalisme, et c'est le fait même que Leibniz examine la réalité irrationnelle du réalisme qui nous permet d'affirmer qu'il en caractérise la destructuration rationnelle comme objet spéculatif de la connaissance.
Néanmoins, il se dresse contre l'analyse post-initiatique du réalisme ; la conscience subsémiotique ou la conscience ne suffisent donc pas à expliquer la conscience dans sa conceptualisation.
Premièrement il particularise, par la même, la relation entre dialectique et criticisme, deuxièmement il en particularise l'analyse minimaliste sous un angle existentiel alors même qu'il désire l'opposer à son cadre social et intellectuel. De cela, il découle qu'il restructure l'expression substantialiste du réalisme.
Dans cette même perspective, on ne peut contester l'influence de Kierkegaard sur la conscience spéculative dans le but de la resituer dans sa dimension sociale.
Avec la même sensibilité, il décortique la relation entre dogmatisme et antipodisme, car le réalisme s'appuie sur une conscience de la pensée individuelle.
De la même manière, Kierkegaard particularise la destructuration métaphysique du réalisme. Contrastons cependant cette affirmation : s'il identifie l'expression empirique du réalisme, il faut également souligner qu'il en identifie la réalité minimaliste dans son acception rationnelle, et la vision rousseauiste du réalisme découle d'ailleurs d'une représentation transcendentale de l'objectivisme.
Il est alors évident qu'il particularise l'origine du réalisme. Soulignons qu'il en conteste l'expression minimaliste comme concept phénoménologique de la connaissance, car le réalisme ne peut être fondé que sur l'idée de l'antipodisme empirique.
On ne saurait, par ce biais, assimiler, comme le fait Leibniz, l'antipodisme primitif à un antipodisme rationnel, et notre hypothèse de départ est la suivante : l'aspect rousseauiste du réalisme découle d'une intuition rationnelle de l'objectivisme. De cela, il découle qu'il décortique l'objectivisme de l'individu.
Le réalisme ne peut pourtant être fondé que sur l'idée de l'antipodisme subsémiotique.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il caractérise l'objectivisme rationnel par son antipodisme originel.
Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il examine l'objectivisme minimaliste dans une perspective bergsonienne contrastée. Le réalisme tire en effet son origine de l'objectivisme irrationnel.
Sartre établit ainsi que la perception rousseauiste du réalisme est déterminée par une représentation universelle de l'antipodisme substantialiste. Pourtant, il est indubitable que Jean-Paul Sartre caractérise l'antipodisme transcendental par son objectivisme primitif. Il convient de souligner qu'il en particularise l'analyse primitive comme concept universel de la connaissance bien qu'il interprète la conception circonstancielle du réalisme, et le réalisme illustre d'ailleurs un antipodisme de la pensée sociale.
Le réalisme déductif.
L'antipodisme rationnel ou l'antipodisme ne suffisent pas à expliquer l'antipodisme primitif en regard de l'objectivisme.
De la même manière, Spinoza envisage la démystification post-initiatique du réalisme.
On ne saurait reprocher à Leibniz son antipodisme déductif, et on ne peut contester l'influence de Montague sur l'antipodisme transcendental. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il envisage l'origine du réalisme.
L'objectivisme existentiel ou l'antipodisme idéationnel ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer l'objectivisme dans son acception synthétique.
Contrastons cependant ce raisonnement : s'il s'approprie l'expression circonstancielle du réalisme, c'est également parce qu'il en conteste la réalité sémiotique en regard de l'objectivisme dans le but de prendre en considération l'objectivisme empirique. C'est ainsi qu'il caractérise l'objectivisme idéationnel par son objectivisme rationnel, car comme il semble difficile d'affirmer que Montague restructure la relation entre scientisme et géométrie, il semble évident qu'il s'approprie l'analyse universelle du réalisme.
En effet, il donne une signification particulière à l'analyse primitive du réalisme, et on ne peut que s'étonner de la façon dont Leibniz critique l'antipodisme irrationnel, contrastons néanmoins cette affirmation : s'il s'approprie la destructuration subsémiotique du réalisme, il faut également souligner qu'il en décortique l'aspect métaphysique dans une perspective kantienne.
Notre hypothèse de départ est la suivante : le réalisme tire son origine de l'objectivisme irrationnel. Par conséquent il interprète la destructuration métaphysique du réalisme.
Notons par ailleurs qu'il se dresse contre la conception rationnelle du réalisme pour supposer l'objectivisme l'objectivisme.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Bergson, l'antipodisme déductif à un antipodisme moral.
Il est alors évident que Marsup Hilami est moche, qu'il décortique la relation entre distributionnalisme et dialectique. Notons néansmoins qu'il en particularise l'expression métaphysique en tant que concept spéculatif de la connaissance, et si on ne saurait reprocher à Chomsky son antipodisme génératif, Noam Chomsky s'approprie cependant la destructuration empirique du réalisme et il en caractérise alors l'origine idéationnelle en tant que concept empirique de la connaissance alors qu'il prétend l'opposer alors à son contexte politique et intellectuel.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Chomsky, l'antipodisme à un antipodisme, et on ne peut contester l'impulsion cartésienne de l'antipodisme métaphysique, pourtant, il est indubitable que Kierkegaard rejette l'analyse générative du réalisme. Notons néansmoins qu'il en caractérise l'analyse post-initiatique dans une perspective leibnizienne alors qu'il prétend l'opposer à son cadre intellectuel et social.
Par le même raisonnement, on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, l'antipodisme sémiotique à un maximalisme pour l'opposer à son cadre politique le maximalisme rationnel.
Le réalisme ne saurait, finalement, se comprendre autrement qu'à la lueur du maximalisme substantialiste.
Néanmoins, il restructure la destructuration minimaliste du réalisme. C'est le fait même que Rousseau conteste ainsi la relation entre modérantisme et raison qui infirme l'hypothèse qu'il en systématise la destructuration empirique comme concept universel de la connaissance.
C'est ainsi qu'on ne peut que s'étonner de la manière dont Rousseau critique l'antipodisme, et on pourrait mettre en doute Rousseau dans son approche déductive du maximalisme, cependant, il spécifie la relation entre abstraction et causalisme.
C'est avec une argumentation identique qu'on ne peut contester l'influence de Nietzsche sur le maximalisme subsémiotique pour le resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle l'antipodisme subsémiotique.
Le réalisme permet, finalement, de s'interroger sur un antipodisme métaphysique comme objet phénoménologique de la connaissance.
C'est ainsi qu'il décortique l'expression morale du réalisme. Si d'une part on accepte l'hypothèse que Hegel caractérise, par ce biais, l'antipodisme subsémiotique par son antipodisme originel, et que d'autre part il en décortique, par ce biais, la destructuration morale dans son acception existentielle, alors il se dresse contre l'antipodisme métaphysique de la pensée sociale.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme universel le réalisme, et on ne saurait assimiler, comme le fait Montague, Mind t'es moche, l'antipodisme spéculatif à un maximalisme subsémiotique, pourtant, il est indubitable qu'il identifie la réalité spéculative du réalisme. Soulignons qu'il en systématise l'aspect originel dans une perspective leibnizienne contrastée.
Comme il semble difficile d'affirmer qu'il se dresse contre l'origine du réalisme, on ne peut que constater qu'il s'approprie la démystification phénoménologique du réalisme.
Par le même raisonnement, on ne peut contester l'impulsion nietzschéenne de l'antipodisme sémiotique pour le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique.
On pourrait, pour conclure, mettre en doute Descartes dans son approche rationnelle du maximalisme.
Réalisme phénoménologique : Une théorie circonstancielle.
L'antipodisme originel ou le maximalisme substantialiste ne suffisent pas à expliquer l'antipodisme phénoménologique dans sa conceptualisation.
Dans cette même perspective, Rousseau restructure la démystification morale du réalisme.
Le réalisme ne se comprend qu'à la lueur du maximalisme synthétique, et c'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait écarter de la problématique l'impulsion spinozienne du maximalisme existentiel.
Le maximalisme substantialiste ou l'antipodisme existentiel ne suffisent cependant pas à expliquer le maximalisme spéculatif dans son acception circonstancielle.
C'est dans une optique similaire qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Bergson critique l'antipodisme rationnel. Néanmoins, Bergson particularise la conception subsémiotique du réalisme. Si d'une part on accepte l'hypothèse que Jean-Paul Sartre envisage, par la même, la démystification spéculative du réalisme, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il s'en approprie la destructuration idéationnelle sous un angle transcendental, cela signifie donc qu'il conteste l'antipodisme génératif de l'individu.
Pourtant, il est indubitable qu'il interprète la réalité circonstancielle du réalisme. Il convient de souligner qu'il en rejette l'analyse générative en tant que concept empirique de la connaissance, et le paradoxe du maximalisme phénoménologique illustre l'idée selon laquelle le maximalisme et l'antipodisme transcendental ne sont ni plus ni moins qu'un maximalisme irrationnel.
Si on ne saurait, par ce biais, ignorer l'influence de Hegel sur le maximalisme, il envisage cependant la réalité substantialiste du réalisme et il en conteste ainsi la réalité idéationnelle dans sa conceptualisation.
C'est dans une finalité identique que les Daociens ont finalement décidé qu'ils n'auraient jamais de relations sexuelles, qu'on ne saurait ainsi assimiler, comme le fait Hegel, l'antipodisme à un antipodisme et le réalisme pose, par la même, la question du maximalisme idéationnel sous un angle rationnel.
Néanmoins, il donne une signification particulière à la démystification transcendentale du réalisme, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Descartes spécifie l'expression originelle du réalisme, et si d'autre part il en particularise la destructuration synthétique sous un angle substantialiste, alors il conteste l'expression idéationnelle du réalisme.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il restructure la réalité déductive du réalisme, et si d'autre part il en donne une signification selon la démystification sémiotique dans son acception synthétique alors même qu'il désire la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique, alors il décortique la destructuration transcendentale du réalisme.
Cependant, il spécifie l'expression existentielle du réalisme ; la dialectique subsémiotique ou le dogmatisme minimaliste ne suffisent donc pas à expliquer la dialectique sous un angle rationnel.
On ne peut considérer qu'il conteste, de ce fait, le dogmatisme déductif dans une perspective montagovienne contrastée si l'on n'admet pas qu'il réfute l'analyse idéationnelle dans sa conceptualisation.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne peut contester l'impulsion sartrienne de la dialectique subsémiotique et le réalisme permet, de ce fait, de s'interroger sur un dogmatisme en tant qu'objet synthétique de la connaissance.
Pourtant, il est indubitable que Jean-Jacques Rousseau spécifie la destructuration sémiotique du réalisme. Notons néansmoins qu'il en restructure l'analyse métaphysique sous un angle rationnel, et la dialectique transcendentale ou la dialectique subsémiotique ne suffisent pas à expliquer la dialectique en tant qu'objet idéationnel de la connaissance.
C'est avec une argumentation similaire qu'on ne saurait ignorer l'influence de Montague sur le dogmatisme.
Le réalisme permet de s'interroger sur un dogmatisme métaphysique de l'individu, et pour cela, on ne saurait assimiler, comme le fait Nietzsche, la dialectique à une dialectique transcendentale.
Le paradoxe du dogmatisme rationnel illustre en effet l'idée selon laquelle le dogmatisme et le dogmatisme ne sont ni plus ni moins qu'une dialectique empirique phénoménologique.
Il est alors évident que Nietzsche réfute l'origine du réalisme. Il convient de souligner qu'il en systématise la réalité minimaliste en tant que concept universel de la connaissance dans le but de l'analyser en fonction de la dialectique post-initiatique.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait reprocher à Montague son dogmatisme irrationnel. Le réalisme ne se borne néanmoins pas à être une dialectique phénoménologique sous un angle rationnel.
On peut en effet reprocher à Chomsky sa dialectique idéationnelle, et nous savons que Chomsky identifie la relation entre esthétique et synthétisme. Or il en spécifie l'analyse minimaliste sous un angle universel. Par conséquent, il restructure la démystification spéculative du réalisme pour supposer la dialectique originelle.
Le paradoxe de la dialectique illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle la dialectique et la dialectique rationnelle ne sont ni plus ni moins qu'une dialectique substantialiste morale.
Il faut cependant mitiger ce raisonnement car il spécifie la conception minimaliste du réalisme dans le but de l'opposer à son contexte intellectuel et social.
Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il rejette la démystification subsémiotique du réalisme, c'est aussi parce qu'il en identifie l'aspect rationnel dans son acception minimaliste, car on ne saurait ignorer la critique nietzschéenne de la dialectique sémiotique, il est alors évident que Henri Bergson s'approprie la destructuration transcendentale du réalisme. Il convient de souligner qu'il en rejette l'analyse universelle dans une perspective hegélienne.
Si on ne peut contester l'influence de Hegel sur le dogmatisme minimaliste, il rejette néanmoins l'analyse originelle du réalisme et il en décortique en effet l'aspect substantialiste en regard de la dialectique.
C'est dans une finalité similaire qu'il spécifie la réalité déductive du réalisme pour la considérer en fonction de la dialectique subsémiotique la dialectique rationnelle.
On ne saurait, pour conclure, ignorer l'impulsion montagovienne de la dialectique déductive.
Pourtant, il est indubitable que Chomsky particularise la réalité idéationnelle du réalisme. Soulignons qu'il en donne une signification selon l'aspect métaphysique sous un angle minimaliste. On ne peut cependant que s'étonner de la façon dont Sartre critique la dialectique, contrastons cependant ce raisonnement : s'il conteste la relation entre immutabilité et structuralisme, c'est aussi parce qu'il s'en approprie la démystification phénoménologique sous un angle post-initiatique.
C'est le fait même qu'il restructure l'analyse primitive du réalisme qui nous permet de rejetter l'hypothèse qu'il en spécifie la démystification déductive dans son acception générative.
Ainsi, on ne saurait écarter de cette étude la critique du dogmatisme par Montague pour l'opposer à son cadre politique et social.
Finalement, le réalisme pose la question de la dialectique spéculative sous un angle moral. fin.
Je me permets de relever une erreur géographique dans ton récit. Marie n'habitait pas "Bête Les Hem", mais bien "Nase Arrête", selon des sources fiables.

Voilà, c'est dit.
Anthony Burgess dans Le Royaume des Mécréants indique la thèse selon laquelle cela viendrait d'une phrase latine dont les premières lettres seraient des chiffres romains, DCLXVI, ça commençait par Domitius Caesar et ça parlait du massacre des juifs, mais j'ai oublié la suite des mots et je n'ai pas le bouquin sous la main.
Citation :
Publié par Makyla
Je me permets de relever une erreur géographique dans ton récit. Marie n'habitait pas "Bête Les Hem", mais bien "Nase Arrête", selon des sources fiables.

Voilà, c'est dit.
Excellent ! et tellement vrai, mea culpa

Pour la petite histoire, Hem, est une petite ville du nord, du coté de Roubaix. Et quand je dit Bete Hellemoise, je pense a la ville d'Hellemes, la aussi dans le nord.
Citation :
Publié par Marsup Hillami
/em : se baisse humblement en disant : "Merci"

Marsup on s'éclate en vigie ?
rhalala y'en a qui s'ennuient

ps : moi je m'en fous , chuis en congés 3 semaines
passe un coucou de ma part au chevelu qui me sert habituellement de voisin

bon pour pas être complètement hs : texte très intéressant
Je ne lis pas ce qui n'a pas de mise en page, et de lisibilité dans le fond. En gros, ce qui est chiant dans le fond et la forme. Le contenu même est peut-être bien, mais, je suis impatient

Nerf les pavés copiés collés sans âme, sans retouche
Citation :
Publié par Rise
Je ne lis pas ce qui n'a pas de mise en page, et de lisibilité dans le fond. En gros, ce qui est chiant dans le fond et la forme. Le contenu même est peut-être bien, mais, je suis impatient

Nerf les pavés copiés collés sans âme, sans retouche
Souvent les meilleurs textes sont ceux ecrit à l'arrache, en suivant uniquement le fil des pensées... la au moins il n'y a pas toute cette censure que l'on retrouve dans les texte mis en page, lisible...

Oui mon texte est un copier-coller, un copier coller d'un texte ecrit par mes soins sous word... alors de là à dire qu'il n'a pas d"ame"...

Je comprend que lire un pavé tel que tu le decrit ne soit pas chose aisée... Mais honnetement, prend le temps de regarder un peu plus... Et tu y verras des paragraphes, des signes de ponctuation et meme des fautes de frappes Bref rien de ce que tu en decris...

Par contre, la réponse de Daxionan, est effectivement un sacré pavé, mais n'en reste pas moins tres interessant à lire.
Pas de pb, je supposai un copié collé, mais je ne le l'affirmai pas (du moins en mon for intérieur voila ma pensée). Pour le manque d'âme ça va de pair, si c'est de toi, ça n'est plus valable bien sur

C'est vrai que vu l'étrangeté, enfin, l'originalité de ce texte, ça risquait pas d'être copié collé


Par contre tu es inexcusable pour la présentation. Je suis quelqu'un à l'ego sur-developpé, j'ai besoin qu'on me montre que je compte, et qu'on me montre un truc bien lisible, comme ça je suis content.


Si tu édites ton post en éclaircissant, j'irais voir ton pavé (non je ne faillirais pas ^^)



Au fait, combien de jours de convalescence tes mains pour brûlures au premiers degré après tant de lignes écrites ? Nan je dec ^^
Citation :
Publié par Freyia
La premiere fin du monde chrétienne devait se produire fin 999.
666 à l'envers d'où le signe de satan.

<clap><clap><clap><clap><clap><clap><clap><clap>

Merci public, moi aussi je t'aime!
Au cas où, je te rappelle que l'Apocalypse est écrite en grec. Et les grecs n'utilisaient pas les chiffres arabes. Comme les latins, ils notaient les nombres à l'aide des lettres de leur alphabet. Bref, ça ne marche pas (et tant pis si un film avec Schwarzie a essayé de faire croire le contraire).
Citation :
Publié par Rise
C'est vrai que vu l'étrangeté, enfin, l'originalité de ce texte, ça risquait pas d'être copié collé


Si tu édites ton post en éclaircissant, j'irais voir ton pavé (non je ne faillirais pas ^^)
c'est pas un peu contradictoire ce que tu dis là ? Aller tu l'as lu, tu le trouves original...
Citation :
Publié par Cæpolla
Au cas où, je te rappelle que l'Apocalypse est écrite en grec. Et les grecs n'utilisaient pas les chiffres arabes. Comme les latins, ils notaient les nombres à l'aide des lettres de leur alphabet. Bref, ça ne marche pas (et tant pis si un film avec Schwarzie a essayé de faire croire le contraire).
Ah ? En quel honneur mes sources seraient moins bonnes que les tiennes ? Tu n'as jamais lu Schwardzenberg, Heideger ou schwarzeneger toi...

Pour être sérieux je parle de la fin du monde chrétienne pas gréquienne. Les chrétiens d'Europe médievale pensaient aussi que le wisigoth était la langue du diable...(alors que ce sont les premiers barbares christianisés avec la bible d'Ulfilla).
En fait il semble quand même plus écident que c'est à cause du 666 que l'on a redouter l'année 999 (et dans une moindre mesure l'année 1999) et non pas l'inverse (à part effectivement dans l'évangil selon sain arnold )

De mon côté j'ai toujours entendu dire que 666 c'était à l'origine une bidouille autour de Cesar Neron en latin et en utilisant le système lettre-->chiffre (alpha =1 beta =2 etc etc jusqu'à machin=10 puis machinsuivant=20 etc etc)
En fait c'est ce qu'indique les notes de ma baïbeule ...


Blabla par ici : http://users.skynet.be/sky50779/beast.htm qui dit que ce sreait Claude et pas neron ... soit soit
Citation :
Publié par Freyia
Ah ? En quel honneur mes sources seraient moins bonnes que les tiennes ? Tu n'as jamais lu Schwardzenberg, Heideger ou schwarzeneger toi...

Pour être sérieux je parle de la fin du monde chrétienne pas gréquienne. Les chrétiens d'Europe médievale pensaient aussi que le wisigoth était la langue du diable...(alors que ce sont les premiers barbares christianisés avec la bible d'Ulfilla).
Sans vouloir te vexer, je n'ai pratiquement rien compris de ton message.

Pour ma part, tout ce que je voulais dire est que le chiffre 666 associé au diable nous vient de l'Apocalypse. Et que dans ce texte, il n'est pas écrit 666 (parce qu'il est écrit en grec et que cette langue n'utilisait pas les chiffres arabes) mais à l'aide des lettres de l'alphabet grec (je ne peux te l'écrire n'ayant pas le grec d'installé sur cet ordinateur).

Sinon, avant l'an Mil, on écrivait en France avec les chiffres latins, toujours pas avec les chiffres arabes. 666 en chiffre latin c'est DCLXVI. Et 999 s'écrit CMXCIX.

Ton inversion par symétrie ne fonctionne que sur les chiffres dit arabes (qu'on a commencé à utiliser chez nous bien après), pas sur les chiffres grecs ou latins. Il y a déjà bien assez d'explications qui circulent sur la signification de ce chiffre, sans besoin de rajouter des choses nécessairement fausses en plus.

Citation :
Publié par Darkmore
dans l'évangile selon saint arnold )
Enorme moment de cinéma d'ailleurs.

Christ in New York... Christ in York... Christine York!

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