[Orcanie] La Lumière vu par un de ses serviteur

 
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Se texte fait suite au texte RP de la jeune Guilde RP nouvellement crée d'Alb/Orca et au texte d'une de leur initiée.

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Ramassant le corps sans vie du chat percé d'une fleche enduite de poison le vieux Moine se dit en son fort intérieur qu'une nouvelle foi la divine Lumière venait de le sauver.

Sa réputation de vieil alcoolique lui servait bien plus qu'il ne l'aurait cru, il ne faisait rien pour s'en défaire de toute façon. Bien des ennemis le croyant ivre et vulnérable s'etaient avancés a son encontre et avaient fini le corps roulant dans la boue et dans leur sang, l'homme qu'il croit en la Lumière ou aux Ténèbres se sent si puissant face a un homme semblant vulnérable qu'il le sous estime et prends tellement de risques inutiles.

Qu'est ce qu'une fleche face aux haches et aux lames des Trolls et Firbolg, qu'est ce qu'une fleche face aux sorts des Elfes et des kobolds, non l'adversaire de ce soir n'était pas dutout a la hauteur...pour le moment, car Slenyold savait qu'il reviendrai et que comme ses précédents assassins il ferait encore l'erreur de le sous estimer.

Il était l'heure d'aller aux cachots torturer quelques croyant des Dieux obscurs, et d'en finir avec ce faux pretre une bonne foi pour toute, sa mort soulagera la Lumière d'une petite part de noirceur.

Les laches et obscènes pontifes de l'église se vautrant dans leur débauche et dans leur luxure mériteraient ce sort mais ils étaient des fils de la Noblesse de camelot, pas un simple Inquisiteur issu de la roture comme le vieux Slen c'est ainsi que ses amis l'appelaient, meme si le poids des années et de la guerre en avait fait disparaitre la majoritée. D'ailleur il était temps de radicaliser le mouvement, la guerre tuait les nobles fils de la Lumière pour la survie du royaume pendant que des profiteurs en sapaient les bases a l'arriere par des actes laches de terrorisme et d'assassinat.

Demain il organiserait les préparatif pour que finalement la torture du vieux pretre ai lieu en place publique afin que tous soient informés de ce qu'il arrive lorsque l'on bafoue ouvertement La Trés Sainte Lumière de Camelot.
Et...avec un peu de chance son ou ses ennemis se montreraient a visage découvert et oserait venir l'affronter...mais il en doutait ces mouvements sont bien trop laches pour agir au grand jour.
Il faudrait qu'il penses a prendre une cuite sévère la veille afin d'avoir le teint pâle et l'oeil rouge pour le lendemain.

Vraiment oui cette tentative d'assassibat. avaient été plus bénéfique que prévue. Qu'il est bon d'avoir des adversaires d'échafauder des stratégies, des plans, il ne dormirait pas de sitot ce soir, dès son retour a sa maison perdue au fin fond d'Albion il dépécha ses courriers quérirs ses plus fidèles amis et Inquisiteurs afin de mettre en place une cellule prete a décapiter les Ténèbres.

Des Ailes lui poussait, Slen se sentait revivre, la joie des combats a venir lui rappelait le front. Apres cette querelle il y retournerait d'ailleur le cri et le rale des mourants lui manquait, il avait passé trop de temps a explorer les terres de l'Atlandide, meme si les objets et les secrets qu'il en avait ramené étaient trés puissants il fallait les utiliser a présent.


Slen
Message roleplay
La nuit avait pourtant bien commencé. Le fût de bière mis en perce par un vaillant écuyer à l'allure d'aubergiste, j'avais en tête de lui régler définitivement son compte lorsqu'au plus dur de la bataille, une estafette sous la forme d'un petit garçon vint à donner au pavillon de mes oreilles une missive fort déroutante.

Il disait à ses amis qu'un homme en robe de bure faisait parler de lui sur les champs de bataille, et qu'il avait mis en déroute une escouade de guerrier à la seule force de son haleine et de ses beuglements sauvages.

J'avais déjà entendu ça une fois.

C'était il y a bien longtemps, dans une époque reculée où l'ennemi n'hésitait pas à ranger sur la même ligne les guerriers et ces espèces de prêtres en robe marron et au crâne artificiellement dégarni. Quelques noms marquaient les esprits, pour leur terrible cruauté.

Mais qu'allait donc préparer ce démon de Slenyold ?

Une chose était sûre, le fût de bière me reluquait d'un air tellement narquois que je le soupçonnais de connaître la réponse. Il me fallait entamer un interrogatoire solide.
Message roleplay
Sous le regard de Sîn dans la nuit clair d’Albion, seul, le roi Sharys méditait et repensait à ces obscures mécréants de l’Inquisition…son poing se serra et il se mit à murmurer dans une langue très ancienne.
Message roleplay
Cela faisait bientôt un mois que j’avais rejoins l’Aube de Babylone. De ma misérable vie, ce fut sans doute la décision la plus importante que je prie.
Moi Ninmah, orpheline et laissé à l’abandon sur ces terres froide, je me souviens lorsque j'étais qu'une enfant, d’un long voyage en navire à travers une mer sombre et déchaînée en contraste avec des terres chaudes, lumineuses et parfumées.
Ce lointain parfum de soleil, seul le roi Sharys a réussi à me le restituer.
Mais qui était il réellement ?
Celui-ci se considère comme fils de la légendaire Babylone.
Il aurait traversé le temps, lui et sept mystérieux compagnons….hmm…difficile à admettre.
Quoiqu’il en soit, leurs souvenirs sont si réelles, tellement étrange et leurs yeux…reflètent les étoiles d’il y a mille ans.

Mais parfois j’ai peur.

Mais tout comme moi, ils survivent. Le drame d’un destin tragique.
Leur détermination est grande et leurs rêves sont aussi vastes que les déserts dont ils prétendent venir. Voila pourquoi je leur fais une entière confiance.


Mes flèches siffleront telles le vent et leurs doux chants seront les derniers que vous percevrez, suppôts de l’inquisition avant de voir la vraie lumière.

Puisse Shamash m’entendre.

A Camelot la journée etait belle et calme comme à l'accoutumée en ce jour de Saint.

Sur la place du marché le vieux pretre des Dieux sombres capturé quelques jours auparavant par les hommes de main de Slen finissait d'agoniser sous la torture. Le Moine avait spécialement vérifié le tranchant des outils avant la cérémonie, et avait lancé un sort de soin sur la durée afin que le pretre mette plus de temps a succomber a ses blessures pour que la plèbe ai un beau spectacle. Slen était déçu, ses adversaires ne s'étaient pas montrés au grand jour, mais de leur part il ne s'attendait pas de toute façon a une action en plein jour, non ils etaient trop lâche pour cela.

Apres les rituels de purification d'usage le cortège des Moines et d'Inquisiteurs s'en retournèrent a leurs occupations. Pour sa part Slen avait à faire a sa demeure. De retour il eu l'agréable surprise de voir réuni ses amis et Inquisiteurs, serviteurs fidèles de la Lumière. Ils l'attendaient lui, celui par qui les ténèbres passeraient dans l'oublie, celui par qui la Lumière retrouverait sa splendeur.

Les ordres de Slen furent bref et sec : Cherchez, Trouvez, Interrogez, Torturez, Tuez

Aprés les remises de lettres de cachets et mandats Inquisitoriaux aux Légats et Hommes de mais de l'inquisition afin qu'ils puissent accomplir leur mission la seconde partie de soirée démarra en petit comité pour Slen et ses amis. Vin, Bières et victuailles coulèrent a flot comme seul un rescapé de dix mille batailles et tuerie peux le faire pour apprécier la vie.

La Trés Sainte Inquisition était en marche prête a ramener ses brebis dans le droit chemin. Les ténèbres ne montrait aucun respect aucune pitié pour l'ordre, la Lumière et la justice, la Lumière n'en montrerait aucune a leur égard, ni pitié ni remord.

Slen
Decidement, cette Lumiere est toujours aussi perorante.

Moi, la fille d'une clerc et d'un paladin, j'ai ouvert les yeux et j'ai vu que cette lumière cherche à obscucir le bonheur des gens, en leur faisant croire qu'elle les eblouie.

Rappelez vous de l'allégorie de la caverne. Les hommes croyaient ce que leur renvoyait la lumiere sur les murs de la grotte. Puis, un jour, ils sortirent de la grotte pour voir la vérité cachée par cette Lumiere.

J'ai combattu cette Lumière dans ma prime jeunesse. Puis vint l'époque où cette Lumière calmée, je n'avais plus rien à faire. Je me suis donc retirée.

Si l'inquisition et ses suppots refont parler d'eux, je serais peut être obligée de reprendre du service.


Frau Eternal, Commandante des Armées de Seth, Gardienne du Temple. Chevalier d'Albion.
C'est par une jolie matinée d'hiver que DripiK etait rentré de cette interminable expedition dans le desert pour retrouver des vestige de la grande babylone , Il y avait trouvé un seul objet , une stuatuette , ressemblant a s'y meprendre a Arawn , mais un nom effacé inscrit dessous .

Le soleil luisait d'une claretée blafarde , comme annonciatrice du malheur qui s'etait produit la nuit precedente , or il arrivait chez lui , avec la ferme intention de cherire toujours plus sa femme et ses 4 fils , mais quelque chose n'allait pas , le blé n'avait pas été fauché , le betail manquait a l'appel , et la route etait bordée d'imposantes piques , calcinées , avec les restes des Cerf brulés avec une seule inscription encore lisible a la base des imposant piliers de la mort :

Magna Veritas

Par un moyen ou un autre , l'inquisition avait decouvert le culte secret du seigneur de ces terres , Moi DripiK Serredos , revenant de campagne dans mon imposante armure de grand Paladin , fatigué de 2 mois de voyage insoutenable , 2 mois sans voir le doux visage de mon ange , 2 mois sans pouvoir apprendre les arts et les lettres a mes fils , et la vue de mon fief brulé , et de mes 4 enfant , ainsi que ma femme pendus devant la porte tous violés et brulés

Pris d'une profonde colère , je jurait devant les corps sans vie de ma fmille , que le responsable de ces actes devrai en payer de sa vie ....

<soudain l'air se mit a bouilloner , l'ombre se rependis autour du paladin , et son armure comme dans un haut fourneau , se mit a fondre des épaules du Seigneur , ne laissant que la cote de maille en dessous , et il vit en cet instant , la statuete dans son sac luire d'une lumiere rouge et noire , luire d'une rage aussi profonde que son desespoir , emplir l'air , et brisant les esprit et les corps des personnes autour de lui . Il chercha alors dans les decombre une arme autre que sa vieille épée alors liquefiée par la volontée divine , et vit un long fouet trainer au sol , le ramassa et se mit a le faire tournoyer au dessus de son crane , lorsque le claquement de celui ci se fit entendre , un seul sentiment vint a l'esprt de ses suivant , la peur , mais non pas une peur provoquée par un sentiment d'impuissance , mais une peur profonde , incomprehensible , une peur si puissante que plusieur des fideles de la lumiere furent pris de violent spasme en s'approchant de leur maitre , devenu le messager d'Arawn , son fléau .....>

C'est alors que j'ai rejoint l'aube de babylone , dans l'espoir de mettre un terme a l'immonde Inquisition , porté par la vengence , la colère , et le chagrin d'un amour a jamais perdu

<DripiK parti alors , la verdure pourrissant a son passage>
Une coupe d'or déborde de dattes, de raisins, de figues et de gâteaux de miel, mais je ne ressens nulle faim.
Une menue fontaine glougloute au travers de la bouche d'un léopard de marbre, répandant sa fraîcheur dans une vasque blanche, mais je ne ressens nulle soif.
L'air est tiède, pur, seulement troublé par le chant solitaire d'un rossignol dans la palmeraie, mais je ne respire pas.
Ma déesse au doux visage, à la bouche de grenade, aux doigts de rose, est étendue à mes côtés et caresse mon front, mais je ne ressens nulle joie.
Je suis au paradis, environnée d'enfants rieurs, où le lion dort avec la gazelle, où Babylone n'a jamais cessé d'exister, mais je ne suis pas chez moi.

Je suis morte sur un bûcher allumé par l'Inquisition, et je ne trouve nul repos.

Albion, froide Albion, qui avait su pourtant me ramener à la vie quand mon corps gisait entre les pommiers d'Avalon, brisé par un voyage de mille ans.
Albion, brûlante Albion qui m'avait donné le coeur de me battre pour toi.
Albion, terre des hommes clairs, terre de la Lumière.
Albion, putain complaisante de l'Inquisition, chevauchant un porc couronné, enivrée de mensonges et de mauvais vin.

Ma déesse s'est levée et me contemple l'air désolé. Je sais que je n'ai pas ma place ici, et je ne sais pas si j'aurais le courage de faire ce qu'il faut pour la trouver, ou la perdre à tout jamais et rejoindre la perdition éternelle.

Ma déesse m'embrasse doucement, et elle me dit, de sa voix qui est telle le chant du zéphyr sur l'Euphrate:

"Va, et <elle esquisse un sourire> n'oublie pas qui tu es, dans cette troisième et dernière vie terrestre. Tout retour t'est interdit"

Son visage se déforme soudain et elle hurle, me transperçant de plaisir:

"TUE LES ! Tue les, tous ces fils de chiennes, aux doigt pourrissants
Brûle les chairs, consume les esprits comme ils t'ont consumée, toi, ma dernière enfant!
N'oublie pas le nom de ton dernier amant,
Ecris le, comme Babylone, en lettres de sang!"

Est ce l'extase, qui m'a fait tomber? Quand je me suis relevée, il faisait frais, le tapis était doux sous mes pieds nus, et je ne reconnaissais pas le visage humain, clair et juvénile, encadré de cheveux bruns, que me renvoyait le miroir d'argent accroché aux murs de ce qui était, sans conteste, ma chambre.
Une femme ouvrit la porte, l'air revêche.

"Encore en train de te pommader, tu devrais t'entraîner depuis deux heures ! Tu es une apprentie bien distraite, jeune Innana !"

C'était une Elfe.
Le doux vent marin d’Avalon faisait flotter les cheveux sombres et parfumés de Thuwan.
Assise à mes cotés, elle me faisait parfois penser avec grande nostalgie à Innana.
Mais Thuwan était si différente, calme et mystérieuse.
Son gris regard se posa sur moi et me dit :

- Tu as encore rêvé d’elle, mon ami ?
- Oui, noble dame. Mais ce rêve étrange était si réel…
- J’ai rêvé d’elle moi aussi. Elle te parlait, en compagnie de sa déesse.
- Oui. Yshtar et Innana. Mais le c½ur de cette dernière était rongé…
- …Par la douleur de sa mort sur le bûcher…oui, je le sais Sharys.
- Puis elle reçu le don d’une troisième vie, sur une terre verte et lointaine…
- …Une terre portant le nom d’Hibernia.
- Son visage avait changé mais son regard restait le même…
- …Le doux visage d’une jeune Celte qui portait le nom…
- …d’Innana.

Nous nous sommes regardé, moi et Thuwan. Nous avions compris tous les deux.
Elle posa sa main doucement sur ma bouche.

- Ne dis rien, fils de Nabou Na’Id. Soit patient et reste discret sur ce rêve. Peu importe le royaume ou elle se trouve. Un jour, au delà des frontières, tu la retrouveras.

Je baisais la main de Thuwan et je m’inclinais devant sa grande sagesse. Ses yeux brillaient.
Le vent alors se leva et son parfum me replongea dans le passé. Je remerciais et priais Yshtar.

Après avoir accueilli mes fidèles compagnons de retour d’une quête bien étrange,
je retrouvais Thuwan chez elle dans les profondes forets d’Avalon.
Elle m’attendait, plus belle que jamais.
Le vieux Père borgne rumina ses pensées tout en se lavant les mains couvertes de sang.
Le nécrite n'avait rien avoué ni dévoilé. Rien n'avait sorti de sa bouche à part des couinements suraigus et des misérables supplications. Pourtant, il n'était plus aussi imprudent que dans sa jeunesse d'acolyte. Il était devenu un maître dans cet art. Tant pis, seule la finalité importait. Il avait tout de même espéré en apprendre un peu plus sur ce nouveau rassemblement de païens.

Il repensait au passé. Les Ashassins avait cassé. Les Lakia Min Seth avait rompu. Les Zuuhls avait plié. Quels sombres fous pouvaient encore croire qu'ils pratiqueraient ouvertement d'anciens cultes tout aussi abject les uns que les autres ? Leurs rites sacrificiels nécessiteraient toujours des mesures extrêmes sur l'autel de la Lumière.

Il se sentit soudainement fatigué comme si le poids de toutes les infamies hérétiques pesaient sur ses épaules. Il s'agenouilla plusieurs heures devant l'autel de l'abbaye, psalmodiant quelques prières et la force lui revint, la Lumière le réchauffait de sa douce bienfaisance. Le courage lui revint. Ainsi soit-il ! Plus nombreux et plus puissants reviendront les forces de Legion, plus fort et courageux le Saint-Office sera. Car si la Lumière apporte bonheur et chaleur aux pures et aux pieux, elle brûlera les démons et les païens sur le bûcher de la vrai Foi.
Babylone voilà tout ce qu'ils avaient pu apprendre de la mort du Nécrite, ce chien était mort trop vite marmonnant des sortes de poèmes et de suppliques, rien de bien compréhensible.

Encore une secte qui se croyait envahie de pouvoir et d'une Foi capable de remplacer la Lumière, bah tout cela finirai dans les flammes, bientot, trés trés bientot pensa Slen.

Ils sembleraient que ces "Babyloniens" ne cherchaient pas la querelle, lâcheté, ils bafouaient la Lumière dans l'ombre et une foi mis sous le fil du bourreau ils disaient ne pas chercher la querelle.

Il faudrait voir ce Ragus de L'Inquisition on lui en avait dit beaucoup de bien, les renseignements qu'il avait pu obtenir pourrait être compilé avec les siens et ceux de ses agents afin de rétrécir les pistes et décapiter la tête pensante de la secte.


Slen
 

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