La Belgariade.

Répondre
Partager Rechercher
Qu'est-ce que vous devez en avoir marre de moi et de mes questions sur les bouquins de fantasy.

En fait je voudrais vous poser une question au sujet de cette série. J'aimerais bien la commencer mais vu que je lit énormément de livre en même temps ces derniers temps, je voudrais pas me lancer dans une série trop longue. Je voulais donc savoir : Quand on a fini de lire le cycle de la Belgariade, la Mallorée est-elle une suite à la Belgariade ? Car les séries comme LanceDragon avec 45 bouquins dont 90% sont nuls, non merci.

D'avance merci
Oui la Mallorée est une suite mais tu peux très bien t'arrêter après la Belgariade.
Par contre à mon avis ça va finir comme moi. Je devais m'arrêter après la belgariade mais pris dans l'histoire je suis directement aller acheter la suite.
J'ai apprécié tous les bouquins en tout cas, même si j'ai mes préférences pour certains ils sont tous assez réussis.
Oh mais de toute facon je compte lire la suite bien entendu, mais peut-être pas tout de suite, enfin je voulais juste savoir par curiosité aussi.

Merci

En passant, vous trouvez pas que ca ressemble énormement à l'univers de Tolkien ? Je n'en suis qu'au tome 1 mais la ressemblance de l'Orbe d'Aldur avec l'anneau unique, voir les simarils est flagrante je trouve.
j'ai lu les 5 tomes et au bout du second je me suis fait violence pour terminer.
Deja le scenario est callsique mais est releve par quelques pointes d'humour dans les deux premier tomes et pui seul un personnage sort du Lot,Silk d'Arendie (et encore il perd une grosse dose de charisme plus tard dans l histoire les autres sont d'une platitude extreme
Au bout du 3eme tomes,l'auteur part dands son delire de propheties toute tracée et le suspens retombe comme un souffle et on souhaite accelerer le temps pour voir l'affrontement final qui une fois arrive est completement plat,aucune emotion,c'est trop simple,aucune tension dramatique.bref on est decu.
la blegariade ou comment faire 5 tomes au lieu de deux pour gagner de la tunes.
Quand au autres parties du cycle,j'essairai meme pas de les lire si c'est pour retrouver le faux suspense casse en 3 lignes.

edite pour au dessus:
bah oui c'est tres Tolkiennien l'orbe qui brule le dieu malefique,le mage qui les guide.mais encore une fois sa p**** de prophecie gache tout
A la différence des Lance Dragon où les seuls de qualités sont ceux écrits par Weis et Hickman, tous les bouquins de la Belgariade, de la Mallorée et de deux "préquelles" sont écrit par David et Leigh Eddings, donc pas de souci à se faire quant à la qualité.

Pour ma part, je voulais faire comme Chlott, juste lire la Belgariade...

Résultat, en un mois je me suis tapé l'intégrale de la Belgariade ( 5 tomes ), de la Mallorée ( 5 tomes ), de Belgarath le sorcier ( 2 tomes ) et de Polgara la sorcière ( 2 tomes ).

Et je relis le tout encore assez régulièrement ( entre deux intégrales Drizzt et une nouvelle série, actuellement la Roue du Temps qui est tout simplement formidable ).


Tu peux t'arrêter juste après la Belgariade, mais à mon avis tu loupes le meilleur à savoir la Mallorée avec notamment les personnages de Sadi et de Velvet qui renvoient Silk au rang de petit joueur alors qu'il était mon perso préféré dans la première pentalogie.

De plus, les deux bouquins qui suivent la Mallorée écrits en focalisation interne ( puisque ce sont Belgarath et Polgara qui écrivent la véritable histoire du monde depuis leur naissance ) sont absolument géniaux et se lisent d'une traite. On apprend vraiment beaucoup beaucoup de choses concernant les Dieux, la rencontre avec les autres sorciers, le pourquoi de Zedar devenu pas très très gentil, l'origine des différentes nations et j'en passe et des meilleures.

Que du bonheur qui de plus se lit vraiment très très facilement et rapidement.

*remercie son ami Belgalak le vampire Harnien pour lui avoir fait découvrir cette série*

Edit: Bof l'orbe d'Aldur n'a que peu à voir avec l'anneau unique, c'est un objet très puissant certes mais il est bénéfique et ne tente pas de corrompre son porteur.

Dans ce que j'ai lu pour l'instant en Heroic Fantasy, l'objet ressemblant le plus à l'anneau unique est le poignard de Shadar Logoth porté par Mat dans la Roue du Temps ( pendant un temps tout du moins ).

Sinon, dire qu'il n'y a pas de suspens est faux, c'est juste que ce n'est pas un suspens classique.
On sait très bien qu'ils vont gagner, le suspens vient de la manière de faire. Un peu comme dans Columbo où on sait qui est le meurtrier au bout de 5 minutes et où le suspens réside dans la résolution de l'enquête.
Oui, la Belgariade ne cache même pas ses reprises sur Tolkienn, avec les personnages qui se ressemblent beaucoup, à la nuance subtile que si jamais je devais adapter la Belgariade au cinéma, je crois que j'irais chercher les gens qui ont fait les Bisounours.
Citation :
Provient du message de Nijel
Oui, la Belgariade ne cache même pas ses reprises sur Tolkienn, avec les personnages qui se ressemblent beaucoup, à la nuance subtile que si jamais je devais adapter la Belgariade au cinéma, je crois que j'irais chercher les gens qui ont fait les Bisounours.
Hormis une vague ressemblance entre Belgarath et Gandalf si on n'est pas très regardant sur le caractère des personnages, je trouve pas qu'ils se ressemblent vraiment...
Une quête initiatique si on veut pour Garion mais il ne se retrouve jamais tout seul et est toujours entouré par ses puissants alliés.

La Belgariade enchaine les lieux communs de personnages d'Heroïc Fantasy c'est clair et net, mais justement Eddings joue sur ces personnages archétypaux.
Le jeune dans sa quête initiatique qui n'arrête pas de se demander "pourquoi moi"
Le vieux sorcier mentor
Le guerrier Berserk
Le chevalier pur et lumineux
La sorcière froide en apparence mais tant que ça
Le petit fouineur
L'humain de base qui n'a rien de spécial... à moins que...
Le guerrier taciturne
La petite peste

Et pourtant ces personnages sortent des sentiers battus.


Le seul bouquin que j'ai lu avec des personnages archétypaux qui sortent de ces stéréotypes encore mieux que chez Eddings, c'est chez Jordan et sa Roue du Temps. D'ailleurs les rapprochements avec Tolkien sont bien plus faciles à faire avec Jordan qu'avec Eddings je trouve.
Le mieux dans La mallorée, cest de retrouvé ce groupe tant aimé meme si il est quelque peu different, lit le cest tres tres bon...


Et puis les mauvaises langues, l'idée est la meme que Tolkienn mais cest different tout de meme et il ne se ressemble pas tant que ca... et au moins ces deux series sont bien plus plaisante a lire que LOTR, chacun ses gouts hein...
Si tu commences la Belgariade, tu pourras pas t'empêcher d'enchaîner direct avec la Malorée.
Ce sont les premiers livres d'heroic fantasy que j'ai lu et j'ai directement accroché!

Je ne trouve pas que ça ressemble au seigneur des anneaux du tout, peut-être parce que j'ai lu Eddings en premier, mais l'ambiance qui se dégage du livre n'est pas du tout pareille.
La Belgariade ça rox. Je te conseille de le lire en français et en anglais. Avec les magnifiques "Vous, ta gueule".

Après la Mallorée, ça s'épuise un peu, bien que restant très attirant.

Pour finir Belgarath le sorcier et Polgara la sorcière comblent les trous du passé.

Par contre le Rivan Codex est très moyen.
Citation :
Provient du message de Grenouillebleue
Aaah, la Belgariade... Les gentils en blanc, les méchants en noir, et l'imagination en moins.

Quelle honte que les djeunz d'aujourd'hui ne connaissent la fantasy que par le prisme d'Eddings
Zedar est à la Belgariade ce que Gollum est au Seigneur des anneaux : quelqu'un de gris.

Quel mal y-t-il au manichéisme ?
Citation :
Provient du message de Nanja
Zedar est à la Belgariade ce que Gollum est au Seigneur des anneaux : quelqu'un de gris.

Quel mal y-t-il au manichéisme ?
Aucun. Mais les motivations des différents protagonistes tenant pour la plupart sur un mouchoir de poche, le scenario est souvent prévisible, et désespérément plat.
Eddings, ses gentils et ses méchants


Bon comme d'hab, je conseille :

Jordan - La roue du temps
GRR Martin - Le trône de fer
D Gemmel : Druss la légende

Citation :
Provient du message de Grenouillebleue
Aaah, la Belgariade... Les gentils en blanc, les méchants en noir, et l'imagination en moins.

Quelle honte que les djeunz d'aujourd'hui ne connaissent la fantasy que par le prisme d'Eddings
C'est pas forcément l'originalité que je recherche, pour ca j'ai déja Pratchett que je trouve déja bien assez farfelu comme ca.

Je veux juste lire une histoire sympathique, bien écrite, dans un monde heroic-fantasy, pas forcément une oeuvre qui se démarque de toute les autres.
Moi j'aime bien Eddings parce qu'il ne se prend pas au sérieux. Il faut ajouter que l'histoire, bien que plate pour certains, est racontée sans lourdeur (qui a parlé des 150 premières pages du SDA ? ) et reste à mon avis entraînante.

C'est ce côté léger qui me fait largement préférer Eddings à Tolkien par exemple.

Un petit HS pour les chroniques de Krondor de Feist.

Edit : Vanuche ^^, essaie de lire le premier tome de la Belgariade.
Nanja je t'aime bien

Sinon, je suis un peu désolé quand même mais les motivations de certains personnages sont assez spaces, genre celles de Sadi, de Salmrissa, de Velvet et quelques autres.

Il est vrai que c'est assez manichéen, mais c'est là tout le charme de cette aventure, on la lit sans se prendre la tête à se demander si lui c'est pas un traitre, si elle c'est pas une méchante cachée et autres...
Petit exemple tiré de la Roue du Temps tome 3 anglais ( 5 français ) quand Egwene, Nynaeve et Elayne enquêtent sur l'Ajah Noire... C'est passionnant mais c'est quand même beaucoup plus prise de tête.

Il en faut pour tous les goûts
Certains aiment Lynch, d'autres adorent Emmerich
Certains aiment Six Feet Under, d'autres SG1.

Pas forcement plus mauvais, différent stou.

Pour moi, à partir du moment où l'histoire m'entraine et où je n'ai pas envie de lâcher le livre avant de l'avoir terminé, je considère que c'est un bon bouquin.
Que ce soit Weis/Hickman, Salvatore, Eddings, Jordan, Moorcock, Dan Simmons ou Hobb, ils m'ont tous passionnés dans des styles totalement différents les uns des autres avec des narrations totalement différentes, un niveau d'écriture totalement différent...
Eddings, c'est léger, ça se lit bien.

Après, c'est sûr qu'il n'y a pas la profondeur, que ce soit au niveau scénario ou univers, que d'autres oeuvres comme par exemple Jordan.

Mais il n'en reste pas moins que j'ai passé d'excellents moments en le lisant et le relisant, et ai été assez triste lorsque l'histoire s'est terminée après les dix tomes. Autant de symptômes qui font que je te le recommande.

(Et puis autant commencer par des livres qui ne sont pas forcément les meilleurs, ça permet de plus les apprécier.)

HS : J'ai retenté de lire Martin, et rien à faire je supporte pas, c'est vraiment grotesque je trouve. Des personnages comme Rorge, le Limier, etc, je trouve ça à la limite du ridicule tellement ils sont caricaturaux. Ca m'a dégoûté d'un livre qui par ailleurs me paraissait très bon, surtout scénaristiquement :/
Citation :
Provient du message de Nanja
Moi j'aime bien Eddings parce qu'il ne se prend pas au sérieux. Il faut ajouter que l'histoire, bien que plate pour certains, est racontée sans lourdeur (qui a parlé des 150 premières pages du SDA ? ) et reste à mon avis entraînante.

C'est ce côté léger qui me fait largement préférer Eddings à Tolkien par exemple.

Un petit HS pour les chroniques de Krondor de Feist.

Edit : Vanuche ^^, essaie de lire le premier tome de la Belgariade.

Histoire plate ? En quoi elle est plate ?
Citation :
Provient du message de Mat / Thorgoth

HS : J'ai retenté de lire Martin, et rien à faire je supporte pas, c'est vraiment grotesque je trouve. Des personnages comme Rorge, le Limier, etc, je trouve ça à la limite du ridicule tellement ils sont caricaturaux. Ca m'a dégoûté d'un livre qui par ailleurs me paraissait très bon, surtout scénaristiquement :/
Si le Limier est bien la traduction que je crains (the Hound, en anglais), je vois difficilement un personnage moins caricatural. Quant à Rorge et Biter, ils ont eux-mêmes une certaine profondeur - mais surtout, ils introduisent le personnage de Ja'Qen Hagar
Citation :
Provient du message de Grenouillebleue
Si le Limier est bien la traduction que je crains (the Hound, en anglais), je vois difficilement un personnage moins caricatural. Quant à Rorge et Biter, ils ont eux-mêmes une certaine profondeur - mais surtout, ils introduisent le personnage de Ja'Qen Hagar
C'est un Jedi ?

Pardon
Citation :
Provient du message de Grenouillebleue
Si le Limier est bien la traduction que je crains (the Hound, en anglais), je vois difficilement un personnage moins caricatural. Quant à Rorge et Biter, ils ont eux-mêmes une certaine profondeur - mais surtout, ils introduisent le personnage de Ja'Qen Hagar
Je voulais dire caricaturaux physiquement parlant.

Leur psychologie, leurs motivations, sont sans doute plus évoluées et tu le sais sûrement mieux que moi, mais c'est leur physique qui me dérange. C'est vraiment très kitsch, y'a pas besoin d'inventer des mutilations ou des apparences plus ou moins invraisemblables pour rendre un personnage effrayant ou lui donner une profondeur. Et beaucoup de personnages du livre sont comme cela, à divers degrés.

Et j'aime pas trop le vocabulaire utilisé, ni l'écriture, mais ça dépend beaucoup de la traduction et des goûts de chacun. D'ailleurs beaucoup de monde semble aimer ce livre, le problème doit venir de moi... tant pis.
Citation :
Provient du message de Mat / Thorgoth
D'ailleurs beaucoup de monde semble aimer ce livre, le problème doit venir de moi... tant pis.
nan nan t'en fais pas t'es pas seul, loin de la
Je mentirais si je disais que je n'ai pas apprecié lire la Belgariade, puisque forcément, j'avais envie de savoir la fin .

Cependant au fil des livres, j'ai aussi eu cette impression de "tiens je rajoute un chapitre inutile par-ci par-là, histoire d'avoir plus de volumes à vendre".

J'ai été aussi souvent déçu par des passages qui auraient du être des passages forts, et se révèlent bien plats.

L'humour est présent heureusement, mais l'intrigue (y en a-t-il une, d'ailleurs ?) est vraiment faible. Et ce qui m'a le plus choqué, c'est la fadeur de la psychologie de la plupart des personnages (belgarion, beldin, polgara, qui sont pourtant les perso clés).

J'avais fait une erreur, ceci dit : lire la Compagnie Noire (de Glen Cook, éditions l'Atalante) avant de lire Eddings, ça met tout de suite en valeur les gros gros défaut d'Eddings
Répondre

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés