Votre version du féminisme ? [appel a réflexion]

Répondre
Partager Rechercher
(Voici la mienne.
Pas féministe-engagée au sens primaire : juste inquiète, en vrac et désordonnée et comme toujours
égaliste, si le terme existe)

Bonjour à tous

J'ai constaté, il n'y a pas si longtemps autour d'un sujet chez les habitués du bar, que nous autres les femmes, avions droit à nombres de petits surnoms "affectueux". En comparaison, les hommes sont véritablement lésés... (Est-ce un mal ? On peut beaucoup aimer les mots, mais souffrir de leur puissance) Je ne les ai pas comptés ces qualificatifs dédiés ; les pires, les plus élégants ou salaces, ceux que les hommes - eux - ne traînent pas derrière eux tout au long de leur vie, par périodes liées à leur âge, je n'ai pu les dénombrer. Alors pourquoi parler d'égalité si dans le vocabulaire déjà, nous avons une place de "privilégiées" ?
Citation :
Provient du message de Xeen dans le thread qui est à cet endroit

Oh mais Zigzagouille tu as vu clair dans mon jeu :
dame - chagasse - nénette - poufiasse - grognasse - bourgeoise - créature - demoiselle - donzelle - femelle - salope - fille d'ève - frangine - bobonne - gazelle - matrone - bonne femme - mousmé - nana - commère - morue - rombière - jouvencelle - poulette - coureuse - pute - gonzesse - mademoiselle - midinette - nymphe - nénette - souris - quille - garce - pétasse - sirène - harpie - méduse - sorcière - catin - grue - moukère - trou....
voilà ce que je suis dans les mots d'aujourd'hui
Oh..
J'en oublie plein décidément.
Au passage un merci à Axelante qui m'a beaucoup fait rire et ne c'est pas fait démonter.

Nous sommes quelque fois des muses inspiratrices, souvent des harpies qui détruisent les destinées d'honnêtes hommes. Pourtant n'y-a-t-il pas des femmes sages, calmes et sereines (mis à part les "mères") dans l'ombre de vos vies, qui sont juste là pour partager en toute simplicité les moments riches qui vont précéder le grand vide ? Bien sûr, mais peut-être passent-elles inaperçues ces héroïnes du quotidien...
J'aimerais en remercier quelques-unes, ici même dans ce forum, que je peux qu'admirer en tant que lectrice libre. Elles qui continuent de faire souffler dans mes idées noires, une brise d'espoir. Loin d'être soumises, à milles lieues de la banalité, elles n'ont pas le verbe hargneux de chiennes enragées (peut-être un peu loin des réalités) elles sont bien dans leur peau et assument leur féminité à toutes les sauces, la meilleure étant la leur. Sûres d'elles autant que peut l'être un individu dans cette société. Pas question pour elles de faire la course pour remplacer l'homme à tout prix, elles ne généralisent pas et s'adaptent à la personnalité immédiate de leurs interlocuteur, bien avant de songer à la flèche ou à la croix, au drapeau arc-en ciel, au riche ou au pauvre, au patron ou au salarié.
Vous êtes bien rares ici ceci dit...

Pourquoi ne pas valoriser ces personnes précieuses dans la plupart des oeuvres cinématographiques et littéraires (grand public) - est-ce parce que l'originalité est contre-productive de nos jours, dans tout les domaines ? Pourquoi ne pas tenter de donner d'autres modèles à nos contemporains ? Une femme est dans l'image collective, une sauvage - un être indomptable par essence, hystérique et incohérent, une mère-épouse douce et chaleureuse, soumise et traditionnaliste, ou encore une self-made woman ambitieuse et battante, prête à écraser le monde de ses talons aiguilles pour arriver à ses fins... Ce ne sont certes que des archétypes, mais ils nous mènent la vie dure.
Puis pour vendre à tout prix, les industriels sont prêts à traîner dans la boue l'image de la femme, recyclant les éternels modèles, ceux admis par la majorité ; femmes soumises et serviles, ou à la sexualité agressive, images teintées de pornographie. La nouveauté c'est qu'ils commencent à en faire de même pour les hommes. J'aurais aimé connaître leur opinion sur ce sujet. Personnellement, je ne considère pas cette mise au même niveau comme un progrès.

Que sont devenues les adolescents libres et rebelles que je fréquentais au collège, un des archétypes défini ci-dessus ? Déjà à l'époque, nous étions des consommatrices comme les autres, une soi-disant attitude anarchiste, devenait un simple paragraphe sur le cahier des charge des publicitaires, et nous en étions conscientes.
N'y-a-t'il pas autour de vous des personnalités féminines vibrantes et riches, raisonnées, lucides, mais n'oubliant pas un soupçon d'auto-dérision, de légèreté et leurs passions ?
Est-ce le caractère de la plupart des femmes de ma génération ? J'ai de plus en plus de doutes. Où sont-elles ?
Avez-vous croisé ces jeunes gens, ces jeunes hommes aux discours réactionnaires, qui font vibrer dans leurs arguments, les signes indiscutables de la supposée infériorité des femmes ? Ce que me font sentir plus douloureusement encore, d'autres filles qui ont décidé - soit de devenir extrémistes, de prôner la supériorité des femmes, en écrasant l'homme à tout pris - soit de revenir en arrière pour finalement, se résoudre au formatage rose bonbon de leur devenir. Ces jeunes personnes recommencent à placer des barrières, des casiers, des rayons où placer le "sexe faible", et je ne m'y retrouve pas. Les cases imposées par mes tuteurs et qui me définissent depuis le bas âge ; ce que je vais aimer, ce que je dois impérativement savoir faire, les bases de mon savoir sont liées à ma fonction de "matrice" et "d'éleveuse" ?

Un exemple parmi tant d'autre ; la vie de connaissances de mon entourage. Voici l'histoire commune d'un couple à l'aspect épanoui au premier abord. Ils ont envisagé le mariage comme un acte de foi et d'amour, sont devenus esclaves d'une promesse, car l'amour se cultive à deux, précieusement, mais peut disparaître par accident ou simple enfouissement dans la banalité du quotidien. La femme de ce couple, oublie son caractère propre et ses aspirations, à l'avenir sa seule option est d'être malheureuse comme les cailloux, mais elle restera digne, fière d'avoir préservé dans son foyer un certain équilibre (précaire)... occulter ses rêves pour ne pas perdre la face ou manquer sa parole ?! Elle a résolument sacrifié sa personnalité pour l'homme et leur progéniture commune. Je ne comprends pas ces kamikazées, pourquoi s'éteindre ainsi... ? Pour une promesse et une vision de la fidélité erronée ?
Ailleurs pendant ce temps, d'autres femmes brûlent leurs espoirs dans une quête insensée ; courir après l'homme de leurs rêves, papilloner, et se perdre en route, si soucieuses de plaire... ne plus respecter leur âme et leur corps. La solitude est leur apanage, la peur de ne pas obtenir une vie "réussie" selon les normes ?

Je n'aborderais pas l'aspect économique et juridique de nos différences de traitement dans les entreprises, des variations de salaires à poste équivalents ; il faudrait un autre sujet pour dénoncer toutes ces humiliations courantes. Je suis femme et chômeuse, rien de bien extraordinaire, j'ai l'âge d'enfanter et je travaille dans un domaine masculin. Peut-être n'ai-je pas le recul nécessaire pour parler calmement de cet aspect notre oppression. Je refuse de prendre les armes de certains hommes pour m'imposer, je préfère garder ma sensibilité propre. Faudra-t-il que je transforme mon prénom au masculin sur mon cv (juste pour voir) ou que j'évoque une ligature des trompes dans la rubrique divers sous mon statut de célibataire (humour noir bien entendu) ?

Ma version du féminisme :
Une seule vie pour s'épanouir, avant de devenir poussière - homme ou femme, nous sommes frères, amis et amants, complémentaires et dissemblables, ennemis ou solidaires, juste des personnes uniques... et égales en tout points, car aussi responsables les unes que les autres de ce que nous préparons pour les générations futures. Quitte à faire avancer la lumière, autant faire ce qu'il nous plaît de nos vies, en toute liberté. Les sourires sont contagieux et l'optimisme aussi.

A vous si le coeur vous en dit.

Poufinette à vie. Merci Simone
Citation :
Provient du message de ueihttam/lebowski
"Margeeee !! ...une Duff st'plait"
Heureusement que c'est Poufinette qui a écrit ce pavé, de mon côté j'aurais très mal pris ta phrase

Je ne dis pas "agree" ce serait hypocrite Pas de réponses de garçons ? Ce serait intéressant...
Voila ce qui arrive quand madame la dirigeante de Jennyfer (c) prend la plume.

Quel désastre.

Plus sérieusement, je trouve ce texte vraiment mauvais, sans intéret, allant deci delà, sans réel rapport avec le sujet d'ailleurs.

Après maintes lectures pour essayer de comprendre où l'auteur veut en venir, ca parle consommation, stéréotype, "normalité", et un espèce d'amas de différents débats sur le fait que la femme se sacrifie, la femme est moins bien payée, la femme est désavantagée, et un tas de trucs pour mettre en avant le courage de madame qui reste impassible devant les injustices de la société qu'elle subit.

Bref un discours de directeur des ressources humaines ou de discours commercial, pseudo-féministe pour 2 ronds, et pour "provoquer" ( ) "l'immonde masse de mâles venus en meute saccager le magnifique forum paradisiaque Jennyfer.com où les gentilles petites pouffinettes peuvent se préparer activement à une vie merdique à devoir courber l'échine devant Monsieur".

9/20, de l'idée, mais mal exprimée.

P.S. J'vais encore passer pour un trolleur mais c'est pas mon but...
P.S.2. J'vais aussi passer pour un macho qui s'en broute de la condition de la femme dans la société occidentale. Quel rustre je suis, c'est vrai que je dois d'abord penser a mademoiselle pouffinette avant d'aller jetter un coup d'oeil dans le reste du monde et de voir que celles qui se plaignent sont les mieux logées.
Re: Votre version du féminisme ? [appel a réflexion]
Citation :
Provient du message de Poufinette


Bonjour à tous

J'ai constaté, il n'y a pas si longtemps autour d'un sujet chez les habitués du bar, que nous autres les femmes, avions droit à nombres de petits surnoms "affectueux". En comparaison, les hommes sont véritablement lésés... (Est-ce un mal ? On peut beaucoup aimer les mots, mais souffrir de leur puissance) Je ne les ai pas comptés ces qualificatifs dédiés ; les pires, les plus élégants ou salaces, ceux que les hommes - eux - ne traînent pas derrière eux tout au long de leur vie, par périodes liées à leur âge, je n'ai pu les dénombrer. Alors pourquoi parler d'égalité si dans le vocabulaire déjà, nous avons une place de "privilégiées" ?

Alors que nous autres , ne trénons qu'une seul chose , et cella toute notre vie , La bêtise! Se qui explique surment pourquoi nous employons tant de vocabulaire. On a souvent peur de se qui nous dépasse.


Je ne crois pas trop au cliché de la faible demoiselle sans défense sans aucun pouvoir qui se soumet au homme. Je pense plus qu'elle a un grand pouvoir mais une autre façon de l'utilisé.
Moralité nous serions le sex faible et nos coeur vous sont soumi

Je pense qu'il n'y a pas que de la bêtise dans se que j'ai dit mais tout n'est qu'une question de point de vue et suivant les exmples pris tout doit se défendre ^^
(-:
Re: Votre version du féminisme ? [appel a réflexion]
Tiens, un de mes dadas... Voyons si j'ai quelque chose à apporter.

Citation :
Provient du message de Poufinette

J'ai constaté, il n'y a pas si longtemps autour d'un sujet chez les habitués du bar, que nous autres les femmes, avions droit à nombres de petits surnoms "affectueux". En comparaison, les hommes sont véritablement lésés... (Est-ce un mal ? On peut beaucoup aimer les mots, mais souffrir de leur puissance) Je ne les ai pas comptés ces qualificatifs dédiés ; les pires, les plus élégants ou salaces, ceux que les hommes - eux - ne traînent pas derrière eux tout au long de leur vie, par périodes liées à leur âge, je n'ai pu les dénombrer. Alors pourquoi parler d'égalité si dans le vocabulaire déjà, nous avons une place de "privilégiées" ?

Le vocabulaire est machiste, c'est un fait. Pour deux raisons :
1)2500 ans de culture latine, germanique, arabe... Toutes très patriarcales.
2)L'argot est formé essentiellement dans un certain milieu, celui de jeunes mâles souvent violent et peu éduqués, avec une mentalité de néanderthal prédateur. De là, l'agressivité de notre langue envers les femmes.

Citation :
Nous sommes quelque fois des muses inspiratrices, souvent des harpies qui détruisent les destinées d'honnêtes hommes. Pourtant n'y-a-t-il pas des femmes sages, calmes et sereines (mis à part les "mères") dans l'ombre de vos vies, qui sont juste là pour partager en toute simplicité les moments riches qui vont précéder le grand vide ? Bien sûr, mais peut-être passent-elles inaperçues ces héroïnes du quotidien...
Les stéréotypes masculins qui font écho à ceux ci ne sont pas terribles non plus. Dom Juans, maris cocu ou violents, artistes en panne d'inspiration, rambos décérébrés... etc : les archétypes sont toujours pauvres.

Citation :
Puis pour vendre à tout prix, les industriels sont prêts à traîner dans la boue l'image de la femme, recyclant les éternels modèles, ceux admis par la majorité ; femmes soumises et serviles, ou à la sexualité agressive, images teintées de pornographie. La nouveauté c'est qu'ils commencent à en faire de même pour les hommes. J'aurais aimé connaître leur opinion sur ce sujet. Personnellement, je ne considère pas cette mise au même niveau comme un progrès.
C'est un mouvement général, de chosification du corps et de l'être humain. Au terme du processus, il s'agit d'en faire une marchandise, d'effacer les concepts de personnes, d'individus, de gens : place aux ressources humaines. Dans ce cadre, la sexualité se doit d'être réduit à un besoin physiologique à satisfaire, et les relations hommes-femmes doivent être réduite à cette vision de la sexualité. Là où il y a besoin, il y a profit possible, des crèmes de beauté "ventre plat" au tourisme sexuel.

Citation :
N'y-a-t'il pas autour de vous des personnalités féminines vibrantes et riches, raisonnées, lucides, mais n'oubliant pas un soupçon d'auto-dérision, de légèreté et leurs passions ?
Est-ce le caractère de la plupart des femmes de ma génération ? J'ai de plus en plus de doutes. Où sont-elles ?
Tu demandes beaucoup là... Des personnes ayant toute ces qualités, j'en connais (je ne donnerait pas de noms ), mais pas beaucoup, et ce, sans distinction de sexe.

Citation :
Avez-vous croisé ces jeunes gens, ces jeunes hommes aux discours réactionnaires, qui font vibrer dans leurs arguments, les signes indiscutables de la supposée infériorité des femmes ?
Oui, la bêtise bornée est chose courante.

Citation :
Je n'aborderais pas l'aspect économique et juridique de nos différences de traitement dans les entreprises, des variations de salaires à poste équivalents ; il faudrait un autre sujet pour dénoncer toutes ces humiliations courantes.
C'est pourtant un aspect essentiel. Dans un monde ou l'argent tend à devenir la seule valeur, le fait d'être moins payé est particulièrement significatif.

Citation :
Ma version du féminisme :
Une seule vie pour s'épanouir, avant de devenir poussière - homme ou femme, nous sommes frères, amis et amants, complémentaires et dissemblables, ennemis ou solidaires, juste des personnes uniques... et égales en tout points, car aussi responsables les unes que les autres de ce que nous préparons pour les générations futures. Quitte à faire avancer la lumière, autant faire ce qu'il nous plaît de nos vies, en toute liberté. Les sourires sont contagieux et l'optimisme aussi.
C'est un peu vaste, non ? J'aurais du féminisme une vision plus restreinte, plus pragmatique. Je n'en fais pas une philosophie de vie, juste un élément de mon idéologie politique, qui s'intègre en fait à une idée plus vaste et générale : celle de la justice. Dans ce cadre, il vise simplement à promouvoir une réelle égalité entre hommes et femmes. Et comme je suis républicain, j'ajoute aussi les deux autres termes de la devise nationale dedans.
Wow !
Remarquable élocution, déjà. J'ai cru un instant voir Khronos réincarné .
Citation :
J'ai constaté, il n'y a pas si longtemps autour d'un sujet chez les habitués du bar, que nous autres les femmes, avions droit à nombres de petits surnoms "affectueux". En comparaison, les hommes sont véritablement lésés... (Est-ce un mal ? On peut beaucoup aimer les mots, mais souffrir de leur puissance) Je ne les ai pas comptés ces qualificatifs dédiés ; les pires, les plus élégants ou salaces, ceux que les hommes - eux - ne traînent pas derrière eux tout au long de leur vie, par périodes liées à leur âge, je n'ai pu les dénombrer. Alors pourquoi parler d'égalité si dans le vocabulaire déjà, nous avons une place de "privilégiées" ?
Il est vrai que dans le language courant, les surnoms de femmes sont monnaie conraute, plus que pour les hommes. Ceci dit, peu sont usités de façons fréquente, me semble t'il. N'étant pas une femme, difficile de savoir si vous, vous savez également nous affubler de surnoms aussi amicaux que ceux qui vous sont prêtés.
Quant à leur usage, il est clair qu'une grande majorité d'entre eux sont péjoratifs, voire insultants. Après, au bon sens de chacun de ne pas les employer ou alors le faire dans des circonstances qui ne prêtent nullement à confusion ou à mauvaise interprétation. (Ma meilleure amie m'affuble souvent du sobriquet de salope sans qu'il n'y ait aucun sous-entendu ).
Et puis, dans l'esprit du mâle "de base", l'emploi de ces surnoms est déjà une prise de position de supériorité vis à vis de celle qu'il considère comme étant son inférieure (ce qui est bien évidemment du grand n'imp'). Mais c'est qq chose d'entré dans les moeurs de bien des mecs d'aujourd'hui.
Il suffirait à tous ces messieurs de voir la répartition des charges entre un homme et une femme au quotidien pour redescendre de leur piedestal.

Citation :
Puis pour vendre à tout prix, les industriels sont prêts à traîner dans la boue l'image de la femme, recyclant les éternels modèles, ceux admis par la majorité ; femmes soumises et serviles, ou à la sexualité agressive, images teintées de pornographie. La nouveauté c'est qu'ils commencent à en faire de même pour les hommes. J'aurais aimé connaître leur opinion sur ce sujet. Personnellement, je ne considère pas cette mise au même niveau comme un progrès.
D'un avis personnel, je trouve le corps d'une femme bien plus beau que celui d'un homme.
Mais, il n'empêche qu'il y a un fait établi : impossible de voir une pub sans qu'on y aperçoive un sein ou une fesse. Je dois dire que je ne capte pas vraiment le pourquoi de la chose. Après, que ce sein soit masculin ou féminin, peu m'importe. Je ne suis pas choqué par l'image en elle-même, mais plus par le fait que celà serve de support devenu quasi-obligatiore pour vendre. Sans doutes que les postes de créatifs en pub sont majoritairement occupés par des macho frustrés? . Heureusement que certains (les annonceurs sport et voiture par exemple) savent encore faire preuve d'inventivité.

Citation :
Ma version du féminisme :
Une seule vie pour s'épanouir, avant de devenir poussière - homme ou femme, nous sommes frères, amis et amants, complémentaires et dissemblables, ennemis ou solidaires, juste des personnes uniques... et égales en tout points, car aussi responsables les unes que les autres de ce que nous préparons pour les générations futures. Quitte à faire avancer la lumière, autant faire ce qu'il nous plaît de nos vies, en toute liberté. Les sourires sont contagieux et l'optimisme aussi.
Plus qu'une vision du féminisme, je dirais que c'est une vision de la vie en général. J'aime bien, et j'y adhère à 100%.
En tout cas, encore une fois, bravo et .
Un avis d'homme?
Interessant mais assez banal, long et confus (trop d'idées qui se melent peut etre).

Deja presque toutes les premieres reflexions sont adaptables pour les hommes. Donc plutot que parler de femmes, il me semblerait plus pertinent de parler d'humains; et ceci dans un autre sujet biensur.

Concernant le couple dont tu cites l'exemple, je pourrais egalement dire que je connais quelques hommes qui ont choisi, au prix de leurs ideaux, de leurs envies, de se sacrifier completement pour des femmes (qui n'en meritaient pas forcément tant)
Donc encore une fois, je ne vois pas trop l'interet dans le cadre d'une specificité feminine.

Pour les sujets juridiques (j'ai presque envie de rire a l'idée que la justice soit majoritairement en faveur des hommes) et economiques (sur ce point nous sommes 'a priori' d'accord) que tu n'abordes pas, d'autres 'sujets' pourraient etre tout aussi bien en perspective pour demontrer des inégalités dans l'autre sens.

Et enfin a propos de 'ta version du féminisme', moi je considere cela comme une philosophie de vie, valable ou non, a adopter en fonction de ses aspirations.
Donc nous sommes en tout cas d'accord sur le principe. Tous egaux sur tout.
Mouarf comme ça casse par ici
Je crois que Poufinette n'avait pas vraiment besoin d'entendre des critiques sur son style (a priori elle ne se défendra pas étant donné qu'elle a elle même avoué qu'elle était très confuse), mais juste lancer une discussion.

Enfin c'que j'en dis moi
Citation :
Provient du message de AdrienCoeurFeu
Voila ce qui arrive quand madame la dirigeante de Jennyfer (c) prend la plume.

Quel désastre.

Tu vas certainement faire mieux.

Citation :
Plus sérieusement, je trouve ce texte vraiment mauvais, sans intéret, allant deci delà, sans réel rapport avec le sujet d'ailleurs.
Je note tes critères et critiques, ça peut servir

Citation :
Après maintes lectures pour essayer de comprendre où l'auteur veut en venir,
Commence par le titre, tu verras qu'il s'agit de donner sa version, son interprétation du féminisme. Laquelle interprétation est donnée dans le dernier paragraphe; Le reste du message regroupe, de manière un peu désordonnée certes, l'ensemble des choses perçues par l'auteur de ce à quoi doit remédier le féminisme ainsi défini.

Citation :
ca parle consommation, stéréotype, "normalité", et un espèce d'amas de différents débats sur le fait que la femme se sacrifie, la femme est moins bien payée, la femme est désavantagée, et un tas de trucs pour mettre en avant le courage de madame qui reste impassible devant les injustices de la société qu'elle subit.

Bref un discours de directeur des ressources humaines ou de discours commercial, pseudo-féministe pour 2 ronds, et pour "provoquer" ( ) "l'immonde masse de mâles venus en meute saccager le magnifique forum paradisiaque Jennyfer.com où les gentilles petites pouffinettes peuvent se préparer activement à une vie merdique à devoir courber l'échine devant Monsieur".

9/20, de l'idée, mais mal exprimée.

P.S. J'vais encore passer pour un trolleur mais c'est pas mon but...
P.S.2. J'vais aussi passer pour un macho qui s'en broute de la condition de la femme dans la société occidentale. Quel rustre je suis, c'est vrai que je dois d'abord penser a mademoiselle pouffinette avant d'aller jetter un coup d'oeil dans le reste du monde et de voir que celles qui se plaignent sont les mieux logées.
A moi maintenant : aucun apport au sujet, aucun argument, aucun plan, une rhétorique maladroite et vaguement hypocrite, une critique formelle insuffisante alors que c'est là que se trouvait la faille, et une critique sur le fond qui se limite à un coup de gueule. 5/20, il y a du travail.

J'applique mes barêmes à moi, finalement.
Citation :
Provient du message de Aloïsius
Commence par le titre, tu verras qu'il s'agit de donner sa version, son interprétation du féminisme. Laquelle interprétation est donnée dans le dernier paragraphe; Le reste du message regroupe, de manière un peu désordonnée certes, l'ensemble des choses perçues par l'auteur de ce à quoi doit remédier le féminisme ainsi défini.


Heu justement, je commence par le titre, je vois "votre interprétation/vision/version du féminisme"

Et là madame s'amuse an ous exposer le fait que les femmes se font insulter, qu'elles se sacrifient toute leur vie, et tout un blabla inutile, qui n'a aucun rapport avec le féminisme, si t'en vois un tu m'apelles, et comme ca a été dit plus haut, 90% de son argumentation peut se banaliser au genre humain et ne concerne pas la femme essentiellement. (L'homme est une femme comme une autre, oui, on sait ).

Citation :
A moi maintenant : aucun apport au sujet, aucun argument, aucun plan, une rhétorique maladroite et vaguement hypocrite, une critique formelle insuffisante alors que c'est là que se trouvait la faille, et une critique sur le fond qui se limite à un coup de gueule. 5/20, il y a du travail.
Oui, aucun apport au sujet, parce que je ne vois pas ce qu'il y a a dire sur un sujet mal structuré.
Je n'ai pas à argumenter, je suis la voix de la raison, écoutez moi et aquiescez.

Le reste j'ai rien a en dire... attaque perso j'vais envoyer ca a un modérateur gniahaha !


P.S. les deux dernières phrases sont humoristiques et hors contexte.

Edit d'ajout:
féminisme: doctrine qui lutte en faveur des droits égaux entre l'homme et la femme.
La seule chose féministe que j'ai pu soutirer du texte initial est la question des salaires.

Elle aurait pu parler du harcellement moral, sexuel subit par la femme, de la position dans laquelle la femme est entrainée et enchevetrée (le culte de la femme objet, mais ca commence également à se banaliser a l'homme objet donc a l'humain qui devient un amas de chair BaB (bon à baiser)), de certaines pratiques discriminatoires, de certains métiers où on rechigne à embaucher des femmes (pilote de chasse dans l'armée de l'air...), et j'en passe des pires et des moins belles.
Mais non, je n'en vois aucune once de commencement d'embryon d'atome dans le post initial.
Citation :
Provient du message de AdrienCoeurFeu
Heu justement, je commence par le titre, je vois "votre interprétation/vision/version du féminisme"

Et là madame s'amuse an ous exposer le fait que les femmes se font insulter, qu'elles se sacrifient toute leur vie, et tout un blabla inutile, qui n'a aucun rapport avec le féminisme,

Avec ta vision du féminisme. Mais le fait que le langage ait un sexe est important...

Citation :
si t'en vois un tu m'apelles, et comme ca a été dit plus haut, 90% de son argumentation peut se banaliser au genre humain et ne concerne pas la femme essentiellement. (L'homme est une femme comme une autre, oui, on sait ).
Relis mieux.

Citation :
Edit d'ajout:
féminisme: doctrine qui lutte en faveur des droits égaux entre l'homme et la femme.
La seule chose féministe que j'ai pu soutirer du texte initial est la question des salaires.

Elle aurait pu parler du harcellement moral, sexuel subit par la femme, de la position dans laquelle la femme est entrainée et enchevetrée (le culte de la femme objet, mais ca commence également à se banaliser a l'homme objet donc a l'humain qui devient un amas de chair BaB (bon à baiser)), de certaines pratiques discriminatoires, de certains métiers où on rechigne à embaucher des femmes (pilote de chasse dans l'armée de l'air...), et j'en passe des pires et des moins belles.
C'est déjà mieux... Mais je crois que tu as manqué pas mal de chose dans ta lecture. Les deux éléments dont tu parles (harcèlement sexuel et pratique discriminatoires) sont dans le texte de poufinette. Mais sous une forme que tu n'as pas reconnu. Encore des efforts à fournir, donc.
Re: Votre version du féminisme ? [appel a réflexion]
Fil très intéressant que celui-ci... Dommage je le vois un peu tard. La réponse est celle d'un homme...

Citation :
Provient du message de Poufinette
Bonjour à tous

Bonjour à toi

Citation :
J'ai constaté, il n'y a pas si longtemps autour d'un sujet chez les habitués du bar, que nous autres les femmes, avions droit à nombres de petits surnoms "affectueux". En comparaison, les hommes sont véritablement lésés... (Est-ce un mal ? On peut beaucoup aimer les mots, mais souffrir de leur puissance) Je ne les ai pas comptés ces qualificatifs dédiés ; les pires, les plus élégants ou salaces, ceux que les hommes - eux - ne traînent pas derrière eux tout au long de leur vie, par périodes liées à leur âge, je n'ai pu les dénombrer. Alors pourquoi parler d'égalité si dans le vocabulaire déjà, nous avons une place de "privilégiées" ?
Comme il a déjà été expliqué l'argot vient essentiellement des hommes et non des femmes et une langue a une Histoire...
Ce que je remarque par contre c'est que, aspirée par ta victimisation tu oublies un détail...

Ange, princesse, muse, sculpturale, déesse, fée, puce, féminité...

Je ne vais pas chercher à établir la même liste que Xeen. Ce que je veux te démontrer c'est que tout le champ lexical du beau, de l'art, de la douceur, de la complicité est accaparée par la femme. Il ne sert à rien d'essayer de faire une compétition de vocabulaire et surtout cela n'a aucun sens... N'avez-vous pas la paix et la guerre? Que doit-on en tirer comme conclusion?
Il est à noter que ta liste, en se creusant pas mal la tête on peut l'appliquer aux hommes: Péteux, maquereau, macho, kéké, racaille, plouc, idiot du village, flambeur, branleur, branlicot, ouaich... Ma liste ne fait pas la taille de celle de Xeen... Tu remarqueras que nous avons droit au lexique de la violence, de l'idiotie et de la manipulation dans nos surnom "affectueux". Vous avez droit au lexique de la fille facile... Doit-on pour autant établir un classement pour savoir lequel est plus lésé par ces clichés?

Citation :
Loin d'être soumises, à milles lieues de la banalité, elles n'ont pas le verbe hargneux de chiennes enragées (peut-être un peu loin des réalités) elles sont bien dans leur peau et assument leur féminité à toutes les sauces, la meilleure étant la leur. Pas question pour elles de faire la course pour remplacer l'homme à tout prix, elles ne généralisent pas et s'adaptent à la personnalité immédiate de leurs interlocuteur, bien avant de songer à la flèche ou à la croix, au drapeau arc-en ciel, au riche ou au pauvre, au patron ou au salarié.
Elles devraient lire Fausse-route d'E. Badinter et elles verraient qu'elles ne sont pas seules. Les chiennes de gardes se fourvoient dans leur combat. Il faut mettre à terre les pseudo-idéaux qui gouvernent un peu trop notre société: les femmes et les hommes ne sont pas égaux, c'est un fait, mais ils ne doivent pas pour autant l'être. Alors autant que les femmes assument leur féminité, les hommes leur masculinité et les autres leur "miliosité" [je ne dis pas homosexualité car chez certains homos, leur sexualité ne déteint pas sur leur mode de vie]. On remarquera d'ailleurs que les chiennes de garde, qui veulent qu'hommes et femmes soient égaux, ne demandent pas qu'une femme puisse exercer les fonction d'éboueur, d'ouvrier du BTP, de manutentionnaire... Cessons-là la démagogie, naturellement, suite à des millions d'années d'évolution, nous ne sommes pas conçus de la même façon et ne devons pas remplir les mêmes fonctions. L'homme et la femme ne doivent pas être analysés en terme d'égalité mais bien en terme de différence.

Citation :
Pourquoi ne pas valoriser ces personnes précieuses dans la plupart des oeuvres cinématographiques et littéraires (grand public) - est-ce parce que l'originalité est contre-productive de nos jours, dans tout les domaines ? Pourquoi ne pas tenter de donner d'autres modèles à nos contemporains ? Une femme est dans l'image collective, une sauvage - un être indomptable par essence, hystérique et incohérent, une mère-épouse douce et chaleureuse, soumise et traditionnaliste, ou encore une self-made woman ambitieuse et battante, prête à écraser le monde de ses talons aiguilles pour arriver à ses fins... Ce ne sont certes que des archétypes, mais ils nous mènent la vie dure.
Et pourtant le cinéma est en tête dans ce domaine, je pense même que le procès que tu lui fais est injuste. je ne prendrai que cet exemple puisque j'ai revu le film hier: que fais-tu de la petite Mathilda dans Léon?

Citation :
Puis pour vendre à tout prix, les industriels sont prêts à traîner dans la boue l'image de la femme, recyclant les éternels modèles, ceux admis par la majorité ; femmes soumises et serviles, ou à la sexualité agressive, images teintées de pornographie. La nouveauté c'est qu'ils commencent à en faire de même pour les hommes. J'aurais aimé connaître leur opinion sur ce sujet. Personnellement, je ne considère pas cette mise au même niveau comme un progrès.
Je ne la considère pas non plus comme un progrès. Notre société est un peu trop basée sur la sexualité ces temps-ci et sans être puritain je trouve que c'est un mal. Au Moyen-Age on devait faire l'amour aussi bien que nous non? Et pourtant ils n'avaient pas tous ces magazines pour leur expliquer comment faire...

Citation :
Avez-vous croisé ces jeunes gens, ces jeunes hommes aux discours réactionnaires, qui font vibrer dans leurs arguments, les signes indiscutables de la supposée infériorité des femmes ? Ce que me font sentir plus douloureusement encore, d'autres filles qui ont décidé - soit de devenir extrémistes, de prôner la supériorité des femmes, en écrasant l'homme à tout pris - soit de revenir en arrière pour finalement, se résoudre au formatage rose bonbon de leur devenir. Ces jeunes personnes recommencent à placer des barrières, des casiers, des rayons où placer le "sexe faible", et je ne m'y retrouve pas. Les cases imposées par mes tuteurs et qui me définissent depuis le bas âge ; ce que je vais aimer, ce que je dois impérativement savoir faire, les bases de mon savoir sont liées à ma fonction de "matrice" et "d'éleveuse" ?
Et pourtant c'est la fonction première de la femme, comme celle de l'homme est de s'accoupler... Ce n'est pas une case dans laquelle on te range mais une fonction que t'as donné la nature. Il faut cesser de se considérer comme étant des être surnaturels (au sens éthymologique). Je te vois venir d'ici et me dire que je suis un macho mais tu te fourvoierais lourdement: crois-tu que cela m'enchante d'être un simple ensemenceur? On peut avoir des idéaux mais il ne faut pas oublier pourquoi, naturellement, nous sommes sur Terre. Et ne t'en déplaise la femme est là pour enfanter et l'homme pour permettre l'enfantement...


Citation :
Ma version du féminisme :
Une seule vie pour s'épanouir, avant de devenir poussière - homme ou femme, nous sommes frères, amis et amants, complémentaires et dissemblables, ennemis ou solidaires, juste des personnes uniques... et égales en tout points, car aussi responsables les unes que les autres de ce que nous préparons pour les générations futures. Quitte à faire avancer la lumière, autant faire ce qu'il nous plaît de nos vies, en toute liberté. Les sourires sont contagieux et l'optimisme aussi.
Ma version du féminisme: l'homme et la femme ne sont pas égaux, c'est de la démagogie que de le dire. L'homme et la femme sont foncièrement différents, comme deux espèces ayant quelque chose en commun mais ne sachant pas trop quoi. Le véritable féminisme n'est pas d'essayer de prendre la place des hommes comme le prône les chiennes de garde mais bien de sépanouir en assumant sa féminité. La féminité implique notamment d'assumer la différence existant entre femmes et hommes, différence créée par la nature.
Le véritable féminisme consiste pour une femme à faire ce qu'elle souhaite sans l'analyser en terme de combat. Pour moi la plus grande féministe de tout les temps était Aliénor d'Aquitaine: belle, cultivée, faisant fi des interdits concernant sa sexualité et femme de pouvoir puisque le coeur lui en disait ainsi.
Le problème actuel à propos du féminisme est la résurgence du féminisme dit de salon. Alors que le féminisme se battait pour des causes concrètes visant à l'égalité des sexes, le féminisme de salon, qui n'a de féminisme que le nom, vise lui à la valorisation de la femme plus qu'à un véritable combat. On s'attarde sur des faits peu représentatifs, on caricature la femme et son rôle en dressant le portrait d'une sainte ou d'une martyre dans des situations qui n'y sont pas franchement propices et justifiées. Le féminisme de salon fait du tort au vrai courant féministe qui a perdu son aura médiatique et sa représentativité.
J'aurais tendance personnellement en lisant cette diatribe de Poufinette à la ranger du côté de ces féministes de salon.

Le vrai féminisme a encore du chemin à faire à mon sens, aussi bien dans les entreprises que dans les familles et c'est à mon avis là qu'il faudrait concentrer ses efforts plutôt que de disserter sur l'abnégation de la femme, sa vertu et son amour du prochain C'est aussi caricatural à mon sens de décrire la femme comme cela que ce que font certains hommes en plaçant la femme comme inférieure, faible et négligeable.
Ma version du feminisme :

La femme et l'homme ne sont pas identiques. Dire le contraire serait idiot, et non scientifique. On ne peut pas soumettre un homme au regime d'une femme (il parait d'ailleur que les douleurs de l'accouchement seraient proprements insuportables pour un homme), ni soumettre une femme au regime d'un homme.
C'est morphologique...


Apres, considerer que cela donne plus de droits a l'un ou a l'autre (ouioui, y'a aussi des société matriarchale, meme si la place de la femme n'y est pas l'equivalente totalitaire d'une societe patriarchale), c'est un petit peu obscurantiste.

Personnelement, je continuerait à ouvrir les portes pour ma femme (attendu qu'elle en eprouve un certain plaisir), je continuerait a eviter de parler a ma femme 3 jours par mois sous peine de me faire engueuler pour rien, et je continuerait a e feliciter de ma direction au boulot, vu qu'elles sont tres competentes (mes 3 chefs...).


Apres, le reste (la feminisation du mot docteur, ou l'emploi du masculin pour un groupe...), c'est plus pour marquer le coup, et comme je ne trouve pas cela plus respectueux de dire Mme le docteur ou Mme la doctoresse, je ferait avec l'aire du temps... (le simple fait de reflechir au fait que ce soit important me donne souvent l'impression que les gens qui en parlent ont pourtant pleinement intégré ce clivage d'un autre age dans leur mentalite...)
Vraiment intéressant ce sujet, meme si le début est effectivement confus comme d'ailleurs visiblement l'auteur s'en rend compte mais soit la perfection n'est pas de ce monde.

Au point de vue du status de la femme dans le registre familiale, de part mes fréquentation de couples et d'hommes et femme dans la vingtaine, j'ai le sentiment profond que la place de la femme a atteint une position qui me semble de plus en plus équitable dans nos régions occidentales. L'homme s'attelant maintenant de manière spontanée a une partie des taches ménagères et quotidiennes, et cela sans pour autant se forcer mais simplement parce qu'une vie cela s'entretien à deux et l'entre-aide est plus que nécessaire!

A contrario dans le milieu publicitaire et plus particulièrement dans les médias télévisés ou je ressens une forte propension à classer la femme de plus en plus dans un contexte érotique quasi obnubilant et réducteur. Car oui la femme aime séduire de par sa beauté physique mais en faire le leitmotiv de la femme en elle meme est insultant! Les médias que je considère de plus en plus comme des troubles fêtes et un fléau pour la jeune génération..

Par rapport aux conditions de travail et de rémunération, il y aura je pense encore pendant un bon bout de temps une part de discrimination. Car pendant longtemps ce milieu a été LE refuge des hommes par excellence et j'irai meme jusqu'a dire que cela était considéré comme "leur contribution au couple". Dès lors, voir les femmes s'immiscer de plus en plus dans ce milieu peu susciter des réactions de la part de la gente masculine qui se sentent sans doute atteint dans leur rôle, car rappelons nous que l'homme ne sait pas mettre au monde et que donc il cherche un autre moyen de se "valoriser".

Maintenant la femme vue par la société ? Je ne pense plus que le modèle de "femme soumise" soit encore d'actualité, se serait meme plutot le contraire. Est ce un mal ? peut etre pas mais je n'abonde pas du tout dans le sens de la complainte de "la pauvre malheureuse" dans nos pays. Comme déjà dit par certains ci dessus, hommes et femmes sont différents, ont des automatismes différentes, mettent leur priorité différemment et ainsi de suite.. Dès lors je vois le couple comme une relation cherchant mutuellement et en permanence l'équilibre (la perfection n'étant toujours pas de ce monde dans ce paragraphe ) et donc dans la suite logique à attribuer parfois la dominance pour l'un, parfois pour l'autre.

Finalement, au jour d'aujourd'hui j'ai l'impression que plus que jamais les humains se cherchent et tente de retrouver leur repère et des valeurs sûres dans un monde qui parfois entretien les clichés, parfois évoque la totale liberté, égalité de tous. Les chemins de l'église s'effaçant au profit d'une réflexion personnelle je ne vois plus que la complémentarité des être pour pouvoir tracer à nouveau la ligne de repère.
Bah moi j'aime bien les femmes, j'ai beaucoup d'amies femmes, des ex pour certaines. Je les apprecie pour leur sensibilite differente, ca me fait marrer de voir a quel point elles peuvent etre diffferente "pour de vrai" et a quel point aussi un certains nombre de choses "reservees aux garcons" sont en fait communes.
J'espere ne jamais les avoir rabaisse ni sous estime, en tout cas pas a dessein (machisme inconscient ? ).
Et meme leurs defauts je les aime bien
Il y a au coeur de notre société un décalage certain entre le mode de vie de la française de souche, intégrée, active, indépendante etc, et de la jeune fille de banlieue.

Déjà du point de vue de la liberté sexuelle, les contraceptifs ne sont, de part leur prix, de part l'info qu'ils nécessitent pour en prendre connaissance, pas accessibles à toutes les femmes.

En banlieue il se pose le problème de la "réputation" de la jeune fille qui si elle est mauvaise n'aura pas de protection et sera victime plus facilement d'agression.(de la brimade au viol collectif )

La mauvaise réputation s'acquière très vite, il suffit juste de sortir avec un mec.

Tu a aussi l'accès aux études, à l'éducation qui est plus complexe étant donné que souvent les établissements difficiles sont les seuls qui sont proposés à ces jeunes filles de part le lieu d'habitation.

Au niveau de l'emploi n'en parlons pas c'est de la folie , le racisme et la discrimination dans le monde du travail se portent bien.

Pour acquérir une certaine autonomie ces jeunes femmes doivent vraiment se battre et souvent, dans ce domaine elles sont pas aidé par leur famille qui souhaite qu'une chose : les marier.

Alors oui le féminisme a encore des combats à mener mais pas pour un ensemble générique de femmes, mais bien pour celles qui ne vivent toujours pas pleinement la vie qu'elles souhaitent. Qui sont encore contraintes dans tout les domaines.

Dans le monde la place de la femme pose toujours problème alors arrêtons l'angélisme qui me fais vomir.

Le vocabulaire machiste n'est pas un vrai combat, quelque part contre ces mots ce n'est pas dur de se défendre, mais c'est contre les injustices sociales, religieuses etc qui faut se battre.

Citation :
Une seule vie pour s'épanouir, avant de devenir poussière - homme ou femme, nous sommes frères, amis et amants, complémentaires et dissemblables
On est bien loin de cela malheureusement
Bah moi franchement les nouvelles génération de femme me font un peu peur.

J'aime pas généraliser mais bon...

Je vais parler d'un sujet qui concerne un peu tlm , et qui me touche pas mal en ce moment ... l'amour.

Sérieux j'ai du mal à vous suivre , les femmes sont libérées blabla veulent plus d'engagements et tout ont diraient ( c'est qu'une constatation ) elles séduisent à tour de bras et font beaucoup de mal autour d'elle , parallèlement elles parlent des hommes comme des machos qui ne sortent avec que pour le sexe alors que depuis toujours je tiens un discour très loin de ça ( ouai je suis très respectueux , enfin j'étais ) et pourtant elles me prennent souvent pour un con.

Enfin ça se trouve je suis grave HS j'ai pas lu le reste... mais si des filles pouvaient intervenir ça serait sympa

Sinon je vais rester sur mon opinion actuelle à savoir que vous êtes toutes des sa....
Citation :
Provient du message de Peline
Il y a au coeur de notre société un décalage certain entre le mode de vie de la française de souche, intégrée, active, indépendante etc, et de la jeune fille de banlieue.

Déjà du point de vue de la liberté sexuelle, les contraceptifs ne sont, de part leur prix, de part l'info qu'ils nécessitent pour en prendre connaissance, pas accessibles à toutes les femmes.

En banlieue il se pose le problème de la "réputation" de la jeune fille qui si elle est mauvaise n'aura pas de protection et sera victime plus facilement d'agression.(de la brimade au viol collectif )

La mauvaise réputation s'acquière très vite, il suffit juste de sortir avec un mec.
Oui enfin, biensur que de tels cas existent mais j'aimerais avoir des chiffres pour etayer le "la jeune fille de banlieue"
Je pense que ce dont tu parles reste marginal, ce qui biensur n'enleve rien au degout que cela m'inspire.
Ne faisons donc pas de généralités.

Citation :
Provient du message de Peline

Tu a aussi l'accès aux études, à l'éducation qui est plus complexe étant donné que souvent les établissements difficiles sont les seuls qui sont proposés à ces jeunes filles de part le lieu d'habitation.
Et tu crois que c'est plus simple pour un mec qui habite dans ces memes lieux 'difficiles' et qui pourtant souhaite etudier et travailler?
J'exclue biensur toute contrainte liée a la religion, car je pense que ça merite un autre debat plus centré.

Citation :
Provient du message de Peline

Au niveau de l'emploi n'en parlons pas c'est de la folie , le racisme et la discrimination dans le monde du travail se portent bien.

Pour acquérir une certaine autonomie ces jeunes femmes doivent vraiment se battre et souvent, dans ce domaine elles sont pas aidé par leur famille qui souhaite qu'une chose : les marier.
Je pense que nous ne vivons pas dans le meme monde.
Des parents qui incitent leur filles a se marier plutot qu'a etudier hors contexte religieux, j'imagine mal que ça concerne la condition de la femme de façon générale, en France, aujourd'hui. La encore il faudrait des chiffres.

Citation :
Provient du message de Peline
Alors oui le féminisme a encore des combats à mener mais pas pour un ensemble générique de femmes, mais bien pour celles qui ne vivent toujours pas pleinement la vie qu'elles souhaitent. Qui sont encore contraintes dans tout les domaines.
Des gens, hommes / femmes, qui ne vivent pas la vie qu'ils veulent malheureusement il y en a trop.
Des gens contraints aussi.
Je souhaite que tes voeux se realisent...

Citation :
Provient du message de Peline

Dans le monde la place de la femme pose toujours problème alors arrêtons l'angélisme qui me fais vomir.
Je pense que ce qui a ete dit c'est plutot qu'en France la situation s'ameliore. Ce qui est, a mon sens, vrai.
Citation :
font beaucoup de mal autour d'elle
tu a vécu un rateau on dirait, pourquoi tant d'aigreur sinon?

Citation :
Je pense que ce qui a ete dit c'est plutot qu'en France la situation s'ameliore.
pas pour toutes justement.
Citation :
Provient du message de Serafel
Et meme leurs defauts je les aime bien
Et si je suis poilue, bossue avec un énorme grain de beauté sur le nez, que je mesure 1h15 pour 147 kilos, tu m'aimes aussi ?

Même si j'ai un gros genou ?
Répondre

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés