Grand duc / Grande duchesse
|
Bonjour à tous,
Ceci est la suite de mon premier post que vous pouvez trouver ici. Je ne vous récris donc pas l'introduction... Attention : de par sa nature, ce post est bien entendu un condensé de SPOIL ! Quiconque dépasse ces lignes le fait en connaissance de cause. Avant-propos : (Note : cet avant-propos dépend de votre race, je vous présente celui des elfes. Les autres ne changent ni les fondamentaux, ni la compréhension du reste de l’histoire). Devant la maison d’Elrond, un elfe vous demande d’aller voir ce dernier qui doit s’entretenir avec vous. Elrond vous dit alors qu’une petite compagnie doit bientôt quitter Fondcombe. Il ne donne pas de détail, mais vous dit que Gimli et Legolas, entre autres, feront partie de la compagnie. Et comme elfes et nains ne font pas toujours bon ménage, il vous demande de montrer l’exemple en les assistant chacun dans leurs préparatifs respectifs. Legolas apprécie votre démarche, et vous demande de présenter des excuses en son nom à deux elfes qu’il craint avoir offensés lors du dernier conseil. Mais aucun des deux ne lui en tenait rigueur, et l’un d’eux vous donne un couteau qu’il vous demande de lui offrir de sa part. Vous annoncez donc à Legolas qu’il peut avoir l’esprit tranquille. Gimli est content de vous voir, mais se réjouit de partir, car il n’est pas très à l’aise à Fondcombe. Il pense que Gandalf les fera passer par la Moria et se réjouit d’y retrouver Balin. Il vous demande de dire au revoir de sa part à Gloïn, son père, dans les monts brumeux. Gloin n’est pas sur que Gandalf prévoit de passer par la Moria, et vous propose de lui demander directement. Gandalf ne sait pas encore par où passer, mais il est inquiet de l’absence de nouvelles de la Moria. Vous allez alors raconter ce qui s’est dit à Gimli, qui vous trouve « très fréquentable pour un elfe ». Vous retournez vers Elrond qui vous invite alors à assister au départ de la communauté. Après que vous leur ayez dit adieu et reçu les recommandations d’usage, ils s’en vont. Elrond vous rappelle alors que tandis qu’ils s’attellent à leur tâche, il faut que vous continuiez à enrayer la progression de l’ombre par tous les moyens ! Livre 1 : les murs de la Moria En arrivant à quelque distance la Moria, un nain s’adresse à vous. Son expédition est venue rendre visite à Balin après un long silence, et ils ne savent pas ce qu’ils y trouveront. En tout cas, les chefs Bosi et Brogur ont demandé à accepter toute l’aide disponible. Il vous invite donc à aller voir Tulk, un nain situé un peu plus loin sur le chemin. Ce Tulk vous demande de chasser des crébains, probablement espions de l’ennemi. Après vous être acquitté de votre tâche, vous êtes envoyé vers Bosi, encore un peu plus loin sur le chemin. Celui-ci croit de plus en plus au fait que Balin ne se trouve probablement plus dans les mines. Il vous dit qu’en arrivant, il a eu la désagréable surprise de voir que la porte étaient jonchée de décombres, et impraticable… les nains sont donc en train de la déblayer, mais le travail est long et pénible. Il vous demande donc d’apporter le repas à ceux qui travaillent, entre ici et l’entrée qui se trouve de l’autre coté du lac, puis d’aller assister Warr, contremaitre à la porte. En discutant avec les ouvriers, vous apprenez que l’éboulement semble récent, qu’ils ont bientôt fini de déblayer, et sont impatients de voir ce qu’ils trouveront dans la Moria. Mais Warr vous avertit qu’ils vont être à court de pioches, et vous demande d’aller en chercher d’autres vers Bosi. Malheureusement elles viennent à manquer, il faut en refabriquer. Pas un problème pour un nain, mais on compte sur vous pour la matière première. Il faut des branches d’arbres pour les manches. Il faut également des pierres pour aiguiser les lames. Bori, le fils de Bosi, est supposé s’en occuper, mais il est probablement en train de tirer au flanc avec son copain Broïn… Et en effet, après avoir rendu visite à Bori, vous êtes bon pour chercher des pierres également, que vous apportez ensuite à Bosi. Pendant qu’il fabrique les pioches, il vous demande d’aller prêter assistance à Brogur, son cousin, un peu plus loin. Celui-ci s’inquiète, car les loups se font de plus en plus menaçants. Il vous demande d’essayer de découvrir ce qui les pousse à agir ainsi. Il vous prie aussi d’aider son fils, Broïn, à terminer ce qu’il lui a demandé. Broïn, trop occupé avec Bori, devait chasser des ouargues et vous demande de le faire à sa place. En vous occupant des ouargues, vous trouvez un cadavre de loup complètement carbonisé. Vous allez donc en parler à Bosi. Mais il n’a aucune idée de ce que ça peut signifier, et vous demande de l’aider à amener les pioches qu’il vient de confectionner vers la porte. Vous vous dirigez vers le seuil de la Moria, et arrivé à mi-chemin, vous êtes attaqués par des loups qu’il vous faut repousser. Bosi reste alors sur place pour couvrir vos arrières, et vous emportez les pioches pour les donner à Warr. Le travail est sur le point de s’achever. Mais Brogur est nerveux, le lac l’inquiète. Il souhaite que vous demandiez à ceux qui le font d’arrêter d’y lancer des cailloux. Après ces quelques réprimandes, vous retournez vers Brogur où vous êtes rejoint par Bosi. Il vous offre alors l’honneur des derniers coups de pioche, et vous libérez enfin la porte ! Bosi prépare un discours, mais vous sent nerveux. Et pour cause, vous avez eu l’impression de voir un mouvement dans l’eau. Vous scrutez alors le lac avec les nains, mais ne voyez rien. Vous vous apprêtez à entrer dans la mine lorsque, sans prévenir, de nombreux tentacules sortent de l’eau, et attaquent les nains, emportant Broïn au passage. Vous courez à l’avant-poste pour demander de l’aide car votre arme ne parvient même pas à égratigner cet ennemi hors du commun. Vous parvenez au camp ainsi que Bosi, et d’autres, mais plusieurs nains y ont laissé la vie. Malheureusement, plus moyen désormais d’entrer dans la Moria ! Vous retournez au début du chemin par lequel vous êtes arrivé, où le nain vous dit qu’on a retrouvé un coffre avec d’anciennes armes non loin. Peut être que le pouvoir de ces anciennes armes parviendrait à blesser le monstre. Vous allez voir ce coffre, pour prendre une de ces armes légendaires. Il vous faut maintenant l’identifier, et vous entrainer à la manier pour essayer de vaincre le monstre. Après vous en être suffisamment servi, vous la reforgez pour libérer sa puissance, et retournez vers le lac de la Moria. Vous montrez votre arme à Bosi et il vous reste à affronter celui que les nains ont appelé le guetteur. Vous ne pourrez pas le tuer, mais à l’aide des nains, vous arriverez à l’entailler suffisamment pour qu’il se replie. L’entrée de la Moria est libre, et vous accompagnez donc les nains pour y pénétrer, même si Brogur et Bosi ont encore le cœur lourd en pensant à Broïn. Là, vous retrouvez Tulk, à l’entrée du seuil de Durin, qui vous remercie, et vous dit qu’il y aura sans doute plein de choses à faire dans la cité souterraine. Il vous envoie alors aider deux nains, au belvédère enfoui et à la longue descente pour vous rendre utile. Livre 2 : échos dans l’obscurité Les deux nains vous souhaitent la bienvenue, et vous envoient directement voir Bosi, à la salle de la croisée des chemins, à l’extrême ouest de la voie de Durin. Il y a installé son quartier général en vue de repeupler la Moria. En premier, il vous demande de tuer des grodbogs, sortes de gros insectes, dans la grande prospection en vue de la rendre à nouveau habitable. Vous vous acquittez donc de cette tâche avant de retourner vers Bosi qui se dit impressionné par votre zèle à défendre la cause des nains. Il vous demande donc de fouiller certains endroits, en quêtes de documents concernant le passé du peuple qui a vécu ici. Il vous envoie vers trois salles que vous explorez successivement. Vous parvenez à trouver quelques anciens documents, que vous ramenez à Bosi. Il est déçu en voyant qu’il ne s’agit que de registres sans grand intérêt… hors mis un point qui attire son attention. Les écrits parlent de Zigilburk, une hache entièrement constituée de mithril, conçue par un certain Ongli ! Etonnant pour Bosi de n’en avoir jamais entendu parler, un objet pareil aurait du faire la fierté de tout le peuple de Durin… Le récit, apparemment écrit par un rival jaloux d’Ongli, peut-il être pris au sérieux ? En tout cas, dit-il, Ongli a demandé à avoir une forge dont l’entrée et son mécanisme seront secret. Légende ou réalité ? Le nain, vous demande d’aller voir son fils, Bori, déprimé depuis la mort de Broïn, à qui ce genre d’histoire ferait du bien. Lui vous envoie alors essayer de trouver un endroit où le secret pourrait être gardé, et d’essayer de dénicher un indice. Vous arrivez sans trop de difficulté à Katub-Zahar, sorte de bibliothèque de la Moria, où vous trouvez quelques indications sur le « cœur de feu », l’atelier personnel d’Ongli. Bori vous le traduit : Il y a un mot de passe, et Ongli doit être honoré pour pouvoir passer. Toutefois, utiliser ce secret sans autorisation pourrait valoir la peine de mort ! Ceci dit, cette menace n’ayant plus beaucoup de sens, ça ne vous arrêtera pas ! Mais avoir le secret pour l’ouvrir ne suffit pas : il faut maintenant trouver où il peut être… Pour ça, Bori vous suggère de demander à Brogur, qui est à l’autre bout de la pièce, pour voir s’il a une idée. Seulement lui ne croit en aucun cas à ses histoires, et les prend pour un mythe. Il est en effet inconcevable qu’on ait pu construire des forges légendaires et une hache en mithril sans que ça ne soit chanté par tous les nains quotidiennement, en louange à l’exploit ! Plutôt que chercher un endroit probablement inexistant, autant essayer de faire quelque chose d’utile, ce n’est pas ce qui manque, et il vous envoie dans les filons de la corne d’argent tuer des gobelins à Gamil Filik, où ils semblent avoir établi un camp assez consistant… et pour joindre l’utile à l’agréable, autant leur voler leurs cartes ! Ça fait longtemps qu’ils vivent dans ces tunnels, et même rudimentaire, des cartes récentes sont toujours bienvenues. Mais si votre travail d’extermination des gobelins est très apprécié, leurs cartes ne valent rien pour Brogur. Il vous demande quand même de les montrer à Bosi, au cas où quelque chose d’intéressant lui aurait échappé. Et après les avoir longuement étudiée, son visage s’illumine. En effet, il a su quoi chercher ! Non pas une pièce, mais un endroit « vide », inexploré, car les gobelins n’auront pas pu y entrer. Il vous indique cet endroit sur la carte, et vous demande d’y venir avec lui, au cœur des filons du Rubicorne. Il espère y trouver la hache, mais rien qu’y trouver les forges ferait le plus grand bien au moral des nains. Il vous montre alors le lieu qu’il soupçonne être le cœur de feu, et vous demande d’y réciter le mot de passe. Un peu plus tard, vous êtes parvenu à entrer dans ces forges légendaires, qui sont restées inconnues des gobelins pendant tout ce temps, et probablement des nains eux-mêmes depuis de nombreux siècles. Vous recherchez la hache, mais elle ne s’y trouve pas. Ceci dit, Bosi ne se démonte pas, la découverte du cœur de feu étant déjà d’une importance capitale. Mais l’ouverture de la porte en a aussi révélé son secret et son emplacement… vous êtes alors attaqué par des gobelins. Il faut absolument les tuer avant qu’ils ne révèlent à d’autres l’existence du cœur de feu ! Ceci fait, vous retournez à la croisée des chemins avec Bosi. Peut-être, la découverte des forges, a-t-elle donné trop confiance aux nains ? Brogur s’est aventuré vers la 21è salle, centre de la Moria, pour la reconquérir. Mais Bosi craint que cette avancée ne soit prématurée, et vous demande d’aller l’aider autant que possible. Livre 3 : le seigneur de la Moria Brogur vous envoie vers Rokur et Utrygg, deux nains qui se sont aventurés vers Zelem Melek, au sud, et qui ne diront surement pas non à un coup de main. Le premier contemple tranquillement l’endroit splendide dans lequel il se trouve, et vous accueille, lorsque vous êtes soudainement attaqué par un éclaireur ennemi. Rokur note qu’il porte la marque de la main blanche, et vous demande d’en avertir Brogur au plus vite. Celui-ci est inquiet, les orques de la main blanche ayant obligatoirement dû faire le tour pour entrer dans la Moria ne sont pas là par hasard… mais peu importe leur allégeance, un orque reste un orque, et il vous demande d’en limiter le nombre autant que possible ! Brogur réfléchit pendant ce temps-là, et se demande si le pire serait que les orques de la main blanche vous aient suivi dans la Moria, où qu’ils soient arrivés par l’autre coté, avant vous… Mais ce problème attendra, Warr vous attend dans la chambre de Mazarbul, juste au nord de la 21è salle. Il en fouille les décombres car le plafond semble s’être effondré, et espère que vous l’aiderez à mettre la main sur quelque chose d’intéressant. Vous trouvez un livre endommagé que vous apportez directement à Brogur. Il se rend alors compte que ce livre relate la vie de Balin et des siens. Sachant comment elle a sans doute fini, il n’a pas le cœur à le lire, et vous demande d’apporter l’ouvrage à Bosi, resté dans la croisée des chemins. Bosi souhaite lire l’ouvrage et, dans l’intervalle, vous demande d’aller prêter main forte à Sweina, parti seul combattre les nains dans les filons du Rubicorne, en direction du système hydraulique. Une fois que vous vous êtes battu à ses cotés, il vous renvoie vers Bosi, lui annoncer que les gobelins sont en diminution. En attendant, ce dernier a lu le livre, et le voit comme un avertissement. L’expédition de Balin s’est rendue compte bien trop tard qu’elle était en grosse infériorité numérique, et s’est fait piéger pour être décimée au complet. Il faut aller voir Brogur, pour l’inciter à la prudence la plus complète afin de ne pas subir le même sort ! Mais Brogur ne prend guère la menace au sérieux et s’estime bien préparé, surtout au vu des nombreuses batailles déjà gagnées. Il souhaite alors que vous aidiez son fils, Bori, à accomplir un plan dont le but est de faire diversion pour tuer le chef de la main blanche, et les désorganiser. Bori souhaite organiser deux groupes : l’un attaquant une salle, pendant que l’autre profite de l’éloignement momentané du gros des troupes pour assassiner le chef. Bien sur, ce plan est très dangereux pour les 2 groupes, et nécessite une préparation soignée ! Il vous envoie donc successivement tuer des orques pour voler leur équipement, afin d’équiper ses nains, puis recruter des volontaires pour la mission et, enfin, faire une reconnaissance sur le bon endroit à attaquer. Mais si votre raid et votre reconnaissance se passent bien, il n’en est pas de même pour le recrutement… seuls 2 nains se portent volontaires ! Ce qui est fort peu, mais ne décourage guère Bori. Il envoie les 2 nains au lieu de diversion, leur but étant de retenir un nombre aussi grand que possible aussi longtemps que possible, quitte à bluffer sur leur force réelle, pendant que vous vous occupez du chef avec Bori. Au camp orque, la discrétion est de mise, et vous avancez aussi loin que possible sans vous faire repérer. Jusqu’au moment où la diversion commence que vous mettez à profit pour foncer vers le chef orque et l’annihiler. Or dans son orgueil et sa certitude de vous tuer, il vous dévoile qu’il n’est pas « la vraie puissance de la Moria ». Après l’avoir mis à mort, vous revenez dans la 21è salle, et la mission est un franc succès, même les nains qui faisaient diversion sont revenus vivants. Bori s’inquiète toutefois de ce que vous a dit le chef orque. Lorsque vous en parlez à Brogur, néanmoins, il pense qu’il s’agissait là de menaces en l’air pour vous faire peur. Il vous demande d’aller en parler à Bosi, ça lui donnera surement du moral ! Mais la joie n’est pas au rendez-vous, car la menace de l’orque rappelle à Bosi les derniers passages du livre de Balin. Et en effet, il y a une bien plus grande menace, nommée Mazog. Il vous raconte alors l’histoire de la fin de Balin. [Interlude : vous jouez Ori, un nain qui a vécu les derniers instants de l’expédition de Durin, après la mort de celui-ci] Vous trouvez un des rares nains rescapés, du coté ouest du pont de Khazad Dum. Votre but est d’essayer de trouver un passage vers la sortie, pour que les nains puissent fuir la Moria. Elle n’est pas loin, et vous avez espoir d’en sortir vivant. Mais les orques sont innombrables, et partout ! Vous passez le pont malgré les orques, et retrouvez encore deux compagnons. La sortie est proche, mais ça ne servira pas aux nains. Il y a trop d’orques pour passer, et tout est perdu… ils préfèrent alors utiliser leurs forces pour emporter avec eux autant d’orques que possible plutôt que tenter une fuite sans espoir, et font entrer leur bataille dans la légende. Le combat sera jusqu’à la mort, qui ne peut être que celle des nains… Mais votre résistance est telle que le combat semble tourner en votre faveur. Autant rester en vie ! Vous faites donc mine de vous diriger vers la porte, quand vous sentez une « ombre » qui semble la garder. Vos compagnons pensent que vous n’avez aucune chance de sortir… et en effet, vous avez face à vous le fléau de Durin ! Deux nains sacrifient héroïquement leur vie pour couvrir votre fuite et vous laisser tenter votre chance en retraversant le pont. Là, un nain vous retrouve, et vous ramène à la 21è salle. Le dernier espoir est maintenant la sortie ouest. Mais l’éclaireur qui revient juste à ce moment vous dit que c’est vain. Le lac est monté, et le guetteur attend quiconque franchira cette porte. Coincé entre le Balrog et le guetteur, vous êtes alors à la merci des orques… plus qu’à vous barricader dans la 21è salle pour tenir aussi longtemps que possible, ce qui ne sera pas éternel… Vous choisissez la salle de Mazarbul pour votre dernier combat. Il vous reste juste le temps pour accomplir une dernière tâche : écrire la fin du livre, dans l’espoir qu’un jour quelqu’un le retrouvera et connaitra alors ce qu’il s’est passé dans la Moria. [Fin d’interlude] Fort de cet avertissement, vous vous attendez au pire. Mazog se prépare sans doute à la guerre, vous devez faire de même. Livre 4 : l’eau et le feu La première étape est de fortifier la croisée des chemins. Bosi vous envoie alors vers trois nains pour les préparatifs. L’un vous demande d’aller chercher des provisions à l’extérieur, et demander là-bas à veiller à ce que le réapprovisionnement soit régulier. Un autre vous demande de vérifier que les orques ne puissent pas utiliser le puits se trouvant dans la salle pour y entrer. Et le troisième vous demande d’aller voir son éclaireur, pour vérifier qu’il n’y ait pas les signes avant-coureurs d’une attaque. Une fois ceci fait, vous retournez vers Bosi, qui espère que vous serez suffisamment préparé. Il vous demande d’aller au cœur de feu pour y prêter main forte. Là aussi, on vous demande d’assister aux préparatifs. Vous commencez par aller éliminer des messagers gobelins dans le système hydraulique, dans l’espoir que leur manque de communications vous permette de gagner du temps. Ça semble laisser suffisamment de répit pour s’organiser, car à votre retour on vous demande d’aller aider Brogur dans ses préparatifs pour défendre la 21è salle. Il souhaite disposer de plus de barricades, et vous demande d’aller dans les profondeurs ardentes pour trouver de quoi en fabriquer. De préférence en tabassant quelques orques au passage. Aussitôt dit aussitôt fait, vous revenez ensuite vers Brogur, qui vous envoie vers Bori, celui-ci ayant quelque chose à vous dire. Il a de bonnes raisons de penser qu’un de leurs prédécesseurs était en train de chercher Zigilburk dans le système hydraulique. Il vous demande donc de descendre pour y mémoriser les plaques des salles afin de pouvoir faire des recherches méthodiques. Vous faites le tour du système et retournez le voir. Il pense désormais savoir où se trouve Zigilburk. Il faut la trouver, car il dit que ça rendrait les nains quasiment invincibles ! Vous vous aventurez donc dans la salle du mithril. Il s’agit d’une ancienne armurerie, maintenant inondées. Il faudra y faire face aux grodbogs et autres joyeusetés qui y ont fait leurs nids, et activer les mécanismes des nains qui ont scellé la salle. Vous partez donc en avant pour dégager le passage pendant que Bori essaie de vous orienter avec sa carte. Vous libérez donc le passage, autant les rochers que les ennemis, jusqu’à la porte. Bori arrive, et vous fait entrer dans l’armurerie. L’endroit est inondé, mais votre surprise est grande lorsque vous retrouvez Broïn, salement blessé, mais vivant ! A bout de force, il parvient juste à articuler de prendre garde au monstre dans l’eau. Vous n’avez que le temps de vous mettre en garde avant d’être attaqué par le guetteur ! Si vous réussissez à le blesser suffisamment pour le repousser, vous pourrez aller parler à Broïn. Il vous montre alors l’arme avec laquelle il a réussi à tenir tête au monstre, et qui n’est autre que Zigilburk ! Il l’a trouvée ici même, sur un nain mort. Lui-même n’avait plus la force de fuir. Vous attendez donc Bori, qui sera sans doute bien surpris… Est-ce que Zigilburk fera pencher la balance en votre faveur ? En tout cas, il faut vite amener Broïn en lieu sur pour le soigner. Après vous être entretenu avec Bori, vous allez prendre de ses nouvelles à la halte paisible, qui a été aménagée en infirmerie de fortune, au vu des jardins d’un coté, et de Zirakzigil de l’autre permettant une bouffée d’air frais. Il vous remercie pour ce que vous avez fait, et se réjouit d’être en vie, mais ne veut plus entendre parler d’aventures ! Livre 5 : les tambours des profondeurs En revanche, la hache lui fait peur. Il craint qu’elle n’éveille la cupidité chez les nains, et rien que de voir les risques que Bori a pris pour la récupérer ne le rassure pas. Elle pourrait mener les nains à leur perte, et il souhaite que vous en préveniez Bori. Mais sans surprise, il ne tient pas compte de vos avertissements. Il vous envoie vers un éclaireur qui a trouvé Zabadgathol, à Nud-Melek, la forteresse de Mazog, et vous apprend au passage qu’il est le petit-fils d’Azog, mais ne souhaite pas vous raconter cette triste histoire pour le moment. Vous trouvez l’éclaireur qui vous demande de réduire le nombre d’orques dans la forteresse. Tout se passe bien pour vous, mais en mourant, un des orques vous apprend que Mazog a un nouvel allié. L’éclaireur vous demande donc d’en apprendre plus en cherchant des indices. Vous trouvez des coffres dont vous amenez le contenu à Bori. Ils contiennent de puissants artéfacts maléfiques, avec les initiales D.G. et Bori se décompose : il s’agit sans nul doute des initiales de Dol Guldur, et il est probable que l’allié de Mazog vienne de là, ce qui est une bien mauvaise nouvelle. Bori voit alors comme un signe du destin que Zigilburk soit apparu juste à ce moment, et décide de tuer Mazog avant qu’ils n’aient pu concrétiser leur alliance. Vous partez donc attaquer Zabadgathol en compagnie de Bori qui porte fièrement sa hache de mithril et accompagné de deux nains seulement, en plus de vous. Aujourd’hui sera un tournant de la bataille contre les orques de la Moria ! Vous vous enfoncez dans la forteresse ennemie, et remarquez que la hache taille les ennemis comme du beurre. L’avancée est facile, et vous arrivez devant la porte de Mazog, où vous allez frapper pour le confronter à son destin. Mais personne ne répond, et Bori se dit que la vue de Zigilburk lui a surement fait peur, et il n’ose pas se montrer. Mais lorsque Bori crie pour le défier, il apparait accompagné d’un certain Gorothul. Il rigole alors de vous voir aussi peu nombreux, et vous envoie quelques orques, mais ils tombent face à la lame. Bori s’avance ensuite pour tuer Mazog, mais il se rend compte trop tard qu’il a fait une terrible erreur : si la hache est une arme de destruction terrible, elle ne rend pas invulnérable, et ne protège pas contre la magie. D’un sort, Gorothul vous immobilise et propose à Mazog de capturer tous ces nains, et s’emparer de la hache. Il vous laisse en vie pour que vous puissiez raconter tout ça à Bosi. Ne pouvant rien faire d’autre, vous vous enfuyez donc à toutes jambes. Pendant votre fuite, vous retrouvez Sweina, qui accourait apparemment pour vous prêter main forte. Il comprend à votre récit qu’il n’y a plus rien à faire, et vous repartez voir Brogur dans la voie des tréfonds, un camp qu’il a établi à l’entrée du système hydraulique. Il lui semble évident que Mazog n’est qu’un pion, et la perte de Bori tant que de Zigilburk est un terrible revers. Il ne sait plus quoi faire, la situation lui échappe alors qu’il se croyait bien préparé. Il vous envoie vers Bosi, qui a peut-être une idée, et qui est toujours à la croisée des chemins. Mais son fils étant mort, ou sur le point de l’être, sinon pire, celui-ci n’a plus guère de volonté de mener son peuple à la victoire, surtout au vu de la situation désastreuse. Il vous délègue alors la gestion des événements, et vous demande de défendre trois positions stratégiques. Le cœur de feu, la voie des tréfonds, et la 21è salle. C’est le minimum pour espérer tenir, si ces bastions tombent, tout est fini. Il vous donne alors le nom des trois nains qui seront les commandants de la bataille, chacun devra tenir à tout prix sa position, tandis que votre rôle sera d’aider là où on a le plus besoin de vous lors de cette défense désespérée... Vous commencez donc par vous diriger vers la voie des tréfonds. Et vous arrivez à temps, car l’assaut est donné ! Il faut maintenant défendre la voie des tréfonds coûte que coûte. La contre-attaque s’annonce très violente. Mais après d’âpres combats, elle finit par tourner en votre faveur, et vous parvenez à repousser les orques. Pas le temps de se reposer, vous filez au cœur de feu, car la vue de Zigilburk a appris à Mazog que les forges avaient été ouvertes à nouveau ! La bataille s’annonce tout aussi rude, et si tout est perdu, vous fermerez l’unique porte… avec ce que ça signifie à plus ou moins long terme pour vous ! Il faut se battre. Et ce n’est qu’après de longs et difficiles combats que la victoire vous appartient enfin. Vous vous précipitez alors vers la 21è salle, là où l’affrontement sera sans doute le plus terrible… Les orques vont envoyer le gros de leurs troupes, et la position stratégique n’est pas idéale pour une défense… mais il faut absolument tenir pour garder la Moria… et la vie ! Le combat est acharné, les troupes paraissent innombrables, et après un combat qui vous semble durer une éternité, vous parvenez enfin à repousser les troupes ennemies. Il faut aller raconter ça à Bosi, peut-être que ça lui rendra espoir. Mais celui-ci fait remarquer à juste titre que cette victoire est plus un gain de temps qu’autre chose, les nains ne pourront simplement pas résister éternellement aux assauts des orques, trop nombreux. Un nouvel assaut serait fatal, et celui-ci ne manquera pas quand les orques seront réorganisés. Ce n’est qu’une question de temps, surtout avec le soutien de Dol Guldur. |
![]() |
|
Aller à la page... |
Lotro, l'histoire épique racontée (volume II)
Suivre Répondre |
|
Partager | Rechercher |
|
Bravo d'avoir repris les livres, un gros "gg" pour le travail
|
![]() |
|
|
Un grand merci pour ton travail!
|
![]() |
|
Suivre Répondre |
Connectés sur ce fil1 connecté (0 membre et 1 invité)
Afficher la liste détaillée des connectés
|