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Publié par Rlatan

C'est marrant ton histoire, il est arrivé exactement la même histoire à mon ami Sedocacé.

Le premier jour c'était une simple remarque sur son odeur, le second un "pauvre merde", le troisième on rajoutait les apostrophes et les gestes insinuateurs...
Et ainsi de jour en jour les insultes se sont aggravées, ont empirées... Il n'était plus seulement question de lui. Je lui ais alors conseillé la violence, il restait septique.

Il ne répondait jamais, c'était sa philosophie de vie, sa maxime. Il se répétait en lui-même qu'il était blanc et pur, qu'il bouffait du canard autant que les autres.

Bien sur ça à fini par déborder, il en a pleuré à chaudes larmes.
Au goût et à l'odeur se sont joints les vrais dégats, des autres.
On fit venir un spécialiste, un moustachu. Il fit ce qu'il pouvait mais Sedocacé était dans sa tour d'ivoire et plus rien ne pouvait l'atteindre.

Plus rien? Non, un jour de grand vent Ouse passa. Le problème était réglé. Déprimé Sedocacé ne l'était plus, il ne l'avait en fait jamais vraiment été. Il était juste un peu bouché.

Oh putain, meilleure histoire jamais écrite sur le Bar Rlatan, je vote et quelle finesse ! Je sais que tu ne peux pas écrire par toi-même mais tu souffles ces mots à ton maître, c'est beau !

[Rlatan]

Enfin la reconnaissance!

Merci pour ton soutien plein et entier Fouin.

Et bonne nouvelle! Mon écriture est désormais autonome! Grâce à l'invention du clavier je peux tout à fait de mes propres pattes conter et raconter la Comté et autres histoires de hobbits et produits laitiers délicieux pour la santé.

[ShlacK]

merde, je viens de voir que le pavé de JSTP sur le thread misogyne a été edit. Je l'ai vu mais je l'ai tl;dr. Aaaaa! je regrette maintenant. Je vous chie dessus tous!

[Moquette]

Tu n'as rien loupé. Il n'avait pas grand chose à dire; il utilisait surtout les pavés pour attirer l'attention et se poser en victime parce qu'on l'empêche de s'exprimer.
En résumé, c'était : "J'ai rencontré des rappeurs. J'ai rigolé avec eux. Je vais peut-être leur écrire des trucs, ça va possiblement être trop bien.".

[Heathcliff]

C'était pas mal, mais je comprends qu'il l'ait édité. Propos d'une personne dans un état second qui en revient au fur et à mesure, il avait l'impression d'avoir passé une bonne soirée et faisait tout pour raccorder cette impression à l'expérience sordide qu'il décrivait.

J'ai tendance à haïr des tas de choses quand je reviens de mes états seconds également, c'est peut-être la première fois que j'arrive à m'identifier à lui.

[Alzeir]

Ça avait l'air épique. Dommage.
Il sera parti, non pas en nous chiant dessus, mais en souriant.

Il restera à jamais dans nos mémoires, ce prince clochard de l'apostrophe.