Cela fut ...

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/hrp/ peut être que vous me connaissez sur le forum officiel, alors je suis poupeeeeeeeeeeeeeeeeeeee, et j'aimerais inviter a ce RP Auteur.mystère et burnybrun, a y participer en jouant leur personnages.
Merci de nous envoyer les commentaires par MP..


Ce(tte) oeuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Paternité - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 2.0 France.
/hrp/
Introduction à l'histoire :
Je m'en souviens, c'était horrible, c'était mon huitième anniversaire, moi Elementair, disciple sacrieur, fils d’un sacrieur et une fécatte. J’étais dans notre maison en bois, plus précisément dans ma chambre, un grand gâteau était posé sur la table. Des bougies allumées y étaient dessus. Le village était calme, aucun ne bruit, on dirait que toutes personne qui étaient animaux plantes et créatures n'existaient plus, mais ma joie et mon bonheur étaient si grand que je n'y prêta aucune intention. J'étais avec mes parents entrain de fêter cette occasion,
Pharor et Arkenge étaient avaient encore oublié d'acheter un cadeau, et donc sont partis à la dernière minute.
- Allez, souffles les bougies. fit ma mère.
Je souffla les bougies qui furent éteintes, mes parents me souhaitèrent bon anniversaire, je couru ouvrir mes cadeaux, j'ouvris le premier, je vis un anneau créé par ma mère.
- à Chaque fois que tu verra cet anneau, tu te souviendra de moi, je l'ai fait de mes propres mains.
Je commença a ouvrir celui de mon père, il y avait un sabre shushu.
-Encore un débutant, ça va prendre du temps pour sortir d'ici. Se plaigne le sabre.
- Tu pourrais la fermer pour une fois, c'est l'anniversaire de mon fils.
-Ah bah désolé. s'excusa l'arme gênée. Je m’appelle Sapro.
-Merci P'pa. fis-je
-De rien mon fils, fit-il en me tapotant le dos.
Quelques secondes plus tard, quelqu’un frappa la porte
-ça doit être Pharor et Arkenge, fis-je tout excité.
Mon père ouvra la porte, quand un chef bontarien, il sortit ses dagues et les planta dans le cœur de mon père qui mourut sur le coup, laissant une grosse tache de sang.
Leur Chef était un Crâ, il portait une coiffe meulou, une cape de la même panoplie. Il avait une ceinture, avec une dague de chaque côté , et deux autres dans ses mains tachetées de sang.
- Tuez-les, fit le Crâ sèchement.
Terrorisé, je me cacha dans ma chambre, laissant la porte entre ouverte.
-Si vous vous approchez de mon fils, vous allez le payer chère.
Un garde s’approcha d’elle quand elle prit son bâton, fit tomber le pauvre garde qui brûla avec cinq autres. Mais ils étaient trop nombreux.
Ils la firent sortir, puis la tuèrent.
-humm, qu’avons-nous ici, un petit sacrieur. Se moqua le crâ
Je soulevai mon sabre, et le dirigea vers sa direction.
-Ne t’approcha pas de moi. Fis-je en tremblant.
-Tu crois que tu peux me faire peur avec ton petit jouet.
-Montrons lui ce qu’on peut faire Elementair, fit Sapro
J’avançai rapidement, je contrôlais très bien Sacro, comme si nous étions qu’un.
J’enfonçai l’arme dans sa jambe.
- AHHHHhhh, cria-il.
Il tomba alors, et je la retira. Il ne pouvait pas se lever, il perdait trop de sang, ma chambre se transforma alors en une arène de combat.
Il prit son arc, le dirigea vers moi, il s’apprêtait a me tuer.
-Tu peux dire adieux a la vie.
La fenêtre se brisa, c’était Pharor et Arkenge qui étaient venus, Arkenge utilisa son sort ralentissement sur le Crâ, qui, devint aussi lent qu’un escargot. Pharor prit ma main et me fit sortir. Puis Akrenge nous suivi.
Nous nous cachâmes dans la grotte du cochon de farle, il n’y avait aucune créature, des gouttes d’eau fines tombaient sur le sol humide, c’était une ancienne cachette, nous y jouions ensemble quand nous étions petits.
- La voie et libre, allons y. fit Pharor
-Qu'est ce que vous faites ici ? m'exclamais-je , et comment saviez vous que j’étais attaqué.
-Nous étions partis te chercher un cadeau,. pour ton anniversaire. c’est que était pourtant prévu Et quand nous sommes arrivé, des maisons étaient brulées détruites, nos parent n'étaient plus là, des traces de sang seulement. On a entendu un cri venant de ta maison, donc nous ..., expliqua Arkenge
- Nous nous sommes précipités vers ta maison, on a trouvé les traces de sang, on est montés dans la chambre, la porte était entrouverte, c'est alors que nous avons fait un tour et pénétré ta chambre par la fenêtre il s’est passé, continua Pharor.
- Il ne reste plus que nous trois de cette ville, fis-je tristement,
- Maintenant on fait quoi, fit Arkenge.
- Pourquoi n'allons nous pas rejoindre les guerriers brakmariens, fis- je, je vais me venger des bontariens.

Je n’avais plus rien d’autre dans ma tête que la vengeance, venger mes parents, c’est alors que nous nous sommes dirigés des plaines d’ankama, a la ville brakmarienne.
Fin de l'introduction, et début de l'histoire.
Nous étions là, dans la taverne chabrulé, j’étais avec Arkenge et Pharor, Arkenge était retiré dans son coin entrain de méditer, Pharor lui s’entrainait dans l’arène de combat, il était déjà saoul, mais pouvait toujours battre tout autre personne qui venait le défier, nous étions tous les trois connus à brakmar pour le grand nombre de personnes que nous avons tué, un grosse prime sera donnée a celui qui nous ramènera la prison, mais personne n’osait.
- Et encore une victoire du grand Pharor !
- Ça prendra encore du temps, s’exclama Sacro impatiemment, nous ne sommes pas ici pour participer a des combats de mauviettes, j’ai bien envie de tuer des personnes.
- Ne t’énerve pas Sacro, je vrai arrêter cette folie.
Je me leva, prit Pharor par le cou, et le projeta hors de l’arène, j’avais un peu bu moi aussi, j’avais une vue floue, donc il tomba sur Arkenge qui méditait dans son coin.
- Qui a fait ça, Cria Arkenge, rouge de colère.
- Il a piqué une crise celui là.
- On ne t’as jamais appris a te taire, vous venez vous deux, allons a notre maison, vous êtes trop bourrées.
Arrivés la maison, je pris une douche froide, puis Pharor. Je me coucha dans ma chambre, voyant par la fenêtre, les ruelles sombres de brakmar, quelques minutes plus tard, Pharor me rejoints.
- Elementair, Oto mustam veut nous voir.
- Je viens, tout de suite, tu sais pourquoi il veut nous voir ?
- Il a une mission a nous confier.
Quelques minutes plus tard, nous étions chez Oto.
- J’ai entendu dire, que les bontariens recherche dans les villages d’ankama une source de pouvoir ultime, capable de tout détruire, c’est pour cette raison que je vous envoie, vous êtes chargés de chercher la source de pouvoir, puis la ramener, mais surtout les empêcher de l’utiliser en leur faveur.
- D’accord Chef.
Je pris Sapro avec moi, ma panoplie du Kralamour géant, puis sortit. Je me dirigea vers notre Enclos, prit une monture emeraude, et attendis les autres.
Quelques minutes plus tard, ils étaient là, nous avançâmes vers la sortie de Brakmar.
Arrivées des gardes nous bloquaient la route.

- Avez-vous une autorisation du chef .
- Vous nous ne connaissez pas alors, fit Arkenge impatient
- Peut-importe qui vous êtes, vous devenez avoir une autorisation pour sortir.
Arkenge lança une frappe de Xélor qui réduit le garde en poussière, mais ce n’était pas un garde, c’était un Chafer.
- Quoi ? Des chafers du cimetière de bonta, où sont nos gardes.
- Cliquetis, Cliquetis.
Agacé par la présence de ces monstres, je pris Sapro, frappa la terre d’un coup si puissant qu’elle se cassa en deux, et avala les autres.
/hrp/ pour l’instant je crois que c’est bien partit, alors j’attend la participation de Auteur.mystère et burnybrun /hrp/
[hrp] Je cois qu'il faudra faire une petite lecture de tes textes poupeeeee. Il y a des moments où on n'arrive plus à suivre. (Quand avons-nous grandis?) [hrp]

<<Alors comme ça nous voilà avec une nouvelle mission... >> pensais-je.

Je crois que je ne suis pas correctement présenter. Pharor, disciple de la déesse Sacrieur. Cheveux bourgogne, yeux lavande, peau ébène, grandeur moyenne. Je suis et j'ai toujours été pauvre, donc pour passer le temps je me battais. D'ailleurs, je n'avais pas le choix si je voulais un peu de nourriture! J'ai su il y a quelque temps de cela que j'avais une maladie dite incurable. Cause? Empoisonnement. Par qui? Je ne le saurai probablement jamais. Mais une chose est sur c'est que le temps m'est compté. Une poignée d'année selon les éniripsas. Je traîne toujours une montre de poche pour me rappeler, afin de ne pas oublier mon but premier : Trouver un remède. Je me suis dit que j'aurai un bon réseau d'informations si je suivais Élémentair à Brâkmar. Bien sûr si l'occasion se présente je n'hésiterai pas à aider mon ami d'enfance. Enfin bref, continuons. Je suis souvent d'humeur blasé sauf quand il s'agit de combat ou de mon objectif. J'ai constamment trois armes sur moi: Deux longues lames aux bouts courbées ainsi qu'un arc standard. Mon pire défaut est probablement mes violentes crises de somnambulismes le soir, il m'est déjà arriver de me réveiller dans une chambre totalement dévasté (Peut-être y avait-il des gens?).

- J'espère que cette fois on saura quelque chose d'utile! Je vais quand même pas vivre le reste de ma vie a Brâkmar, même si la règle du chacun pour soi m'est avantageuse!

Je n'avais pas remarqué le combat qu'il y eu durant ma petite réflexion. Les gardes se sont fait éléminés.

- Merde, j'espère qu'Oto Mustam ne va pas nous tombé dessus pour ça... Pas grave. Pour la mission, je propose qu'on extermine tous les bontariens à la recherche de ce ''pouvoir'' et on reviens en faisant croire qu'ont à fait de notre mieux. Alors?
[hrp]
En effet, relis ton texte, c'est assez brouillon, j'ai eu du mal à suivre.
[hrp]

Des années que nous avons quitté le village. Et nous vivons toujours la même vie.
Je me présente, Arkenge. Ce n'est bien sur pas mon vrai nom, mais un tueur Brakmarien a de plus grandes chances de vivre si il garde son identités secrète et qu'il efface toute ses traces.
Assez grand pour ma race de xelor, même si je n'atteignait pas la taille d'un humain normal, j'étais couvert de bandelettes, de la tête aux pieds, ne laissant paraître que deux yeux d'un bleu clair digne des plus beau ciel.
J'étais le plus posé du groupe, réfléchissant toujours avant d'attaquer, je ne me servait jamais de mes armes, mon pouvoir me permettant largement de contrôler le terrain à distance, me permettant de servir de soutient à mes deux amis quand ils se battaient, je préférais résoudre un combat par le dialogue avant les armes car le combat n'est pas mon point le plus fort.
Tuer ou être tué, tous ça m'importe peu, je suis la plupart du temps silencieux, ruminant mille est une idées, des plans et autres. A chaque endroits, chaque lieux, devant chaque personnes je réfléchis, c'est pour cela que j'ai toujours l'air ailleurs, mais ne vous y trompé pas. Stratège hors pair, je suis capable de résoudre les pires situation, je suis également le plus diplomate du groupe.

Je regarde les cadavres des soldats d'un œil las.
-Combien de fois j'ai dit de vous servir de votre esprit avant de vous servir de votre lame... Bon, allons-y, Oto Mustam n'aime pas attendre.
/hrp/ En premier, j'ai utilisé je me souviens, et donc cela n'est qu'un introduction, j'ai ajouté un titre introduction et fin de l'introduction /hrp/
-Combien de fois j'ai dit de vous servir de votre esprit avant de vous servir de votre lame... Bon, allons-y, Oto Mustam n'aime pas attendre.
-Il faudrait fermer les portes de Brakmar, sinon, les bontarien vont surement pénétrer, déjà qu'ils contrôlaient les tours.
Nous fermâmes la porte à l'aide de nos dragodinde, puis nous partîmes vers les plaines des scarafeuilles, mais nous prenions cette mission trop à la légère, nous n'avions vraiment aucune idée de la valeur de ce "pouvoir", ou ce que les bontariens préparent pour nous empêcher de nous en emparer.
Une heure plus tard, alors que nos montures étaient fatiguées ...Ma dragodinde exécuta un pas en avant, péniblement, quand : < crac >
Puis un grand trou nous aspira, nous tombâmes de plus en plus vers le bas, vers le bas...
Nous avançâmes tranquillement quand soudainement je me sentis plus léger, voir flotter. Ma première penser a été de regarder mon dos voir si des ailes ne m'étaient pas poussées. J'ai vite écarté cette possibilité quand mon visage a atteint le niveau du sol, tout en continuant sa descente. Le sol sous nos pied c'était dérobé.

- Un piège! Aux armes!

Un sifflement métallique se fit entendre lorsque je sortie mes armes de leurs fourreaux, je m'attendais à tout. Mon premier réflexe a été de contrôler ma chute. J'enfonça mes deux lames fraîchement affûtés dans la parois proche et je tînt fermement la garde de mes armes.

- C'est trop risqué de remonter je vais descendre en douceur. C'est pas l'envie de me battre qui manque pourtant... Arkenge! Elementair! Vous allez bien?

La seule chose que j'attendis fut une voix lointaine. Ils ont réussis à se sauver de la chute on dirait mais je suis loin d'être arriver en bas...

- Bon, il est temps de descendre!

Je me servis de mes armes comme crochet pour descendre, en espérant qu'elles ne soient pas trop émoussés à la fin. Moi qui coryais que cette mission allait être simple... Après un moment je toucha le sol, faisant une grande éclaboussure. Un milieu humide et sombre... À ce que je vois nous sommes toujours près de Brâkmar. Un son lointain me parviens... Je dressa mes armes.

- Arkenge? Elementair? C'est vous?
Étonnant de voir ce que la vie nous réserve. Là, c'est un trou. Un bête trou. Un bête trou que je n'ai pas vu venir. Je n'aime pas être surpris par ce qui m'entoure. J'avais pourtant remarqué un léger changement de couleur au sol, et la terre était plus meuble, comme si quelqu'un l'avait retourné. J'avais également remarqué l'ombre qui nous suivait depuis quelques minutes, même si je n'en ai pas vu d'autres et qu'ils sont peut-être plusieurs. Et je me suis fait avoir comme un iop.

Aïe fut ma deuxième pensée, lors du contact avec le sol.

Je me relève difficilement, avant de frotter mes mains pleines de terres. Terre humide. Pas bon ça. On en creuse pas prêt d'un cours d'eau, c'est des coups à se faire noyer. Et avec les mains humides, inutile d'essayer d'utiliser mes pouvoirs de feu... Je hais l'eau...

C'est à ce moment que je sens le contact du métal contre ma gorge. Un métal froid et légèrement recourbé, un léger tremblotement et une prise de main ferme.
-Baisse ton arme Pharor, tu va me trancher la jugulaire...

Je regarde autour de moi, et arrive plus ou moins à distinguer des ombres.
-On est Elemantair ? Et tu aurais pas un bout de tissus ? J'ai les bandages complètement trempé, impossible de créer du feu avec autant d'eau...
Je me sentais assez mal au point, j'ouvris mes yeux, c'est alors que je remarquai que j'étais seul, où était passé Arkenge et Pharor, je suis tombé au même moment qu'eux ils ne seraient pas très loin, je me suis mis à marcher dans une direction, quelques minutes plus tard, je ne voyais presque rien, et l'eau m'arrivait jusqu’au genoux, je me suis décidé d'essayer de trouver un passage dans les murs, je donna un premier coup de pied au mur, je ne suis arrivé qu'a me blesser le pied, je réessaya une autre fois, alors le mur se fissura, et je vis une petite fuite d'eau, je n'y prêta aucune intension et continua ma route dans le noir, c'est alors que j'ai remarqué que le niveau d'eau augmentait encore.
- Il faut toujours que je m'occupe de tout, dit Sapro.
Je le pris dans mes mains, alors il alluma une flamme qui me permit de voir que j'avais prit la mauvaise route.
-Joli ton idée, fis-je, et maintenant comment sortir de là.
Alors j'entendis une voix lointaine, mais le niveau d'eau augmentait, augmentait, augmentait....
[hrp] Juste pour savoir poupeeee, tu as une idée du déroulement de l'histoire? En temps ''qu'assistants'' on ne peut pas trop prendre d'initiative. [hrp]

- Je suis trempé aussi, mais je crois que je peux te donner le reste de ma cape (Comme quoi, après des années de combats sans la changer c'est un peu normal qu'elle soit en lambeaux).

Je la détacha et je la mis dans les mains d'Arkenge. Malheureusement Elementair manquait à l'appel, peut-être a-t-il emprunter un autre conduit durant la chute... Peu importe, nous devions le retrouver. Je fis un premier pas en avant. Déjà je le regretta. Je mis le pied sur une texture poilu, un peu gluante et piquante. Je m'approcha de plus près. Un reste de mulou. Un bras pour être précis.

- Bon j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne: On aura pas besoin de combattre maintenant la plupart des créatures ici doivent être mortes. La mauvaise: Un truc plus gros et plus dangereux à fait tout le travail et rôde probablement dans le coin. J'aurai bien voulu suivre sa trace mais le milieu humide et l'obscurité n'aident en rien mes talents de chasseurs. J'espère que tu es du genre chanceux, on risque de rencontrer le maître des lieux!

Je continua ma route, fier combattant j'avais toujours triomphé de mes adversaires mais l'obscurité n'était pas mon points fort... La chose qui avait tout ravagée a un avantage énorme, mais elle ne doit pas savoir que nous sommes ici...

- Arkenge, ça avance ce feu? Je préfère y allez en douceur.
- Arkenge, ça avance ce feu? Je préfère y allez en douceur.

Avant de m'essuyer les mains, je vois que l'eau augmente peu à peu. Je colle mon oreille au mur.
-Mince, on est tombé à coté d'une veine d'eau, juste à coté, doit y avoir une faille qui relie nos deux galeries. J'espère juste que personne va faire des trous parce qu'avec autant de flotte autour de nous, je garantit totalement mon inutilité totale.
Je m'essuie les mains et rends la cape.
-Merci, dis-je en claquant des doigts, faisant apparaître une flamme au bout de mon doigt.
Peu à peu, elle grossit et recouvre toute ma mains.
-Je ne la gonfle pas trop, faudrait pas que le gros machin qui se ballade ici nous voit, ça me ferait franchement mal, surtout vu l'état des monstres ici présent.
Je me baisse et saisit un bras qui flotte à la surface. Un bras de Meulou.
-Le sang est encore liquide, dis-je en indiquant le bout du bras, la mort remonte à une heure au plus tard, peut-être un peu plus, ajoute en secouant la main, sauf que la, elle flotte dans l'eau, se qui liquéfie encore plus le sang, donc on peut prendre une fourchette entre deux et trois heures. Donc il y a entre deux et trois heure, un machin plus gros qu'un Meulou, ce qui est assez difficile, vient de le pourrir, et il est plutôt intelligent, sinon, il aurait frappé la zone la plus facile à atteindre, le ventre. Là, il a attaqué le bras, pour l'empêcher d'attaquer. Si il est vraiment intelligent, on devrait trouver une mâchoire pas loin, car le Meulou attaque avec le bras et les dents...
En bref, passe devant, je te suis.
/hrp/ Oui, j'ai bine une idée, si tu veux, je peux bien te l'envoyer par MP /hrp/
Je continuait ma route, vers la voix qui m'appelait, soudai j’aperçus des traces de sang sur sur les murs, puis des cadavres de monstres: des Mulous, des Kanigrous, des Ouginaks... Quelle créature pourrait tuer tout ces monstres réunis, je n'en avait aucune idée, mais je continuais ma route, le niveau d'eau montait, c'est alors qu'un idée géniale me vint, j’invoquai une épée volante, puis je me suis mis a surfer, cela allait bien plus vite,quand soudain je sentit que quelque chose me suivait, je fis un dérapage rapide, avança sur le mur quelques secondes puis revint sur l'eau.
- Sapro, as-tu vu ça, fis-je, je suis certain que c'était un monstre.
-Oui j'ai bien vu, mais je n'ai jamais vu pareil, c'est peut être la source de pouvoir, supposa Sapro
Je vis soudain une faible lueur de loin, qu'est ce que c'était, je ne savais pas.
Je me tourna, c'est alors que je vis la créature qui me suivait, et qui a réussi a m'attraper, je descendais dans l'eau, laissant tomber mon épée, la créature me noyait quand :
- Yaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah
Nous marchâmes, moi et Arkenge, encore un moment. J’appelais toujours Elementair mais jamais de réponse. Je baissa ma garde quelques instants, je n'avais pas vu où j'avais mis les pieds. Je tomba dans un des conduits.

- Yaaaaah!

Brutalement, j’atterris sur une substance étrange que je ne saurai décrire. En dessous de cette chose, je vis Elementair. Pourtant celui-ci n'avait pas l'air content de me voir.

- Ça va? Tu m'as l'air un peu blême.

La plateforme sous moi se mit à bouger, je compris bien vite quelle était vivante. Ce n'est que quand j'aperçu son visage que je déduis qu'il s'agissait de la créature en question. On dirait que l'heure du combat avait sonné.

- Elementair, relève toi! Arkenge! Si tu m'entends ramène toi! ( J'espère qu'il sait que j'ai disparu au moins).

Je pris mes armes en main et j'essaya une première tentative d'attaque. De toute mes forces, je donna un coup droit dans le dos de la chose mais sa peau dure résista au choc. La chose se tourna pour me donner un coup, une chance pour moi elle était lente je pu donc l'évita. Mais, l'obscurité cachant ses mouvements je reçu son deuxième dans le ventre qui me jeta à terre le souffle coupé. Je me releva. J'enleva ma cape et je pris une dague que je cachait dans ma botte. J'empala ma cape et je l'accrocha au plafond bas grâce à ma dague.

- Du feu! J'ai besoin de feu! Allumez ma cape quelqu'un! Je ne pourrai pas combattre cette chose dans les ténèbres de ce tunnel!
Je vois Pharor. Je ne vois plus Pharor. Curieux. Je regarde autour de moi, en l'air, rien. Je regarde à mes pieds. Un autre trou. Et Pharor, sur le dos d'une grosse bête, qui réclame de la lumière. Très vite un concert de grognement monte du trou.
Je tape dans mes paumes et élargie doucement l'espace entre mes main ,faisait apparaître une boule de feu, que je balance sur la cape, à la manière d'une boule de pétanque. Cette dernière prend feu, illuminant toute la zone.
-Tiens, tu es la Elementair ?
Je m'assoit au bord du trou, et lance un dévouement qui frappe Elementair et Pharor de plein fouet.
-Bon, réfléchissons, les gars pendant que vous vous battez... La bête est grosse, elle doit donc dépendre de ses mouvements, essayer de la frapper aux jambes. De plus, comme elle est grosses, elle ne doit pas frapper très vite, enfin, j'espère pour vous. Une fois à terre, vous pourrez la pourrir bien comme il faut.
Je les regarde se battre, lançant de temps à autre un ralentissement, ou un vol de temps. La créature étant complètement trempée, mes pouvoirs sont très peu efficaces.
-C'est une créature qui se déplace loin du soleil, je vous rappel donc que c'est probablement une créature nocturne. Que pouvez vous me dire sur les créatures nocturnes ? Non, pas Argh, Pharor, mais elle n'aime pas la lumière, le feu. De plus, j'ai émis l'hypothèse comme quoi elle pourrait être intelligente, donc pour éviter le feu, elle a inondée la zone. Il faut donc la tirer de l'eau.
Ouf, Pharor put me sauver, mais nous étions toujours pas tirés d'affaire, mais nous nous battions toujours contre cette créature, mais cela était difficile vu que aucune de nos armes ne pouvait la blesser.
-Il ne faut pas qu'elle nous touche, sinon nous sommes bons pour finir en déjeuner. Dis-je
L'eau montait encore plus, et cela nous ralentissait, nous allions finir noyés ou tué, ce n'est pas vraiment gagné.
- Oui c'est ça, j'ai une idée, s'exclama Arkenge, c'est la créature qui a fait jaillir tout cet eau ici, donc normalement si on arrive à tout sécher, la créature sera plus faible.
- Le seul détail, c'est que ce sont plusieurs tonnes d'eau, comment allons nous faire? se demanda Pharor
Il avait bien raison, pour vider tout l'eau il faudrait une heure ou deux, et nous serions déjà mort dans juste une dizaine de minutes.
C'est à ce moment où une idée sublime me tomba sur la tête/
-Pharor et Arkenge, retenez le, je crois que cette idée peu marcher.
Je pris mon Sabre ( Sapro ) et plongea dans l'eau, je respirait sous l'eau grâce a la bulle d'eau d'Arkenge. j’enfonçai l'épée dans le sol, rien, je répéta une deuxième fois, c'est alors que je fissura le sol, un espoir renaissait en moi, je continua avec deux autres coup, le sol allait bientôt se détruire, je leva mon sabre une dernière fois, quand de puissantes griffes de traversèrent le dos, mon sang commençait a se mélanger a l'eau, je commencer a voir flou, je ne pouvait plus respirer sous l'eau, je m'évanouis....
Arkenge qui ralentit à distance, Elementair qui plonge... C'est que je me retrouve seul contre ce ''truc'' moi! Bah! Moins de gêneurs, c'est tout. Mais grâce au ralentissement d'Arkenge, je pu lire ses mouvements aisément. Mais, à force de frapper mes lames commençaient à s'émousser... Aller, on sort les grands moyens! Il me faut juste un peu de force et de sang...

- Châtiment forcé!

Le monstre me frappa de sa force incroyable. Grâce à une position défensive je réussi à rester debout mais je ne vous cacherez pas qu'il m'a été difficile de rester au sol! Je pris une pause pour rechercher Elementair qui n'était toujours pas remonté.

- Elementair, tu fais quoi? T'es où?

Pas de réponse. Par contre, une marre rouge attirait mon attention... J'espère que ce n'est pas ce que je crois. Tant pis, je devrais le faire à ma méthode et vérifier ça! Ma force était temporairement égal celle du monstre maintenant. J'utilisa une de mes lames pour m'ouvrir une veine du bras. Grâce à mon sort attirance, mon sang s'enroula sur les poignets du monstre et je le ramena près de moi.

- Si tu étais vraiment intelligent tu aurais su qu'il ne fallait pas nous déranger!

Je sauta par dessus lui, avec mon sang solidifier toujours attachés à ses poignets il se retrouva vulnérable. Je l'attacha.

- Je crois que ça va être bon... Elementair!

Je sauta à sa position, je le chercha à travers le sang et après quelques secondes je toucha quelques chose. Je le tira hors de l'eau.

- Il perd beaucoup de sang...

Un rugissement surgit, je regarda plus loin et je vis avec horreur la bête se libéré... Dire que je croyais que c'était terminé. Avec Elementair inconscient près de moi, ça n'allait pas être facile de me défendre. Je recula de quelques pas. Sous mon pied, je sentis une légère fissure.

- Voilà donc ce que tu essayais de faire... Ne t'inquiète pas je vais finir le travail! Arkenge! Arrête de le ralentir, il doit avoir pleinement son poids pour que cela marche! Aussi, j'aurai besoin que tu nous porte secours une fois cela fait.

La bête allait charger... J'avais ma petite idée pour le piégé, il me faudra être assez vif par la suite pour rejoindre Arkenge. La bête finit par me foncer dessus. Je sortie mon arc chargé avec la lumière du sort assaut des sacrieurs. La lumière, une chose que redoute les créatures nocturnes. Je lâcha trois flèches horizontalement pour ne lui offrir qu'un choix. Sauter. Ce qu'elle fit d'ailleurs, mon plan fonctionna. La bête atterrie directement où il y avait la fissure, je m'étais retiré juste à temps avec Elementair sous le bras. La malheureuse créature dû encaissé les conséquences de son poids et tomba dans les niveaux plus profond du souterrain, suivit de la quantité croissante d'eau de la pièce.

- Arkenge, vite, aide-nous à sortir de là!

Le sol commença à se dérober petit à petit...
/hrp/ étant que personne ne répond, (où est Auteur.mystère) je continue /hrp/
J'ouvrais les yeux, je me retrouvais sur un lit, Pharor et Arkenge m'observaient.
- ça va, Elementair, me demanda Pharor.
- Un peu, répondis-je, mais je ne crois pas pouvoir continuer tout de suite.
J'avais mal dans mon dos, je me souviens encore du coup que le monstre m'avait donné dans mon dos, j'avais des bandelette qui entourait mon torse, tachetée de sang qui sortait encore de ma blessure.
- Qu'est ce qui s'est passé exactement.
- En fait, quand tu as été attaqué par la créature, Pharor l'a attiré dans ton piège et elle tomba dans les profondeurs du souterrain, c'est alors que je t'es soulevé, toi et Pharor, et nous sommes venus chez cette eniripsa pour te guérir.
Soudain, une enirispsa entra dans la chambre, avec un flacon dans sa main.
- Voilà, j'ai le remède.
J'ai été forcé de boire ce remède, il allait me guérir du poison de la créature, je sentait que maintenant c'était le remède qui allait me tuer.
le lendemain matin nous partîmes vers les plaines ..
Tous c'était déroulé très vite. Enfn, maintenant que nous étions sortis de cet enfer, ça allait mieux. Je hais l'eau.

-Bon, quel est notre objectif maintenant ? On continue nos recherches ? Tu te sent en forme Elementair ?

Je savais bien que l'on pouvait mourir n'importe quand, et l'exemple de ce souterrain est assez marquant, et marque surtout mon inutilité totale en milieu humide. Enfin, on allait pouvoir s'amuser maintenant que l'on est à l'air libre.
Je claque des doigt, faisant apparaître une petite flamme au bout de mon index. Tout était revenu dans l'ordre. Un ordre précis, net, comme je l'aime. Je ne supporte pas quand quelque chose contrarie mes plans. Et cette flotte m'a contrarié.

-Alors, objectif ?
-Alors, objectif ?
-Vers les temples des classes, ils pourront surement nous guider vers la bonne route.
Nous marchâmes pendant plusieurs heures, étant que nous avions perdu nos montures, et nos provisions avec, ils ne nous restait qu'a chercher de la nourriture, je préférait assez manger de la viande, c'est alors que je parti chasser un bon sanglier, j’aperçus un, un peu loin, je sortit mon épée, et courait courait courait, le pauvre animal essayait de s'enfuir, mais j’étais plus rapide, il était a deux mètre de moi, je bondissait dans les air, et retomba, laissant le pauvre animal partit, j'avais vu une fumée qui s'échappait du temple Pandawa.
-Hé, venez voir, quelque chose se passe au temple pandawa ?
-Comme quoi, une pluie de bières.
-Non, je crois qu'il est entrain de brûler.
Arkenge nous téléporta a l'entrée du temple, il était dans un état désastreux.
Nous entrâmes à travers la porte presque introuvable, les flammes étaient éteinte, la plus grande partie du temple était brulée.
Nous trouvâmes un petit pandawa caché sous une table.
- Mais qu'est ce qui s'est passé ici, m'exclamai-je
- Ils sont venus, et ils ont tout détruit. dit-il en pleurant.
- Qui, qui est venu ?! m’écriai je en tenant l'enfant par son cou.
- Ne me faîtes pas de mal, s'il vous plait, ce sont les autres.
- Laisse le Elementair, il est encore terrorisé.
Nous sortîmes du temple avec le jeune pandawa, puis le remirent dans une pension un peu plus loin. Ils fallait savoir ce qui s'est passé.
Nous commencions à chercher. Cela ne va pas être de tout repos vu le travail minutieux qu'a exaucer les attaquants, ils ont penser à tout. Mais j'ai un passé brigand, je sais donc plusieurs chose sur la traque (quoi que souvent c'était moi la cible). Aussi puisse être le travail, l'ennemie fini toujours par laissé des traces quelques pars. Il suffisait juste de regarder au bon endroit.

- Menez votre propre enquête, je retourne vers le temps si il n'y aurait pas des traces. On se retrouve ici ce soir.

Je rentra à l'intérieur (enfin ce qui restait de l'intérieur) je chercha parmi les décombres un indice possible. Je trouva exactement ce qu'il me fallait! Une planche encore intact était couverte d'une empreinte de main humaine. Brâkmar ne pouvait pas en être la cause, pas durant cette importante mission. Les mercenaires ne voudraient jamais détruire un temple, c'est un de leur seul refuge. Il reste Bonta. Pourquoi Bonta détruirait un temple? Il cherche quelque chose, c'est une évidence et nous savons ce qu'il cherche... En partie. Ils ont dû trouver quelque chose, aucune troupe ne sillonne les environs... J'espère ne pas regretter la décision que je vais prendre. Je retourna vers le lieu où nous nous étions séparés, je leur fit part de mes découvertes et hypothèses.

- Je crois que nous devrions allez vers les plaines, celles près des portes de Bonta. C'est un lieu dangereux, je sais, mais je crois qu'ils ont trouvés quelque chose d'intéressant, je ne sais pas encore de quoi il s'agit mais le surplus de troupes bontariennes ont commencé à quitter la région, nous devrions en découvrir l;a raison avant qu'ils passent les portes. Je propose que nous les poursuivions sans prendre de pause et que nous les attaquions de nuit une fois que nous les aurons atteints. Mais ce ne sont là que des suppositions, si vous avez trouver d'autres choses intéressantes qui peuvent contredire ma théorie je vous écoute.
Pourquoi Bonta attaquerait-elle un temple neutre qui aide ses disciples ? Ça ne parait pas logique. Certes, ils aidaient aussi Brakmar, mais ils avaient autant besoin de ce temple que nous...

Si c'est vraiment Bonta, pourquoi avoir brûlé un seul temple ? Et on connait bien Bonta, ils sont pas du genre à laisser des cibles aussi facile qu'un petit panda derrière eux...
Si c'est quand même elle, elle l'aurait fait pour ? Ralentir Brakmar ? Non, ça les ralentis aussi. Peut-être refusent-ils les panda maintenant, et ne veulent plus que Brakmar en ait dans leurs rangs... Non, c'est stupide...

Si c'est pas Bonta, alors il n'y a pas beaucoup de fou qui irait brulé un temple au risque de se retrouver avec les meilleurs hommes des deux cités sur le dos...
Mais il y a quand même plus de raisons...

Je préfère ne rien dire pour le moment, car je n'ai aucunes preuves, traces, empreintes de pas (on reconnaît très bien la forme des bottes de Bonta dans la boue)...

- Je crois que nous devrions allez vers les plaines, celles près des portes de Bonta.

A cette phrase, je sursaute.
-Rien que ça ? Ça grouille là-bas ! Et trois contre une armée entière, je le sens pas trop, m'voyer... Enfin, c'est la seule piste que l'on a pour le moment. Esperons juste que ce soit pas trop humide, on aura besoin de toutes nos compétences.

Après plusieurs jours de voyages sans trop de difficultés, l'herbe verte des plaines vint nous chatouiller les pieds.
Nous étions bien et bel arrivés aux plaine, l'odeur fraîche de l'herbe me parvenait, il y avait plusieurs créatures : Des craqueleurs des plaines, des blops, des biblops, des maître bolets... Mais aucun humain en vue.

- Habituellement, les gardent grouillent par ici, mais je ne voit aucun, il doit se passer quelque chose.

Il faisait déjà nuit, nous trouvâmes une grotte ou passer la nuit.

-Bon je crois que c'est la seule place ou nous pourrons passer la nuit, j'apporte du bois pour allumer un feu, vous vous cherche de quoi manger.

Je suis allé vers la forêt avec Pharor, j’aperçus un milimilou un peu loin, je m'avança et sauta sur lui, la pauvre créature mourût du premier coup, du sang coulait tout le long de ma main, je le lécha, coupa la tête de la créature et la porta que mon dos.

Pharor, lui est allé chasser un sanglier, de retour, nous avons mangé notre diner. et nous nous sommes endormis.

Le lendemain matin je me levait,mais je ne voyait que la faible lueur du feu presque éteint. Un grand mur remplaçait ce qui était sensé être la sortie. Pharor et Arkenge se réveillèrent.

- Mais qu'est ce qui se passe,
- La porte n'est plus là, je ne la vois pas.
- Je crois savoir se qui se passe, conclut arkenge, nous sommes dans la grotte d'Indaga, dans cette grotte, l'entrée et la sortie changent de place tout seuls, des monstres de tout le mode des 12 s'y trouvent, les sorts prennent une grande puissance pour être utilisés.

Nous étions maintenant pris au piège...
- Encore enfermé... Je sais pas pour vous, mais pour moi c'est du déjà vu. Mais bon, on peu se consoler sur une chose: C'est pas sous terre, donc c'est pas mouillé.

Au fond, même si le lieu n'était pas humide rien n'était gagné. Nous nous trouvions dans un endroit sombre d'une grandeur indéfini avec une sortie qui va où elle le souhaite. En plus, l'utilisation de pouvoir demande une grande énergie. Personnellement, je n'en serai pas vraiment affecté mais pour Arkenge ce sera différent... J'espère qu'il lui reste de l'énergie à dépenser!

- Bon, moi je propose qu'on explore les lieux. On se promènera sans lumière pour ne pas alerté les créatures, je ne tient pas à en voir une autre comme celle des souterrains. Faites attentions où vous mettez les pieds, ici la vue nous sera pas d'une grande utilité.

Nous commençâmes à marcher, surveillant le moindre mouvement. Mais si nous y pensions un peu, tout ça avait une logique. Une grotte avec toutes les créatures du mondes où les sorts sont épuisants à l'utilisation, où la vue est supprimée, où la sortie change de place... Non, c'est plus qu'un doute, pour moi cet endroit renferme quelque chose d'important. Un lieu si bien garder n'est pas là pour faire jolie... Mais la question était qu'est-ce qu'il gardait ou encore quel puissant monstre de se monde le surveillait? Cela ne va pas être une tâche aisé...

- Restez derrière, étant le plus résistant aux coups je passe devant.
-Je contrôle le temps et son espace. Les affectations spatio-temporelle sur mes pouvoirs n'ont que peu d'effet. C'est comme si mes pouvoirs ne se situaient pas dans ce monde. Je peut donc toujours contrôler le temps. En revanche pour mes pouvoirs élémentaires...
Je claque des doigts, et une simple petite étincelle apparaît au bout de mes doigts.
-... Autant ne pas compter dessus.
Je sort une dague de ma botte.
-Cette grotte risque d'être intéressante, et seul de puissant mages ou alchimistes peuvent constituer des espaces pareils. J'ai entendu dire qu'Otomaï bossait pour Bonta ces derniers temps. Je pense qu'on peut en effet tomber sur n'importe quel monstre ici...

On avance dans la grotte, prudemment, ne sachant pas vraiment ce qui peut nous attaquer.
Soudain, un grognement se fait entendre. Au loin, on aperçoit plusieurs craquelleur. Quatre pour être exact.
-Round 1, dis-je en tapant dans mes mains, accélérant ma vitesse.
Je court vers un corailleur, qui, en m'apercevant, me balance un gigantesque coup de poing. Juste avant qu'il ne m'atteigne, je balance une fuite, disparaissant de son champ de vision.
Je réapparaît derrière lui, glissant sur les genoux. Je passe à coté de lui, lui plantant ma dague dans la jambe. Alors qu'il tombe, je disparaît pour réapparaitre au dessus de sa tête. Je génère une boule de feu dans ma mains, qui s'éteint instantanément. J'aurais au moins essayer. Alors qu'il me jette une pierre, je jette une autre fuite, pour réapparaître devant ses yeux. D'un coup de dague, je lui plante dans l'œil, avant de la tourner d'un coup sec. Il meurt instantanément.
-Ahah, et de un !
3 autres craqueleurs, ça en finira jamais ?
Je sortit mon sabre et fonça vers les monstres, je me cognai soudain contre un mur, les trois craqueleurs se sont transformés en trois petites boules. Elles nous illuminait la voie.
-C'est quoi ça?

-Une pierre qui sort d'un craqueleur? je me demande à quoi ça sert.

-Pour l'instant c'est notre seule chance pour bien voir, chacun prend une.
Nous continuâmes notre route mieux éclairés. jusqu'au moment où 3 routes paraissent.
- Et maintenant on fait quoi ?
- Chacun va de son côté
- Se séparé? Tu es sûr que c'est une bonne idée? Enfin, fait comme tu veux... J'aimerais vérifier quelque chose de toute façon. Je prends celui de gauche. Le dernier sorti paye une tournée à la taverne du Chabrûlé! Dernière chose, si jamais vous venez à mourir... Je prends toutes vos choses. Salut!

Je n'attendis qu'ils répliquent que je parti déjà au pas de course sur mon chemin. Comme ça, ils ne traîneront pas! Mais bon, je devais penser à moi-même pour le moment... Je m'arrêtai un instant, je sentais sous mes pieds plusieurs bosses. J'amenai la pierre lumineuse près du sol. Des traces de pas. Plusieurs traces de pas. Vu les empreintes je dirais qu'il s'agit d'un escadron bontarien. Vu le nombre de traces ils sont plus de 60. Ils ont dû être paniqués, les traces vont dans tous les sens! Ils seraient donc passés par ici eux aussi... Je devrai faire plus attention désormais.

Je continuai d'avancer, au fur et à mesure que j'allais le chemin commençait à descendre. Par maladresse, je trébuchai sur quelque chose de dur et dégringola la pente qui devenait de plus en plus abrupte. Ma dégringolade s'arrêta brusquement sur le sol dur et froid recouvert d'espèces de pierres blanches... Des pierres blanches? Je ramenai ma source de lumière proche et je constatai avec effrois qu'il s'agissait d'os humains. Je me relevai et avec mes pouvoirs j'augmentai l'intensité de la lumière. J'étais dans une grande pièce circulaire remplie d'os humains et quelques armes et armures.

- On dirait que j'ai trouvé l'escadron bontarien...

Les os se mirent à trembler. Un tremblement de terre? Non sinon je tremblerais moi aussi... Je voulus attraper un os, mais celui-ci s'éloigna et... S'assembla à d'autres? Des chafers. Je ne fais pas 30 minutes de marche que je me retrouve face à une petite armée de chafers équipés prêt à me tuer. Je m'appuyai sur un mur de la pièce, les chafers eux firent un demi-cercle. J'accrochai la pierre lumineuse à mon cou et je dégainai mes lames résolu à trouver le secret de cette grotte et sortir d'ici.

- On dirait que mourir une fois ne vous a pas suffit, mais ne craignez rien je vais arranger ça!
J'avais choisi le chemin du milieu, je marchait depuis plus de 30 minutes, rien à l'horizon.
- Hé, Sapro, tu aurais un idée de l'endroit où nous allons atterrir, je sens que je tourne en rond.
- Je n'est aucune idée, répliqua-t-il, tu sais, ici les routes sont vraiment très ...
C'est un ce moment où je marcha sur une flaque d'eau, qui grandissait, grandissait, grandissait...
C'est alors une silhouette de deux mètre de long, apparut, elle était composée d'eau, seulement d'eau.
Je lui donna un coup de poing, la seule que j'ai réussi a faire, c'est de me faire mal, ma main traversa la créature et se cogna contre le mur.
- C'est quoi cette chose.
- C'est un bullituneur, créature du monde de rushu, il l'a créé pour traquer les aventuriers. Je me demande ce qu'elle fait ici.
La créature me donna un coup de poing qui m'envoya vers un rocher, sa forcé était phénoménale.
- Pas besoin d'essayer de le tuer, je ne pourrais pas.
- Y aurait-il une façon de le tuer.
- Je crois que ...
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