L'orthobiologie somatidienne est une nouvelle vision, une nouvelle façon d'expliquer les phénomènes de la matière vivante en prenant en considération l'existence cruciale d'une très petite particule vivante présente dans le sang : la somatide. Elle règle toutes les fonctions biologiques de base telles la division et la réparation cellulaires, deux mécanismes fondamentaux dans le maintien de la Vie.
L'observation de la somatide n'est possible qu'en milieu liquide; c'est la raison pour laquelle le microscope électronique ne peut détecter cette particule. Cet instrument, bien que plus puissant en termes de grossissement et de résolution, exige la déshydratation du spécimen en observation (le spécimen observé est mort).
La somatide n'est donc pas observable avec cet instrument moderne de recherche, le seul utilisé de nos jours. Le microscope optique a été supplanté par le microscope électronique dans les années 50. Il a souvent été considéré comme démodé. Mais il peut, même de nos jours, apporter une contribution extraordinaire à la recherche fondamentale en biologie. Observer la matière vivante, c'est mieux comprendre la Vie.
L'expression «orthobiologie somatidienne» signifie l'étude de la Vie adaptée à la présence d'une particule appelée : somatide. Si on décompose cette expression :
«Orthobiologie» provient de la racine grecque «ortho» signifiant la remise dans le droit chemin, et «bios-logos» l'étude de la Vie.
«somatidienne» provient de la racine grecque «soma» signifiant le corps, et «tidos» celui qui crée (la somatide étant celle qui crée le corps).
L'orthobiologie somatidienne, théorie biologique proposée par Gaston Naessens au début des années 60, a été élaborée à la suite d'événements interreliés. Depuis, les applications de cette théorie ne cessent de se rajouter. Regardons les événements marquants ayant conduit à cette nouvelle théorie en biologie fondamentale.
Le personnage : Gaston Naessens, chercheur biologiste intéressé à l'hématologie, possède des aptitudes en construction, en mécanique et en optique.
Il a d'abord fabriqué un instrument optique spécial et unique : le somatoscope (30 000X, avec un pouvoir de résolution de l'ordre de 150 Angströms) capable d'observer la matière vivante non colorée.
Ses observations à l'aide du somatoscope ont entraîné la découverte d'une nouvelle particule dans le sang frais humain, nommée beaucoup plus tard la somatide.
L'extraction et la mise en culture de cette nouvelle particule ont confirmé la nature vivante de cette dernière. La somatide est d'abord extraite du sang et placée dans un milieu de croissance idéale. L'étude approfondie de cette particule isolée démontre la présence d'un cycle de croissance propre à la somatide (la théorie somatidienne).
La démonstration du cycle de croissance de cette particule vivante en culture mise en corrélation avec le sang frais de personnes diagnostiquées normales (en santé) et pathologiques (malades) a révélé un cycle somatidien spécifique au sang humain.
Deux applications particulières découlent de la théorie somatidienne dans le domaine de la santé :
1) Le test de sang Naessens, un test préventif des maladies dégénératives (protocole rigoureux de prélèvements, d'analyses et d'interprétations du sang frais).
2) Le 714X, un produit de santé restaurateur et normalisant du cycle somatidien anormalement emballé et hors de contrôle.
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