Est-ce que tu as l'impression que c'est plus présent sur SL que sur Facebook ou Twitter?
J'ai quand même l'impression de voir moins de "haters" sur SL que sur ces réseaux sociaux.
Bien entendu, comme l'a bien dit Moon, cela dépend aussi des lieux que tu visites sur SL. Mais sur FB tu dois presque subir les haineux, les trolls, etc.. (à moins de rendre totalement privé son compte). Je ressens moins cela sur SL.
Pour les problèmes sur SL, j'ai l'impression que plus un lieu francophone se limite (s'oblige presque) aux francophones, plus les crises ont des chances d'apparaître à moyen terme. Ce n'est qu'une impression. Mais elle semble être partagée par d'autres francophones. (attention, je ne dis pas que cela n'existe pas chez d'autres, mais il y a, on dirait, comme une malédiction francophone quand elle se limite à elle-même

)
Belle journée (ou soirée)
Chloé
Cela existe chez les "étrangers"

. Ceux que je connaissent ne fréquentent plus uniquement leur communauté.
Ca me fait penser à ceux qui sont enfermés dans un loft et filmé H24 (pour la téloche) ça part toujours en vrille. Ouvrir la porte vers l'extérieur, ça donne une bouffée d'air frais.
Pour ce qui est des forums..... ou d'autres lieux d'échanges (derrière l'écran), du moment où y'a débat, idée différente, forcement, ça créé des tensions.
Et puis, on n'a pas la personne en face, on n'est pas dans l'échange direct. C'est une partie de ping-pong orale à retardement. On aurait la ou les personnes en face, on adapterait peut-être mieux ce qu'on a à dire. Finalement ici (ou ailleurs) on parle un peu dans le vide.
On se fait un monologue que les autres liront.
C'est du vite fait, du vite écrit, du vite partagé. On n'a pas le temps de débattre en prenant un café, en prenant le temps de répondre à l'interlocuteur s'il nous interrompt pour poser une question......
Du coup, c'est lâché tel quel et chacun le prend comme il veut.
On ne peut pas s'adapter à tous les lecteurs, vu qu'ils sont différents.
On n'a pas le temps non plus, je pense, de ménager toutes les susceptibilités.
On n'a pas une vie facile