[Serveur Angelus]

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Pour l'avoir eu un temps ce fofo Ogri je pense qu'il a été delete quand (je sais plus comment il s'appelait) n'a pas reconduit son .com

C'était un truc comme cercledesarcanesnoires.com mais c'est devenu un autre site... enfin c'est vieux tout ça
Citation :
Publié par Bradak
Ca m'a fait plaisir de relire toutes les disputes des amigos sur ce fil
Surtout qu'il n'y en aura pas beaucoup d'autres à mon avis.
Citation :
Publié par Khal Brown
Quelqu'un aurait le lien du forum de chéplusqui crée à l'occasion de la sortie de wow ?

(rufy-o et hot stuff -alias neylh- en duo en exclusivité ici )
Non je ne chante pas ce truc.

La sinon j'écoute jean paul khung : je me donne.
Citation :
Publié par Torgan/Baeland
Il y avait quelques thread de toute beauté sur les forums Pole mais qui malheureusement ont disparu du jour au lendemain. Je me rappelle celui racontant les frasques de Khalkhung à la recherche du menhir chez les lebrun et les Teileir.
Oui.
Citation :
Publié par Razoumikhine
Yo!
Salut vieux.
Message roleplay
Ha Ha !
Pfffiouuu.

Ca sent la poussière ici et il semble possible que l'archéologie a de beaux jours devant elle.

Je vais tenter de ranimer tout cela dans l'indifférence totale et généralisée qui est monnaie courante pour les choses passées de mode et nostalgiques.

Bref mon génie incomparable de l'écriture avait octroyé à la plèbe polienne et plus particulièrement celle d'Angelus une pièce de théâtre. Oui ! Parfaitement ! Il n'y a pas que ce gros guerrier de Gouliakine barbu (ou pas, chameau !) qui était capable de génie créatif.

Les autres ? Comment ça, quels autres ? Ah ceux qui ont oeuvré dans l'ombre pour la gloire et la flamboyance d'Angelus. Je ne sais pas, je ne les ai pas côtoyé, à la limite une vieille barde liftée (qui ne passe jamais sur Jol, tant pis pour elle) qui pensait avoir du talent pour la poésie, qu'on me laisse rire et m'esclaffer ! Quantitatif oui, qualitatif je resterais de marbre afin de ne pas froisser les sensibles "artistes".

Bref trêve de blabla inutile, l'envie de vous faire partager mon OEUVRE, que dis-je, ma lumière divine, la béatitude extrême, le bonheur salvateur, est bien présente.

Mais mon ego surdimensionné ne résiste pas au fait de possibles sollicitions dont vous ferez preuve -je n'en doute pas un instant- et quand bien même en l'absence de réponse d'ici quelques jours et oui, il vous faudra bien tout ce temps à vous les jeunes devenus sages et vieux, où la période de l'adolescence s'est évanouie comme neige au soleil, on ne vous tutoie plus dans la rue, on vous appelle monsieur !

Je suis sur mon piédestal à attendre la vindicte populaire ou la liesse peu m'importe, je regarde d'en haut toute cette agitation du monde moderne qui passe d'une mode à une autre encore plus vite que la lumière du soleil atteignant notre chère planète.
Nsileal Nsileal

Bon sang pourtant je connaissais tout le monde sur Angelus, par coeur, je comprends pas qui ça pouvait être ça, pffff.

Auteur de pièces de théâtre hmmpf ça a pas dû faire un gros succès ahah

je rigole mais qui c'était, j'ai beau réfléchir et réfléchir, je vois vraiment pas....

enfin pose là ta pièce, on est bon public quand même, tu sais !
Citation :
Publié par Secly
Ca sent le rire forcé. Un souci à admettre que la majorité des Angélusiens se souviennent du pj Lino et surtout aient pu lui trouver la/classe ? C'est sur, c'est pas donné à tout le monde de ne pas avoir un perso totalement transparent. Allez, ça ira.
Pour moi, Lino était l'angélusien le plus actif, c'est indéniable. Les conséquences de son RP sur le serveur étaient très importantes, même si ses relations très HRP avec quelques ogris ont parfois un peu terni sa productivité.

En tout cas, dans mon cas personnel, la faction ogrimarienne (sous sa direction) est la seule (avec les gluglus) a avoir tenté de foutre la merde dans mes propres projets et m'a proposé des tas d'interactions, d'abord avec la Legion, mais surtout par la suite, à Lighthaven. Il me semble que Lino faisait tout pour impliquer le camp ogrimarien dans toutes les embrouilles du serveur (avec quelques dérives PVP limites mais marrantes), et pour cela, nous lui sommes tous redevables.
Bah sa pièce de théâtre Nsileal était censée la faire jouer dans la taverne de LH, mais ce bon gros lâche de Nsileal est jamais arrivé au bout de son projet (d'ailleurs uniquement fomenté pour faire de la concurrence a Helianthe, son ennemie intime, que Nsi déteste tellement qu'il ne le cite même pas et ne l'évoque que par paraphrase).
allons allons un peu d'indulgence, les rivalités entre femmes c'est bien naturel voyons.

d'ailleurs cette Hélianthe, si j'ai bonne mémoire, c'était une vraie harpie, et bien prétentieuse en plus, cette douce Nsileal on ne peut pas lui en vouloir de tenter de se faire une place au soleil des années après l'oppression.

Vas y pose ta pièce, quoi, on est tout yeux, on s'occupe que de toi !
Message hors-roleplay
Citation :
Publié par LaGoulve
Pour moi, Lino était l'angélusien le plus actif, c'est indéniable. Les conséquences de son RP sur le serveur étaient très importantes, même si ses relations très HRP avec quelques ogris ont parfois un peu terni sa productivité.
C'est à peu près l'idée, mais je suis plus intransigeant dirait-on. Enfin c'est le/passé.
Citation :
Publié par Torgan/Baeland
C'est surtout que t'es allé faire le consanguin pendant 2 ans sur Mémoria (olé).
C'est vrai que j'y ai côtoyé beaucoup de moins que rien dans ton genre ce qui ne m'a pas laissé une bonne image d'eux, mais avec le temps je suis passé à autre chose finalement, bien qu'eux ne me rapportent pas encore d'argent contrairement à toi mon chien de cirque, tsdb.
Recadrons un peu le débat : chose promise, chose due. Vos commentaires sont vaillamment attendus !
Acte 1
Citation :
Nous allons vous conter aujourd’hui, l’histoire de deux vieux amis, en quête de gloire. Mais entrons dans le vif du sujet, Custaod un vieux guerrier pénètre dans une taverne pour y rejoindre son vieil ami Ferel.

Custaod : *met un certain temps à repérer son acolyte, tant l’obscurité contraste avec le soleil de dehors*
Ferel : *au comptoir, semble complètement hypnotiser devant son verre d’alcool encore plein*
F : *silhouette recroquevillée sur lui-même. Semblant s’endormir*
C : *sourit en reconnaissant la position typique de son vieil ami, toujours à l’écoute de tout ce qui peut se passer autour de lui. Il entend déjà sa fameuse phrase : « Mon ami, bien des détails nous échappent chaque jour qui passe. Un mot, une situation, une intonation de voix recèle parfois de bien plus d’indices qu’une carte au trésor. »*
C : *s’approche donc à vive allure de celui-ci entrant dans son jeu, avec une tape amicale*
C : Alors vieille branche encore en train de cuver !?
F : *grommelant* Oui, oui si tu le dis ! *yeux pétillant de sagacité*
C : Allez viens donc t’asseoir à une table plus confortable ! *hélant l’aubergiste* Deux pintes de ta meilleure bière l’ami !
F : *se dirige à pas lent vers la table, une main emportant le verre, l’autre son bâton pour s’appuyer dessus, durant sa courte marche*
C : *accueille la venue des bières avec un sourire large, trinque avec son ami*
C : A ta santé mon vieux !
F : A la tienne vieux pic !
C : *avale en quelques gorgées la pinte, s’essuie les lèvres avec le revers de sa manche, et exulte un râle de satisfaction* Rhaaaaa ! Voilà ce que j’appelle une rasade !!
F : * sourit après s’être légèrement humectée les lèvres*
C : *se penche un peu plus vers Ferel, et lui chuchote* Voilà j’ai une nouvelle forte intéressante à te conter !
F : *écarquille les yeux autant que ses oreilles*
C : Tu sais mon neveu Cleudiri qui est dans la garde, m’en a appris un peu plus sur cette histoire de parchemin en Slo Deria.
F : Ah oui ! Le fameux parchemin magique et mystérieux que le royaume recherche contre monnaie sonnante et trébuchante. *se frotte le menton*
C : Oui, celui-là même ! Et bien figures toi, qu’il semble être gardé par un puissant guerrier mage, aussi habile dans le maniement de l’arme que des sorts !
F : Voilà qui est fort précieux, mieux vaut connaître son adversaire pour l’affronter sans trop de faiblesse.
C : *mine satisfaite* Oui et je savais bien que cela te plairait !
F : Et bien à mon tour. Ma petite enquête sur la chose, m’a permis de savoir que ce parchemin magique ne révèle ses informations que sous la lumière de la lune.
C : *jubile* Un précieux indice que voici mon ami. Est-ce à dire qu’il nous faudra le chercher un soir de pleine lune ? Quand partons-nous ? Demain à l’aube ?
F : Non, il nous faut faire quelques préparatifs pour cette expédition. Dans deux jours, je dirais.
C : Soit ! J’ai hâte d’y être déjà !
F : Le danger est toujours plus rapide que la précipitation.
C : Et la réflexion plus lente qu’un coup d’épée !!
F : *sourit* Très bien, à dans deux jours devant l’auberge.
Acte 2
Citation :
Voici donc nos deux compères sur la route, en se remémorant leurs nombreux souvenirs en communs durant leur marche vers la gloire.

C : Ca ne te rappelle point cette vieille expédition contre les gobelins ?
F : Celle qui au fil de ta lame, trucidait à tour de bras dans la vallée ?
C : Non, non dans la vallée c’était contre des loups affamés !
F : Non. Les loups cela s’est produit dans la forêt qui était sans fin.
C : Tu te trompes mon ami, voyons ! Ta mémoire flancherait-elle ? *rit de bon cœur*
F : Ah mais il suffit de tes fausses accusations c’est toi qui oublie !
C : Ah oui ? Et qui t’as plusieurs fois sauvé la vie ?
F : *grommelle*Omettre avec tes remarques sempiternelles ?

Les deux hommes stoppent leur marche pour s’invectiver.

C : *sort la lame de son fourreau*
F : *brandit son bâton en hauteur*
C : Ma fidèle compagne a bien plus de reconnaissance !
F : Il en serait tout autre si elle avait plus d’intelligence.
C : Coquin de saltimbanque !
F : Butor de canaille !
C : Sorcier de pacotille !
F : Cruche métallique !

Soudain, des fourrés surgissent plusieurs gobelins. Les deux hommes se retournent pour leur faire face.

C : Rah !!!! Qui nous dérange durant notre conversation ?!
F : Venez là mécréants ! Goûtez de notre colère !

Durant l’affrontement des bribes de parole éclipsent le brouhaha du combat.

C : *transperce un gobelin* Et là ce ne sera pas avec mon épée, contre des gobelins ?
F : *gèle son adversaire* En tout cas pas dans la vallée, mais à l’orée d’un chemin.
C : *évite une charge* Plus facile à l’esprit de se souvenir sur une route déjà tracée ?
F : *givre une autre cible* De nous tous leur sort n’est plus à envier.

Et subitement comme par magie des gobelins s’effondrent au sol.

C : Mais quel est donc ce sortilège ?!! Ils tombent avec perte et fracas.
F : Restons sur nos gardes, que cet artifice ne nous atteigne pas !

Dans le feu de l’action les deux hommes ne se doutent pas que le prodige est dû à une pluie de flèches, et ne s’en aperçoivent qu’une fois tous les ennemis à terre.

C : Je vois, un archer nous fait don de son habileté !
F : Oui, il nous ferait honneur à se montrer.

Une silhouette se détache des fourrés, pour faire place à une ombre féminine. L’archère rit !

Libeha : Quel singulier spectacle ? Deux vieillards en rase campagne !
F :*bougonne*
C : Oui deux vieillards qui vous doivent une fière chandelle !
L : Alors qu’avons-nous là ? Un vieux mage tout rabougri …
C : Je m’oppose Dame, il n’est pas tout rabougri mais petit !
L : Et de l’autre, une carcasse rouillée terne sous le soleil !
F : Erreur c’est son épée qui fait des étincelles.
L : Et que font deux pauvres vieux sur un chemin si éloigné ?
C : Nous sommes en quête de gloire, à la recherche …
F : *le coupe* D’un peu de vérité sur nos qualités.
L : Ha oui ? Et ce ne serait pas plutôt pour savoir où un parchemin est caché ?
C : Vous le recherchez aussi ?
F : *regard réprobateur* Nous ne recherchons rien de tout cela.
L : *sourit à Ferel* Et bien pour atteindre Slo Deria, il vous faudra d’un peu d’appui.
C : Nous sommes une petite faction, avec en effet peu de soldats.
F : Je ne vois pas pourquoi, nous aurions besoin d’une aide.
L : Soit ne l’avouez pas, disons que vous me payez comme escorte, je connais bien cette région.
C : *regarde son ami* Mon cher, je crois qu’elle a raison.
F : Il semble que l’on décide sans moi, comme d’habitude.
C : A la bonne heure ! Un trio pour un triomphe !
L : Bien alors mettons nous en route, le soleil se couche.
F : Oui, trouvons de quoi dormir qu’au milieu de ses cadavres.
Acte 3
Citation :
Lebahi connaissait en effet parfaitement les environs, et avait ainsi permit au trio d’avancer sans encombres. Ferel devant se rendre à l’évidence, que cette archère avait bien des qualités. Les voici donc un soir à leur campement temporaire, autour du feu mangeant frugalement leur ration.
Libeha : Cela fait plusieurs mois que beaucoup d’aventuriers se dirigent vers le désert de Slo Deria, pour ce fameux parchemin.
Custaod : En effet, le roi a promis cette récompense, il y a près d’une année maintenant.
Ferel : D’ailleurs cette nouvelle récompense fait suite aux échecs de chacune des expéditions précédentes
L : Pour celui qui ne connaît pas ce désert, il est facile de s’y perdre.
F : Et jusqu’où comptez-vous nous guider ? Enfin si cela ne vous dérange pas.
L : La récompense pour ce parchemin se monte à combien ?
C : Une somme rondelette ma foi, notre poids en or.
L : Et bien autant y aller avec une armée alors ?
F : Si cela était vraiment utile, le parchemin serait déjà acquis.
C : Comme aucune des armées n’est revenue de cet endroit, c’est que celles-ci sont inefficaces.
L : Je crois pouvoir comprendre, une rumeur circule quand à un sortilège très puissant, rendant fou tout ceux s’aventurant dans cet endroit.
F : Alors, plus nous perdrons notre raison, plus nous serons proches du but.
C : Ah saleté de magie ! *se lève et sort son arme* Si au moins un bon coup d’estoc pouvait estomper ces effets !
L : Il semblerait surtout que cela soit du à un air vicié.
F : Des couloirs à l’air empoisonné, il nous faudra faire de l’apnée à certains passages peut être.
C : Pourquoi ne pas creuser un tunnel pendant que nous y sommes !! *mime avec un large sourire*
L : Un peu long peut être ?
C : *se rasseyant* Oui, oui bon c’était pour rire.
F : Et bien je confectionnerai des masques spéciaux.
L : De toute manière certains racontent qu’ils s'entretuent soudainement sans raison apparente.
F : *se frottant le menton* Oui, oui une bonne tactique de l’ennemi, diviser pour mieux régner.
C : *optimiste* Que voilà une tâche simple pour nous alors !?
L : Si des armées n’en sont pas revenues, vous n’aurez peut être pas autant de chance.
C : Bien plus que vous ne le pensez ma chère ! Notre amitié entre Ferel et moi à déjà déjoué bien des sorts.
F : Il est vrai que notre complémentarité et solidarité nous a bien souvent sorti de l’embarras.
C : Oui et ce sortilège n’aura sur nous que peu d’effet !
L : Et bien vous voilà bien optimiste ma foi !
F : Nous nous sommes préparés pour cela, depuis un long moment.
L : Et bien si j’obtiens mon poids en or. Pourquoi ne pas tenter totalement l’aventure avec vous.
C : Oui ! Oui ! Suivez-nous jusqu’au final ! Nous vous promettons action, mystère et rigolade !
L : Il est vrai qu’avec une telle compagnie, au devant de tels dangers il ne peut y avoir que de l’intrigue ! *sourit*
F : Oui, oui, cela prends forme, un trio pour un parchemin sous la lune, protéger par un guerrier mage s’aidant d’un sortilège puissant.
C : *se lève l’arme au poing, et d’une voix forte* L’aventure nous attends les bras grands ouverts !!
L : Malheureusement avant il nous faut dormir pour être frais et disponible pour la route.
F : Oui, bonne nuit à vous deux. Je vais prendre le premier quart.
C : *se couchant* Bonne veille mon ami, tu me réveilleras en second.
F : Entendu.
L : Et bien bonne nuit alors.

Le trio redevient donc silencieux, jusqu’au petit matin d’une nuit sans heurts.
Acte 4
Citation :
Après quelques jours de marche dans l’erg de Slo Deria, le dernier réveil des trois comparses s’effectue en une ultime vérification de leur matériel, l’archère vérifiant si son arc est correctement bandé et l’empennage de ses flèches, le magicien méditant pour recouvrer toutes ses facultés au moment opportun, le guerrier effilant sa lame et vérifiant les jointures de son armure. Ils se mettent en route une fois leurs préparatifs terminés. Et en fin d’après-midi arrive au terme de leur voyage, se retrouvant face à une l’entrée d’une caverne souterraine en plein désert.

Le petit groupe pénètre donc avec prudence dans l’antre de leur adversaire.

Custaod : Bien je passe en premier, vous deux rester à distance respectable vous serez plus efficace derrière moi.
Ferel : Entendu mais ne nous perdons pas de vue. Et prenons tous les couloirs de gauche pour ne pas nous perdre.
Libeha : Oui entrons précautionneusement. Notre cohésion sera la base de notre réussite.
C : *allume une torche dans une main, de l’autre sort l’épée de son fourreau, avance prudemment et murmure* Viens parchemin montre nous ton petit minois.
F : *incante quelques mots, et une lumière magique irradie de son bâton* Bien voilà qui devrait suffire.

Après quelques heures de marche nos compagnons se retrouvant devant un cul de sac.

C : Maudit labyrinthe ! Où Aller ? Nous avons fait tous les couloirs !
F : Oui étrange, il va nous falloir recommencé pour voir si nous n’aurions pas oublié quelque chose en chemin.
L : Il me semble qu’il y a trois croisements, au niveau de la large salle, nos fouilles n’ont pas été suffisantes.
C : Que de temps perdu ! Retroussons chemin là bas donc ! *se met en marche*
F : Peut être que nous devrions examiner plus attentivement les murs de cette salle.
L : Nous n’avons pas grand choix dorénavant.
C : *arrivant dans la fameuse salle* Bien nous y voici, voyons voir. *tapote avec son pommeau un pan de mur*
L : Je fouille les décombres, voir si quelque chose nous aiderait.
F : *Inspecte des statues, et machinalement regarde si elles ne possèdent pas un mécanisme*
F : Je crois bien avoir trouvé quelque chose !

Les deux autres se rapprochent de Ferel.

C : Quoi ?! Qu’y a-t-il donc ?
F : Le sceptre de cette statue semble pivoter.
C : Et bien ! Pivotons-le !
L : Il faudrait voir à ne pas non plus déclencher un piège.
F : Je vous en prie Lebiha, regardez ce que vous pouvez y faire.
L : Je vais d’abord voir si le mécanisme est en état de fonctionner. J’aviserai ensuite.

Les deux hommes attendent donc qu’elle finisse avec le mécanisme en question.

C : *fulmine* Diablerie de mages ! Sans t’offenser mon ami. *en regardant Ferel*
F : *sourire contrit*
C : Faire garder ses salles par des systèmes cachés, alors qu’un bon guerrier est bien plus efficace !
L : Le mécanisme ne se repose jamais lui.
C : C’est bien notre problème.
L : *rejoint le duo* Bien je ne pense pas que ce soit un piège.
F : Pourquoi cela ?
L : Et bien, il n’y a qu’un seul mécanisme qu’il possède un certain jeu à la base, ce qui laisse supposer qu’il est souvent utilisé, ce qui ne serait pas le cas d’un piège.
C : Bien je vais l’actionner moi !
F : Soit, mais soyons sur nos garde alors.
C : Entendu, mettez-vous donc à couvert on ne sait jamais.
L : *sort son arc et le bande d’une flèche* Prête.
F : *concentré* Prêt aussi !
C : *fait pivoter le sceptre*

Un bruit de mécanisme se fait alors entendre dans la salle, un pan de mur à côté de la statue s’efface pour faire place à un couloir.

F : Bien, je crois que nous approchons du but, nous devrions mettre nos casques pour plus de sûreté.
C : *s’exécute*
L : *place correctement le masque sur son visage*

En pénétrant de nouveau dans un dédale de couloirs chacun savait qu’ils étaient sur la bonne piste.

C : Plus on se rapproche, plus il y a de cadavres.
F : *petit air de dégoût* Oui nous devons être dans la bonne direction.
L : Nous sommes sûrement proche du but en effet.
C : *arrivant à une double porte fermée* Il semble que des volutes de fumée s’échappent de la pièce.
F : Fixez bien vos masques, sûrement le sortilège.
L : Bien le dénouement approche donc.
C : Placez-vous de ce côté, je vais ouvrir.
F : *se place aux côtés de Lebahi, tout en murmurant quelques mots pour préparer un sort*
L : *bande son arc prête à décocher ses flèches*
C : *Ouvre la porte prudemment, après un rapide coup d’œil*

Une vague de fumée verdâtre, s’échappe abondamment de l’ouverture, emplissant le couloir d’une ambiance irréelle.

C : *attends que la fumée ne soit plus qu’à ses pieds, s’avance dans l’ouverture*
C : *sans se retourner vers les autres* C’est une grande salle.
F : *s’avance à son tour prudemment*
L : *suis derrière*
Acte 5
Citation :
Notre trio se trouve en effet dans une immense pièce. La fumée verdâtre semble recouvrir toute la surface, telle de la brume. Ils s’avancent donc prudemment, les masques de Ferel semblant faire leur office de protection. Divers décombres jonchent le sol, donnant un aspect irréaliste à la salle, des meubles, des bibliothèques mais aussi une multitude de corps inertes encombrent donc la vue de chacun la réduisant à faible portée.

F : *tenant fermement son bâton des deux mains, scrute devant lui* Il ne reste plus qu’à trouver ce guerrier mage.
C : Tu as raison, en tout cas tes masques semblent efficaces ou alors ce magicien n’est plus tout jeune.
L : Attendons de voir si c’est bien le cas, c’est presque trop silencieux.
F : Oui l’atmosphère est pesante.
C : *apercevant une silhouette* Là ! Sur la droite ! Prenez le à revers. *se lance à la poursuite de l’ombre*
L : *contourne les bibliothèques attendant la cible dans leur piège tendu*
F : *prenant du retard dans la course, reprends son souffle à mi-chemin*
F : *tournant la tête sur sa gauche, aperçoit une femme drapée d’une robe noire à la fine silhouette*
Femme mystérieuse : *s’avance sur Ferel, tranquille, les mains dans le dos*
F : *crie* Elle est là !
Femme : *voie neutre* Voyons mon ami, je ne suis qu’une victime.
F : *lui envoie un rayon de glace*
Femme : *du bras gauche armé d’un bâton envoie en même temps une attaque par le feu*
F : *encaisse le coup à l’épaule, mais manque de trébucher sous le choc*
Femme : *blessé au bras gauche, lâche son bâton, et en s’avançant son autre bras révèle une épée, qui frappe mortellement son ennemi*
F : *tombe sous la violence du coup*
Femme : *s’éloigne rapidement, entendant Custaod*
C : *arrive en courant vers son ami à terre* Ferel est-ce que ça va ?
F : *parle d’une voix faible* Elle a filé, par là bas … je l’ai touché … elle n’a plus son bâton … mais je crois … que j’ai mon compte mon ami …
C : Ne dis pas de bêtises, tu t’en remettras !
L : *arrive à son tour sur les lieux*
F : *enlève sa main au niveau de sa poitrine* Elle tenait une épée … dans l’autre main … j’ai été surpris.
C : *ses yeux rougissent de peine*
F : *parlant péniblement* Je vais … rendre mon dernier … souffle, heureux … de t’avoir … connu …
C : *regarde impuissant son ami rendre l’âme*
F : *tousse un dernier crachat et tombe inanimé*
C : *passe sa main sur le visage de son ami, lui fermant les paupières* Repose en paix, mon fidèle compagnon.
L : *la gorge serré, ne dit mot*
C : *se relève et jette son masque de rage en hurlant* Qui que tu sois ! Ta dernière heure a sonné !
L : Custaod ton masque.
C : *sans se retourner* Inutile, maintenant.
L : Que comptes-tu faire alors ?
C : *tout en courant en direction de la femme* Embrocher cette bonimenteuse, coûte que coûte !
L : *reste un moment interdite devant la situation, Ferel étendu et mort, Custaod courant vers sa destinée*

L’avance de Custaod est néanmoins suffisante pour que Libeha ne le rattrape pas. Mais la blessure de la femme en noire laisse quelques traces de sang au sol, rendant la chasse moins ardue. Custaod est donc le premier sur l’ennemi !

C : *repérant la fine silhouette* Mon ami ne sera pas mort en vain.
Femme : *se retourne et lui fait volte face* Cela reste encore à me le démontrer.
C : *se lance à l’assaut de son ennemi*
Femme : *bien campée sur sa position, s’apprête à la lutte*
C : *enragé entame un violent coup de côté*
Femme : *comprenant la violence du coup accompagne le mouvement dans une manœuvre d’évitement*
C : *se retrouve l’épée presque au sol, épuisé par la poursuite et le premier coup porté, évité par la femme*
Femme : *face à elle, le vieillard au flanc exposé, lui assène un coup dans les côtes*
C : *tombe à terre, littéralement soufflé par le coup, une plaie béante aux côtes*
Femme : Je croyais que tu allais me régler mon compte ? *sourire narquois*
C :*haletant* Je n’ai pas encore dit mon dernier mot !
Femme : Maintenant si ! *lève le bras pour le coup de grâce*
Femme : *un sifflement se fait entendre, stoppant net son mouvement, une flèche fichée dans son épaule valide*
C : Hé hé, je crois avoir la force pour en finir maintenant *se relève et dans un dernier effort plante son épée en plein cœur de son ennemi*
Femme : *pousse un râle de douleur* Maudit vieillard !!! *tombe sans un souffle*
L : Son compte est bon.
C : Le mien aussi.
L : *regarde la blessure et fait une grimace*
C : Il doit me rester suffisamment de force pour rejoindre mon vieil ami.
L : Appuie toi sur mon épaule.
C : *s’exécute* Merci. Ferel ne partira pas seul ce soir.
L : *tout en soutenant Custaod* Je ne peux décemment pas vous laisser ici tous les deux.
C : C’est notre tombeau, la dernière gloire de notre épopée.
L : Il est des endroits plus reluisants.
C : L’aventurier qui meurt en pleine quête participe à sa légende.
L : Encore faut-il quelqu’un pour conter l’histoire.
C : *arrivant près de Ferel, la regarde les yeux brillants* Une survivante s’en chargera.
L : *l’aide à s’installer* Et pour raconter quoi ? Perdre ses compagnons un à un.
C : En récupérant le fameux parchemin … celui qui se révèle en pleine lune …
L : *ne relève pas*
C : *regardant Ferel* Ah … mon ami … je vais rendre … mon dernier souffle … auprès de toi …
C : *regardant Libeha* Ramenez le parchemin … que nous ne … soyons pas morts … en vain.
L : Juré, je le ferai.
C : *le sourire aux lèvres, ferme pour la dernière fois ses yeux*

C’est ainsi que nos deux acolytes clôturèrent une vie remplie d’aventures en tout genre, mais la dernière qui leur fut fatale, fut aussi la plus glorieuse. Libeha ne chercha pas très longtemps le parchemin, persuadée qu’il était aux mains de la fameuse femme combattante et magicienne à la fois. Elle en trouva trois sur elle, et par acquis de conscience effectua un rapide tour pour vérifier si d’autres parchemins étaient disséminés dans la salle. En à peine une heure, elle ressortit avec une poignée de parchemins. Le retour à l’air chaud mais non vicié, la soulagea. Et en quittant les lieux, elle jeta un dernier regard, comme perçant le sable et ses pierres. Elle savait qu’elle ne reverra plus le visage des deux hommes, mais elle n’était pas de ceux qui se lamentent. Elle reprit donc son chemin et quelques jours plus tard, la pleine lune dévoila le fameux parchemin par des lettres argentées et brillantes. L’histoire ne nous dit pas quel était le secret de ce fameux parchemin.
Il semble que tu laisses ton auditoire sans voix

J'espère pouvoir me dispenser de la lecture après avoir dû répéter ça durant des mois et des mois avec des acteurs inconstants qui changeaient tous les jours, et un metteur en scène du genre fainéant, pour une affaire qui au final fut un succès sans précédent hmm ?
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