Où on n'apprends RIEN des origines d'Umlaut [Explicit Lyrics]

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Oh tu va surement te demander pourquoi c'est à toi que je me confie enfin. En fait ce n'est pas la première fois, enfin disons qu'il a failli y avoir une première fois auparavant. Je me baladais en chantant lalala à travers l'Ostland quand j'aperçu une caravane marchande. Attention je te parle d'une époque que les gens de vingt ans ne peuvent pas connaitre. D'une époque où la douce musique de la guerre n'avait point encore retenti à nos oreilles. Bref je m'égare. Donc la dite caravane était là et il devait bien y avoir deux ou trois pouilleux dedans. Bon moi, sympa, plus pour leur rendre service que pour me faire plaisir, bon, ben je charge et décapite la mère. Oui je t'ai pas dit c'était une famille. Et là Surprise le corps gigote encore. Me disant que bonne maman ne veut pas partir ainsi, je demande poliment aux mômes d'embrasser maman pour lui dire adieu. Normal ! Bon ben disons qu'il a fallu leur forcer un peu la main

Et là donc reste le mari qui me regarde, assi sur le bord de la route, limite prostré le gars. en pleurant toutes les larmes de son corps il me répète : Pourquoi ?? Pourquoi ??

Je m'approche de lui tout doucement. M'agenouille et lui dit de ma plus belle voix caverneuse : Tu aimerais savoir pourquoi ? Savoir pourquoi vous ? Pourquoi j'ai fait ça à ta femme ? Pourquoi Je vais faire ce que je vais faire à tes enfants ? A moins que tu ne désires savoir. Pourquoi je suis devenu ce que je suis. Et là tout tremblotant qu'il est, reniflant avec ce fin filet de morve descendant négligemment sur sa lèvre supérieur il me réponds " oOoUuUiIiIIiii"

Le problème avec le gueux de base c'est qu'il n'a aucune dignité. Alors que l'elfe, meme à moitié mort avec sa famille violée à coups de manche de hallebarde il continue à te maudire. L'elfe aime le sport ! Déjà qu'il passe son temps à courir à travers bois. Bon certains disent que "c'est rien que des Tapette en Collant" mais non ils aiment jouer a cache-cache c'est tout

Donc mon gueux, excuse moi hein , tout se mélange un peu dans ma tête c'est le problème des psychotiques des fois on perds le fil. Bon , donc , je le regarde, sauf que lui il voit juste un gros casque immobile. Et là je lui réponds : Désolé mais je réserve mon histoire à des êtres plus évolués. Et là bim gros coup de hache dans sa gueule. AHHAHA Qu'est ce qu'on s'est marré ce jour là !

Oui ON, moi et mes personnalités multiples, mon crâne constamment assiégé d'idées inverses et de leurs contraires et tous ces gens qui me disent de me calmer. Ca a tendance à m'énerver. TU COMPRENDS !! M'ENERVER !! MOI !!

Ce que j'aime bien chez toi c'est ta capacité d'écoute. Me doutais pas que ca serait à ce point là !

Ca me rappelle la fois où j'ai fait une partie de pouilleux massacreur avec des potes dans un petit village. Tu connais ? Alors il te faut des cartes, des pouilleux et un massacreur. me suis dévoué pour tenir le role. Au debut je gagnais pas trop me suis bien massacré la tronche. J'ai commencé par mes doigts de pieds puis par des scarifications me suis même brulé le .. enfin ma .. bref je vais pas te faire un dessin

...

Tain Sigmund déconne pas !

Bon alors là tu vois ça c'est un tison brulant et ça c'est ma ... ben hop le tison dessus et bim grosse brulure ... Oh je sais ce que tu va te dire, que je suis diminué forcement. Que je ne suis plus vraiment entier. C'est vrai que depuis ... disons le franchement ... je n'ai plus les mêmes sensations ... j'entends moins bien

Mais après me suis bien repris et j'ai bien gagné. Il nous a fallu un tantinet d'organisation. Déjà empiler les carrioles pour bloquer les routes. Après foutre le feu a tout ce qui semble être en bois .... à tout en fait, et à ce moment là il reste toi, tes potes et les pouilleux au milieux de leur village en flamme duquel ils ne peuvent sortir, et là tu leur cours après en criant. "SI JE T'ATTRAPE JE TE HACHE". Et là tu as deux types de pouilleux, le pouilleux asthmatique et les autres.

Le lendemain matin on a fait un atelier d'art avec les corps. Perso j'ai crucifié un mec mais en le tordant un peu, comme ça pour la déconne. Et puis y avait une vieille avec un petit chien. Disons que le chien s'est retrouvé dans la vieille

Mais bon on parle on parle, on se remémore les bons souvenirs et il se fait tard
Allez je dois y aller, j'ai encore des courses à faire et un flamby à démouler en tirant bien fort sur sa languette

...
...

Remarque pas que j'attende une réponse de ta part c'est vrai que la trépanation au marteau de guerre à ce petit inconvénient de rendre les gens un peu moins réactifs et causants
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Officier de la Communauté Caedes

Ecrits : Guigs fait son blog ou La page FaceBook

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......Je me souviens de la brume qui semblait noyer les plaines au petit matin. Je me souviens des chevaux sauvages, libres galopant dans cet océan de blancheur irréel. Je me souviens du bien être ressenti alors. Approchant la plénitude, du bonheur qui emplissait mes poumons. Je me souviens à peine du sac en jute qui me recouvrit le visage, de mes gestes maladroits en tentant de me débattre du début de suffocation, du bonheur qui s'échappa peu à peu de mes poumons expulsant ainsi le peu d'air encore présent. Je me souviens de mes râles et de ses rires. Je me souviens …

......Je me souviens du cliquetis mécanique du barillet tournant pour délivrer LA balle de sa prison. Je me souviens du nom qui me fit presser la détente, je me souviens ... J.

......Je me souviens de ce mariage. Ma robe de marié d'un blanc immaculé. Mon père découpant le sanglier pour le banquet, des rires, de la joie puis des pleurs venus avec les ombres. Ombres qui apportèrent la lumière des flammes sur notre village. L'odeur de bruler, les cris de mon père empalé avec le sanglier, l'odeur toujours, de la chair brulée cette fois ci, les flammes montant au ciel rejoindre les noirs nuages, l'odeur de ma chair brulée enfin.

......Me zouviens de ma maman qui me faisait mon gouter et de mes jouets en bois et de mathilde mon namoureuze. Me Zouviens de ces monstres en noir. Me zouviens de mon papa qui me cacha les yeux et qui s'endormit sur moi. Me zouviens d'avoir essayer de le réveillé, mais mon papa il voulait pas il pouvait pas alors que je criais très fort pourtant PAPA ! Me zouviens plus de rien ensuite

......Je me souviens ... ou PAS ... AHAHAHAHAHAHA

......Je me souviens de la ville de Schmerdelingstadt, ses rues étroites et pavées. Ses marchands ambulants, de la vie qui littéralement grouillait. Je me souviens de ces enfant qui jouaient au détour d'une ruelle et de cette gamine seule sur sa marelle.
......Un Deux Trois
......Prends garde à toi
......Quatre Cinq Six
......Me tourner le dos n'est pas sans risque
......Sept Huit Neuf

Je me souviens l'avoir regardé interloqué
......Dix Onze Douze
......De toutes façons on meurt tous
......Treize Quatorze Quinze

Je me souviens m'être retourné pour revenir sur mes pas
......Seize Dix-sept Dix-huit
......Et si je t'ouvrais comme une huître ?

Je me souviens de la décharge que provoqua la lame dans mon dos et de la chaleur de mon sang s'expulsant de mon corps et coulant le long de ma colonne vertébrale …

......Oh je me souviens plus très bien, à mon grand âge on oublie bien des choses mon garçon. On a tapé à ma porte ça oui je me souviens. Surtout qu'on ne venait pas me voir souvent. Ma vue basse vit un grand homme très gentil au demeurant, je me souviens. Nous avons discuté un peu, je crois me souvenir l'avoir fait entré … quoique… Je me souviens qu'il me demanda si je n'avait pas une corde. Je lui donnai et il l'enroula autour d'une poutre , oui je me souviens. Tout comme de mon cou qui craqua et de mon corps suspendu au dessus du sol. Je me souviens.



......Et moi je me souviens de leur mort à tous, de ces âmes qui maintenant m'appartiennent et me composent. Oh non je ne les absorbe ou ne les dévore point, non. Mais leurs esprits me parlent depuis.

...
...
...
ET C'EST LE CHAAAAAOOOOS
Mais ca se précise
Cet homme est fou.
Par certains côtés il est plus commun que le moins atteint des serviteurs du changement. Pas de dévotion ou de ferveur religieuse particulière ni d'obeissance aveugle et irréflechie aux missions qu'on lui octroie, pas de soif de pouvoir incéssante ... mais sur d'autres de ses penchants ... Il n'y a qu'a lire son journal.

Un événement pourtant n'y est pas relaté. Trop banal pour lui peut être. Déjà oublié surement.

Une vallée entre 2 chaines montagneuses naines. Bien que nous y ayons beaucoup combattus je confonds encore certaines plaines, ou alors c'est l'habitude et je n'y fait plus attention. Le voyage devenant mécanique, la marche pour se rendre sur le front , un reflex.

Ce jour était un jour comme ceux là. Voyage à partir de nos bivouacs respectifs. Une petite troupe pas plus de 6 membres. Le Big Boss orc de nos alliés, une de leur sorcière et un Disciple de Khaine, qui, par bonheur, n'est pas à ranger dans le meme tiroir que les autres fanatiques de sa caste. De notre coté Ethyde moi et donc ... Lui.

Les Forts étaient encore fumant des attaques de nos ennemis quand nous sommes arrivés. Les autres bataillons composant notre armée ? Dispersés, moribonds, démotivés, rayez la mention inutile. Grâce aux rapports , imprécis comme toujours, qui nous parvenaient, nous avons décidé de jouer dans la cour de la subtilité : passer en douce, trouver un point stratégique peu déféndu et nous en emparer. Détourner l'attention de l'ennemi, lui faire penser que nous ici et non là, que du très habituel aussi

Sur le chemin nous avons été confronté à une petite nouveauté cependant. Un groupe de 4 à 5 pillards tenait en respect 2 elfes noirs qui commencaient déjà à implorer pitié. Autant ils peuvent se montrer d'une arrogance folle autant parfois ...

Il est passé sur la gauche, longeant les parois d'une falaise, masqué par l'ombre des sapins. Je m'attendais à ce que nous passions sans heurt, laissant là ces 2 laches prets à vendre la mère de malékith pour leur vie. En ces temps troublés l'espérance de vie n'est pas des plus longues, peut être que ces deux là voulaient absolument voir le soleil se lever le lendemain. Il nous a fait un signe pour que nous ne le suivions pas mais nous avons pu tout voir. Il a reussi à s'avancer discretement jusqu'au brigand le plus reculé quand celui ci l'a vu il a fait mine de donner l'alerte mais Umlaut a mis son doigt sur sa bouche pour lui signifier de garder le silence, le tout dans une attitude semblant des plus amicales. Puis d'un mouvement sec il détacha la tête du brigand du reste de son corps.
Alors que nous nous attendions à ce qu'il nous donne le signal de la charge il est revenu vers nous , tout aussi discretement, tenant la tête dans sa main gauche

Les brigands en ont fini avec les elfes il s'est alors avancé vers eux nous demandant de le suivre. Leur chef nous a menacer de suite nous demandant de deposer nos armes et quelques richesses. Nous ne leur avons pas repondu, nous etions bien assez pour les détruire. Mais c'était sans compter sur sa propension au spectaculaire. Il a exibé la tête de leur compagnons, a rentré sa main ganté de plaques dans son cou et s'est servi de la tête comme d'une marionette de guignol réussissant, par moment, à bouger levres et yeux. Il leur a signifier ainsi notre refus, et leur peu de temps à vivre encore.

Fous de rage et d'horreur ils ont chargé. Le combat a duré tellement peu de temps qu'il me prends plus de temps à l'écrire qu'a le vivre. Puis nous sommes remontés sur nos chevaux et sang-froids tandis que lui est resté une dizaine de minutes a simuler une discution entre les morts et la tête. Nous n'avons osé le déranger surtout que l'orc trouvait cela divertissant.

Puis il est reparti vers sa monture en jettant la tête nonchalament par dessus son épaule. Il a fini par se désoler du fait de ne pas avoir avec lui des costumes pour grimer les corps et ainsi jouer telle une jeune fille avec ses poupées. Le soir il paralit encore de se trouver de tels costumes pour la prochaine fois.

Nous aurions pu passer en force dès le départ, nous aurions pu passer discretement. Au lieu de ça il a théatralisé leur mort et jouer de manière inquiétante avec les morts. Ce n'est pas notre dieu qui dirige ses pas. C'est quelquechose de bien plus inquetant ... pour nous ...
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