[HRP]Pas question de laisser Kalten faire son kéké tout seul hein ^^
Le personnage est une certaine Yris, çà vous dit quelque chose ? je me doute

Mais attention, celle-ci à sa propre vie quand même. A tel point que l'apparition des Gueules, lui avait donné des idées ... [/HRP]
Le soleil se lève à peine sur l’île artificielle de Jeuno quand …
*toc toc toc*
…
Grumph …
…
*Toc Toc Toc*
…
GRUMblebebel …
…
*BAM BAM BAM*
HEIN QUOI !! … QU EST CE QUI SE PASSE !!
(Ouvrez c’est important madame)
çà vas, çà vas j’arrive *grommelle*
<La jeune femme se lève péniblement, enfile un peignoir et se dirige à tâtons vers la porte. Au bout de quelques secondes elle trouve la serrure de métal qui claque sèchement, et ouvre enfin la porte.
Au moment où le hume qui se tient derrière la voit, il ne peut réprimer un gloussement, contenu aussitôt par une main qui cache fermement sa bouche. Il faut dire que, tant la coiffure qui semble faite par un ouragan, que la tenue qui elle semble sortie d’un livre de mode de l’époque de la grande guerre, ne donnent pas une image très flatteuse de la jeune femme.
Celle-ci se réveillant doucement, constate le sourire et jette au livreur un regard noir et profond. Malgré tout elle se contient.>
Vous voulez quoi ? *ton volontairement désagréable*
Hum, et bien voilà je ….. *un peu gêné finalement*
Et Bien quoi ? *Lui coupe la parole brutalement*
Parlez à la fin !!! *Fait un grand geste de mauvaise humeur qui dévoile en partie une nuisette ayant une esthétique plus que relative*
Bien, je … enfin … *Se remet vite fait la main sur la bouche pour ne pas exploser de rire en voyant les motifs enfantins gravés sur le tissu*
<Instinctivement la jeune femme porte la main à sa ceinture pour y prendre un objet, sans doute contondant. Constatant avec amertume que celui-ci n’y est pas, elle reprend en vociférant et grognant en même temps, sur un ton de plus en plus menaçant>
BON ALORS QUOI !!!
<Le hume sentant venir la gifle dans les 10 secondes se calme enfin, reprend ses esprits en un instant, et continu là où il en était resté.>
J’ais un courrier pour Mademoiselle Yris Obere. C’est bien vous non ? *Ne peu réprimer un léger et instinctif geste de protection de son visage*
<La demoiselle entre dans une rage digne d’une colère de Ramuh>
PARCEQUE VOUS ME REVEILLEZ POUR çà !! UN COURRIER !! çà POUVAIS PAS ATTENDRE !!! ESPECE DE …. DE …..
<Le Hume prudent, jette quasiment à la figure de la jeune femme ladite lettre et se sauve en courant sans demander son reste. Une minute plus tard, il stoppe sa course effrénée, constatant avec soulagement que cette folle furieuse n’avait pas osée lui courir après au-delà de la limite du quartier résidentiel. Pas étonnant avec une tenue pareil …>
… J’vous jure, tu parle d’un métier, « C’est sans risque » il disait, « tu apporte des nouvelles alors les gens sont contents de te voir » …. « En plus c’est une demoiselle, qui sait » … Tu parle !! Le prochain coup il se débrouillera avec les cinglées !!
<Soulagé d’avoir échappé de justesse à la furie, le livreur devisait sur son avenir en rentrant au centre de tri.
…
La jeune femme de son coté, rentre dépitée de n’avoir même pas pus au moins le gifler, à défaut d’un bon coup de crosse sur la tête. Franchement, réveiller les gens ainsi pour une simple lettre, mais où allait notre monde.
Arrivant devant sa Mog encore ouverte, elle constate que la lettre gît sur le pas de la porte. Elle décide alors de la ramasser et commence à examiner l’enveloppe.>
« A remettre à Yris Obere
Pas avant le 08 / 10 / 1038
A Jeuno »
Et au dos.
« Si personne n’est venue la réclamer avant »
<Etonnant ces inscriptions sur le dos de l’enveloppe. Pourquoi quelqu’un voudrait qu’elle ne la reçoive que aujourd’hui précisément, et surtout, qui ?
La jeune femme continue d’examiner en détail l’enveloppe, le cachet de la MogPoste est celui de SandOria, inconsciemment elle repousse la porte mais pas suffisamment pour qu'elle se referme, et se dirige vers son lit pour s’y asseoir. Chemin faisant, elle se décide à décacheter la lettre, la sort de l’enveloppe, et la déplie. Elle commence alors à lire les premiers mots.
Une chance qu’à se moment précis elle était déjà quasiment au dessus de son lit, sinon elle serait tombé par terre. Au lieu de cela, elle s’était plus effondrée qu’assise, hébétée, comme si elle venait de voir un fantôme. Figée dans une expression de stupeur, constatant la vérité mais incapable de l’assumer, non, ce n’était pas possible !!!!!
Les premiers mots de la lettre étaient : Ma petite chérie.
…