[Poésie] Adieu - Naître et mourir

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A Dieu (ou Adieu)

En ce jour, je ne peut m'arrêter de pleurer
Je viens de te perdre, toi qui ne cessais de m'aider
Toi en qui je pouvais toujours compter
Et qui ne connaissait que le mot aimer

Comment accepter ton départ, sans aucun au revoir
Je ne peut vivre dans cet faux espoir
Qui me dit que tu est toujours là
Prêt à me serrer dans tes bras

Pourquoi a-t-il fallu, que le destin s'abatte sur toi
Enmenant avec toi, tout ce qui restai de ma foi
En la vie, en cet être suprême
Censé régir le monde, ou ne naissent que des problèmes

Je viens devant vous, à genou
Vous parler de mon dégout pour vous
Qui m'enlevait, les êtres qui me sont le plus cher
Et dont je suis si fier

Le bonheur existe-t-il réellement?
Tout ceci s'enchaîne dans une telle démence
Que je me demande comment nous pouvons parler de croyance
Alors que la simple réalité, nous ment

Je ne peut croire en vous, Dieu
Vous qui ne faite que me rendre malheureux
Ne faisant que couler, les larmes de mes yeux
Lorsque m'approchant de ce lieu

Où repose celui à qui je n'ai pu dire
Je t'aime, avant de partir, ou de plutôt de fuir
Cette vie, qui ne daigne me sourire
Et Qui me contraint à vivre en m'empêchant de mourir

A toi qui m'a tout enlevé

je sais pas si c'est tres roleplay.
naitre pour mourir
Naître et mourir

En ce jour tu naîtras
En ce jour tu mourras
Quoi de plus beau pour deux êtres
Que de rendre hommage à leurs ancêtres

En donnant vie à cet enfant
Qui au fil du temps, apprendra le mot maman
Et qui les années passant, deviendra grand
Remerciant ses parents, par un amour fleurissant

De lui apporter tout ce dont il a besoin
Mais regardant au loin, Que verras-t-il?
Si ce n'est ce sentiment subtile
D'impuissance face à la mort, lui montrant qu'il n'est rien.

Seulement un être humain, qui ne peut échapper à son destin
Ne pouvant rompre les liens qui l'unisse à cette cruelle fin
N'attendant qu'une main pour de meilleur lendemain
Désesperant de se réveiller, dans un autre monde que celui du malin

Naitre pour mourir, telle est notre vie.
Pourrait-on se détacher de cette dure réalité?
Ne serai-ce qu'instant, avant de disparaître à tout jamais.
Mon seul exil, apparaît dans la poésie

Où les mots vont et viennent
Arrêtant le temps sans son consentement
Dans cette vie qui n'est pas la mienne
Mais qui n'échappera pas à ce défunt jugement.

Toutes ces désillusion nous font perdre la raison
Et nous transporte dans ce monde de dépression
Où plus rien n'arrive à nous rendre le sourire
Qui nous apporte cette envie inéluctable de vivre?

Monde ingrat, où nous sommes prisonnier tel des rats
Tout ce degout en moi pour la vie, s'abat
Dans ce torrent de mots
Qui me montre que la vie ne peut rien m'apporter de plus beau

Afin de ne jamais oublier
ton truc ça me rappelle les phrases de morpheus dans matriskme :

"tout ce qui a un commencement a une fin"
"il y a une différence entre connaitre le chemin, et arpenter le chemin"
"il y a des choses qui changent, et d’autre qui ne changeront jamais"
Citation :
Publié par Sayn
ton truc ça me rappelle les phrases de morpheus dans matriskme :

"tout ce qui a un commencement a une fin"
"il y a une différence entre connaitre le chemin, et arpenter le chemin"
"il y a des choses qui changent, et d’autre qui ne changeront jamais"
lool j'avoue ne pas y avoir pensé en les faisant.
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