[Orcanie] Blood Tear " Un Loup Triste et Enragé "

 
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-- Partie 1 --

Le vent gelée souffle aux portes d'Odin ..

Un chasseur se tient fièrement au poste de repos. la nuit viens de tomber, temps pour lui de partir et de roder autour de la muraille de défense midgardienne. En chemin, il siffle, tel le cri d'un aigle à l'appel de la foret. après quelques minutes, un loup resurgit pour s'approcher doucement de son maître. Depuis quelques années déjà, ce chasseur avait appris a dompter les animaux, et la coutume veut que lorsque il arrive le moment ou un loup succombe au charme, le droit de chasser serai alors délivré.

-Viens mon jeune ami, encore une nuit ou l'on doit guetter ceux qui oseraient corrompre nos vallées nordiques.

En effet, l'hiver dur approchant, il sera beaucoup plus difficile pour les malveillants d'entrer en Midgard , c'est aussi a ce moment la qu'on laisse le repos aux animaux.

Nos deux compagnons se tiennent donc tranquillement, et pour éviter de voir leur membres gelés, ils marchent doucement entre les ombres des bois, éclairés par la lueur de la lune.. quelques heures passent jusqu'au moment ou un craquement inhabituel se fait entendre. la route vient d'être passé par un mage sombre et une femme, portant un tambour garnis de clochettes.

Il reconnu de suite les habits d'un sorcier et les couleurs chaudes d'une ménestrel. Ils avaient finis d'avoir leur cadence rapide pour éviter sans grande peur a la lizière de la foret.

-Ne tardons pas, dit le sorcier. Trouve moi du sang de loup, j'ai déjà les genoux tremblants et nous avons beaucoup de retard pour notre potion. Si Mordred le savait, on aurait déjà un couteau sous la gorge. La bataille est bientôt prévue

-Bien Monsieur, répondit la jeune femme.

Et elle accourra en recherche de l'animal, toujours suivant par l'homme au bâton. Sous la surveillance du chasseur, celui ci ne comprenait pas tout de suite que c'est son compagnon qui était la proie. Le regard insistant et en poussant légèrement sur le flanc de l'animal, il envoyait donc son brave compagnon a la chasse de ces intrus.

-Va et mords la joueuse d'instruments, murmura le chasseur.

Le cri de la ménestrel appelait donc le chasseur a décocher sa première flèche. le mage surprit aussi de l'attaque foudroyant tentait de tenir l'esprit de l'animal, mais il était évidement déjà dominer par quelqu'un d'autre.

-Quel est cette mascarade, mon charme résiste sur cet animal.., lança l'avalonien. -Mes sorts me font défauts, cette fôret doit être maudite !

Le viking était doué, et il transperça nettement la gorge du mage qui tomba sec sur un tronc de glace. Pendant ce temps la ...le loup tournait autour de la ménestrel. Celle ci comprit qu'il ne fallait plus s'attarder a rester la, mais le chasseur était déjà devant elle, sortant sa lance rapidement .. mais elle pût esquiver ses coups et s'échapper grâce a ses réflexes en cas de détresse.

Pensant que le danger était épargné, il s'approcha du corps du sorcier, affaibli, ce dernier semblait déjà mort ..

Mais la tromperie est un atout, chez les albionnais .. et avec ses dernières forces il lança un sort d'amnésie qui endormi le chasseur. la jeune femme au tambour revenu alors d'un éclair. Elle assomma le loup avant de s'approcher du corps de l'archer endormi.

Avec une rage d'un fauve, elle transperça de sa lame le viking, et après de multiples blessures, le sang recouvrait la neige progressivement, sur cette clairière .. scène d'un massacre ou il ne reste plus qu'une femme et un loup enragé.

Le froid la perturbant et rempli de haine, par la mort de son chef, elle oublia qu'il restait toujours cet animal derrière elle et tentait de redonner un souffle de vie au sorcier. mais elle n'a pas les dons d'une barde, et en vain .. elle recouvrai la corps du mage d'un drap de soie pourpre.

Que cette cape protège vôtre âme en péril, prononça la jeune femme, je vais rechercher l'aide d'un troupe de mercenaires qui ramènera vôtre corps à Lyonesse.

Un grognement précéda l'attaque du loup sur la sarrasine. Il mordu avec tout sa hargne la cuisse de la tueuse de son maître. Celle ci nu pas eu le temps de se retourner et se débâtait encore vigoureusement

Et avant de sentir que se serait la fin aussi pour elle, elle saigna l'animal et prononça une dernière incantation:
- Humanus Humili Animo Ferre, .. ressens avec faiblesse ce qu'est être un humain. C'est avec derniers mots que la ménestrel succomba en laissant le loup haletant et blessé.

L'animal passa un moment auprès de son maître, essayant d'y trouver l'espoir de le revoir marcher a ses cotés. Mais il compris finalement que son maître restera inerte. un cri faisant de lui les plaintes de la foret recouvrai cette nuit sombre , il ressenti en lui les émotions dures et instinctives de perdre un proche ...

Jusqua l'aube, il pleura .. la marque dune larme mélanger a son sang resta gelée dans son regard. Cicatrice qu'il gardera de cette nuit.

Les blessures ne lui permettra pas de survivre cet Hiver dans la Forêt d'Yggdra. Il sait qu'il va devoir partir au sud .. en quête de nourriture et de repos. Il est de toute façon maintenant libérer de l'emprise humaine que portait sur lui son maître chasseur. La route du soleil et le sud ouest enrichi est la seul solution pour lui de reprendre vigueur.

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.. A s'interroger maintenant que va être la suite de son existence, quel est le sort que lui réserve les paroles de la ménestrel. Tout le mène déjà a partir sur Hibernia.
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[ Jaurais besoin d'aide pour un peu agrémenter mon post de screens pour mon histoire avec un avec un chasseur ( viking ) un sorcier ( avalonien ) et une menes ( sarrasine ) >> me mp ]

Toute l'histoire devrait être en 5 parties... si on redemande la suite a chaque fois
J'adore

PS : le loup étant mon animal préféré dailleurs si je peux me permettre je rajoute ce texte concernant les loups

LA MORT DU LOUP

Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusquà l'horizon.

Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils a ceux des landes,
Nous avons aperçus les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.

Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu, ni le bois ni la plaine
Ne poussaient un soupir dans les airs; seulement
La girouette en deuil criait au firmament;

Car le vent, élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires
Et les chênes d'en bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.

Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant, bientôt,

Lui que jamais ici l'on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups cerviers et deux louveteaux.

Nous avons tous alors préparés nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et lueurs trop blanches,
Nous allions, pas à pas, en écartant les branches.

Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,

Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maitre revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse;

Mais les enfants du Loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur enemi.

Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les Romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.

Le loup vient et s'assied, les deux jambes dressées,
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris;

Alors il a saisi, dans sa gueule brulante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante,
Et n'a pas desséré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair,

Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.

Le loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
le clouaient au gazon tout baigné dans son sang;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.

Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.

J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre
A poursuivre sa Louve et ses fils, qui, tous trois,

Avaient voulu l'attendre; et, comme je le crois,
Sans ses deux louveteaux, la belle et sombre veuve
Ne l'eût laissé seul subir la grande épreuve.

Mais son devoir était de les sauver, afin
De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
A ne jamais entrer dans le pacte des villes

Que l'homme a fait avec les animaux serviles
Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
Les premiers possesseurs du bois et du rochers.

Hélas! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes !
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C'est vous qui le savez, sublimes animaux!

A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse,
Seul le silence est grand; tout le reste est faiblesse.
- Ah ! Je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !

Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.

Gémir, pleurer, prier est également lâche,
Fais énergiquement ta longue lourde tâche
Dans la voie où le sort a voulu t'appeler,
Puis, après, comme moi, souffre et meurs sans parler..."

Ecris en 1843...
__________________
Noaldan sorcier / Adla clerc / Interruption Theurgiste ALB ORCA

Inavea, Aldamire, Kityh... HiB pause ou pas ça dépend des RK
Merci Aldamire pour avoir posé ce texte ..
Vrement très beau, j'aime beaucoup les principes que peut dégager la nature, et ce texte l'explique bien.

La cava être un peu dur pour écrire ma suite par contre. vous devinez bien que ce loup va connaître le malheur d'être un homme. C'est plus original que de voir, comme a l'habitude un homme se transformant en loup.
Citation :
Publié par Ereinon/Caranthir
pas mal tout ça
et pour le poême .. tu aurais l'auteur?
mci.
Oups j'ai oublié : Alfred de VIGNY (1797-1863)
(Recueil : Les Destinées)

Kiss les gens
__________________
Noaldan sorcier / Adla clerc / Interruption Theurgiste ALB ORCA

Inavea, Aldamire, Kityh... HiB pause ou pas ça dépend des RK
-- Partie 2 --

Trois jours se sont ecoulés depuis la tragique nuit.

Le loup se réveille dans la tour de Drakkon, ou il s'était refugié lors d'une forte pluie. Le museau a l'air, guettant la moindre présence. il n'y a rien de dangereux mais une halte se fait entendre au loin. il s'avance et aperçoi une petite troupe de coureurs, luth à la main, qui se dispersent et rejoignent l'horizon. Intrigué, il part les suivre. Mais boiteux a cause d'une patte encore engourdie, il ne peut pas aller aussi vite.

La vallée qu'il prend le mène devant un fort: Dun Crimthainn. Caché derrière des buissons, il guette les gardes et personnes qui s'y trouve. .. il ressent lanxieté qu'ils éprouvent. Les oreilles bien tendues, il tente de comprendre les mots qu'il entend: Arthur, Bataille, Mort, Camlann .. Un évènement majeur s'est sûrement deroulé ici ou ailleurs. Les visages qu'ils voit au lien sont remplis de réflexion, de peur et d'interrogations.

"Il faut continuer la route, la faim m'assaille" pensa t'il. Un torc lui fait son affaire, les prairies vertes qui tapissent Hibernia l'ont rendu assez gros et gras pour lui remplir le ventre. Il trouve aussi dans Breifine quelques fruits rouges qui régalent le tout.

Arrivé dans Mont Collory, il se retrouve devant des êtres étranges, minuscules, rempli de malice et agiles. Une lurikeen discute avec des farfadets, trop préoccupés manifestement à se chamailler, il ne se soucient guerre du loup.

-Alors, mes bâtons c'est pour quand ? demande la luri. Cela fait cinq jour que je les attend .., je suis très mécontente.
-On a eu quelques petits soucis avec les bûcherons du coin, répondis un des farfadets.
-ils demandent plus d'or ..., exprima l'autre.
-Et vous nous en donner pas assez, dit le premier, la voix tremblotante.
-Attention mes gaillards, je vais vous brûlez les fesses si vous me faites une cachotterie, tenez ça .. je les veux après demain, déposez les a la pointe du lac de lune.

Les farfadets repartirent, le petit sourire au coin .., voyant bien qu'ils se faisait un bénéfice plus qu'honorable. Et qu'ils avaient réussi a tromper la lurikeen, une fois de plus.
Celle ci remarqua que le loup était assis a coté, la queue balayant l'air, montrant qu'il était amusé de la scène qu'il venait de voir.
- Ben tiens, toi aussi tu veux de me depouillé, s'exclama la luri. il manquerais plus que ça.

Elle lança un sort qui l'immobilisa, s'approche et remarque les blessures récentes qu'il a reçu.
- Tu vas vouloir me croquer, si je tente de guérir tes blessures ?

déjà en pleine digestion, que ferais t'il de cette petite luri, moitié moins grosse qu'un torc. Il exprime sa gentillesse en s'approchant et léchant ses petites mains.
- Gentil loulou, dit la luri souriante et elle lança son incantation de guérison sur lui. Il se recouvra d'une lumière étincelante et bleueté qui disparaissait peu a peu, laissant voir aucune trace de plaies. Seul reste la petite tache rouge au coin de l'oeil

Son museau caressant la petite tète, elle sursauta.
- Bon cava ! tu me décoiffes la .. tu sais que je passe chaque matin, durant tout le temps de la rosée, a s'occuper de mes cheveux.
Elle caressa son beau poil et s'interrogea.
- Tu n'est pas d'ici dis donc, je me demande ce qui t'es arrivé, et d'ailleurs comment tu t'ai fait cette marque au yeux. Je t'emmène a Hothw de toute façon , vais te montrer aux coupines comme tu es beau.

.. puis elle incanta une nouvelle fois en prononçant:
- Taindeuproi, A moi !

Les yeux profond du loup passa du jaune au bleu clair et suivi manifestement la petite empathe avec beaucoup d'intention et il la protégea évidemment quand des changelins voulaient s'approcher trop près de la belle petite.

Arrivés a Hothw, un grand être musclé: firbolg et un attroupement de luris sont présents.
- Dimo nous apporte de mauvaises rumeurs Lya, rétorqua un des petits être a celle qui arrivait avec son loup
- Tu as du courrier pour moi au moins ? je crois que j'ai tapé dans l'oeil au beau gosse Tito, a la dernière soirée de Tir Nam Beo

Le firby Dimo s'exprima doucement, toujours comme son habitude a Dix mots, ne sachant pas en dire plus.
- Non Lya Pas Courrier Aujourdhui Pas Bonne Nouvelle Arthur Mort

La guerre s'annonça donc bientôt ..
Durant les jours qui suivent, le loup se repose paisiblement au près de sa nouvelle dompteuse Lya, ou il laide a cueillir souvent ou a attraper des ingrédients pour son travail en arcanisme. Il la porte parfois même sur son dos lorsque les trajets sont long.

Mais sept jours ont passés depuis la mort du chasseur, la nuit fut voilé et orageuse.
Ce matin la .. dans la grange ou il dormait , un évènement se produit.
Le poil noir laisse place a une peau clair, le museau s'est réduit a une bouche et les pattes sont devenus des membres plus long.
Le beau loup noir est devenu un jeune humain.

Le sort qu'a lancé la ménestrel na rien de commun, c'est sur.. et nu comme un ver, il dort encore dans la paille.
< Lya ouvre la grange pour appeler son loup >
- HA! Au secours ! un celte a poil, cria telle. Il a rien sur lui ! il va vouloir me faire des choses, au secours !

le jeune homme évidemment est réveillé par Lya, gueulante comme une folle. Il accourt, a quatre pattes dehors a sa recherche.
< Derriere un arbre, elle se cache, le regarde attentif a celui qui est nu >
Pensive .. elle se murmure:
- Les beaux celtes pondent chez moi maintenant, c'est nouveau.., je vais pas me laisser impressionner.
Bien decidée a faire fuir cet intrus pour elle, elle appelle son gardien:
- LOULOU ! Attaque le !
Puis elle part courir s'enfermer dans sa maison.
Elle n'entend rien pendant quelques minutes, .. elle se demande donc ou est passé sa protection.

Pendant ce temps la .. lui, de son coté, comprend qu'il est apte a se lever et marcher debout, mais tremblant de peur a ce qui lui arrive, il part gratter la petite porte de sa maîtresse. Il grogne aussi, mais avec une voix plus douce que d'habitude.

Lya prend son bâton et l'air rassuré ouvre la porte en s'exclamant:
Ah merci, .. tu as réussir a le faire Fuir euu Ha !! encore toi !

le jeune homme a maintenant peur des plaintes de la Lurikeen, et se remet a genoux, mais le regard bleu profond , rempli d'incompréhension, il commence a verser une larme. mais sa couleur est rouge sang. Lya regarde avec un peu d'effroi aussi et commence a douter.
- Ne bouge pas, je t'apporte quelques vêtements déjà .. tu m'a pas l'air méchant. Et si c'est ce que je pense ! t'as intérêt a m'expliquer .. enfin si tu peux.

Il arrive a plonger dans les vêtements qu'elle lui donne pour les enfiler, tant bien que mal.
Des premiers sons sortent de sa bouche, difficilement:
- Moi changer, Moi Peur, Toi Peur, Pas comprendre, pas comprendre ..
- Repetes un peu, comment tu t'es retrouvé dans ma grange, tu es d'où ? de Moher, .. de Cullen peu être ?
- Pas comprendre, Moi a Toi .. Toi Lya, Loulou a toi

Et a partir de ce moment la .. elle comprend que celui quelle a charmer est celui qui est devant lui. Pour en avoir le coeur net, elle rompt le lien quelle a avec lui.
Les yeux du jeune homme vire au jaune.
- C'est bien toi ..
La larme de sang coule encore sur son visage, Lya l'essuie avec un grand mouchoir et le rassure en caressant sa joue.
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Durant tout l'hiver, Lya le garda chez lui, lui faisant un lit plus confortable, il apprenais a mieux connaître la langue et a mieux se tenir tout en l'aidant dans ses travaux. N'etant pas un humain comme les autres, il est rapide et a ce sens d'instincts que les autres n'ont pas. Elle sait quelle a de la chance mais qu'au printemps prochain, lorsqu'il sera prêt, il devra partir à Connla. Un animal caché parmi les hommes qui peut changé bien des choses.
Citation :
Publié par patrickpoivredarvor
POG MO THOIN !
A tes souhaits

Tres jolie Blood, vite vite la suite
Jolis textes qui donnent envie de lire la suite.

Pour critiquer (il faut bien), je trouve certains passages, notamment dans le premier texte, assez maladroits. Avec quelques fautes d'orthographe et grammaire de temps en temps mais vu la longueur des textes, je pinaille

Bon courage à toi en tout cas.
 

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