(je m'excuse encore d'avance pour les fautes, je ne fait pas exprès)
*après un réveil difficile Slayne reprend sa plume pour continuer ses chroniques*
En effet je vais m'attarder un moment sur certaines des affaires qu'à eu à traiter mon frère, en me contentant des plus représentatives de sont talent inné pour la médiocrité judiciaire...
L'une de ces affaires qui le fit connaitre auprès des nobles de notre bonne cité fut la fois où un voleur bien connu pour son culot porta plainte contre un noble au-dessus de tout soupçons.... Bien sur, mon frère ignorait l'identité des deux parties, ce qui lui valu, quand il remit le dossier au juge, plusieurs remarques soulignant son incompétance... Il est vrai qu'il l'avait bien mérité...
Cette affaire ne lui ayant pas servit de leçon il accepta la plainte pour tentative de meurtre d'un assasin contre un garde qui avait tenté de le stopper lors d'un de ses méfaits, inutile de détailler les conséquences de cette nouvelle erreur sur mon frère...
Cette fois plus attentionné aux réçits des differents plaignants il délaissa un peu sa magie. C'est alors qu'il fut le temoin d'un vol sur un marché, au moment où le jeune voleur fuyait dans une ruelle, mon frère pris l'idée de l'immobiliser par magie, mais là encore il commit une erreur et incanta un sort de projectiles magiques qui tua le jeune homme... Il étouffa l'affaire et récupera le butin du jeune voleur, le confiant a un de ses amis Rhaitz un jeune marchand, en attendant, d'utiliser le butin comme preuve du vol. Bien sur Rhaitz un vraie marchand de sont état ne put résister a la tentation de revendre le butin...
Peu après cela mon frère compris que malgré ses efforts il ne serait jamais un bon greffier, il decida donc de faire tomber certain dossiers genant pour ses amis dans l'oubli, et par la même ocasion il laissa tomber la magie pour devenir archer.
Il demanda a certains des gardes sous ses ordres de m'apprendre l'art du combat, ayant remarqué mon attrait pour les batailles de rue.
Les principale affaires qu'il "oublia" de transmetre furent celles d'un ami faisant partie d'une secte pratiquant les sacrifices humain " les Nharuspiciens".
Il continua sur sa lancée en protégant son beau frère qui avait la fâcheuse habitude de tuer ses adversaires lors de baggares de rue...
Je vous épargnerai aussi les autres méfaits qu'il a pu commettre grâce a son rang ainsi que ses maladresses telle que la fois où en s'entretenant avec humour avec moi il me laissa sous-entendre qu'il tuerai le premier venu, alors que le juge venais juste de paraître derrière lui, où encore la fois où il manifesta avec un groupe de brigands et de personnes de mauvaise compagnie devant le palais contre le jugement d'un bandit qui avait été déclaré coupable...
Bref toutes ces bévues lui valurent d'être congédié par le juge.
Je crois que c'est à peu près à cette époque que Sittelia disparue, même sa famille na jamais su ce qu'elle devint.
Mon frêre, très atristé d'autant plus que la date de leur mariage approchait, décida d'enfin prénommer ma soeur, en hommage à celle qui aurait dû integrer notre famille.
C'est ainsi que celle que l'on surnommait la boudeuse devint Sittelia Auberon.
Ma soeur étant trop jeune ne comprit que plus tard d'où venait ce prénom.
Quand à Sir Auberon il parti une nuit d'Eléasias, par une de ces canicules habituelles ce mois de l'année.
Ce n'est que le lendemain que ma soeur et moi nous apprîmes son départ, j'aime à penser qu'il traque sa belle dans tout féerune....
Pour ma part je ne l'ai jamais revu. Désormais seul pour nourir ma soeur devenue adolescente je m'engageais comme mercenaire dans les differentes armées du royaume.
Lors de mes campagnes je recevais des courriers de ma soeur me racontant ses escapades dans la nature, ses rencontres avec les animaux et l'intérêt de plus en plus grand qu'elle connaissait pour les balades au coeur des forêts du royaume.
Je me rappelle encore sa derniere lettre, m'annonçant de ne plus lui envoyer d'argent car elle avait décider de voyager, de courir les bois pour devenir rôdeuse...
*reste quelques temps songeur, laissant aparaître toute la tristesse qu'il ressent dans ses yeux*
Elle aussi jamais je ne l'ai revu.
*repose sa plume, l'émotion étant trop grande pour continuer*
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