Histoire de la famille Auberon

Répondre
Partager Rechercher
*prend sa plume et commence a écrire sur un vieux grimoire*

Mon premier souvenir remonte à mon enfance dans les bas quartiers d'Athkatla, acompagné de mom grand frêre, et dans les bras de ma jeune soeur, à l'époque encore bébé...

Je n'ai jamais connu mes parents ni même leur identité, je pense qu'il en était de meme pour Auberon, mom frêre ainé.
En fait il n'a jamais voulu nous en parler, ni à ma soeur ni à moi...
Je nous revois encore mendier prés de l'echoppe du tanneur, ce fut une époque difficile. Enfin jusqu'au jour où Auberon rencontra Sittelia, une jeune et jolie jeune fille, dont la mère était prétresse de Lathandre et qui allait devenir sa fiancée... Ceci fut le premier des présages annonciateurs d'une meilleure vie pour notre famille.

Grace a la mère de sa fiancée, mon frére pu rencontrer un mage qui lui apprit les rudiments de la magie.

Ma soeur qui à l'époque n'avait toujours pas été baptisé jouissait d'une enfance heureuse au temple de Lathandre. Quand à moi, jeune adolescent je m'évertuais comme tous les jeunes hommes de mon âge, mais beaucoup plus si l'on en croit l'avis de mon frêre, à courir les jupons. Séduisant mes belles à coup de babioles volées sur les marchés et de batailles au bâton contre ses autres prétendant.

Il faut croire qu'à ce jeu je n'était que trop doué, car une fois mon adversaire au sol, l'objet du duel se jettait a son cou pour panser ses blessures, c'est ainsi que je me retrouvais seul à chaque fois...

Je crois que c'est à peu près à cette période, que mon frêre decida que nous devrions porter un nom comme toute vraie famille, tout naturellement nous décidâmes de prendre son prenom comme nom.

Je devins ainsi Slayne Auberon frêre d'Auberon Auberon et de la boûdeuse Auberon, la boûdeuse étant le surnom donné a ma soeur qui n'était pas baptisée.

Peu de temps aprés, Auberon rencontra l'un des juges d'Athkatla qui lui proposa le travail de greffier, qui consistait à recevoir les plaintes de la population et à mener des enquêtes pour aprofondir les témoignages.

Désormais pour eviter les moqueries et l'étonnement dû à la similarité de son nom et de son prénom, il se fit appeler "Sir Auberon".

Ce seul chapitre de la vie de mon frêre fut assez rocambolesque pour écrire un roman uniquement sur ce sujet...

*fatigué de son récit, Slayne range sa plume puis éteint la chandelle, bien résolu à continuer le châpitre suivant de son histoire à son reveil*
(je m'excuse encore d'avance pour les fautes, je ne fait pas exprès)

*après un réveil difficile Slayne reprend sa plume pour continuer ses chroniques*

En effet je vais m'attarder un moment sur certaines des affaires qu'à eu à traiter mon frère, en me contentant des plus représentatives de sont talent inné pour la médiocrité judiciaire...

L'une de ces affaires qui le fit connaitre auprès des nobles de notre bonne cité fut la fois où un voleur bien connu pour son culot porta plainte contre un noble au-dessus de tout soupçons.... Bien sur, mon frère ignorait l'identité des deux parties, ce qui lui valu, quand il remit le dossier au juge, plusieurs remarques soulignant son incompétance... Il est vrai qu'il l'avait bien mérité...

Cette affaire ne lui ayant pas servit de leçon il accepta la plainte pour tentative de meurtre d'un assasin contre un garde qui avait tenté de le stopper lors d'un de ses méfaits, inutile de détailler les conséquences de cette nouvelle erreur sur mon frère...

Cette fois plus attentionné aux réçits des differents plaignants il délaissa un peu sa magie. C'est alors qu'il fut le temoin d'un vol sur un marché, au moment où le jeune voleur fuyait dans une ruelle, mon frère pris l'idée de l'immobiliser par magie, mais là encore il commit une erreur et incanta un sort de projectiles magiques qui tua le jeune homme... Il étouffa l'affaire et récupera le butin du jeune voleur, le confiant a un de ses amis Rhaitz un jeune marchand, en attendant, d'utiliser le butin comme preuve du vol. Bien sur Rhaitz un vraie marchand de sont état ne put résister a la tentation de revendre le butin...

Peu après cela mon frère compris que malgré ses efforts il ne serait jamais un bon greffier, il decida donc de faire tomber certain dossiers genant pour ses amis dans l'oubli, et par la même ocasion il laissa tomber la magie pour devenir archer.
Il demanda a certains des gardes sous ses ordres de m'apprendre l'art du combat, ayant remarqué mon attrait pour les batailles de rue.

Les principale affaires qu'il "oublia" de transmetre furent celles d'un ami faisant partie d'une secte pratiquant les sacrifices humain " les Nharuspiciens".

Il continua sur sa lancée en protégant son beau frère qui avait la fâcheuse habitude de tuer ses adversaires lors de baggares de rue...

Je vous épargnerai aussi les autres méfaits qu'il a pu commettre grâce a son rang ainsi que ses maladresses telle que la fois où en s'entretenant avec humour avec moi il me laissa sous-entendre qu'il tuerai le premier venu, alors que le juge venais juste de paraître derrière lui, où encore la fois où il manifesta avec un groupe de brigands et de personnes de mauvaise compagnie devant le palais contre le jugement d'un bandit qui avait été déclaré coupable...

Bref toutes ces bévues lui valurent d'être congédié par le juge.
Je crois que c'est à peu près à cette époque que Sittelia disparue, même sa famille na jamais su ce qu'elle devint.
Mon frêre, très atristé d'autant plus que la date de leur mariage approchait, décida d'enfin prénommer ma soeur, en hommage à celle qui aurait dû integrer notre famille.

C'est ainsi que celle que l'on surnommait la boudeuse devint Sittelia Auberon.

Ma soeur étant trop jeune ne comprit que plus tard d'où venait ce prénom.

Quand à Sir Auberon il parti une nuit d'Eléasias, par une de ces canicules habituelles ce mois de l'année.
Ce n'est que le lendemain que ma soeur et moi nous apprîmes son départ, j'aime à penser qu'il traque sa belle dans tout féerune....

Pour ma part je ne l'ai jamais revu. Désormais seul pour nourir ma soeur devenue adolescente je m'engageais comme mercenaire dans les differentes armées du royaume.

Lors de mes campagnes je recevais des courriers de ma soeur me racontant ses escapades dans la nature, ses rencontres avec les animaux et l'intérêt de plus en plus grand qu'elle connaissait pour les balades au coeur des forêts du royaume.

Je me rappelle encore sa derniere lettre, m'annonçant de ne plus lui envoyer d'argent car elle avait décider de voyager, de courir les bois pour devenir rôdeuse...

*reste quelques temps songeur, laissant aparaître toute la tristesse qu'il ressent dans ses yeux*

Elle aussi jamais je ne l'ai revu.

*repose sa plume, l'émotion étant trop grande pour continuer*
Citation :
desoler j'ai du mal a ecrire je suis guerrier...
"- Ne sais-tu pas jeune padawan que la plume est plus forte que l'épée ?"

A défaut de savoir comment s'écrit un mot, utilise le correcteur orthographique de JOL.

Répondre

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés