[Concours] La fine plume du bar (gros lolot à gagner : du sayxe) [ +18 ans inside ]

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Salut Bar.

Et salut à tous. Je vous propose un concours, sans obligation de participation ou même d'achat. Je vous explique le principe, il est fort simple :

Certains auront remarqué que j'arrête pas de parler d'un foutu bouquin que j'écris. J'imagine que bon nombres d'entre-vous s'en tamponnent royalement le coquillart. En fait, mon concours s'adresse plutôt à ceux qui sont passionné de lecture, mais surtout, d'écriture.


AVANT PROPOS OU AW TIME


Je m'explique. Je publie actuellement les chapitres de mon livre, sur fessebook, au fur et à mesure. Je cible 30 chapitres et je suis en train d'écrire le 17 ème actuellement (j'en ai encore quelques uns déjà écrits, dont la fin notamment). Et j'ai donc créé un groupe Facebook réservé à mes amis, ainsi qu'à leurs amis à eux. Pour pouvoir me lire, il faut faire la demande, et s'inscrire donc. Et comme je n'ai même pas 50 amis réels sur faceprout, j'ai décidé de ne pas dépasser 50 lecteurs (j'ai pas envie d'me faire piquer mon idée bordel).

Alors voilà ce que moi je vous propose. Que tu sois lecteur avide ou même juste un simple geek de base, que tu m'aime ou que tu me déteste.. je t'offre la chance unique d'avoir accès au contenu de ce groupe de lecture.

Oui oui tu lis bien. Imagine.. toi qui me hais tant.. tu pourrais télécharger tous mes chapitres et aller les diffuser sur des forums JV.com, même les balancer ici-même pour que tout l'monde se foute de ma gueule, qui sait ce que ton imagination diaboliquement féconde pourrait imaginer.

Et toi qui m'aime à t'en taper la tête aux murs, toi qui rêve de descendre les doigts sous ta petite culotte ou sous ton caleçon américain, en te tripotant au rythme de ma musique et de mes mots..

Ah oui, car j'ai oublié de vous préciser un truc. Mon bouquin est conceptuel. Comme je fais aussi de la musique, bin j'écris une sorte de livre musical. Le héros, est lui-même producteur de MAO et je parle donc des morceaux que je compose, mais à travers son histoire à lui (le héros donc). Et sur Facebook je mets les liens vers les différents morceaux qui correspondent à différents chapitres.

Bon j'crois qu'y a que ma maman jusqu'à présent qui les écoutes en lisant. Mais elle m'a dit que c'était génial et que mes compos correspondaient exactement à l'ambiance de mon livre. Normal me direz vous, c'est ma mère. Même quand j'faisais caca à 3 ans elle trouvait ça magnifique. Mais par contre, elle a raison sur un point. La musique colle parfaitement au récit, puisque ce récit, c'est l'miens. Enfin il est fictif, mais jonché de détails croustillants sur mon existence looseresque.

Alors je précise tout de suite : les puceaux, les - de 18 ans, les prudes, les chastes, les enfants violés ou battus, etc etc.. Passez directement votre chemin. Ce livre est à caractère hautement sexuel, et pas dans le sens bisounours du terme si vous voyez ce que je veux dire. C'est crade, c'est cru et c'est hyper malsain. Mais d'après certains, c'est tellement bien écrit, que ça parait même pas choquant ni vulgaire. Et je suis d'accord, vu que j'me relis toujours plusieurs fois avant de publier un chapitre. Si c'était d'la merde, j'pense que j'l'aurais remarqué depuis. Et j'pense pas que toutes mes potes et pratiquement toutes mes exs IRL liraient ça depuis bientôt un mois.

Bref, plutôt que vous raconter ma vie, j'vous posterez l'introduction, le prologue de mon roman juste après, dans le premier message qui suivra celui-ci. J'vous préviens, c'est plein de fautes, je suis une kiche en français, mais bon, quand j'aurai terminé j'le ferai corriger par maman, donc ça va.

Alors maintenant, revenons-en à vous.


LE CONCOURS


Comme je l'ai dis, je vous propose la chance unique de pouvoir être celui qui gagnera la place que je vous réserve dans mon groupe. Et cette place il n'y en a qu'une seule évidement, sinon ce ne serait pas marrant.

Donc si tu es majeur et vacciné, que tu as déjà vu un zizi ou une zezette en vrai, et même des nichons, et même du sperme, et même de la cyprine, et même des poils pubiens et que t'as déjà senti ton corps enfiévrer partir dans la 4eme dimension au moment de l'orgasme.. alors je te propose un petit jeu.

Je voudrais que pour me prouver ton envie de me lire (ou de te foutre de ma gueule même si tu veux tenter ta chance), tu me montre de quoi tu es capable. OUI TOI LA. N'importe qui, je m'en fous. Même si y en a qu'un qui participe, bin tant mieux pour lui, il aura d'office gagné ! C'est ti pas génial ça ?

Alors pour faire simple, je vous demande juste de me pondre un petit paragraphe (disons entre 10 et 100 lignes, comme vous voudrez c'est pas la taille qui compte toussa) sur un thème bien précis. Et j'ai décidé d'imposer certains mots pour éviter aux petits malins d'aller faire un ptit copier/coller en chopant un texte déjà tout fait. Vous pouvez toujours tenter de me duper en changeant les mots vous même, mais y a peu d'chance que vous soyez sélectionné.

Alors voilà le thème :

Un rapport sexuel (oral, vaginal, anal, qu'importe, même les ponneys sont acceptés).

Les mots obligatoires sont :

Sueur, équilibre, vibration, énergie, sensation, peau, odeur, harmonie.

Ca va, j'aurais pu mettre des trucs qui n'ont rien à voir avec le thème, mais je suis pas un sale chacal à c'point.

Et voilà, le concours est lancé. Inutile de préciser que pour gagner la seule et unique place du winner, vous avez intérêt à bien écrire, pasque moi, j'veux qu'ça m'fasse bander.

Alors à vous de jouer (ou pas).

Le concours durera une semaine à compter de maintenant (mercredi 28 novembre 2012 9:30).
INTRODUCTION du roman "J'aime ma soeur".

Le fait divers se passe dans une petite ville de province. Le genre de petite ville semblable à tant d’autres et unique en son genre. Les évènements se déroulent à notre époque, bien qu’ils auraient pu se passer dix ans plus tôt ou même plusieurs siècles. C’est une de ces tranches de vie intemporelle, dont le thème, bien que plutôt macabre, n’en reste pas moins banal. Heureusement ce genre de choses n’arrive que très rarement. Ou peut-être pas. C’est le genre d’incident qui prend racine au plus profond du cœur d’une famille et qu’on préfère ne pas ébruiter. Si bien qu’il est difficile de quantifier l’importance d’un tel phénomène, qui aux yeux de tous apparaît comme « exceptionnel », et tous l’espère, très occasionnel.

La famille en question est une de celles qu’on connaît à peu près tous. Le genre de famille sans histoire mais au passé lourd et chargé. Un père et ses deux enfants. La mère est morte à la naissance du second, une fille. Le premier est un garçon de dix ans son aîné. Depuis la mort de sa femme, le père n’est plus que l’ombre de lui-même. Le parfait cliché d’un roman de gare. Un mourant parmi les vivants, ne fonctionnant plus que par automatisme, en attendant de rejoindre enfin celle qu’il chérissait tant. Et dans son esprit tortueux, le plus tôt serait le mieux. Il démissionna inconsciemment de son rôle de tuteur, n’étant plus capable d’appliquer la moindre forme d’autorité ou de témoigner la moindre marque d’affection. Il se contentait de ramener l’argent à la maison, d’en boire une bonne partie et laissait les enfants s’occuper du reste.

Depuis sa plus tendre enfance et par la force des choses, le garçon fut donc obligé d’endosser les responsabilités d’un père tout en essayant de conserver son rôle de frère. Il perdit progressivement celui de fils, en devenant « l’homme de la maison ». Il s’occupait de la paperasse administrative et des tâches quotidiennes, bientôt secondé par sa sœur quand celle-ci fut en âge de mettre la main à la patte. Très tôt, il trouva refuge dans la musique. Le seul moyen pour lui d’extérioriser ce qu’on ne lui avait jamais apprit à exprimer avec des mots. Ses mots étaient des notes, ses phrases des mélodies, ses pensées des morceaux bâclés que lui seul comprenait. En quelque sorte, il composait la bande originale de sa vie. Des mélodies tantôt psychédéliques, tantôt mélancoliques, tantôt violentes, le tout accompagné de rythmes tantôt calmes, tantôt déstructurés, tantôt agressifs. Il ne réfléchissait pas vraiment sa musique, chez lui tout était compulsif. C’était simplement le reflet de son âme, coulant au gré de son inspiration, rythmé par le quotidien et ses répercutions. Il ne faisait jamais écouter ses créations. Il n’avait pas pour ambition de la vendre ou de devenir célèbre. Il composait pour lui, pour évacuer toute la pression, pour canaliser toutes ces frustrations, pour exulter toute cette douleur qui le tiraillait de l’intérieur et depuis si longtemps. C’était sa thérapie, c’était comme ça. Pas très efficace mais diablement salvatrice.

Toujours enfermé dans sa chambre, on ne pouvait entendre au dehors que quelques bribes de sonorités très aigües et ressentir la pulsation lourde des basses, qui se répercutaient telle une onde de choc dans tous les murs de la maison. Le reste, il le gardait secrètement et jalousement pour lui, la plupart du temps dans son casque. Il ne poussait les décibels que très occasionnellement sur ses énormes enceintes, essentiellement la journée, quand son père était à l’usine et sa sœur à l’école. Lui ne travaillait pas. Il n’avait même pas terminé ses études secondaires. En dehors de sa bande de potes, qu’il fréquentait pour s’approvisionner en alcool, en drogues et en sensations fortes, il vivait une relation tumultueuse avec une jeune étudiante en archéologie. Son couple était perpétuellement mis en danger par le conflit intrinsèque à leur nature fondamentalement opposée. Elle se passionnait et apprenait à déterrer des témoignages et des souvenirs du passé alors que lui passait son temps à tenter de les enfuir au plus profond de l’oubli. Ce qui donnait sans arrêt lieu à des querelles de fond qui finissaient systématiquement en débats interminables sur la forme. Mais pour l’instant ils y trouvaient chacun leur compte, compensant un manque évident de compréhension mutuelle par une complicité hautement sexuelle. Il l’aimait.. probablement. En fait il n’en savait rien. L’amour était une notion très surfaite à ses yeux. Mais surtout un sentiment trop complexe qu’il n’arrivait même pas à exprimer à travers sa musique, trop simpliste. C’était surtout un sentiment bestial, incontrôlable, faisant ressurgir farouchement les pulsions et les émotions emmagasinées par des siècles et des millénaires de patrimoine génétique. Et il ne supportait pas perdre le contrôle. C’était inconcevable pour lui de s’abandonner à autre chose que sa musique. Encore moins pour une fille. Pour une future femme. Comme cette mère passée, qui l’avait brutalement abandonné, quand il avait tout juste dix ans.

Heureusement il y avait sa sœur. Son joyau, sa couronne, sa raison de vivre et de se battre. Sans elle, il n’aurait jamais trouvé la force de se lever chaque matin. Sans elle il lui aurait été impossible d’affronter cette société avec laquelle il estimait être en parfait décalage. Elle était sa raison d’être et d'exister. Et sa propre vie à lui, n’avait d’autre utilité que de rendre celle de sa sœur plus agréable, plus belle et moins difficile à supporter. Il espérait que contrairement à lui, elle ne voyait pas la vie avec autant de fatalité et de pessimisme. Et il s’employait à tout faire pour que cela n’arrive jamais. C’était sa princesse, son talon d’Achille, il ne savait rien lui refuser. Il cédait au moindre de ses caprices comme on craque devant les yeux de biche de ce petit chaton dans la vitrine. Elle le savait pertinemment, et elle en jouait, telle une virtuose de la manipulation sentimentale. On aurait pu penser qu’elle n’était rien d’autre qu’une petite peste pourrie gâtée, mais ce n’était pas le cas. Elle n’était pas ingrate et faisait son possible pour soulager le fardeau des épaules de son frère, quand elle le pouvait. Elle savait quand se permettre d’abuser de la faiblesse de ce dernier. Tout comme elle savait quand il fallait être sérieuse, respectueuse ou même silencieuse. Elle connaissait sa place, et jusque là, tous les deux n’avaient jamais connu de réelle dispute. Et tous deux savaient qu’ils n’avaient personne d’autre sur qui compter vraiment. Car ils étaient leur seule famille. Leur père ayant depuis longtemps renoncé à sa vie de famille, à sa vie « ici bas ». Enfin à sa vie tout court en fait. Ils étaient seuls au monde, entourés d’étrangers, de gens de passages, d’ombres impersonnelles, dans un environnement hostile. La seule balise de détresse, la seule bouée de sauvetage, le seul dénominateur commun à chacun, c’était l’autre.

Il s’appelait Clément, elle s’appelait Capucine. Leur mère aimait les noms en « C ». Elle aimait aussi les fleurs et les fruits. Les petites choses de la vie peuvent parfois engendrer de grandes tragédies. Comment aurait-elle pu savoir ? Au départ, c’était juste des noms..

PS : désolé pour la mise en page, ce forum est une vraie daube haha.

EDIT :

Et en exclusivité mondiale, le futur tube planétaire qui m'a inspiré toute l'histoire il y a plus de 3 ans, alors que j'allais chez ma meuf pour tirer un coup en l'écoutant sur mon Ipod :

Citation :
Publié par Joe Suis Ton Père

Ca va, j'aurais pu mettre des trucs qui n'ont rien à voir avec le thème, mais je suis pas un sale chacal à c'point.
Pourtant, ça aurait été mieux. Où est le challenge ?
[Concours] La fine plume du bar (gros lolot à gagner : du sayxe) [ +18 ans inside ]
Sympa , sa donne envie d'en lire plus , meme si lire de la lecture erotique , bof pour moi
J'ai pas dis que c'était un livre de fesse hein. Le cul n'est qu'une façon détournée d'attirer les mecs (vu qu'y a que des meufs qui me lisent pour l'instant) et d'aborder les vrais sujets de mon histoire.

En fait, c'est un polar noir psychologique et totalement surréaliste. Mais ça, on s'en rend compte qu'à la fin. Et là c'est un peu tard pour se dire "merde, j'voulais pas lire ça moi bordel" !

Edit : Le challenge c'est d'arriver à me faire bander. Et si vous saviez à quel point je suis exigeant niveau sexe, vous comprendriez que le challenge il est balaise. Moi j'bande pas sur n'importe quoi. Perso en écrivant le pire chapitre de tout mon livre, je bandais comme un fou. Faut dire qu'imaginer son ex.. bref. Vous voyez un peu ?
Euh, si, visiblement, tu bandes sur n'importe quoi.
Et je persiste à dire que demander à placer ludion - anathème - surréaliste - dragée - casque aurait été plus judicieux...
Bin l'truc c'est que c'est moi qui décide et pi c'est tout. Au final, personne vous oblige à quoi que ce soit. Mais ceux qui veulent tenter leur chance, eux, ils ont pas trop l'choix.

Et les floodeurs sont bienvenus, tout comme les trolls d'ailleurs. Comme ça le sujet restera actif jusqu'à la semaine prochaine, quand je ramasserai les copies. Au pire, si y a juste du flood, on le fermera et ce sera tout aussi bien. Perso moi j'ai rien à y gagner à part passer un agréable moment à lire des chouettes pavés, pour changer.

Edit pour en dessous : Celui qui gagnera aura droit à une tof de ma bite en érection dans sa boite à MP, et il ou elle saura par là même qu'il ou elle a gagné.

Dernière modification par Joe Suis Ton Père ; 28/11/2012 à 10h19.
T'es sérieux, en plus ? (nan, mais vu où tu postes...) (et quand il est question d'écriture, je ne floode ni ne trolle)

[Modéré par Selty.]

Dernière modification par Compte #96347 ; 28/11/2012 à 18h31.
Bin j'ai dis que le ou la gagnante aurait le droit d'me lire nan ? Et moi j'espère bien le ou la faire bander si il me lit un jour. Comme moi j'bande quand j'écris en fait. Comme quand j'fais d'la zik.

Bander c'est une expression avant tout. J'bande pas toujours par la bite hein. Mais là pour que ce soit plus attractif, je suis pret à vendre une partie d'mon corps. Après tous, les artistes, c'est des prostiputes comme les autres au final non ?
Citation :
Publié par Joe Suis Ton Père
Mais là pour que ce soit plus attractif, je suis pret à vendre une partie d'mon corps.
Pitié personne n'écrit svp !!!!
Citation :
Publié par Glor
Tu nous donnes quoi en échange d'une non participation?
Son texte avec ses mots imposés, sans doute...
Heu sérieusement j'ai jamais étudié la littérature ni quoi que ce soit, à part le "français" à l'école. Alors bon, j'dis pas que j'ai un talent de malade, mais d'après certaines personnes oui j'en ai, malgré les fautes et les tournures de phrases parfois complètement tordues (vous pouvez pas vous en rendre compte juste avec l'intro, le sommet de mon art se trouve au chapitre 11 et 12 où je manie la langue comme j'ai rarement réussi à l'faire).

Ah oui j'disais ça pour Sev' à la base, qui fait genre "han j'ai pas d'talent". Tututut, avant d'dire ça, pourve-le qu't'en as pas. Si tu m'dis, pas motivée, ok là j'comprendrais.

Houla, on me fait signe que je n'rentre plus dans mes pompes. Je vais aller dégonfler un peu en prenant du sommeil (2 nuits blanches de suite j'crois que c'est un peu risqué pour la santé, me semble que 3 c'est la limite). Bref, j'espère qu'y aura au moins une personne qui aura envie d'écrire un truc, histoire que j'ai un truc à lire aux chiottes demain, en lisant mon café.

Bref bonne nuit.
Citation :
Publié par Joe Suis Ton Père

Bref, j'espère qu'y aura au moins une personne qui aura envie d'écrire un truc, histoire que j'ai un truc à lire aux chiottes demain, en lisant mon café.
(C'est pas en étudiant la littérature que tu deviens écrivain, mais c'est un autre débat.)

C'est après l'avoir bu, ton café, que tu pourras le lire.

Pour ma part, ç'aurait été volontiers, mais là, entre ma nouvelle à terminer, mon texte à écrire pour vendredi (avec des mots imposés, si si si - d'ailleurs si les jeux d'écriture t'intéressent, tu peux toujours me mp) et mon nouveau roman, je vais avoir un peu de mal...
Dis surtout que t'as pas le level pour me faire bander.

J'copierais bien un passage de mon livre pour vous montrer que moi si j'veux, j'peux en faire bander 2-3 morts de faims ici.. mais j'ai tendance à écrire très hors charte, sans pourtant utiliser le moindre terme sexuel.

Bref, j'espère qu'y a pas qu'toi qui aime bien écrire dans l'coin

N'ayez pas peur hein les autres, j'vais pas m'foutre de votre gueule ou quoi hein. C'est pas du tout l'but de ma démarche. J'suis justement convaincu qu'y a des pépites ou des diamants bruts dans l'coin, qui demandent juste à êtres taillés. Et j'vous demande pas d'ma tailler une pipe hein, j'ferai aucun favoritisme.

Si c'est un sale con que j'aime pas qui doit gagner, bin il gagnera. Oilà, je.. bref.
Faire bander des morts de faim... Ouais. Bravo. Faut applaudir ? Vas-y, balance ton extrait, je suis curieuse.

Demande donc à mon éditeur si je n'ai pas le level.
La preuve que le ridicule ne tue pas, je balance un paragraphe du Chapitre 11 :

A ce moment du récit, Clément aurait été bien incapable de comprendre la moindre ligne, ou ne serait-ce qu’un seul mot, du paragraphe précédent celui-ci. Il était perdu, et d’ailleurs très loin. Dans le noir et dans sa tête. Il ne se contrôlait plus. Il avait abandonné toute retenue possible. Il ne tenait plus qu’à un fil. Plutôt un cheveu. Il agrippa d’ailleurs ceux de sa dealeuse de drogue sensuelle. Il allait jouir dans la seconde. Et il savait bien que sa succulente amie, n’aimait pas qu’on se répande en paroles grossières, dans sa fine bouche. Il n’arrivait pas à parler, et tenta donc de la dégager de son entre-jambes. Mais la bergère de son cœur éloigna les pattes de cet agneau blessé, en utilisant ses petites mains. Elle avait en cet instant, plus de force que lui. En tout cas plus de pouvoir. Car elle détenait la volonté de son doux chiot, au fond de sa propre gamelle. Et il ne pouvait désormais plus lutter contre son désir à elle. Elle exigeait qu’il s’accomplisse en elle. Car Gabrielle savait qu’il aimait ça, à la folie. Et parce qu’elle l’aimait également, de cette même dernière façon. Alors, dans un dernier vas et viens, elle ferma sa grande et belle bouche, enrobant sa friandise de ses lèvres sucrées, et la lécha en verlan, une suprême et NTM-iènne fois.


Merde j'y comprends rien à c'forum, on peut même pas mettre d'alinéa à la première ligne ni justifier le texte. BREF DESOLE mais ça donne vachement mieux en format "lecture" dans word :/

Edit : par contre cette mode des vidéos à toutes les pages des topics commence à me bourrer le cul. Déjà pasque j'ai un ordi de merde et que ça prendre 3 plombes pour afficher une page dès qu'y a du contenu vidéo, et surtout pasque j'trouve ça vraiment pathétique. Genre j'ai rien à dire, j'ai aucune éloquence, alors j'balance une vidéo. Genre le "MDR SALACIOUS" que tout l'monde pompait à l'époque quoi. Bref. Sinon j'ai pas dis que mon extrait était "bandant" mais c'est un des seuls qui soit pas hors charte :/

Re Edit Lili : Ton éditeur je l'en.. tends pas de la même oreille que toi tu sais. Moi j'en ai rien à foutre que tu sois Bernard Henri Levi ou Jean Dormesson ou l'autre grognasse qui bouffe des trucs pourrits là. Tout ça pour dire que j'te demande pas de m'écrire un roman hein. Juste un paragraphe, ça va pas te tuer. T'façon, au pire, t'as pas envie d'participer, j'vais pas insister hein. Tu fais c'que tu veux, mais moi j'aurais bien aimé savoir si t'étais capable de m'faire bander

Dernière modification par Joe Suis Ton Père ; 28/11/2012 à 11h23.
Citation :
Publié par Lili*
Demande donc à mon éditeur si je n'ai pas le level.
T'as écrit quoi ?
C'est rempli de stars ce forum !!!

@JSTP : la flemme surtout !
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