Pharor, guerrier à la volonté d'acier

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[hrp] Tiens, il m'a l'air bien ce forum, je crois que je vais poster mon RP ici... Bonne lecture à ceux qui poseront les yeux sur ce sujet! [hrp]

Un libre brigand prisonnier des rêves

13 Descendre 638, les ruelles pauvres de Bonta.

Une jeune sacrieur âgé d'une dizaine d'année cours sans relâche pour échappé à ses poursuivants. Le souffle haletant il se cache dans une étroite ruelle avec sa miche de pain volée. Sans le remarquer, son poursuivant le boulanger, passe sans le voir. Rassuré, le jeune garçon se laisse tombé sur le sol gelé. Il avait des engelures partout sur les pieds, mais étant pauvre il n'avait pas le choix. Pensant à ses priorités, il se leva de toute urgence et s'enfonçant plus loin dans la ruelle. Choissant un chemin précis, il se dirigea vers un coin secret de Bonta que même la lumière du soleil ne pouvaient pas atteindre. Il arriva devant un cul de sac. Au fond de celui-ci se trouvait une grande boîte avec quelques rares morceaux de tissu. Son logis.

- Lumina! Tu peux sortir, c'est moi Pharor!

Rapidement, une jeune fille à peine âgé de six ans sortir de la boîte pour se jeter dans les bras de son frère.

- Tiens, j'ai réussi à nous obtenir du pain aujourd'hui. Je te l'offre, il est pour toi seulement.

- Mais toi, tu n'as pas mangé? dit-elle inquiète.

- J'ai mangé en cours de route, ne t'en fais pas mentit-il.

- Grand frère, tes pieds son encore bleus...

- Ça va aller, je ne sens rien. Et puis... Ne trouves-tu pas que le bleu est une jolie couleur? Allez, va te réchauffer, tu sais bien qu'il ne fait pas aussi chaud qu'en Fraouctor.

Les deux enfants entrèrent dans leur repaire improvisé, se cachant du froid lancinant de descendre. Cela faisait maintenant un ans qu'il avait perdu leurs parents dans cette éternelle guerre entre Bonta et Brâkmar. Sans parents, ils durent subvenir à leurs besoin d'eux-même. Mais ils n'étaient pas malheureux. Malgré leur pauvreté, Pharor veillait sur sa soeur et il faisait passé ses besoins besoins avant les siens. C'était son trésor et pour lui tout ce qui comptait c'était qu'ils soient ensemble. Un air joyeux sur le visage, la fillette mangea jusqu'à la dernière miette le repas apporté par son frère. Elle se doutait qu'il n'avait rien pris, mais n'ayant rien mangé depuis longtemps elle ne pu retenir son instinct de survie qui lui incitait de remplir son ventre. Avec un sourire remplie de gratitude, elle dit à son frère de tendre la main et fermer les yeux. Elle déposa un objet dans celle-ci. Pharas ouvrit les yeux.

- C'est pour moi?

- Oui, je l'ai fait avec ce que j'ai trouvé.

Un collier. Une simple corde auquel était attaché trois feuilles d'arbres vertes. Malgré la faible valeur de l'objet, Pharor était content que sa soeur lui offre quelque chose.

- J'ai pris ces dernières feuilles dans un arbre éloigné d'ici, c'était les dernière. Ce qui a attirer mon attention, c'est sa couleur verte encore fraîche malgré ce temps froid. Il semblerait qu'elles ne soient pas affectés par les saisons... J'espère que tu le portera, pour ne pas m'oublier.

- Bien sur que je le porterai. Et puis, comment pourrais-je t'oublier? Tu es ma soeur et tu restera toujours près de moi... Toujours près de moi...

Malheureusement, il y a une fin à chaque histoire...

- Pharor.

Lentement, le sacrieur ouvrit les yeux, presque à avec regrets. Une fois de plus, ses rêves du passés le hantait. Comment avait-il pu se faire séparé d'elle... Cette blessure ne guérirait probablement jamais. Devant lui, son officier le regardait incrédule.

- Vous avez encore dormi chef? Vous savez que notre guilde brigande n'apprécie pas les fainéants, vous avez vous-même fait cette règle!

- Calme toi Garok, nous avons tous besoin de dormir de temps en temps... Pourquoi es-tu ici?

- Nous avons repéré une escorte qui arpente le sentier de notre territoire, nous pensions les dépouiller pour s'enrichir. Nous attendons votre accord.

- Faites comme bon vous semble... Je crois même que cette fois je vais venir avec vous, cela me fera oublier mes soucis pour un moment...

- Vous avez des problèmes chef?

- Faites comme si je n'ai rien dit, allez en route.

Le sacrieur se leva. Il avait maintenant 20 ans. D'une grandeur moyenne, il portait un long manteau doté d'un couvre-tête qu'il utilisait toujours pour se faire discret. Il avait les yeux vert pâle, les cheveux bourgognes et un tatouage ornait son épaule droite, signe d'appartenance à son clan bandits. Il maniait 3 armes. Sa première, un arc standard qu'il utilisait souvent depuis qu'il était bandit. D'un bois souple et resistant, il tirait ses flèches avec l'habileté d'un cra. Mais la n'était pas sa force. Ses deux autres armes, deux longues lames, étaient son principal atout. Il les maniait avec une dextérité surprenante que peu d'aventurier avait. Il était le leader de son clan grâce à sa volonté de fer. Jamais il ne laissait tombé et il restait toujours d'un calme froid quelque soit la situation. Mais il avait un points faible... Son temps en ce monde est limiter, dû à une maladie incurable il ne lui reste qu'une année à vivre. C'est la raison même de la fondation de son clan, il veut finir sa vie en tant qu'homme libre. Lui qui s'est fait imposer une limite de temps, il veut passer le reste de ses jours comme bon lui semble. Finalement, avant de partir, il ouvrit le tiroir de son bureau et pris un étrange objet qu'il mit autour de son cou. Un collier avec trois feuilles d'un vert pur auquel le temps n'a su infliger de dégâts. Il referma le tiroir et mit son couvre tête. Il sortie de son bureau et avec quelques brigands de sa guilde, il partie à la rencontre de l'escorte.
[hrp] Ça continue... Bonne lecture. [hrp]

Rencontre inespérée

La forêt était dense, parfaite pour cacher une bande de criminelles. Chacun alla à sa position, les archers dans les arbres et les arbalétriers dans les buissons sur le côté et Pharor dans un arbre prêt à surgir à leur arrivé. On commençâmes à entendre les sons d'une roue et la marche de quelques soldats... Ils étaient proches. Les archers bandèrent leur arc, près à agir sous le commandement de leur chef. La caravane arriva finalement près de leur position, il y avait seulement une dizaine de soldats qui avaient l'air peu expérimentés. Ce qui attira plus l'attention de Pharor était le carrosse tiré par les dragodindes qu'ils surveillaient.

<<Qui pouvait-il y avoir dans ce carrosse, une personne importante ça c'est sûr... La prendre en otage et demander une rançon serait bon pour les affaires!>>

Pharor attendis le moment propice quand celui-ci arriva, il sauta devant le convoie. Surpris, les soldats tirèrent leurs armes et firent un demi-cercle devant Pharor. Pharor prit la parole comme si il n'était pas conscient de la situation.

- Bien le bonjour vaillants soldats. Comme vous devez vous en doutez, je convoite le contenu de votre carrosse, je vous prierai donc de me le remettre sans histoire où sinon le prix en sera vos vies.

Pour terminer sa phrase courtoise, il fit une jolie courbette sans toutefois enlever son couvre-tête. Le capitaine, probablement le seul soldat expérimenté de la troupe, répliqua.

- C'est plutôt toi qui devrait gentiment venir vers nous sans faire d'histoire, les brigands sont très vite puni à Bonta surtout si il s'en prenne aux dirigeants de la cité.

- Un dirigeant vous dites? J'avais donc raison de m'en prendre à votre convoie! Je vous donne une dernière chance, vous partez où vous mourrez.

- On dirait qu'on aura une tombe à creuser aujourd'hui! dit-il en en fonçant sur Pharor, lance sortie.

- Ça me déplais autant que toi, surtout que je devrai en faire plus!

Le combat commença. Essayant de le maintenir à distance, le capitaine essaya de l'embrocher avec sa lance mais l'agilité de Pharor, un domaine où il excelle, prit le dessus. Il se glissa le long de la lance pour donner un uppercut au capitaine qui tomba sur le sol. Sans même sortit une arme, il l'avait désarmé. Furieux, le soldat se releva et sortie son épée. Pour ne pas prendre de risque, Pharor sortie les siennes. Sa prudence lui sauva la vie, le soldat était beaucoup plus habile à l'escrime qu'à la lance. Mais pas plus que lui. Il devra le féliciter pour pouvoir parer ces coups mais cela ne sera pas suffisant pour gagner. Il fit une attaque croisée, que le capitaine bloqua avec difficulté. Pharor donna ensuite un coup de pied dans le ventre qui le fit plier et il fini de l’assommer avec la garde de son arme. Les autres soldats, furieux de voir ainsi leur chef maltraité foncèrent sur Pharor. D'un geste, le chef brigand donna l'ordre de tirer. Les flèches volèrent sur les assaillants, certains ne purent éviter le trait final qui les feront tombé dans l'oublie... Les survivants s'enfuirent en prenant avec eux leur chef.

- Pas si dur que ça... Je les avais pourtant prévenu. Il n'avait qu'à m'écouter. Allez, enterrez c'est corps, ils méritent tout de même un peu de respect! Pendant ce temps je vais allez m'entretenir avec notre otage...

Nonchalant, le chef brigand se dirigea vers le carrosse. Il cogna sur celui-ci.

- Allez sortez de là, nous n'avons pas toute la journée.

Rien.

- Si vous y tenez c'est moi qui entre...

Il tourna la poignée et jeta un coup d'oeil. Tout se passa rapidement. Il ne pu s'en sortir seulement grâce à ses réflexes aiguisés, il évita de justesse la dague que la dame voilée essaya de lui planté entre les deux yeux. Il en évita un, deux, trois, quatre et il attrapa finalement son poignet.

- C'est dangereux de jouer avec ça.

Il lui donna une gifle qui fit tombé son chapeau qui cachait son visage. Pharas resta bouche bée. Ces traits, ces yeux, ce nez, cette bouche... Elle ressemblait en tout points à elle!

- Lumina! C'est toi?
Sans prendre compte des paroles du bandit, la femme continua son attaque acharnée et maladroite sur celui-ci.

- Lumina, arrête c'est moi, ton frère Pharor!

Rien n'a faire. Pharor n'eut d'autres choix que de continuer de bloquer ses assauts. Il devait trouver un moyen de la raisonner ou de la neutraliser... Au moment où il s'y attendit le moins, un de ses hommes, Garok, parla.

- Regardez! Le chef est attaqué! Archers, tuez cette femme!

Rapides, les bandits pointèrent leurs arcs vers la femme et tendirent leurs cordes. Celle-ci, prise au dépourvu, ne su pas quoi faire et resta sur place, paralysée. Prit de panique, Pharor intervint.

- Non!

- Tirez!

Trop tard. Croyant son heure arrivé, la jeune femme ferma les yeux en attente de sa fin. Trouvant le temps d'une flèche un peu trop long, elle entrouvrit les yeux. Devant elle se tenait l'homme qu'elle, quelques secondes plus tôt, essayait de tuer. Même si il était de dos, elle pouvait aisément devinée qu'il s'était prit toutes les flèches... Ses hommes arrivèrent à son secours.

- Lumina... Je t'en pris ne repars pas...

Pharor s'écroula sur le sol, transpercé de sept flèches. C'était son occasion. Leur chef était à terre et ses hommes étaient encore loin pour l'arrêté. Elle pouvait s'échapper! Mais... Ses jambes étaient figées. Quelque chose la retenait ici. De l'inquiétude pour son sauveur? L'état de choc? La peur? Elle ne saurait le dire, mais une chose est sûr c'est qu'elle ne pouvait pas partir. Pourquoi... Pourquoi l'appelait-il Lumina? Qui était-elle? Quelle importance avait-elle pour lui? Pourquoi il avait dit ''ne repars pas'' alors qu'ils ne s'étaient jamais rencontrés? Trop de questions se bousculaient dans sa tête. Prise de mots de têtes, elle s'appuya sur le carrosse en attente de la suite des évènements. Pourvu que ses hommes soient trop occupés à s'occuper de leur leader que de sa vie. Si elle était chanceuse elle sera fait prisonnière. C'est ce qui arriva. Ses hommes n'étant pas idiots comprirent que leur chef n'avait pas fait ça pour rien. Ils prirent donc de la corde et attachèrent la jeune femme. Ils lui mirent aussi un sac sur la tête, afin que si pars erreur elle s'échappe, elle ne puisse pas retrouver son chemin. Les autres bandits examinèrent leur chef, Garok le premier.

- Pharor! Reste éveillé Pharor!

Aucune réponse, il était inconscient. Peut-être mort.

- Vite! Apportez quelque chose pour le transporter! Surtout ne le bouger pas! Le carrosse là-bas sera parfait.

Il pointa soudain deux bandits aux hasard.

- Vous! Aller chercher un éniripsa pour le soigner!

- Mais si il ne veut pas le soigner? Nous sommes pas des bandits de bas étages, personne ne viendra pour le soigner!

- J'en est rien à faire! Menacé le si il ne veut pas! Si jamais vous revenez les mains vides vous ne resterez pas vivant assez longtemps pour voir la nuit! Aller, partez!

- Ou... Oui! Tout de suite!

Tous les bandits quittèrent la place. Songeur, le bras droit de Pharor alla interroger celle que leur leader appelait Lumina mais elle n'était pas plus avancé que lui. Rageur, il retourna à l'avant de la marche. Jamais auparavant Pharor ne s'était jeté devant un de ses hommes pour la moindre blessure et aujourd'hui il avait pris sans hésité sept flèches pour une parfaite étrangère, riche soit-elle. Il est vrai que la tuer a été une décision un peu prématurée, mais ça ne valait pas la peine de se prendre sept flèches...

- Garok, nous sommes arrivés.

- Parfait, amenés la prisonnière dans le sous-sol. Elle sera prisonnière jusqu'au réveil de Pharor. Si jamais il ne se réveil pas, nous la tuerons. Tant pis pour la rançon.

- Mais elle pourrait nous rapporté beaucoup...

- Si elle n'avait pas attaqué le chef nous n'aurions pas eu à tirer! C'est de SA faute, est-ce bien clair?

- Oui!

Ils entrèrent dans leur repaire et enfermèrent la prisonnière de plus en plus soucieuse sur son sort. On peut dire que cette journée n'était pas la meilleur... Une question en ce moment obsédait touts les esprits: Quelle importance Pharor attachait-il à elle?
Bon alors, je commence par les mauvais points, d'accord?

- Tu fais pas mal de fautes d'orthographe, notamment de conjugaison et d'accord, tu devrais plus te relire, voire même vérifier dans un bescherelle les terminaisons sur lesquelles tu doutes.

- Tu pourrais moins aérer, là tu passes beaucoup de lignes, ce qui ne donne pas l'impression de lire un récit uni.

Maintenant les bons points 8D.

- On sent que tu as beaucoup d'idées, et que tu arrives à très bien te représenter les situations avant de les écrire.

- Tu possèdes une bonne maîtrise des constructions de phrases, ce qui fait que l'on ne s'ennuie pas.

- J'aime les prénoms de tes personnages.

Continue, j'aimerais beaucoup lire la suite, mais bon dieu, édite, et corrige moi ces fautes! (Si tu veux je peux te le faire par mp).
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