Post-Licence droit, M1 à Paris ?

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Bonjour chers amis.
Jol étant un vivier de juristes étudiants ou en activité je viens demander des conseils.
Actuellement en L3 droit privé en province (bon Tours) j'ai quand même envie de monter sur Paris pour mon M1 et taffer comme un gueudin pour mon m2.

J'tire le 12 de moyenne sur ma licence (mention AB sur ma licence à la fin de l'année j'espère) sans trop peiner.

A votre avis, monter en M1 (droit privé général qui m'a l'air pas mal, voire le master un peu plus centré sur la justice et le procès même si en M1 je préfère avoir une formation plus générale) à Paris I Panthéon Sorbonne semble-t-il jouable ?
Une sélection s'opère-t-elle ? Si oui puis-je espérer ?
Paris II même si le master 1 carrières judiciaires m'a l'air pas mal intéressant aussi me semble inaccessible puisque les transferts sont possibles là bas qu'à partir de 14 de moyenne sur l'ensemble du cursus universitaire (ouch, j'aurais du aller à une fac de campagne parce que sortir ça me parait ardu).

Bon voilà j'espère avoir fait comprendre ma requête.
Des avis, expériences et conseils ?

Merci beaucoup !
Pourquoi monter à Paris ?
Franchement changer d'air, me relancer niveau motivation et parce que ma copine est en médecine et monter avec moi cette année là lui sera plus profitable.
Puis faut pas se le cacher y'a objectivement un "meilleur" niveau à Paris.

Spécialité ?
Le droit des affaires si j'réussis à sortir du lot ! Sinon j'ai vu pas mal de choses m’intéressant je suis assez open , une spécialité vers le pénal m’intéresserait aussi (visant secrètement la profession d'avocat).
J'ai aussi apprécié le cours de droit fiscal en Licence, pourquoi ne pas tenter le M1 de droit fiscal ou bien rester dans le M1 droit privé et l'orienter sérieusement sur ces questions.

Edit: damn Paris I a viré ses maquettes qui sont en refonte
Tu ne devrais pas avoir de problème pour entrer à Paris I en M1 si tu as mention AB en L3. Le plus dur sera de rester pour le M2

Par contre, évite absolument les M1 de merde style "carrière judiciaire", ça n'amène à rien. Concentre toi sur les M1 généralistes, je pense notamment au M1 droit des affaires ou M1 droit privé.
En ce qui concerne les M1 droit privé et droit des affaires les places sont extrêmement restreintes en ce qui concerne les transferts. Je sais que la major de ma promo (p12) qui était à 15 n'a pas été admise en m1 droit privé et s'est orientée vers le m1 justice et procès comme à peu près tous les gens que je connais. Concernant l'ufr 05 le problème est le même, personnellement avec 13,5 de moy gen sur ma licence et major en sociétés à 16 j'ai été admis en droit international de affaires et non en affaires qui était mon premier choix.

Dans tous les cas rien ne t'empêche de faire plusieurs dossiers et pourquoi pas de postuler autre part. D'autres universités de droit parisiennes proposent également d'excellents m2.
Message supprimé par son auteur.
Tu as également la possibilité de booster ton dossier en envisageant dès la fin L3 un stage cet été, mais bon sans contacts c'est tendu surtout quand l'on voit la difficulté que l'on a à trouver à un stage en m1.
Ce que tu peux faire également c'est d'envisager de t'inscrire en IEJ en même temps que ton m1, beaucoup de gens font ça, mais adieu ta vie sociale surtout si tu as une copine.

Après comme dit Kerjou, les M2 réputés sont ultras bouchés par les doubles cursus, fillière spe@magistère etc.
Pour un étudiant plus lambda, ce genre de M2 n'est envisageable qu'après un 1er M2 plus abordable + quelques stages pour dorer un peu ton parcours.
L'important est de ne pas se décourager, juste prendre conscience de certaines réalités, après si tu as la volonté tu y arriveras.
Citation :
Publié par Zenith ~
En ce qui concerne les M1 droit privé et droit des affaires les places sont extrêmement restreintes en ce qui concerne les transferts. Je sais que la major de ma promo (p12) qui était à 15 n'a pas été admise en m1 droit privé et s'est orientée vers le m1 justice et procès comme à peu près tous les gens que je connais. Concernant l'ufr 05 le problème est le même, personnellement avec 13,5 de moy gen sur ma licence et major en sociétés à 16 j'ai été admis en droit international de affaires et non en affaires qui était mon premier choix.
Tu parles bien de l'UFR 05 de Paris 1? Dans ce cas là j'avoue ne pas comprendre puisque moi je suis passé en M1 droit des affaires l'année dernière avec 14 de moyenne sur la licence.

De toute manière qui ne tente rien n'a rien. Donc si le souhait de l'OP est de faire un M2 à Paris 1 ou 2 autant qu'il entre en M1... ces facultés (comme toutes d'ailleurs, seules les proportions changes) favorisent toujours un peu leurs étudiants.

Et je réitère : M1 et M2 carrière judiciaire c'est vraiment le truc à éviter, d'autant plus si on loupe les concours.
J'ai dû voir tous les cas, entre ceux qui sont restés dans des petites facs de droit de Province, ceux qui sont restés dans des grosses facs de droit de Province, ceux qui ont fini leurs études à Paris, et ceux qui sont partis à l'étranger. Chacun avait des arguments à n'en plus finir sur le fait que son choix était le meilleur.
Au final, ceux qui étaient doués ont réussi, quelle que soit la fac. Et les autres n'ont pas fait grand chose.

A mon sens, le choix le plus judicieux, suppose déjà d'avoir une idée plus ou moins précise du métier qu'on vise. Parce que, sans plan, les chances d'atteindre son objectif sont faibles. Et de viser ensuite une faculté qui propose une formation de qualité en vue du métier en question (mais, heureusement, Paris n'en a pas le monopole). Je ne connais pas la faculté de Tours. Mais, je serais dans ton secteur, j'envisagerais des facs comme Nantes ou Rennes aussi sérieusement que Paris I ou Paris II.
Citation :
Publié par Smb
ces facultés (comme toutes d'ailleurs, seules les proportions changes) favorisent toujours un peu leurs étudiants.
J'ai peut-être eu un directeur de master particulier, mais après un premier M2 à Toulouse, j'ai postulé pour un autre M2 à Paris I où j'ai été accepté. Entre le tiers et la moitié de la promo était issu d'une fac extérieure (autre Paris ou province).
Citation :
Publié par Cocodupe
J'ai peut-être eu un directeur de master particulier, mais après un premier M2 à Toulouse, j'ai postulé pour un autre M2 à Paris I où j'ai été accepté. Entre le tiers et la moitié de la promo était issu d'une fac extérieure (autre Paris ou province).
Ce qui laisse quand même un bon gros tiers pour les étudiants internes
On est loin cependant de la proportion de certains M2 bordelais (la proportion monte à 90%...) pour ne citer qu'eux.
Ils ne font pas non plus en faire une généralité, mais les facultés parisiennes ont quand même tendance à considérer qu'elles recrutent au niveau national (censément les meilleurs), alors que les facultés provinciales ont souvent tendance à privilégier leurs rejetons. Ça se retrouve à tous les niveaux, d'une candidature à un M2, à la recherche d'un poste de maître de conférences.
Vous me faites peur, je souhaite entrer en M1 à Paris pour ensuite y rester en M2.

Citation :
En ce qui concerne les M1 droit privé et droit des affaires les places sont extrêmement restreintes en ce qui concerne les transferts. Je sais que la major de ma promo (p12) qui était à 15 n'a pas été admise en m1 droit privé et s'est orientée vers le m1 justice et procès comme à peu près tous les gens que je connais. Concernant l'ufr 05 le problème est le même, personnellement avec 13,5 de moy gen sur ma licence et major en sociétés à 16 j'ai été admis en droit international de affaires et non en affaires qui était mon premier choix.
Vraiment ?
Bon bah on tentera et on verra. J'ai un an d'avance et je vais faire des "stages" cet été ça jouera peut être.
Ma licence est 4ème au classement SMBG (bon ça vaut ce que ça vaut) ça jouera peut être aussi.
Sniff Bétonnons le S6 !

Bon sinon si j'y suis pris en M1 c'est pour le bétonner et rester en M2 y'a pas photo.
Sinon j'bétonnerais dans ma fac et j'tenterais en M2 mais ça sera moins sympa.

Citation :
A mon sens, le choix le plus judicieux, suppose déjà d'avoir une idée plus ou moins précise du métier qu'on vise. Parce que, sans plan, les chances d'atteindre son objectif sont faibles. Et de viser ensuite une faculté qui propose une formation de qualité en vue du métier en question (mais, heureusement, Paris n'en a pas le monopole). Je ne connais pas la faculté de Tours. Mais, je serais dans ton secteur, j'envisagerais des facs comme Nantes ou Rennes aussi sérieusement que Paris I ou Paris II.
Tours est une bonne faculté, j'ai pas l'intérêt de bouger ailleurs qu'à Paris dans ma tête .

Citation :
Et je réitère : M1 et M2 carrière judiciaire c'est vraiment le truc à éviter, d'autant plus si on loupe les concours
Chez moi on a un master nommé "carrières judiciaires" mais les matières sont sensiblement celles d'un droit privé général. Mais sur P1 c'est vrai que ça a l'air différent.
Citation :
Publié par Sakoo
Tours est une bonne faculté, j'ai pas l'intérêt de bouger ailleurs qu'à Paris dans ma tête
Je ne sais pas qui est capable de juger du niveau d'une faculté. Il faudrait déjà s'entendre sur un ou des critères de classement, et avoir des données fiables de comparaison.
Mais le problème n'est pas celui du niveau. Le fait est que Tours est une petite université, cela dit sans être péjoratif. Je veux juste dire par là que, si elle offre certainement une excellente formation au stade initial, les débouchés en fin d'étude doivent quand même y être limités.

Juste un exemple sur un domaine que je connais bien. Sauf erreur de ma part, il n'y a ni CFPN ni DSN à Tours. Ce qui veut dire que, pour qui envisage la carrière notariale, il faudra à un moment ou à un autre voyager à Poitiers, Rennes ou Paris (depuis Tours, il me semble que ce sont les trois plus proches géographiquement). Après, c'est un exemple. C'est à adapter selon le choix qui sera le tien. Mais vue la vaste gamme des choix entre lesquels tu hésites, difficile de raisonner autrement que sur un exemple.
A mon sens, le plus judicieux, c'est d'aller le plus vite possible dans l'Université où on compte achever ses études, pour être dans une routine d'habitude lorsqu'il faudra mettre un coup de collier niveau boulot au moment où la sélection sera la plus forte, et pour éventuellement bénéficier de la prime au régional de l'étape (qui existe presque partout).

C'est pour ça qu'il est capital de bien jauger de son niveau, et de se placer stratégiquement là où on aura la formation où on pourra être au mieux. Personnellement, j'ai toujours eu du mal avec les remarques du genre "pour moi, c'est Paris ou rien". Ça me fait penser à ces jeunes footballeurs qui se voient plus beau qu'ils ne sont, signent sans réfléchir pour un grand club étranger où ils vont cirer le banc des remplaçants avant de tomber dans l'oubli, alors qu'ils auraient pu être des vedettes s'ils avaient choisi un club français.

C'est ta vie, tu fais bien comme tu veux. Si ton objectif c'est juste d'accrocher un M2 à Paris I ou Paris II, tu y arriveras sûrement. Même là, il y a des M2 sans grand débouché, où la sélection n'est pas si draconienne qu'on puisse toujours espérer y entrer pour peu qu'on ait une mention ou deux.
Après, quand on vise à faire des études pour décrocher un métier en rapport avec ses aspirations, je pense qu'il faut être un peu plus fin que ça, et savoir viser au mieux, sans être trop modeste, mais sans être trop prétentieux non plus. Mon propos n'est pas de rentrer dans le débat stérile où chacun se vante de ses notes, de son parcours, et de son M2 qui est le plus beau.

P. S. : on parle souvent de sa mention AB (voire mieux), mais en oubliant qu'à certains endroits elle est à 12, et ailleurs à 13. Mine de rien, en augmentant d'un point l'échelle des mentions, on réduit drastiquement le nombre d'élus. Et c'est un truc à prendre en compte quand on cherche à évaluer son niveau.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Kerjou
Grave, chez moi c'est à 13, faut s'accrocher :l

C'est con, j'ai validé ma L1 à 12+, j'aurai eu une mention, ça m'aurai servis a rien pour les concours adm (et même pour un M2)mais ça fait toujours plaisir
Y a des facs (je ne dirai pas laquelle ou lesquelles je vise en particulier) où non seulement la mention est à 13, et où il n'y a aucune mention donnée en fin de L1 ou L2. Elle ne l'est qu'à la fin de la L3 sur l'ensemble de la licence.
Avec en plus aucune compensation entre les semestres en L1 et L2, ni entre les majeures et mineures.
Les rattrapages ont lieu à la date anniversaire de l'examen : en clair, c'est un redoublement forcé déguisé si on valide pas. Sachant qu'il existe en plus un autre véritable redoublement si on s'est encore plus foiré.

En clair, pour valider faut :
-avoir la moyenne à chacun des semestres car pas de compensation
-avoir la moyenne à chaque groupe de majeures de chaque semestre, car les mineures ne compensent pas

Et on se retrouve avec des stats aberrantes où 15% des étudiants ont validé leur licence sans jamais redoubler (et 5% sans être passé par les rattrapages).
Alors faut redescendre un peu sur terre et s'estimer heureux de ce qu'on a déjà dans sa fac.

---
Y a des abrutis à la tête de nombreuses universités qui pensent que pour en faire une bonne fac, il faut casser un maximum les étudiants. Il faudrait qu'ils comprennent que c'est pas comme ça qu'on fait un enseignement "d'élite".
Message supprimé par son auteur.
Soulignons quand même que l'évaluation de l'AERES donne une bonne idée du niveau des universités et de leur formations. Ce n'est cependant pas un classement à proprement parlé, mais rien n'empêche de faire un classement des M2 au regard des notes données par l'AERES (c'est d'ailleurs selon moi le meilleur moyen de faire son choix).
Citation :
Publié par Smb
Soulignons quand même que l'évaluation de l'AERES donne une bonne idée du niveau des universités et de leur formations. Ce n'est cependant pas un classement à proprement parlé, mais rien n'empêche de faire un classement des M2 au regard des notes données par l'AERES (c'est d'ailleurs selon moi le meilleur moyen de faire son choix).
Je viens d'aller lire les rapports de l'AERES pour les facs/masters que j'ai connus, et c'est vrai que c'est très fidèle à la réalité
C'est vraiment un bon moyen de voir la qualité des masters, même si les notations se limitent à de simples A+, A, B et C.

ça montre les points forts et faibles des formations, ainsi qu'un bon résumé.

http://www.aeres-evaluation.fr/Publi...nismes-evalues

==> choisissez la fac, puis allez vers le bas de la liste pour trouver le rapport des masters.
C'est assez gros par fac, car y a tous les domaines au sein du même rapport, donc faire recherche "droit" dans le .pdf et naviguer ensuite
Vu que chez nous c'est la moyenne des 6 moyennes générales de licence pour avoir une mention je pense pas qu'énormément de gens vont avoir une mention quand même.

L'évaluation de l'AERES tend à être plus diffusée d'ailleurs j'en ai entendu parler que récemment (et elle vient confirmer que mes choix de masters sont bien évalués et correspondent à ce qui m’intéresse ).

Au travail !
Citation :
Publié par Smb
Soulignons quand même que l'évaluation de l'AERES donne une bonne idée du niveau des universités et de leur formations. .
Je n'en suis pas vraiment convaincu. Cette institution (récente) est symptomatique d'une époque qui veut tout noter, classifier, hiérarchiser. La presse se fait régulièrement l'écho de ce besoin en notant tout, les universités, les prépas, les écoles de commerce, etc. Je veux bien que HEC soit plus prestigieuse que la formation lambda à Trifouilly-les-Oies, mais de là à pouvoir hiérarchiser à ce point les formations.

L'évaluation de l'AERES reste quand même des plus superficielles. Il n'y a aucune évaluation du niveau des élèves au sortir d'une formation (c'est pourtant à ça qu'il faudrait s'attacher si on voulait juger du niveau d'un diplôme). Les éléments d'appréciation, qui ne sont pas sans rappeler les notes au patinage artistique, sont essentiellement formels.

Juste un exemple : l'école doctorale dont je dépendais il y a peu a été évaluée par 4 économistes et un juriste. Je veux bien qu'on m'explique ce que des économistes peuvent comprendre de l'intérêt ou non des thèses en droit sorties de l'école doctorale concernée. Donc, au final, le rapport ne s'attache qu'à des éléments formels : nombre de thèses par prof, durée des thèses, etc.
On retrouve autant de choses qui prêtent à sourire quand on regarde les M2 de la même université. Celui d'histoire du droit a été noté A+, parce qu'il a, entre autres, je cite, "une maquette cohérente". Celui de droit notarial, en revanche, n'a qu'un A, parce que le stage est trop court (pourtant il y a quand même 2 ans de stage après, dans le cadre du DSN).

Bon, après, c'est peut-être rassurant, ou flatteur pour l'ego, de voir que sa licence, son M1, son M2, ou que sais-je d'autre, est noté A ou A+. Mais ça me semble bizarre de s'orienter principalement au regard de tels critères. D'ailleurs, l'AERES est plus destinée à l'administration de l'enseignement supérieur qu'à l'orientation des élèves, à la base. Dans tous les cas, pour ce qui est d'apprécier le niveau d'une formation, le taux de réussite aux concours en fonction des diplômes me semble un meilleur indicateur que l'AERES. Pour ce qui est de juger un M2 notarial, par exemple, le bon indicateur, à mon sens, c'est le taux de réussite au concours du CFPN.
Citation :
Publié par Caepolla
Bon, après, c'est peut-être rassurant, ou flatteur pour l'ego, de voir que sa licence, son M1, son M2, ou que sais-je d'autre, est noté A ou A+. Mais ça me semble bizarre de s'orienter principalement au regard de tels critères.
Et, pour ce qui est d'apprécier le niveau d'une formation, le niveau de réussite aux concours en fonction des diplômes me semble un meilleur indicateur que l'AERES.
Il n'y a pas un indicateur meilleur qu'un autre je pense. Le taux de réussite aux concours peut être dans une certaine mesure intéressant, mais appréhendé individuellement il ne présente pas plus d'intérêt que les évaluations de l'AERES.

En fait, il n'existe pas un indicateur mais une conjonction d'indicateur (un juriste parlerait plus volontiers de "faisceau d'indice" ) : taux de sélection à l'entrée du M2, ancienneté du diplôme, renommée du directeur, renommée de l'université, réseau d'ancien et position de ces derniers sur le marché du travail, importance et dynamisme de l'association du M2, partenariat avec les entreprises et/ou cabinets, qualité du corps professoral, classement AERES, classement SMBG, etc...
Message supprimé par son auteur.
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