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Posted - 2007.10.13 20:17:00 par WhatIsGoodFor Précédemment : War Analysis Part 3 : CCP Sucks Coldest of All Cold Monsters Aujourd’hui, je vais examiner les structures sociales/gouvernementales des deux « blocs de puissances » majeurs, en décrivant les avantages et les inconvénients de chacun. Personnellement, je trouve que cet aspect de EvE est le plus intéressant. Malgré que la terminologie en jeu de « corporations » et « d’alliances », très peu de corporations ressemble à une entreprise de quoique ce soit (et les outils fournis par CCP pour ce genre d’opération sont étonnement pauvre). « Alliances » est un mot qui évoque une entité plus grande qu’une simple incarnation d’alliance mécanique, et correspondrai plus aux entités considéré comme des super-alliances de blocs de puissance, tel que la RSF et ses alliés, ou la GBC. En fait, la plupart des groupes dynamiques dans EvE pourrais être décris en termes gouvernementaux ; états, nations, semi féodalisme, démocratie représentative, dictature, communisme, autoritarisme, et, pour vous RolePlayers Amarr, théocratie. Puisque EvE est un jeu vidéo, la plupart de la population impliquée dans ce genre de politiques ne pense pas forcément activement à leur organisation dans ce sens (et je doute que beaucoup de leurs leaders prennent beaucoup de temps pour réfléchir en ce sens non plus).La dynamique de la plupart des organisation n’est pas directement construite d’après les formes de gouvernement du monde réel ; elles ont surgis spontanément depuis le ressenti des joueurs, comme la meilleur façon de gérer leur groupe particulier, peut-être plus peaufiné ici ou la pour augmenté l’utilité de l’organisation, plutôt que d’adhérer a un méthode de gouvernance établie. Naturellement, il y’a des exceptions. Je voudrais préciser que le modèle le plus repris des modèles de gouvernement existant est la démocratie ; bien que la démocratie marche admirablement bien dans le monde réel, cela requiert un surplus d’énergie significatif pour établir un ensemble de règle applicable dans EvE et donc plus susceptible d’être une structure imposée plutôt qu’une évolution naturelle. Les corporations existent depuis que le jeu a démarré (et les alliances, formelle ou informelle, existent depuis presque aussi longtemps). La durée de leurs existences a permis ce développement significatif dans différents styles de gouvernements, donnant la variété que l’on peut constater aujourd’hui. Toutefois, les super-alliances ou « bloc de puissance » sont un développement relativement récent dans l’histoire de EvE. La Greater BoB Community – Un Model Semi féodal Les arrangements financiers entre BoB et ses locataires n’est pas toujours très clair, bien que certains on été divulgué par le passé. Il apparaît que certains sont des arrangements relativement « standards » (6 billions d’ISK par mois par constellation est le chiffre le plus couramment cité), mais des variantes ont été faites selon la proximité de la ligne de front, ou même des spécificités pour certaines alliances (par exemple, Mercenary Coalition paye en offrant une semaine de mercenariat gratuit par an) (NdT : cela donne un aperçu des prix pratiqué par MC ![]() Toutefois, je ne suis au courant d’aucun arrangement locatif qui soit totalement gratuit ; pour faire court, tous les locataires au sein de la GBC doivent fournir un type de payement à BoB pour pouvoir s’accaparer un système au sein de la sphère d’influence de ces derniers. Que ce soit un paiement militaire, monétaire, développementale (déploiement d’Outpost), ou de maintenance dans les zones hostiles (les locataires de la ligne de front doivent fournir et maintenir toute les POS pour tenir la zone), ils restent un échange représentatif qui rendent la caractéristique semi féodale la plus adapté. En retour, les locataires gagnent une section d’espace dont ils sont exclusivement propriétaires sans avoir a les conquérir eux-mêmes ; en supposant qu’ils ne subissent pas trop d’assauts par des forces hostiles, cela prend a la plupart des alliances très peu de temps pour gagner l’argent nécessaire pour payer leur loyer chaque mois, en addition de leurs propres profits. Avantages Premièrement, ce modèle crée une chaîne de commandement claire ; BoB étant à la tête. Les locataires ont probablement un certain degré d’autonomie, en cela que je doute qu’ils soient obligés de joindre les flottes militaires de BoB mais qu’ils le fassent assez souvent, car ils voient comme un bénéfice mutuel de défendre contre une invasion territoriale hostile. Toutefois, il est clair que BoB dirige dans ces flottes conjointes. Les différents entre locataires sont susceptibles d’être réglés par BoB également, et tout les développement de la zone (déploiement d’Outpost) sont probablement soit ordonné par BoB ou autorisé seulement lorsqu’ils ont donné leurs accord. Deuxièmement, ce modèle crée de façon intrinsèque des liens de loyautés entre Seigneur et locataire ; comme la plupart des locataires sont, au moins au début de leurs accords, incapable ou non intéressé par prendre de force un espace, BoB leur offre l’opportunité qui ne pourrait être proposé à beaucoup d’entre eux. En retour, cela les motives a assister BoB lorsqu’ils en émette la requête. Troisièmement, ce modèle crée une politique et une diplomatie relativement uniforme ; ceux qui sont rouge pour BoB le sont pour la GBC, et ceux qui sont bleus pour BoB sont bleus pour la GBC également. Bien qu’il y’ai quelques exceptions ici ou la (y compris au sein même de BoB, par exemple RKK à commencer à être positif envers Jericho Fraction tandis que le reste de BoB étais négatifs), il en résulte un modèle efficace et centralisé de diplomatie. Quatrièmement, ce modèle distribue les responsabilités du développement du 0.0 dans un mode plus organisé que d’avoir un (ou trois, dans le cas comparatif des trois alliances cœur de la RSF) responsable pour développer de multiple régions d’espace. Inconvénients Premièrement, le fondement centrale de ce modèle semi féodale est basé sur l’hypothèse que BoB est capable de protéger l’ensemble du territoire 0.0 loué contre les invasions teritoriale ; bien que ce soit une hypothèse réaliste quand ils étais la plus puissante des super-alliances ou bloc de puissance de EvE, ce n’est plus le cas. Cela affaibli la position de BoB d’avoir des revendications à la fois à locataires prospectifs (NdT : potentiels) (voir la récente défection de M.PIRE) qu’aux locataires existants. Deuxièmement, le féodalisme à ce défaut inhérent qu’une instabilité encourage la révolte des locataires. BoB doit nécessairement déléguer des responsabilités dans le développement du 0.0 et dans la défense contre les incursions aux locataires eux-mêmes ; alors les locataires se développent en entités plus fortes, il peut grandir un sentiment d’appartenance concernant une zone particulière et un grand désir d’indépendance. Pour éviter les révoltes, BoB doit non seulement lier à eux leurs locataires en favorisant leurs loyauté des le début, ou en maintenant sufisement de puissance pour être toujours si fort que les locataires ne se révolterons pas par peur d’une éviction par BoB eux même. Troisièmement, il peut arriver que des locataires aient des difficultés à coopérer avec un autre à moins d’être sous la supervision directe de BoB personnellement. Si c’est possible dans une défense mutuelle contre des incursions de gangs itinérants ou dans une coopération pour le développement de l’espace ou le partage de ressource, il est moins évident pour ces locataires de venir aider naturellement un autre dans un environnement semi-féodale à moins que la structure de cette assistance n’ai été établie par BoB eux même (l’exemple comprendrai un programme coopératif large de la GBC et les canaux de renseignements). La nature même du semi féodalisme encourage les divisions (le locataire A paye BoB pour la constellation X, le locataire B paye BoB pour la constellation Y). Bien qu’il est certainement possible pour un systeme semi-féodale de développer une cohésion entre les locataires, il n’y à pas de cohésion inhérente au système en lui-même. La RedSwarmFederation – Un Modèle de Nations Coopératives. Dans cette partie, le terme RSF ne s’appliquera pas uniquement aux trois alliances présent dans le sigle (RedAlliance, GoonSwarm, TauCetiFederation) mais également aux plus petites alliance considéré comme des parties de ce bloc de puissance, tel que UNL et KOS. J’exclue IAC et AAA, seulement parcque bien que ces groupes soient une partie de ce bloc de puissance dans la guerre actuelle, si l’issue de la guerre penchera en faveur de la plus large Coalition, la question reste en suspend de savoir si se maintiendront les relations politiques actuelles (je soupçonne que AAA en particulier réinitialiserai ses standings avec beaucoup, si ce n’est tous, des membres de la RSF, a l’exception de RA pour des raisons historiques). Ce n’est due a aucune perception hostile entre AAA et le reste du bloc de puissance RSF, mais plus simplement que AAA est un de ces groups qui est n’apprécie pas de façon notoire d’avoir une abondance de bleus. La défection de M.PIRE soulève également des problèmes similaires ; si la GBC gagne la guerre, il est évident que les nouveaux territoires absorbés seront gérés dans un mode similaire au modèle semi-féodale actuel. Toutefois, si la RSF gagne la guerre, il est hautement improbable que les alliances existantes de la RSF absorbent l’intégralité de l’ancien espace de la GBC. Dans cet éventualité, il reste a voir si les alliances qui auront réclamé certains de ces espaces seront, a la fin de la guerre, des parties du bloc RSF ou non. Par exemple, si M.PIRE fait complètement défaut (leurs relations avec la RSF n’est pas clair, les commentaires des membres de M.PIRE se contredisent) et prend des zones en conjonction avec les forces de la RSF dans Feythabolis ou Esoteria, il est peu probable qu’il reste amicaux avec les alliances cœur de la RSF une fois la guerre terminée (quoiqu’ils pourront négocier des pactes de non invasion de leurs territoires). Il y’a beaucoup à dire, bien que les alliances additionnelles travail avec les alliances cœur de la RSF et réclame l’ancien espace de la GBC (si la guerre va dans cette direction), la discussion à propos de la RSF an tant que Modèle de Nations Coopératives est principalement à propos de qui restera probablement au sein de ce bloc de puissance une fois la Guerre finie. Une autre note vaut le coup d’être mentionné : le Modèle de Nations Coopératives peut probablement s’appliquer également à l’actuel Vieux Nord de RAZOR/Morsus Mihi/Pure et leurs alliés. Le Modèle de Nations Coopératives est comme on le comprend ; un groupe d’alliances larges et autonomes travaillant en coopération avec des buts communs dont tout le monde bénéficie. Bien que des alliances individuelles au sein de la RSF peuvent avoir de plus petits locataires, je ne suis pas au courant de locataires qui s’approprierait des systèmes ; le terme de « civile » utiliser par Amerame est particulièrement bien adapté. Chaque alliance ayant conquis des territoires à une autonomie au sein de son espace conquis, et il n’est pas rare également qu’ils se chevauchent ou se partage des zones entre ces alliances, tant que cela n’interromps pas les efforts ou les accords de location de l’alliance qui a clamer sa souveraineté sur cet espace. Avantages Premièrement, la probabilité augmentée de coopération militaire (soit dans la défense contre les gangs itinérants ou le guerre de territoire) et financière (partage d’espaces ou de ressources). Puisque la finalité première du Modèle de Nations Coopératives est la défense mutuelle plutôt que la location d’espace, les alliances individuelles seront plus motivées a aidés les autres pour à la fin rendre l’ensemble du bloc de puissance plus fort. Je réalise que certains verrons un problème avec mon utilisation du terme « défense mutuelle », comme quoi la RSF à et continue d’engager des conquêtes offensives ; toutefois, comme j’ai avancé précédemment, je crois que aussitôt que la RSF et la GBC se sont rapproché dans les entités qu’elles sont aujourd’hui la guerre entre eux devenais inévitable (la guerre est sans doute une défense pour les deux, tant qu’aucune ne pensais jamais pouvoir coexister un jour). En d’autre mots, ce que je pense, si la RSF gagne la guerre, c’est qu’ils ne s’engageront plus dans une guerre de territoire offensive en tant qu’une seule entité dans le future (quoique individuellement au sein du bloc de puissance ils pourront le faire sans assistance du reste) à moins d’y être encourager par une autre menace envers leurs existences tel que la GBC aujourd’hui. Deuxièmement, la limitation des coût de maintenance et de contrôle de la souveraineté pour des alliances en ayant l’expérience et équipé pour la tenir dans des conditions hostiles. Tandis que le modèle de la GBC répartie ces efforts à travers des locataires multiples, le modèle de la RSF repose sur une poignée d’alliance pour concentrer les efforts et s’assurer que tout soit maintenue correctement. Même la relation la plus faible logistiquement des cinq alliances de la RSF cité plus haut, KOS, à montré de bien meilleurs capacité logistique que la plupart des locataires de la GBC (par exemple, durant la tentative d’invasion par la GBC dans C3-0YD plus tôt dans l’année). Troisièmement, puisque chaque alliances étant individuellement considérées comme autonomes, le Modèle de Nation Coopératives ne contient pas de raisons inhérentes en faveur d’une révolte. Inconvénient Premièrement, le manque d’une chaîne de commandement clairement identifié. Cela sous entend que tout plan de bataille en coopération doit être proposé, examiné, et approuvé par toutes les alliances impliquée, plutôt qu’être dans les mains d’un seul directorat. Deuxièmement, le manque d’un diplomatie centralisée peut conduire a des incidents diplomatiques ou des problèmes de standings ; un incident particulier à noter serais ceux impliquant SMASH et ROADKILL plus tôt dans l’année, et plus récemment avec Curse Alliance. Une situation similaire pourrait émergé si M.PIRE rejoignais complètement le camp de la RSF dans les semaines à venir, avec les difficultés que l’on peut imaginer avec M.CORP (ex-LV) et RA pour ajuster leurs standings les un envers les autres. Pour l’essentiel, les bénéfices de l’autonomie peuvent résulté de problèmes de standings entre les alliances de la RSF. Troisièmement, bien que j’ai avancé l’argument comme quoi ce modèle ne présentait pas de caractéristiques encourageant révoltes ou combats interne, les effets d’une défection majeure parmi les alliances du bloc de puissance qu’est la RSF serais bien plus désastreux qu’une révolte d’un locataire de BOB. Tout du moins, si un seul membre du bloc RSF se désengageai, il résulterai qu’une entité hostile serais très proche du reste du bloc (et, si l’alliance déférente s’alliai avec d’autres ennemis, offrirai un pont pour frapper tout le reste de la RSF). Dans le pire des scénarios, il pourrait en résulter la dissolution de l’ensemble de ce bloc de puissance. Conclusions En fin de compte, tant le modèle semi-féodale de la GBC que le modèle de nations coopératives de la RSF présente des avantages et des inconvénients significatifs pour toute les parties impliquée, que ce soit les propriétaires, les locataires ou les alliances, et ce tant en période de paix que durant la guerre. En période de paix, le modèle semi-féodale est de loin plus bénéfique au petites alliances ; il leurs offrent l’opportunité de tirer des bénéfices des territoires du 0.0 sans nécessiter la faculté de les conquérir, alors que le modèle de nations coopérative offre seulement l’opportunité aux petites alliances d’opérer en tant que « civiles », ou au plus grandes capables de conquérir des terrains de le faire pour eux même. En temps de guerre, c’est exactement l’inverse, pour les raisons exposée dans la Partie 1 (NdT : c’est pour voir si vous avez suivi ^^). Les grosses alliances (incluant celles du modèle coopératif, ainsi que BoB et les locataires les plus puissants du modèle semi-féodale) sont capable de résister au challenge de la guerre, et les « civiles » du modèle de nations coopératives peuvent fuir avec relativement peu de pertes. Toutefois, les plus petits locataires du modèle féodal ne peuvent probablement pas ; les mêmes raisons qui rendent bénéfique le modèle semi-féodale en période de paix font qu’ils n’ont pas la force militaire adéquate pour la guerre de territoire, et tenter de fuir voudra probablement signifier la perte important d’actifs utilisé dans les développement des infrastructures du 0.0. En vérité, cela signifie que la Guerre affecte probablement d’avantage le modèle semi-féodale que l’inverse (je soupçonne que soit les plus faibles des locataires de BoB seront évincé par les forces hostiles, soit BoB choisira de façon pro-active de revoir ses arrangements et traiter ces locataires plus faibles comme des « civiles » qui ne seront plus a même de conquérir des territoires, ou supposer être engager dans la Guerre). D’un autre coté, le modèle de nations coopérative est plus à même d’affecter la Guerre que l’inverse (en particulier, la faculté de la RSF a continuer d’agir en cohésion malgré le nombre d’entités affectera de façon significative leur succès ou leur échec dans cette Guerre, bien qu’il soit peut probable que la guerre ne change ce modèle d’une façon significative. Demain, il y’aura War Analysis Part 5 : The Bait of Sin. Nous examinerons et démystifierons les points sujets au discours populaires et aux trolls utilise comme propagande par chaque camp au sein de cette Guerre. Bien que j’apprécie les commentaires qui ont complimenter mon analyse comme étant « un changement rafraîchissant pour le CAOD » (Corporation and Alliances Organisation and Discussion), l’intention de cette discussion n’étais pas de changer le style du discours de la CAOD (ce qui est impossible). J’apprécie les trolls positifs et les retours spontanées ;le mot clef général est que c’étais bien. J’espère que discuter de choses courantes avec exactitude et pertinence incitera, au moins, à en crée toujours de meilleurs.
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[Alliances] War Analysis Part 4 : Coldest of All Cold Monsters
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