[Broc] RP interactif

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bien je vous propose un piti jeu sympa, une histoire dont VOUS écrivez la suite (mais pas la fin) ensuite, on choisira qu'elle est la suite la plus sympa, humour recommandée mais pas obligatoire. Cette histoire (si elle marche) sera en plusieurs parties donc je vous demande de ne pas faire la fin (pas tout de suite néanmoins )

Orion chapitre 1

Il fut un temps ou les batailles opposant les 3 grandes nations n'étaient pas aussi virulent, c'est en ce temps la qu'un fière viking du nom d'Ohrmarique naquit. fils aînée d'une famille de 7 enfants, héritier d'un clan de guerriers farouche, fils d'un roi déchu dont la bourgade de vashudeim devint la nouvelle maison.
Bien que d'origine royal, Ohmarique n'aimait pas se vanter de ses origines, et préférait se faire reconnaître de part ses qualités plutôt que par son nom. Elève doué, combattant farouche, il fit rapidement ses preuves auprès de la maison de thyr. c'est donc tout naturellement qu'il devint guerrier.
Un jour qu'il guerroyait prêt de svasud fast, contre les envahisseurs albionnais, il fit la connaissance de la plus charmante des viking qu'il eu pus voir, Armania. Il la rencontrât sur le champ de bataille entrain de soigner les nombreux blessés gisant sur le sol.
Rapidement, ils lièrent amitié, puis par la suite, de nouveaux sentiment vinrent s'en mêler.
Après un mariage magnifique, ils décidèrent de s'installer dans la ville nouvellement investit par les force de midgard : Aegir la magnifique. ils s'aimaient tendrement et bientôt, le ventre de Armania se mis a grossir.
Un jour que le sous royaume des Abysse fut investi par leur ennemi hiberniens, ils partir comme tout soldat midgardien à la défense de leur royaume, mais les choses tournèrent mal, Orhmarique se fit tuer et Armania fut mortellement blessée.
Un vieux troll skald qui arrivait malheureusement trop tard vit les deux corps au milieu de tant d'autre, et pensa qu'ils étaient mort, mais la guérisseuse se mis a pousser des cri, sur le point de mourir, elle allait accoucher.
Le troll qui se nommait Irodion aida la pauvre femme de sont mieux, et parvint au bout de longue souffrance à faire sortir le bébé, pensant que s'était fini, il s'essuyât le front, mais Armania continuait à pousser des cri, un deuxième enfant venait.c'est à ce moment la qu'une corne retenti : Hibernia relançait la charge, et il dut s'enfuir, pensant a la vie de l'enfant qu'il pourrait préserver. le coeur déchiré d'avoir du laisser une mourante et sont deuxième enfant à une mort certaine.


Maintenant a vos clavier et bonne chance
Le deuxieme enfant, au milieu des hurlements de charges hyberniennes, naquit sans bruit. Comme si Frigg, elle meme avait etouffé les pleurs de l'orphelin.
La premiere chose que vit le bébé, se fut le regard rouge et la machoire aiguisée d'un Quasit, venu se repetre des cadavres laissés par Hybernia. Blotti entre les jambes de sa mère, il ne tarda pas à entendre les chairs devorées de la viking qui lui servait de nid.

Soudain, un chant, à la fois mélodieux et pathetique, retenti dans ces Abysses. Un homme, le visage peint, la cheveulure irsute, armé d'une seule flute plongea l'enfant dans un rève proche de la mort.

Une lueure, le bruit du vent dans le tissus, un arbre qui respire...
Voici ce que Aliemne ressentit lors de sa deuxieme naissance, dans une ville d'or, de marbre, et de vies.
Ici l'enfant se mit à pleurer de tout son petit Etre, comme si enfin la douleur, la souffrance pouvait alors sortir.

Mais il etait vivant, le visage peint d'etrange signe, et une petite creature reveillée par ses cris le regardait d'un oeil rond, avec bocoup de tendresse.

" Maître Galan, votre fils s'est reveillé, hihi c'est drole, il tien son hochet comme un vaillant soldat"
(bon j arrive po a dormir alors vai continuer un chouia)

De ce village d'entre les lacs aux portes de la foret de Myrk, il en garderai le souvenir à jamais...

Irodion, son père, l'avait initié aux arts du chant sacré, apanage des Dieux.
Il grandit ainsi à l ombre de la grande Arche de son village, à charmer les fees de l'Ours Grondant, et à regarder passer le "monstre des Eaux".

De cette epoque d'insouscience, il en garderai le souvenir à jamais...


Puis vint pour lui comme pour les jeunes de son age, le temps des premieres batailles.
Ses amis, ses freres, bien que differents d'apparence, se preparaient avec bocoup de zele, pour ce qui allait etre l'initiation au combat!
Fieres allures ils avaient dans leurs armures de mailles, la hache au foureau ou l'epee à la main
Et des chants plein la tetes...
Pour sur ils reviendraient tous, des sagas pour les veillées, et des jeunes filles pretent à ecouter.
Mais pour l'heure, sa mére dessina sur le visage de ses feres des signes qui predestinaient à la guerre.
Pour lui point de dessin, point de marque au Bleu de Kobold, juste un tendre baiser froid, de pierre, comme l'etait ses parents.


Il prie le cheval pour la frontiere, s'arreta un moment pour contempler sous la neige l'imence porte de granit noir qui decoupait la montagne, poussa les lourdes portes, et s'engouffra sur cette etrange stelle oùu l'attendaient deja ses amis.
Les Honorables Gothi descendirent parmi une foule desordonée mais digne.
Ils incanterent un chant que jamais il n'oubliera.
Une initiation, l'aube d'une vie à jamais differente...

...Un soleil eblouissant eclairait la cour d'un fort dans laquelle s'entassait l'inexpereience.
Quelques jeunes gens perdus au milieu d'Avatars de Dieux qu'il faudrai surement prier, et deja les cris et les blessés se bousculaient aux portes devant lui.

"Bienvnu dans ce Val noir comme le Quatz l'ami, j'en ai fini, bonne chance à toi"
Et deja le Nain franchissait une etrange arche, arche que lui aussi un jour, franchirait je regard fier! Fier d'avoir accompli son devoir...
sur ce, le coeur enflammé par l'envie du combat, porté par l'appel du sang, il franchit le portail magique des gothi qui, une fois leurs dernière recommandation faite disparurent dans un brouillard impénétrable. Le corps engourdi, il ouvrit les yeux, il se retrouvait dans un petit fortin, protégé par les plus gens parmi les plus puissant du royaume, là, un groupe de guerrier troll attendait déjà leur initiation au combat, leur première bataille contre ses ennemis innombrable qui peuplaient les vaste contrées de se monde.

Au milieu de ce capharnaüm qui régnait, il aperçu un jeune viking, qui paraissait bien frêle à coté de ses compagnon. Bien sur, lui non plus ne payait pas de mine au milieu d'une tribu de kobold. Le hasard se dit t'il, mais il n'eus pas bien le temps d'y réfléchir, car déjà, de puissants cri s'élevaient de partout dans le val. La porte fut ouvert, la il vit une vallée de faible taille dont un grand fortin ornait le centre. Devant ce bastion, la bataille faisait rage, des elfes se battaient déjà contre un contingent de viking, mais la victoire penchait plutôt du coté des fière midgardiens, dont la puissance au corps à corps était inégalable, quand, surgit d'on ne sait ou, une armée albionnaise fit sont apparition.

Il était temps, le courage avait cédé à l'anxiété, il avait rêvé toute sont enfance de se moment, mais maintenant il avait peur de mourir. Ce fut un chant, un chant de guerre prononcé par l'humain qui trônait au milieu des troll qui le sortit de sa torpeur. Il n'avait plus peur, il avait même oublié se mot, et d'un seul coup, la charge fut sonnée
"POUR MIDGARDDDDDD" Tel était le seul mot que l'on entendit sortir de 100 bouches en même temps, et poussé parce chant, les troupes galvanisé, il partit en hurlant, l'arme au point, sur les armée impies.

à vous mes amis (ps, merci keltu, ton texte est une source d'inspiration à laquelle je ne m'attendait pas)
Les Celtes, humains s'il en est, à mi chemin entre la chimère et l'individu.
Aliemne ne se sentait guere proches de ses "semblables". Peut etre preferait il la compagnie de compagnons plus singuliers, comme les etranges geants dociles qui frequentaient la Maison de son pere.
Ces derniers parlaient avec zele d'une etrange bataille qui se deroulait en ce moment sur un no-man's land.

Il avait hate de rejoindre et grossir les rangs, et ce malgre les recomandations des Seigneurs Elfes qu'il detestait tant!
L'Etranger de sa Terre, c est comme ca qu'on le surnomnait dans le "conservatoire" où les techniques de Maîtres Bardes lui etaient inculquées.
Et dés lors, l'Etranger n'avait qu'une envie, celle d'oublier ce sentiment d'eloignement qui etait le siens!

C'etait un soir proche des arbres morts, le vent souflait, la nature se preparait au Long Sommeil, les ovates entamaient leurs prieres, et les Animistes s'enfermaient loin de toute civilisation.
Il ne dit pas adieu à celui qu'on appelait son "Père", n'embrassa pas non plus la femme de celui ci, s'empara d'une epee courte qui portait le meme blason que lui, et quita à jamais cette cite d'or et de marbre...

Finalement qu'avait il à perdre, à part la vie, et ceci ne lui importait peu.
Encore des Elfes, encore et toujours les memes Magiciens, les memes robes, les memes "petits habitants", disparaissant et reaparaissant par pur jeu et taquinerie...
Rien, il ne regreterait rien de tout cela.
Il ferma les yeux lors qu'il senti son corps s'evanouir dans les lymbes du temps et de l'espace.
Ailleur, il etait ailleur c est tout ce qui lui importait.

Dehors sous ce soleil eclatant, il n'entandait que le chant d'un oiseau, et le vent semblable à celui d'ou il venait, finalement, etait il bien partit!
Une jeune sylvaine accroupie contre un mur à cote de la porte, un vieil Eldrtich sur un rempart, un archer le regard dans le vide... ou etait il?

La porte passée, il se dirigea tout droit bien decidé à faire chanter son epee, il courra vers le soleil regarda un loup de la horde non sans prendre quelques precautions, puis arriva devant ce qui semblait etre une riviere.

L'eau limpide lui renvoya une image de jeune homme melancolique triste, et desabusé.
Sa vie etait depuis fort longtemps figé comme ce reflet, entre vie et mort.
Ce n'est que lorsque l eau se tenta en vermeil et que la lame de la claymore ressortie de son epaule, qu'il senti la douleur, le froid et le poison qui parcourait ses veines!
Alors il sut qu'il etait vivant, mais pour combien de temps.
L'Assassin se tenait toujours derriere lui, il souriait et fendi l'air de son arme pour achever sa proie.
Le "petit habitant" agile et gracieux comme pour continuer sa farce apparu et d'une technique connu d'eux seuls tua net cet assassin à peau bleue.

" Hihi l'ami tu sais que la bataille fait rage ici, et toi tu te balade tranquilement. Que veux tu, mourir, alors traverse cette riviere, et sacrifie ta vie devant le fort que tu trouvera à quelques enjambées, mais prend garde à toi et tue au moins un Troll si tu veux que Mère Nature t'acceuil en son sein."
Et apres une reverence, disparu, ainsi la farce s'achevait, et malgres la douleur de son epaule, Aliemne s'enfonca dans les eaux en laissant derriere lui un sillage de sang qu'il comptait bien verser pour sa vie.
De nombreux cadavres gisaient sur le sol quand il arriva devant les porte du bastion, la, des trolls enragés dévoraient les corps d'elfe mort pendant la bataille. Mais peu lui importait, il voulait en finir le plus vite possible. Les nombreux elfes mort ne lui faisaient rien. Apres tous, ils n'étaient pas comme lui, il se rua sur un troll a genou, harassé par le poids des lances albionnaise, au moins, se dit il, il aurait tuer quelqu'un aujourd'hui.

S'elançant, de tout son poids, il brandit son épée, prêt à frapper. Il aurait pus lui perforer la chaire, il aurait pus le tuer, mais quelque chose l'en empêcha. Peut être la pitié, mais plus surment le regard effaré du troll. Il eu une seconde d'hésitation, et se retrouva le visage contre l'herbe, quelqu'un sur le dos. Celui-ci lui appuya sur sa blessure, il avait mal, mais il se sentait délivrer, il allait enfin mourir.

Ce fut le troll qui les sépara, la enfin, en face à face, ils se virent, un miroir, par quel magie, ils ne savaient pas, mais ils étaient identique ... ahuri, l'hibernien regarda le fière viking aider son ami troll à marcher vers leur fort. Il avait ressentit quelque chose, un lien, mais ne savait pas pourquoi.

( A toi mon ami )
Tres sympa comme idée.
Regrettant de ne pas avoir votre aisance pour imaginer et surtout, pour écrire, je vous assure du grand plaisir qu'on a à vous lire.
Hébergé par les hautains elfes, le seigneur Varzil Ridenow était en Hibernia depuis quelques années en amis, installé loin dans les profondeurs d’une étrange forêt à Cullen, le long d’un marais où personne n’oseraient vivre. Un seigneur très faible mais habité de curieuses coutumes. Comme tous ceux du royaume qui leur avait offert asile, les habitants de la Terre de Serrais, toujours fière de servir l’ancien roi Ridenow de Serrais, apprennent le noble art de la guerre. Tout vêtu du rouge de la vie tombante, ils sont fiers, arrogants, fanfaron et je n’oserais dire du mal d’eux, car j’ai suivi mon roi pour son honneur.
Parti de Cullen après avoir commercé avec les Siabras contrairement aux lois hiberniennes, nous avons fait une pause à Siopa, un village peu accueillent, mais leurs cuisses de grenouilles géantes sont impressionnantes et l’odeur des sauces me laisse toujours sur ma chaise, crispé par la faim. Contrairement aux elfes, les Celtes ont le mérite d’une table bien chargée.

« Khurn mon cousin, voilà notre jour de gloire, Nos chevaux sont arrivés pour nous mener à Druim ligen la forteresse si chère aux oreilles pointues qui se pavanent à Tir Na Nog.
- Oui, bah mon gros, qui veut aller loin ménage sa monture, et j’ai des litres d’hydromel à ingurgiter pour supporter cette puanteur jusqu’à Innis Cartaig. Père ne me donne pas de quoi avoir l’air d’être un prince. Regarde-nous !! On pourrait nous confondre avec des mendiants.
- Votre père n’est plus aussi puissant et nous ne sommes que des réfugiers de notre monde, allons lui faire honneur au combat.
- Certes.. »

Le petit seigneur qui se laissait dériver par l’alcool c’était bien moi et à cette époque j’avais bien besoin de leçon de morale. Mais je suis parti, en titubant certes mais j’y suis allé. Chacun doit mener son combat. Et l’orgueil était un ennemi implacable. Arriver à Innis Cartaig nous avons pris les chevaux préparés par mon père et sommes partit au combat pour ce qu’ils appellent l’initiation au combat aux vaux.

Les paysages défilaient et se ressemblaient tous, Hibernia ressemblait si peut à ma terre d’enfance, Serrais est si loin. Le père à eut un rêve et je le pensais dément. Un enfant des glaces de midgard élevé par les oreilles pointues, il lui prédit la mort si nous n’arrivons pas à temps. Que peut nous apporter une amitié Midgarienne ?

Le pied à terre puis l’autre, je descends de mon cheval et pénètre druim ligen, toutes les maisons du royaume ont envoyé leurs cadets pour affronter le fer et le feu. Nous prenons les colliers pour les vaux et attendons la dame elfe et ses puissants associée. Beaucoup Rient devant la vieille Glasny, mais personne ne l’insulte, elle est puissante et ne vie que pour Hibernia. Est-elle sans vie ?

Il fait froid et nous restons loin de la vantardise elfique. Les Celtes sont rustres et puants, mais nous ne sommes pas seuls à l’écart et un jeune apprenti des armes se tien de même à l’écart et ne nous regarde pas. Nous le suivrons, père à dit et j’obéirais…
« Nous ne sommes pas de l’art de la nuit mais nous ne sommes pas des Trolls à clochettes, suivons-le ! »
Qui etait ce reflet, quelle farce lui jouait Lokky, pensait il!

Les litres de bierres offert par les nains contre quelques piecetes ne parvinrent pas à lui faire oublier ce visage, Son visage...
Et pourquoi l'Autre n'avait il pas tue son frere troll, autant de questions qui pour l'heure ne trouvaient pas de reponses.
La lune envahi peu à peu le val, et une brume epaisse recouvrit de son linceul les cadavres encore chauds, temoins d'une bataille dont la raison se perdait depuis l'aube des temps.

Et puis la lassitude de la journee plus que le sommeil vint à bout de nos soldats, et une nuit sans reves envahi peu à peu ca forteresse.
A la levée du jour, un nain plus ivre qu'endormi reveilla l'assemblée et cria de tout son souffle:
"Aujourd'hui, le Fort est notre mes amis!!"
Et dés lors, les Compagnons reprirent leurs armes, et s'appretaient pour repondre au nain.




Il ne savait pas pour quelle raison Khurn l'appelait "mon ami", mais cela lui rechauffait le coeur, il ne savait pas pourquoi ce viking lui avait pris son visage, et cela lui glacai l'ame.

L'hydromel apporté par son nouvel ami avait contribué à faire oublier cette bataille, ou l'heroisme ne l'avait guere aidé, mais avait permi de passer une nuit simple et sans reve.
Le matin venu sous les accords de bardes fraichement institués les troupes s'appretaient à prendre une revanche sur le jour passé.
Aliemne plus que les autres savait à present la raison de sa presence ici, il lui fallait se retrouver, se rencontrer à nouveau.
La pluie et la brume de la nuit donnaient au val une impression de defaite, cela n'engagait rien de bon, mais l'esprit plein hardiesse, les portes d'hybernia deversaient son flaux de soldats, de magiciens repondant aux appels des maisons de Tir Na

Aliemne n'emprata pas la route qui mene au pont, mais machinalement, repris celle qui l'avait conduit face à lui meme le jour dernier.
Toujour les memes loups, la meme riviere epuré de son sang.
Il prit garde cette fois ci d'eviter les peaux bleues, traversa le flot et se dirigea sans bruit vers le bastion ennemi.
Un arbre pour seul abris, il attendait, il s'attendait...



(chui content de voir ke d autre se joignent à ns bow ilomn )
Répondant à la méprise, je tentai de lui expliquer que je venais d'un monde plus élogné que midgard albion ou hibernia puisse connaitre. Je viens de Serrais et seul les dieux savent pourquoi. Je doit protéger un jeune viking au vaux, ce jeune protégé d'hibernia, me que dois je faire... Il me prendrais pour un fou de venir d'un royaume méconnu et lointain...

Les Ridenow sont des gens étonnant qui voyages dans l'ombres et se permettent de vivre sans rancune contre aucun des autre royaume, nous acceptons la bière Nain comme la piquette des Firbolg de la Taverne à TNN.
Le ciel était orageux, bien que la prudence aurait voulu qu'il soit prudent, il n'en était rien, pensif, l'esprit encombré de multiple questions, ce fut le bruit du fer qui s'entrechoque qui le sorti de sa torpeur. Apres un Léger soubresaut d'impatience, mêlée à de la hantise, il avança en direction du fort, d'où émaner de puissant rugissement de bêtes blessés : Le combat avait commencer. La main contre la garde de son arme, il avançait, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, tant bien qu'il arriva sur le champ de bataille en Courant, plus de peur de voir sont image absente que d'envie de combattre. Là, il vit tous ses ancien camarade longues oreille pris entre Midgard et Albion, mais n'en avait pour ainsi dire rien a fiche.

Son regard parcourra rapidement l'assemblée de chaire et de métal et il le vit. Non, pensait-il se n'était pas un rêve ....

Au milieu de ses frères trolls, Aliamne, serrant son épée d'une main et son bouclier de l'autre, venait de se débarrasser de se dernière elfe pathétique, qui n'avait offert qu'une faible résistance a ses coups. Le val aurait pus leur appartenir, mais un charge albionnaise venait a toute allure a leur rencontre, alors qu'ils étaient las de leur dernière bataille.
Jamais, au grand jamais il n'aurait fuit. Ce ne fut pas le cas de tout le monde, et bientôt, il ne resta plus grand monde autour de lui. Mais il ne voulait pas partir, il ne pouvait pas, pas par honneur, mais pour revoir son visage, savoir si tout était vrai. Jamais, se dit il au grand jamais je ne pourrait le revoir, je vais mourir, mais je rejoindrait le valhalla.

rapidement submergée, les force de midgar allait s'éteindre pour aujourd'hui. lui, qui avait réussit à reculer, se retrouva tout de même aux prise avec 2 higlanders et 1 paladin. Il s'était battus vaillamment, mais la victoire s'enfuyait peut a peut, et sous le coups de ses nombreuses blessure, il mis un genou à terre. Le paladin en face de lui, dernier rescapé, allait lui donner le coup de grâce quand il tomba a genou, une épée planté entre les omoplate.

Là Aliamne resta figé, il le vit ...

Aliemne, voyant son image attaqué n'hésita pas, lui qui ne voulait pas se battre au nom de hibernia avait tué un homme, en sont nom. Il regarda longuement son miroir, cette chose qui lui ressemblait tant, il voulait le prendre dans ses bras, sans savoir pourquoi, mais tout a coup, quelqu'un l'arracha au sol, un cavalier, un être qu'il n'avait jamais vu
"je suis Varzil Ridenow, ne pose pas de question"
sa gorge se noua, il avait l'impression d'avoir perdu une partie de lui même

Aliamne, voyant sont reflet arraché par un cavalier se mis a lui courir après, mais sont frère d'arme l'en empêcha, le troll, un jeune skald l'emmena au fort hib, la bataille était perdue ... Une fois encore

(^^ bienvenue a notre nouvelle écrivain ^^ allé a vous)
RP OFF
Khurn est aux vaux envoyé par varzil. Varzil est au chaud dans sa vieille maison, khurn le fils envoyé au feu.

RP ON

« Khurn regarde moi ces idiots comme ils se font massacrer, les oreilles pointues auraient pu faire attentions, ils sont tellement doués qu’ils ont tué un lury. » A cette réflexion tout le monde explosa de rire, tandis que les autres combattaient.

Nous étions une joyeuse bande de fêtard mais jamais nous n’avions été de grand guerriers, Amunpatra mon plus jeune frère lui avait choisi comme très peu d’autre parmi nous la profession de protecteur et nous gâchait tous la vu avec son grand bouclier. Sortant ma grande falcata, je coupa les buissons et mêlé de boue je couvris le bouclier imposant. Nous étions protégés de la vue des autres. Nous regardions la mêlé et ses nous moquions des elfes si maladroit tout en gardant du respect pour les celtes et les firbolg.
Je l’ai vu, mon père varzil avait vu dans ses songes un jeune viking élevé par une barde, un enfant pris à ses parents par les guerres insensées de ce monde. Je rampe dans la boue, les joues déchirées par le froid et les ronces, une odeur de sang plane et je veux vomir, je veux mais je ne dois pas. Je sens cette envie et je vomi, laissant le visage du jeune elfe mort couvert de mon effroi.
Je continu jusqu’à la rive, j’entends les combat rager et chaque fois que je regarde dans sa direction, je le vois debout, mais que regarde t’il ?
Un jeune viking soulève un troll, qui a t’il ? Vas t’il l’achever ? Celui ci fait volte face puis se pétrifie. Les deux même, que dois-je comprendre de ceci ? Père je ne comprends rien à tes songes, tes visions me dépassent. Mince je suis découvert, ils me regardent, ils dégainent. Non ! Albion !
« Serrais à moi ! Ôh mon pouvoir, répondez du cri la puissance de nos ancêtres, levez les armes et mourrons pour notre Roi ! Lancez les chiens et écrasez l’ennemi ! Courrez pauvres fous ! Nous apportons la mort ! »

Un bouclier se dresse, deux highlanders volent et coupent le vent et la pluie, les flèches sifflent et mort apporte le silence.
La pluie, toujours la meme pluie qui purifie ce theatre...
Là, un troll suportant sur ses epaules, son frere, et le frere de celui ci...
Les fleches, les coups, rien ne l'empeche de remonter sur le bastion de Midgard pour mettre à l'abri ses deux ames.

Le gothi Ukjniir à vu le reve, il sait, il comdamne...Deux enfants, deux royaumes, une seule vie... une treve, La treve! Non, cela ne se peu, jamais les longues oreilles, jamais les peaux de bois ne marcheront sur Jordheim l'Enneigée...

Tout troll qu'il etait, une douceur emanait de sa gestuelle, il deposa ses deux freres dans la tour de guet, à l abri des regards.
Plus par instinct que par vivacité d 'esprit, il savait que nul ne devait savoir, les voir, alors il attendit la nuit, et franchi le portail pour retourner voir son pere.
Irodion le Sage saurai quoi faire...

Les deux freres ennemis etaient toujours liés par le meme reve, ainsi il pu les camoufler dans une charette et parti en direction de Galplen.
Le voyage dura 2 jours, il fallait eviter les patrouilles, apres tout il etait devenu un deserteur.
De retour chez lui, Irodion l'attendait devant sa chaumiere, embrassa ses fils, et le frere de ceux ci.

"Un jour il ya fort longtemps, dans une autre bataille, dans les abysses insondables, je l'ai vu elle, elle qui de part sa fonction soignait les autres. Elle m'avait guerri d'une fort vilaine blessure à la jambe. Malgre sa grosseur elle faisait preuve d'une grace et d'une technique qui me fit recuperer mes forces en quelques heures.
Armania, jamais je n'oublierai ce nom ni se visage, c'etait comme si Heirr et Frig avait eu une fille sur Midgard.
La derniere fois que je la vit, elle etait allongée inerte d'avoir donner la vie. Et c est cette vie que j'appela plus tard mon Fils.
Je ne savais pas qu'ils etaient deux, je ne pouvais pas savoir, et puis les longues oreilles s'approchaient, alors je pris ton frere, et je m'enfuis, pas pour ma vie, mais pour celle de cet enfant.
Singulier destin que celui d'un Viking elevé par les trolls, plus encore celui de son frere elever par les assassins de sa mere!
Les boites en métal sur patte étant anéanti, je m’étais tourné pour retrouver les frères réunis, mais ils n’étaient déjà plus là…
« Dame, les deux chevelus sont partis assez rapidement, je les protège comment si je dois leur courir tout le temps après.
- T’en fait pas les deux vikings sont arrivés à bon port et tout est bien qui fini bien, ramènes des grosses fesses de jeune seigneur qu’on boit à la santé de leurs dieux.
- Quel dieu ?
- Bin, j’en sais rien, c’est toi le seigneur instruit…
- Arrête de faire l’ignare on fait l’école buissonnière dans les mêmes tavernes. » Sur ce le gros firbolg se met à rire et en ignore un jeune nécrite qu’Amunpatra assomme avec son grand bouclier.
Nous montions le camp à la tombé de la nuit, sans prendre compte des rapports nous avertissant des événements de la guerre. A vrai dire, nous nous en soucions peu et préférerions rester en vie.

La lune perçait les arbres, révélant les stupides gobelins qui vivaient aux environs. Je dormais. Je dormais la main au fourreau, toujours pour défendre les restes du dînée de ces affreux gobelins. Le vent soufflait et soufflait, la pluie s’engouffrant entre mes écailles, quand une main tomba sur mon épaule…
Un bref « C’est mon tour » chuchota à mon oreille et amunpatra pris le tour de garde suivant pour qu’enfin je me jette sur la chaude paillasse qu’il m’avait laissé.
Le lendemain, nous nous réveillons frais et dispo. La rumeur des batailles naissait tout juste avec l’envole des corbeaux dans le ciel. Le soleil lançait son premier regard sur la pleine ravagé par la bataille. Nous levions juste le camp que je prévoyais déjà l’itinéraire. Tout le monde se présentait à moi que je vérifie leurs armes et armures, l’équipement était abîmé ou de pauvre facture, mais tout était prêt pour le départ. Bélier et trébuchet préparé avec soin.
Je lance le signal de départ. Nous marchions pour le combat qui déterminera notre valeur. Que dois-je penser de ces deux jeunes frères ? Dois-je aller à leur secours ? Je sens qu’ils sont en fâcheuse posture…
au petit matin du 5 ème jours, les deux images se réveillèrent en même temps. Leur premier réflexe fut de mettre la main à leur garde, mais il se rendirent compte qu'ils avaient été désarmés, QUI EST TU lança Aliamne, l'autre lui répondit dans une langue qu'il ne comprenait pas toute en sachant ce qu'il disait. Il avait maintenant la preuve que quelque chose les liaient. Aliemne quand a lui, abasourdi, tétanisé par le froid regarda autour de lui, et fut effrayé. En territoire ennemi, il était dans une hutte troll de midgard, dans les pays nordiques. Le froid s'empara vite de lui, ses muscles étaient tétanisés, mais il se sentait bien, peut être pour la première fois de sa vie.

Ils discutèrent longuement, mentalement de leur pays respectif, ennemis endémique, mais pourtant aucune haine n'apparaissaient entre eux, plutôt un lien, un lien fraternel. Ce fut comme sa que les retrouva Irodion. Bien qu'un peut surpris de les voir converser, il n'en laissa rien paraître, et demanda a Aliemne si celui-ci avait besoin de quelque chose. Il hocha de la tête, à sa grande surprise, même si il ne le savait parler, il comprenait le midgardien...

Ce fut ainsi que commença l'entraînement de Aliemne, aux côtes de sont frère, entraînement qui dura 2 ans ...

A vous mes amis
Bon me revla pour dix minutes j en profite


Finalement, la langue troll a ceci de bien, c est qu'elle se comprend et s'apprivoise vite, contrairement à celle des peaux bleues qui vivaient non loin de là.
Aliemne le celte et Aliamne le viking; tel etait ce duo que tout le monde connaissait dans la contré, au grand desaroi d Irodion, qui sentait que pesait sur leurs tetes un danger bien plus grand que toutes les Abysses reunies.

L initiation au monde de Midgard se fit facilement, et la fraternité retrouva sa place entre les deux freres.
La famille s'etait agrandi, et Irodion veillait sur elle!

Un soir d'hiver, un etrange voyageur parvint jusqu'à Galplen, il etait vetu d'un cape bleu, apanage des skalds du royaume, mais n'en possedait pas l'allure et encore moins la grace.
Il ne chanta point, il ne conta point de recit, mais fi mander les deux garçons sur le champs.
Irodion voulu les cacher, il les dissimula dans la tour de guet pret de Gna fast de l autre cote du lac, mais c'etait sans compter sur l'oeil malfaisant d'un kobbold qui furetait dans les parages.

" Oyez, oyez, je suis à la recherche de deux jeune heretiques, semblable en felloni et en apparence, le Seigneur Hukjnir Sang de truie, grand gothi de Hell donne l'ordre de lui livrer les deux garçons sans delai!
Toute tentative de fuite et complicité de fuite sera puni de la peine de mort."
A n'en plus douter, cet emissaire à cape bleue n'etait pas un ami...

Personne dans Galplen ne dit mot, soit pas haine des gothi, soit par peur de Irodion, toujours est il que personne ne souflat mot de la presence des "recherchés", personne sauf un kobbold tout de noir vetu, qui une fois la nuit noire tombé, se dirigea vers l'emissaire.

"çamoisavoiroùuçaeuxetre, çamoiledire, etçamoivousconduire,"

"Combien pour le prix de l'information?" lui demanda le skald,

"mouhahaha, çamoivousledire pourrien, çamoiavoirvengance contrelecelte, çaluiavoirtuémonfrère dansleval, sisiçaluidevoirpayer,çaluiperdreaussisonfrèreetsavie!"

Ainsi, le kobbold hargneux, l'emissaire et sa garde traversairent le lac et deja la tour de guet de GnaFast se dessinait ...
Nul n’assujettit un Ridenow et son trajet lui est propre, nous ne sommes ni hibernien, ni albionnais ni midgariens. Nos choix sont les nôtres et nous allons où notre volonté nous y emmène.
Amunpatra est désormais assez grand pour commander sont petit groupe, il a passé au-delà des espérances les tests des armes. Notre père est si fier de nous. La dame Herminne, ma mère à veiller avec ses suivantes à nos provisions et les mules sont bien chargées. Notre forgeron nous à réparer nos armes acquis avec acharnement sur ces nouvelles terres de l’atlantide.
Toujours dans ma chambre, je prépare mes vêtements, l’hivers fait rage sur les Terre de Midgard et nos vêtements hiberniens sont bien trop léger. Hilanna ma tante viens m’aider et prend les vêtements pour les ajouter à mes affaires.
Une dernière fois les pieds nu sur le parquet je me présente auprès de mon professeur dans l’armurerie et il me laisse ma hache de malveillance acquise lors d’une des multiples épreuves de l’atlantide. Je pose la hache sur la table, un tissu léger la recouvre. Je retire le tissu et prends la hache, respectant et admirant ses motifs et sa puissance. Je me retourne et m’en vais…
Je m’en vais et je ne sais pour combien de temps. Alors que le vieux varzil paraît toujours plus vieux, Herminne garde le sourire le plus radieux d’une maman inquiète pour son aîné, mais elle ne me portait pas autant d’attention à ce pauvre Amunpatra câliné comme un bébé devant tout le monde.
Les rires et les sentiments s’effacent, enfin nous partons. Amunpatra fini la pâtisserie que sa môman lui à offert et moi je continu à caresser ma hache. Nous passons par Druim Cain, et partons pour marfach, traversons les conflits de la terre pour sortir par Doddens. Pour la suite, c’est l’inconnu, une étrange créature bleue nous invite à le suivre, disant qu’Irodion l’a envoyé suite à notre message. J’ignorais que père eu fait une telle chose mais je n’ai pas le choix et la compagnie le suivit.
Lorsqu'Irodion retourna à la tour de guet, personne ne 'attendait...

Il ne trouva aucune trace de lutte rien qui lui fi penser à un enlevement, mais deja il prevoyait le pire.
De retour à Galplen sa femme vint à sa rencontre affoler, de curieux visiteurs l' attendaient, ils etaient du cote de Ventre grondant.
Irodion reconnu Khurn de par ses armoiries, et aussitot se dirigea vers lui pour le serrer dans ses bras. A cette approche, ce dernier mis aussitot la main sur la garde de sa hache, et Amunpatra sur la garde de son epee.
" dans mes bras enfant de Varzil, dans mes bras, cela fait si longtemps que je ne t'ai vu, un vrai homme tu es devenu!"

A ces mots, Khurn compris qu'il avait devant lui un ami et esquissa un sourir.
Apres les echanges de politesses habituelles, ils en vainrent aux faits, les jumeaux.
Irodion leur expliqua qu'il les avait mi à l abris d'un skald à la solde d'un gothi verreu du nom de Hukjnir Sang de truie, mais qu'ils avaient disparus et que cela ne presagait rien de bon.

La demeure de Hukjnir se trouvait dans les tresfonds du nouveau continent, dans les montagnes de Gripklosa, à la l'ombre de la forteresse d'Iss.
Pour des midgariens aguerris la rudesse du climat de ces montagnes etait deja insuportable, mais pour de jeunes gens elevé sous le soleil de TNN, c'etait une mort glaciale assurée.
Mais ceci dit les compagnons se deciderent tout de meme à tenter l'aventure, et prirent le cheval pour Naliten.

Et c est ainsi qu'Irodion regarda partir l'etrange convoi en direction du nouveau monde.
Il savait qu'une page s'ecrivait sous ses yeux et rageait de ne pouvoir y participer plus que cela...
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