Mettez ici.....

Fil fermé
Partager Rechercher
Un peu de français ne fait pas de mal.

Citation :
Charles Aznavour - Hier encore

Hier encore
J'avais vingt ans
Je caressais le temps
Et jouais de la vie
Comme on joue de l'amour
Et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours
Qui fuyaient dans le temps

J'ai fait tant de projets
Qui sont restés en l'air
J'ai fondé tant d'espoirs
Qui se sont envolés
Que je reste perdu
Ne sachant où aller
Les yeux cherchant le ciel
Mais le cœur mis en terre

Hier encore
J'avais vingt ans
Je gaspillais le temps
En croyant l'arrêter
Et pour le retenir
Même le devancer
Je n'ai fait que courir
Et me suis essoufflé

Ignorant le passé
Conjuguant au futur
Je précédais de moi
Toute conversation
Et donnais mon avis
Que je voulais le bon
Pour critiquer le monde
Avec désinvolture

Hier encore
J'avais vingt ans
Mais j'ai perdu mon temps
A faire des folies
Qui ne me laissent au fond
Rien de vraiment précis
Que quelques rides au front
Et la peur de l'ennui

Car mes amours sont mortes
Avant que d'exister
Mes amis sont partis
Et ne reviendront pas
Par ma faute j'ai fait
Le vide autour de moi
Et j'ai gâché ma vie
Et mes jeunes années

Du meilleur et du pire
En jetant le meilleur
J'ai figé mes sourires
Et j'ai glacé mes pleurs
Où sont-ils à présent
A présent mes vingt ans?
Et plus spécialement bien que Terckan en ait horreur :

Barbara

Les amours incestueuses


Paroles et Musique: Barbara 1972

Mon amour, mon beau, mon roi,
Mon enfant que j'aime,
Mon amour, mon beau, ma loi,
Mon autre moi-même,
Tu es le soleil couchant
Tombé sur la terre,
Tu es mon dernier printemps.
Mon dieu, comme je t'aime.

J'avais déjà fait ma route.
Je marchais vers le silence
Avec une belle insolence.
Je ne voulais plus personne.
J'avançais dans un automne,
Mon dernier automne, peut-être.
Je ne désirais plus rien
Mais, comme un miracle,
Tu surgis dans la lumière

Et toi, mon amour, mon roi,
Brisant mes frontières,
Et toi, mon soleil couchant,
Mon ciel et ma terre,
Tu m'as donné tes vingt ans
Du cœur de toi-même.
Tu es mon dernier printemps.
Mon dieu, comme je t'aime.

J'ai toujours pensé
Que les amours les plus belles
Etaient les amours incestueuses.
Il y avait, dans ton regard,
Il y avait, dans ton regard
Une lumineuse tendresse.
Tu voulais vivre avec moi
Les plus belles amours,
Les amours les plus belles.

J'ai réouvert ma maison,
Grandes, mes fenêtres
Et j'ai couronné ton front,
J'ai baisé ta bouche
Et toi, mon adolescent,
Toi, ma déchirure,
Tu as couché tes vingt ans
A ma quarantaine.

Mais, à peine sont-elles nées
Qu'elles sont déjà condamnées,
Les amours de la désespérance.
Pour que ne ternisse jamais
Ce diamant qui nous fut donné,
J'ai brûlé notre cathédrale.
Les amours les plus belles,
Les plus belles amours
Sont les amours incestueuses.

Adieu mon amour, mon roi,
Mon enfant que j'aime.
Plus tard, tu le comprendras.
Il faut, quand on aime,
Partir au plus beau, je crois
Et cacher sa peine.
Mon amour, mon enfant roi,
Je pars et je t'aime.

Ceci est ma vérité,
Du cœur de moi-même...
__________________
http://raid-pillz.net/img/signatures/signature_yeuse.jpg
Yes, réponse avant Camy .
Citation :
Matmatah
La fille du Chat Noir
Album: "La Ouache"

Elle est toujours à la bourre , la fille du Chat Noir .
Avec sa petite gueule d'amour , toujours elle nous égare .
Ses grands yeux bleus s'étonnent , quand on est trop bavards .
Après deux , trois verres de rhum , la fille du Chat Noir .
Et c'est comme ça tous les jours , on attend de la voir .
On flippe et on se rassure , au moindre de ses retards .
Depuis l'temps qu'on se biture , nous les piliers de comptoir .
Elle sait bien qu'elle est toujours , derrière nos yeux hagards .

{Refrain 1:}
Faut dire qu'elle aime bien sentir nos regard .
Sur elle glisser de haut en bas au hasard .
Pour elle c'est bien plus grisant que de se voir .
Nue dans sa chambre debout devant son miroir .
On lui a tous un jour promis la lune , quel espoir ?
Car on a beau lui faire la cour , à chaque fois elle se marre .
Elle sait que tous nos beaux discours , ne sont que des miroirs .
Aux alouettes car le soir , on finit tous au radar

{Refrain 2:}
Faut dire qu'on s'en fout bien tous de savoir
Si l'un de nous sera l'heureux veinard
L'homme de sa vie , et si c'était un cauchemar ?
Nous c'qu'on préfère c'est encore est toujours boire .
Alors pour la faire sourire c'est pire que le Dakar .
On se bouscule et alors c'est vraiment le bazar .
Pour la faire danser , rire ou lui payer un pétard .
Pour qu'elle nous aime encore comme au premier soir .

{Refrain 1}

{Refrain 2}
Z'ytuna ladda lryhcuh ^^
En ce moment, y'en a une que j'aime bien

Vast - Touched

Citation :
Touched, you say that I am too
So much of what you say is true
I'll never find someone quite like you again
I'll never find someone quite like you, like you
The razors and the dying roses
plead I don't leave you alone
The demi-gods and hungry ghosts
God, God knows I'm not at home
I'll never find someone quite like you again
I'll never find someone quite like you again
I looked into your eyes and
saw a world that does not exist
I looked into your eyes and
saw a world I wish I was in
I'll never find someone quite as touched as you
I'll never love someone quite the way that I loved you
Et une rigolote

System of a Down - The Legend of Zelda
Citation :
Link, he come to town
Come to save the Princess Zelda
Ganon took her away
Now the children don't play
But they will when Link saves the day
Hallelujah!

Now Link, fill up your hearts
So you can shoot your sword with power
And when you're feeling all down
The fairy will come around
So you'll be brave, and not a sissy coward

Now Link has saved the day
Put Ganon in his grave
So now Zelda is free
And now our hero shall be
Link! I think your name shall go down into history
^^
J'oubliais quelque chose de très important !
Citation :
Metallica
Master of Puppets
Album: "Master of Puppets"

End of passion play, crumbling away
I'm your source of self-destruction
Veins that pump with fear, sucking darkest clear
Leading on your deaths construction

Taste me you will see
More is all you need
You're dedicated to
How I'm killing you

Come crawling faster
Obey your Master
Your life burns faster
Obey your Master
Master

Master of Puppets I'm pulling your strings
Twisting your mind and smashing your dreams
Blinded by me, you can't see a thing
Just call my name, `cause I'll hear you scream
Master
Master
Just call my name, `cause I'll hear you scream
Master
Master

Needlework the way, never you betray
Life of death becoming clearer
Pain monopoly, ritual misery
Chop your breakfast on a mirror

Taste me you will see
More is all you need
You're dedicated to
How I'm killing you

Come crawling faster
Obey your Master
Your life burns faster
Obey your Master
Master

Master of Puppets I'm pulling your strings
Twisting your mind and smashing your dreams
Blinded by me, you can't see a thing
Just call my name, `cause I'll hear you scream
Master
Master
Just call my name, `cause I'll hear you scream
Master
Master

Master, Master, Where's the dreams that I've been after?
Master, Master, You promised only lies
Laughter, Laughter, All I hear and see is laughter
Laughter, Laughter, laughing at my cries

Hell is worth all that, natural habitat
Just a rhyme without a reason
Neverending maze, drift on numbered days
Now your life is out of season
I will occupy
I will help you die
I will run through you
Now I rule you too

Come crawling faster
Obey your Master
Your life burns faster
Obey your Master
Master

Master of Puppets I'm pulling your strings
Twisting your mind and smashing your dreams
Blinded by me, you can't see a thing
Just call my name, `cause I'll hear you scream
Master
Master
Just call my name, `cause I'll hear you scream
Master
Master

Ha ha ha ha
Ce za juic tec K.F. Picr, juic vyedac ma nybbnulrasahd yjal ladda lryhcuh? Bycxia sue uie, chev...
Hmmm de 'tallica, je préfère tout de même Nothing Else Matters...

Citation :
So close no matter how far
Couldn't be much more from the heart
Forever trusting who we are
And nothing else matters

Never opened myself this way
Life is ours, we live it our way
All these words I don't just say
And nothing else matters

Trust I seek and I find in you
Every day for us something new
Open mind for a different view
And nothing else matters

Never cared for what they do
Never cared for what they know
But I know

So close no matter how far
Couldn't be much more from the heart
Forever trusting who we are
And nothing else matters

Never cared for what they do
Never cared for what they know
But I know

Never opened myself this way
Life is ours, we live it our way
All these words I don't just say
And nothing else matters

Trust I seek and I find in you
Every day for us something new
Open mind for a different view
And nothing else matters

Never cared for what they say
Never cared for games they play
Never cared for what they do
Never cared for what they know
And I know

So close no matter how far
Couldn't be much more from the heart
Forever trusting who we are
No nothing else matters
^^
Citation :
Provient du message de Tynril
Et Master of Puppets interprèté par Dream Theater? En vidéo de bonne qualité en plus
Chuis pas fan de Dream Theater, encore Apocalyptica pourquoi pas...

Citation :
Lusbdaw byc m'yjuen yjyhd tyhc xiamxiac zuinc
Euh...... Oé oé pareil, mes amitiés à ton poisson rouge o_O Et prends une Val*a, ça ira mieux. O_o
Dolly, To be loved (p.l.e.i.n. a.i.r.)

Citation :
Léa s'étiole
en couleurs
au clair de lune
se perd et perce
la lueur
pour mille feux
qui brillent
comme des adieux
elle sent la vie
Léa brûle
Léa ouvre les cieux

J'attendrais un nouveau monde
et de mes doigts te ferais ronde
Léa l'hiver sous les fleurs
Léa d'hier a new world

Léa s'affole
perd le fil
Léa gronde
les coeurs en pleurs
et ses mains
retrouvent le corps
mais dis le encore
que c'est le jour
et Léa brûle
Léa ouvre les cieux

J'attendrais un nouveau monde
et de mes doigts te ferais ronde
Léa l'hiver sous les fleurs
Léa d'hier a new world
et j'attendrais un nouveau monde
et de mes doigts te ferais ronde
Léa l'hiver sous les fleurs
Léa d'hier a new world

to be loved to be loved
to be loved to be loved

J'attendrais un nouveau monde
et de mes doigts te ferais ronde
Léa l'hiver sous les fleurs
Léa d'hier a new world
gonna change my world
winter-Léa
winter-Léa
un bout des paroles d'une chanson qui me fait tres rire :

Citation :
Donc passe mon annonce
Pour le prochain projet de mon assoc'
Chill sans figure, recherche 3 beaux gosses
3 gros nazes!!
Face style pub Gatorade, sportifs
Pour faire les guignols dans un groupe minable
Des musclés pour rien
Car rien ne plach Baywatch
Des chichiteux dénichés dans un club de squatch
Catégorie sourire incrusté à la Whoopi
Genre je sors de la douche
Célibataire et riche, youpi
Les petites adorent ça car les posters c'est leur opium
J'achète la BM et la villa grâce à Podium
J'en tue un de mort naturelle
Pour faire chialer les filles
Les deux restant jouent dans ma série Beverly Chill
Je sais c'est pas net, je livre emballé la cassette
Où comment faire des pépètes sur le compte de 3 tapettes
J'estanque les productions moisies non-stop
Et réinjecte dans le Hip-Hop
Si tu es bien musclé, que tu danses comme un robot
Et chante comme un naze, tu m'interesses

J'ai pas de face
Billy Joel
Honesty
Citation :
If you search for tenderness
It isn't hard to find
You can have the love you need to live
But if you look for truthfulness
You might just as well be blind
It always seems to be so hard to give

(Refrain)
Honesty is such a lonely word
Everyone is so untrue
Honest is hardly ever heard
And mostly what I need from you

I can always find someone
To say they sympathize
If I wear my heart out on my sleeve
But I don't want some pretty face
To tell me pretty lies
All I want is someone to believe

Refrain

I can find a lover
I can find a friend
I can have security
Until the bitter end
Anyone can comfort me
With promises again
I know, I know

When I'm deep inside of me
Don't be too concerned
I won't ask for nothin' while I'm gone
But when I want sincerity
Tell me where else can I turn
'Cause you're the one I depend upon

Refrain
Skid Row
Wasted Time
Citation :
You and I together in our lives
Sacred ties would never fray
Then why can I let myself tell lies
And watch you die every day

I think back to the times
When dreams were what mattered
Tough talking youth naivete

You said you'd never let me down
But the horse stampedes and rages
In the name of desperation

(Refrain)
Is it all just wasted time
Can you look at yourself
When you think of what
You left behind

Is it all just wasted time
Can you live with yourself
When you think of what
You left behind

Paranoid delusions they haunt you
Where's my friend I used to know
He's all alone
He's buried deep within a carcass
Searching for a soul

Can you feel me inside your heart
As it's bleeding
Why can't you believe you can be loved

I hear your scream in agony
But the horse stampedes and rages
In the name of desperation

Refrain

You said you'd never let me down
But the horse stampedes, it rages
In the name of desperation

Refrain

The sun will rise again
The earth will turn to sand
Creation's colors seem to fade to gray
And you'll see the sickly hands of time
Will write your final rhyme
And end a memory

I never thought you'd let it get this far, boy
(quatro repetita)
Pour ceux qui aiment les powerballads..
Chris Isaak
Wicked Game
Citation :
The world was on fire and no one could save me but you
'Strange what desire will make foolish people do
I never dreamed that I'd meet somebody like you
I never dreamed that I'd lose somebody like you

(Refrain)
No, I don't wanna fall in love
This world is only gonna break your heart
No, I don't wanna fall in love
This world is only gonna break your heart
With you...With you
This world is only gonna break your heart

What a wicked game to play, to make me feel this way
What a wicked thing to do, to let me dream of you
What a wicked thing to say, you never felt this way
What a wicked thing to do, to make me dream of you

Refrain

The world was on fire and no one could save me but you
'Strange what desire will make foolish people do
I never dreamed that I'd love somebody like you
I never dreamed that I'd lose somebody like you

Refrain

No, I....

Nobody loves no one
*Passe à la course*



André Guitare
La p'tite grenouille

La p'tit grenouille dit au crapaud :
Passe-moé trente sous
T'auras d'la peau ma christ de chienne
Mais le crapaud lui répondit :
Moi, je ne veux pas sortir la nuit
Pis j'garde mes cennes

C'était une chatte et un matou
Qui se disaient des p'tits mots doux
En dessous du poêle
Soudain la chatte elle se fâcha
Elle dit : Mon tabernacle de chat
Essaie pas de m'avoir

Et puis moé quand j'ai vu ça
J'me suis fait faire une graine en bois
Deux gosses en laine
On s'est mis à deux pour la crosser
Elle ne voulait pas décharger
La p'tite enfant de chienne

Les p'tits filles à Campbellton
Y sont chaudes comme des moutonnes
Les p'tits bonyennes
Se baissent culottes sur le bord de la côte
Et pis une broutte attend pas l'autre
Avec Antoine

Un habitant ben orgueilleux
Se met à faire une graine de boeuf
Grosse comme la mienne
En allant fourrer ses vaches
Un boeuf faisait la grimace
En enfant de chienne

Y'a des p'tites filles à St-Zénon
Qui aiment s'faire pogner les tetons
Les p'tites bonyennes
Si elles portent des culottes fendues
C'est pour mieux s'faire pogner l'cul
En enfant d'chienne

Un p'tit morpion motocycliste
Prenant mon trou de cul pour une piste
Qui vous laisse en trêve
Quand soudain dans un détour
Fit un dérapage
Et puis tomba dans merde

Je ne suis pas curieux
Je voudrais bien savoir
Pourquoi les filles blondes
Ont le poil du cul noir ?
Pourquoi les grosses négresses
À quatre-vingt dix ans
S'arrachent le poil des fesses
Pour en faire des brosses à dent ?

Ha si mon coeur était grenouille
Je me creuserais un lac
Pis moé j'aime ça quand ça m'chatouille
Quand ça fait flique-flique-flique-flaque

C'est mon oncle Armand sautillant
Pognait les cuisses de ma tante Alice
Ma tante Germaine se courbait l'corps
Suçait la graine de mon oncle Hector
Fourrez-vous madame Giroux
Fourrez-vous madame Giroux
Fourrez-vous madame Giroux
Dans votre grand trou

La poche à mon grand-père est au plafond pendu
Ma grand-mère en Saint-Ciboire lui arrache le poil du cul
Elle monte en haut dans l'escabeau pour lui en extraire le jus
V'là l'escabeau par terre, grand-maman sul'cul

En bicycle à gazoline, envoye donc fendu
Fourre par avant, oui t'auras des beaux enfants

Les p'tites filles du rocher Percé
Moi j'vous dit qu'elles sont bien faites
Mais elle ne veulent pas faire minettes
Pour un paquet de cigarettes

En bicycle à gazoline, envoye donc fendu
Fourre par avant, oui t'auras des beaux enfants

J'en ai fourré des Gaspésiennes
Moi j'vous dit qu'elles ont le sang chaud
J'en ai eu pour une semaine
À m'frotter le bout de la graine
Pis d'avoir mal au gorlot

Pogne-moé donc l'cul Germaine
J'te pognerai le tien tout à l'heure
Tu l'as pas vu ma graine
Quand elle est à sa longueur

Monte en haut dans ma chambre
Étends-toi dans mon lit
Tu l'auras dans ta grande fente
La pissette du Saint-Esprit

C'est la fête à Saint-Antoine
La fête d'un grand jobbeur
Ma femme s'est trouvée pleine
Dans semaine des quarante heures

C'est d'la faute à sa mère
Si elle lui a pas cousu
La p'tite boutonnière
À deux pouces du trou d'cul

Si tu m'aimerais chérie
Tu me ferais cuire des nouilles
Et pendant que tu y es
Tu me sucerais les boules
Manu de Renaud aussi


Hexagone de Renaud

Ils s'embrassent au mois de Janvier,
Car une nouvelle année commence,
Mais depuis des éternités
L'a pas tell'ment changé la France.
Passent les jours et les semaines,
Y'a qu'le décor qui évolue,
La mentalité est la même :
Tous des tocards, tous des faux culs.

Ils sont pas lourds, en février,
A se souvenir de Charonne,
Des matraqueurs assermentés
Qui fignolèrent leur besogne,
La France est un pays de flics,
A tous les coins d'rue y'en a 100,
Pour faire régner l'ordre public
Ils assassinent impunément.

Quand on exécute au mois d'mars,
De l'autr' côté des Pyrénées,
Un arnachiste du Pays basque,
Pour lui apprendre à s'révolter,
Ils crient, ils pleurent et ils s'indignent
De cette immonde mise à mort,
Mais ils oublient qu'la guillotine
Chez nous aussi fonctionne encore.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,
C'est pas c'qu'on fait d'mieux en c'moment,
Et le roi des cons, sur son trône,
J'parierai pas qu'il est all'mand.

On leur a dit, au mois d'avril,
A la télé, dans les journaux,
De pas se découvrir d'un fil,
Que l'printemps c'était pour bientôt,
Les vieux principes du seizième siècle,
Et les vieilles traditions débiles,
Ils les appliquent tous à la lettre,
Y m'font pitié ces imbéciles.

Ils se souviennent, au mois de mai,
D'un sang qui coula rouge et noir,
D'une révolution manquée
Qui faillit renverser l'Histoire,
J'me souviens surtout d'ces moutons,
Effrayés par la Liberté,
S'en allant voter par millions
Pour l'ordre et la sécurité.

Ils commémorent au mois de juin
Un débarquement d'Normandie,
Ils pensent au brave soldat ricain
Qu'est v'nu se faire tuer loin d'chez lui,
Ils oublient qu'à l'abri des bombes,
Les Français criaient "Vive Pétain",
Qu'ils étaient bien planqués à Londres,
Qu'y'avait pas beaucoup d'Jean Moulin.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,
C'est pas la gloire, en vérité,
Et le roi des cons, sur son trône,
Me dites pas qu'il est portugais.

Ils font la fête au mois d'juillet,
En souv'nir d'une révolution,
Qui n'a jamais éliminé
La misère et l'exploitation,
Ils s'abreuvent de bals populaires,
D'feux d'artifice et de flonflons,
Ils pensent oublier dans la bière
Qu'ils sont gourvernés comme des pions.

Au mois d'août c'est la liberté,
Après une longue année d'usine,
Ils crient : "Vive les congés payés",
Ils oublient un peu la machine,
En Espagne, en Grèce ou en France,
Ils vont polluer toutes les plages,
Et par leur unique présence,
Abîmer tous les paysages.

Lorsqu'en septembre on assassine,
Un peuple et une liberté,
Au coeur de l'Amérique latine,
Ils sont pas nombreux à gueuler,
Un ambassadeur se ramène,
Bras ouverts il est accueilli,
Le fascisme c'est la gangrène
A Santiago comme à Paris.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,
C'est vraiment pas une sinécure,
Et le roi des cons, sur son trône,
Il est francais, ça j'en suis sûr.

Finies les vendanges en octobre,
Le raisin fermente en tonneaux,
Ils sont très fiers de leurs vignobles,
Leurs "Côtes-du-Rhône" et leurs "Bordeaux",
Ils exportent le sang de la terre
Un peu partout à l'étranger,
Leur pinard et leur camembert
C'est leur seule gloire à ces tarés.

En Novembre, au salon d'l'auto,
Ils vont admirer par milliers
L'dernier modèle de chez Peugeot,
Qu'ils pourront jamais se payer,
La bagnole, la télé, l'tiercé,
C'est l'opium du peuple de France,
Lui supprimer c'est le tuer,
C'est une drogue à accoutumance.

En décembre c'est l'apothéose,
La grande bouffe et les p'tits cadeaux,
Ils sont toujours aussi moroses,
Mais y'a d'la joie dans les ghettos,
La Terre peut s'arrêter d'tourner,
Ils rat'ront pas leur réveillon ;
Moi j'voudrais tous les voir crever,
Etouffés de dinde aux marrons.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,
On peut pas dire qu'ca soit bandant
Si l'roi des cons perdait son trône,
Y'aurait 50 millions de prétendants.



Le petit chat est mort de Renaud

Va donc pas pleurer
Y s'baladait peinard
Il avait pas d'collier
Il était libre d'aller
Et d'rev'nir pour bouffer
Il était même pas prisonnier
De ton amour insensé

T'aurais quand même pas
Voulu qu'y vive comme un con
Sur le canapé
Loin des gouttières des pigeons
C'était un aventurier
T'aurais pas voulu qu'on l'attache
Y t'aurait miaulé : "Mort aux vaches !"

Le petit chat est mort
Il est tombé du toit
C'est comme ça
Il a glissé sur j'sais pas quoi
Et patatras
On l'enterr'ra demain j'te jure
Dans un joli carton à chaussures

Le petit chat est mort
Et toi et moi on va
Couci-couça
A cause de quoi ? A cause que c'est
Chaque fois comme ça
Pourquoi c'est toujours les p'tits chats
Et jamais les hommes qui tombent des toits ?

C'était un vrai sac à puces
Encore plus libre qu'un chien
Pas l'genre pour un su-sucre
A te lécher la main
Mais la liberté tu vois
C'est pas sans danger c'est pour ça
Qu'elle court pas les rues et les toits

C'était un vrai Titi
La terreur des p'tits oiseaux
La nuit y s'faisait gris
Pour les croquer tout chauds
C'est un peu salaud
Mais t'as jamais mangé d'moineau
C'est pas plus dégueu qu'un MacDo

Le petit chat est mort
Il est tombé du toit
C'est comme ça
Il a glissé sur j'sais pas quoi
Et patatras
On ira d'main dans un jardin
L'enterrer aux pieds d'un arbre en bois

Le petit chat est mort
Et toi et moi on va
Couci-couça
A cause de quoi ? A cause qu'on s'demande bien pourquoi
T'as jamais un pape sur les toits
Etre trop près du ciel p't'être qu'y z'aiment pas



Logos Naki World-World Without Logos de Hellsing (anime)

Tell me the cool vibration
Live your fantasy
Tell me who, tell me surely
And the name

I'll be stunned I'll be waitng
Ghost's horror show
In a darken
Just say you love

Down, down wish its just revolation
Take me there take me into revolution
Down, down listen the the vibration
Take me home, and I'll look into return

Shubidubidu, shubidubidu
Shubidubidu, shubidubidu

(qu'on peut d'ailleur DL depuis ma signature, une des petites etoiles-liens )
And all i want is to keep it like this
You and me alone, a secret kiss
Don't go home, don't go away
Don't let this end, please stay....
Not just for today

Extrait de "From the edge of the deep green sea", The Cure

"New Dawn Fades" Joy Division
Change of speed, a change of style
A change of scene, with no regrets
A chance to watch
admire the distance
Still occupied - though you forget
Different colours, different shades
Over each mistakes were made
I took the blame
Directionless, so plain to see
A loaded gun won't set you free
So you say

We'll share a drink and step outside
An angry voice and one who cried
We'll give you everything and more
The strain's too much,
can't take much more
Oh I've walked on water,
run through fire
Can't seem to feel it anymore
It was me - waiting for me
Hoping for something more
Me - see me in this time -
Hoping for something else

Extrait de "Purity" New Model Army
We've seen the restless children at the head of the columns
Come to purify the future with the arrogance of youth
Nothing is as cruel as the righteousness of innocents
With automatic weapons and a gospel of the truth

extrait de " Lust for power" New model army
Like a vision she dances through the shafts of light
Everything I've ever dreamed about focused true and bright
And fortune opens up the ground, blackens out the sky
I kissed her once, I kissed her twice but I couldn't remember why
When I was young they taught me well to always play to win
But they never said what happens when you've won the bloody game

Extrait de "luhrstaap" NMA
And the ghosts of hope walk silent halls at the death of the Promised Land

"New orleans" ludwig von 88 ( certainement ma preferee de toutes)

Passé comme un reve, un univers etrange
vieux marais insalubres, emanations purtrides
Comme ne nuit chaude, perlee d'air humide
Rampe et s'entrelace en lourdeurs orageuses
Il nous reste encore, sifflant, hurlant dans le vent
Des trainees de jazz de rues contigües
il nous reste toujours, bas fonds eventres
où se larmoie le souffle, d'annees fastueuses

Porté par' le fleuve, par un soleil de mort
lumiere diffuse et folle, halo onirique
dans la moiteur profonde resonne-t'un refrain embrume
Porté par le chant, d'une trompete desoeuvree
Ou quelques vieux noirs survivants se meurent sur un vieil air
Musique endiablée, fluide et fluctuante
répétée mille fois, meme jeu meme sourir
Piano lancinant s'egaye le temps d'un souvenir


Rhaaaa trop forte cette chanson
pour le modo kiss cool

Legend of Zedla n'est certainement pas interpretée par System of a Down, ils ont eux mêmes démentis sur leur site. Même pas reconnaitre les groupes qu'on aime


Sinon je vais pas recopier mais j'adore les paroles des Tetes Raides, Ogres de Barback, Mano Solo, Renaud, La Tordue, Brassens.


Alors...
Mistral Gagnant de Renaud
L'orage par Brassens
Petite Hypocrite des Ogres

pis ça ira
L'Hymne Nationale, La Marseillaise.

Citation :
Allons enfants de la Patrie
Le jour de gloire est arrivé
contre nous de la tyrannie
L'étendard sanglant est levé (bis)
Entendez vous dans les campagnes mugir ces féroces soldats
Ils viennent jusque dans vos bras, égorger vos fils, vos compagnes
Aux armes citoyens! Formez vos bataillons!
Marchons, marchons, qu'un sang impur abreuve nos sillons

Que veut cette horde d'esclaves
De traîtres, de Rois conjurés?
Pour qui ces ignobles entraves,
Ces fers dès longtemps préparés?
Français! pour nous, ah! quel outrage!
Quels transports il doit exciter!
C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à L'antique esclavage!

Quoi! des cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers!
Quoi! ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers (bis)
Grand Dieu! par des mains enchaînées
Nos fronts sous le joug se ploieraient
De vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées!

Tremblez, tyrans! et vous, perfides,
L'opprobe de tous les partis,
Tremblez! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leur prix (bis)
Tout est soldat pour vous combattre,
S'ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux
Contre vous tout prêts à se battre

Français! en guerriers magnanimes
Portez ou retenez vos coups.
Epargnez ces tristes victimes
A regret s'armant contre nous (bis)
Mais le despote sanguinaire,
Mais les complices de Bouillé,
Tous ces tigres qui sans pitié
Déchirent le sein de leur mère

Nous entrerons dans la carrière,
Quand nos aînés n'y seront plus
Nous y trouverons leur poussière
Et les traces de leurs vertus. (bis)
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cerceuil,
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre.

Amour sacré de la Patrie
Conduis, soutiens nos bras vengeurs!
Liberté, liberté chérie!
Combats avec tes défenseurs (bis)
Sous nos drapeaux, que la victoire
Accoure à tes mâles accents,
Que tes ennemis expirant
Voient ton triomphe et notre gloire!


Mylene Farmer, L'instant X.

Citation :
Bloody lundi
Mais qu'est-ce-qui
Nous englue la planète
Et embrume m'a comète
C'est la loi des séries
Le styx, les ennuis s'amoncellent
J'ai un teint de poubelle
Mais, c'est l'instant X
Qu'on attend comme le messie
Comme l'instant magique
C'est l'équation
L'ax + b qui fait tilt
Mais pour l'heure, dis

Refrain
Papa Noël quand tu descendras du ciel
Du fun, du zoprack et des ailes
L'an 2000 sera spirituel
C'est écrit dans " ELLE "
Du fun pour une fin de siècle

Humeur Killer
C'est l'heure pour
Moi de prendre la pose
De penser à aut'chose
C'est, le cycle infernal
Fatal, un rien devient l'Everest
Mon chat qui s'defenêstre
A, à quand l'instant X
Qu'on attend comme le messie
Comme l'instant magique
C'est l'hécatombe, vernis qui craque
Asphyxie, pied dans la tombe

Refrain
__________________
http://raid-pillz.net/img/signatures/Terckan.png
Les Inconnus


Et vice et versa


Citation :
L'hémorragie de tes désirs
C'est éclipser sous l'azur bleu dérisoire
Du temps qui se pa-a-sse
Contre duquel on ne peut rien

Etre ou ne pas être
Telle est la question
De l'anachorète
Hypocondriaque

Mais tu dis [mais tu dis]
Que le bonheur est irréductible
Et je dis [et il dit]
Que ton espoir n'est pas si désespéré
A condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours
Destituées
Et vice et versa [et vice versa]

Il faut que tu arriveras
A laminer tes rancœurs dialectiques
Même si je suis contre
Point de vue que c'est très difficile

Mais comme moi dis toi
Qu'il est tellement plus mieux
D'éradiquer les tentacules de la déréliction
Et tout deviendra clair

Mais tu dis [mais tu dis]
Que le bonheur est irréductible
Et je dis [et il dit]
Que ton espoir n'est pas si désespéré
A condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours
Destituées
Et vice et versa [et vice versa]

{Instrumental violons}

{Parlé:}
D'où venons-nous
Où allons-nous
J'ignore de le savoir
Mais ce que je n'ignore pas de le savoir
C'est que le bonheur est à deux doigts de tes pieds
Et que la simplicité réside dans l'alcôve
Bleu et rose et rouge et mauve
De nos rêveries bleues et roses et rouges et mauves
Et et et et pourpre
Et et et et paraboliques
Et vice et versa

Mais tu dis [mais tu dis]
Que le bonheur est irréductible
Et je dis [et il dit]
Que ton espoir n'est pas si désespéré
A condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours [Dest...]
Et qu'il ne faut pas cautionner l'irréalité
Sous les aspérités absentes et désenchantées
De nos pensées iconoclastes et désoxydées [et v...]
De nos désirs excommuniées de la fatalité
Destituée
Et vice et versa
Et vice et versa...

{Murmuré:}
Et vice et versa

Et vice et versa [et vice versa)
Citation :
(Bonjour, excusez ma tenue mais ce soir c'est la fête)
(Et nous attendons plein d'amis)
(Entrez entrez)

(Mais, mais regardez moi ca)
(Ben, ben elle a pas froid aux yeux)
(Si c'est pas malheureux)

La femme du charcutier
Souffre d'ongles incarnés
Mais traverse Roubaix sur un pied
Pour les bras d'un pompier

Je tiens ces p'tits secrets
De ma coiffeuse André
Celle dont le fils cadet
Qui paraîtrait qu'il en serait
(Non?!, Si)
(Non?!, Si)

Puisqu'on parle des manières
Reconnaissez que la fille LEMAIRE
Peut bien se donner des airs
Elle f'ra toujours ordinaire

Figurez vous qu'la nuit passée
Je l'ai pas entendue rentrer
Quand on pense que son mari
Est un monsieur si poli
(Non?!, Si, Oh!)

Refrain x2:
C'est pas pour dire
Mais j'aime médire
Tout critiquer tout dévaller
C'est pas pour dire
Mais j'aime médire
Mais j'aime médire,dire,dire

(Ah bah celui là...)
(Ed'quoi qu'il a l'air)
(Reconnaissez quand même que, hein...)

Avez-vous vu à la télé
L'émission sur les quartiers
On vit une drôle d'époque
Y'a quelque chose qui débloque

Et ce Hamadouche
Trouvez pas qu'il fait louche
Mais pendant que j'vous tiens
Comment y va vot'chien
(Lequel?)
(Ben, le rose!)
(Il est mort, Non?, Si!, Oh!)

Tiens, voilà ceux d'en face qui passent
Regardez moi ces dégueulasses
Ca fout rien de la journée
Et ça roule en cabriolet

Remarquez, j'les envie pas
Je suis très bien comme ça
Mais avouez qu'c'est pas normal
Nous on se donne tant d'mal

Refrain x2

(Ta gueule, est-ce que tu vas fermer ta gueule?...)
(Ta gueule, est-ce que tu vas fermer ta gueule?...)
(Ta gueule, est-ce que tu vas fermer ta gueule?!...)
(Dring... Allo? Grenade...)

Refrain
Médiseuse
Marcel et son Orchestre
Citation :
Kéry James - Deux Issues

Issu des quartiers meurtriers,
Là où le meurtre y est trop fréquent
La vie de youvoi et ses conséquences j'raconte
Les trips du ghetto ses ambiances louches
Quand sonne le fusil à pompe
Tout le monde se couche.
Pas un voyou qui fasse long feu t'es prévenu
À peine tu viens d'ouvrir les yeux que t'es détenu
La mort ou la prison t'as que deux issues
L'histoire s'répète et tu crois être le plus vicieux.
Tu veux grimper par n'importe quel procédé
T'es donc sujet à de judiciaires procédures
La rue te guette, mec, les flics aussi
T'as peut-être déjà vendu une barrette à un vilci
Entre les traitres et les balances
Tu te balances comme sur un fil
Ta carrière peut prendre fin
Sur un coup de fil d'une balance
Un mec se tient mal et passe à table
Et ton numéro d'écrou
Remplace celui de ton portable
Là, tu connais l'envers du décor,
La prison et son univers hard-core
Faut qu't'assumes,
Même si son atmosphère t'asphyxie
Le juge t'allume et fait béton ton sursis
Affaibli malgré ton moral d'acier
Leurs barreaux tu souhaiterais pouvoir les scier
Maintenant que la parole devient l'encre
Tu te rends compte
Qu'il y a peu de gens pour qui tu comptes
Peu de courriers et encore moins de mandats
Qu'est-ce que tu crois ?
"Pour survivre t'es pas assisté"
Ta mère n'a que ses yeux pour pleurer
Le coeur serré tant que son fils est incarcéré
Ebranlée par cette douloureuse conviction
Qu'ellle a échoué, manqué à ton éducation
Et dès que t'es sorti ça y est t'es reparti
"Puis t'es reparti dès que t'es sorti"
Les plus jeunes te prennent pour modèle
Ils comptent sur toi pour
Que tu leur fasses prendre de l'oseille
ça t'arrange vu que t'as les flics sur les reins
Tu n'hésites pas,
Les mômes tu les fous sur le terrain
Tu veux pour eux
C'que tu ne voudrais pas pour ton fils
Et ta morale ne l'emporte pas sur ton vice,
Te remettre en question, pour toi pas question
Tu te fous du monde, des flics et leur questions
Tu te méfies de tout même des sourires
Tu sais qu'en prison
Beaucoup voudraient te voir pourrir
D'autres te voir mourir après t'avoir fait courir
Pour parvenir à cela
Ils seraient même prêts à te nourrir
Là où les ennemis et les amis se confondent
Peux-tu dire qui sur ton sort viendra se morfondre
Les gens t'aiment tant que t'es rentable
T'es réputé mais peu fréquentable
T'étouffes car la vie que tu mènes t'étrangle
Tu deviens "ouf" tu connais la loi du boomerang
T'es dans l'attente
Celui qui ne frappe pas mais entre
On dit que tu pèses
Pourtant tu vis la peur au ventre
Pas étonnant
Y'a pas que les flics que t'as sur le dos
Peux-tu dénombrer le nombre de types
Qui voudraient ta peau ?
T'as vu, tes ennemis t'es incapable
De les dissocier de tes amis
Car en fait t'as pas d'amis, juste des associés
T'es entouré de gens et rarement seul
Mais surprenant la façon dont tu te sens seul
Ton histoire est triste,
Mais malheureusement t'es pas seul
Ni le dernier, que l'argent va mener à son cercueil
Car dans ce milieu tu fais rapidement des jaloux
Des mecs qui te voient debout
Et souhaiteraient te mettre à genoux
Ainsi peu probable
Que tu puisses avoir une fin heureuse
Tu peux compter les jours
En attendant qu'une balle te creuse
Avoue que le quartier t'a eu
Et que comme à l'intérieur, à l'extérieur
T'es comme détenu
T'es même pas certain
De pouvoir assurer une descendance
T'en peux plus, "la nuit tu ne dors plus"
Tu penses aux potes que t'as perdu
T'aurai jamais cru
Que la vie de youvoi serait si redu
C'est émouvant,
Tu t'enlises dans des sables mouvants
Et tu ne fais que t'enfoncer à chaque mouvement
T'aimes une femme qui elle, aime le calme
Mais ne souhaite pas épouser tes histoires de shit
Et de came
Te voilà bloqué entre deux, t'es prévenu
Y'a pas un voyou qui fasse long feu
Si t'as des gosses,
Qu'est-ce que tu vas leur apprendre ?
Comment se faire respecter
Et devenir le chef de bande?
Leur diras-tu que pour devenir millionnaire
Y'a pas besoin de diplômes
Et que papa fut un gangster ?
Combien de jeunes sur cette route à deux issues ?
Ainsi vivent beaucoup de mecs d'où t'es issu
Combien d'entre eux n'atteindront pas la trentaine ?
Au lieu d'un an ou deux
Ecoperont d'une vingtaine d'années
Là où sont couronnés les condamnés
Faire marche arrière ils appellent ça déballonner
Mais t'es prévenu,
Y'a pas un voyou qui fasse long feu
Tu te feras buter dès que tu sortiras sans ton feu
T'es prévenu y'a pas un voyou qui fasse long feu
Tu te feras buter dès que tu sortiras sans ton feu
La mort ou la prison
En d'autres termes, quatre murs ou quatre planches
T'es prévenu, y'a pas un voyou qui fasse long feu
T'es prévenu,
la rue ne t'offre que deux issues :
La mort ou la prison
En d'autres termes
Quatres murs ou quatres planches.
Vla une des chansons que j'ai adoré.
Citation :
Cowboy Bebop
Encore un verre/ Another Drink
Music : Yoko Kanno
Vocals : Valentin Coupeau


Encore un verre, cette fois sera la derniere
Tchin Tchin ! campé, Kampai ! Santé !
Ma mère disait "qui a bu boira"
Bien qu'avisé, j'suis vissé la

Ce soir je broie du noir
Je noie au bar,
En vrac, mon blues dans du cognac
Encore un verre, le der des der désaltère

"Bien mal acquis ne profite jamais"
Mais ce whiskey je l'ai pas volé
C'est c'que dit la serveuse, une allumeuse
Qui tient la bouteille dans sa main
Je lève mon verre à ceux qui marchent de travers

"Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras"
"Qui sème le vent récole la tempête"
"Carpe Diem"
"Un homme averti en vaut deux"
pour moi ca serai Meccano avec hijo de la luna ...
je la trouve magnifique ..elle est plein de merveilleux et de reve je trouve ...

Idiot qui ne comprend pas
La légend' qui comme ça
Dis qu'une gitane
Implora la lune
Jusqu'au lever du jour
Pleurant elle demandait
Un gitan qui voudrait
L'épouser par amour

Tu auras ton homme, femme brune,
Du ciel répondit la pleine lune,
Mais il faut me donner
Ton enfant le premier
Dès qu'il te sera né
Celle qui pour un homme
Son enfant immole,
Bien peu l'aurait aimé.

{Refrain:}
Lune tu veux être mère
Tu ne trouve pas l'amour
Qui exauce ta prière
Dis moi lune d'argent
Toi qui n'as pas de bras
Comment bercer l'enfant
Hijo de la luna.

D'un gitan cannelle
Naquit l'enfant
Tout comme l'hermine,
Il était blanc,
Ses prunelles grises
Pas couleur olive
Fils albinos de lune
Maudit sois tu, bâtard!
T'es la fils d'un gadjo
T'es le fils d'un blafard.

{Refrain}

Le gitan se croyant déshonoré
Couteau en main sa femme alla trouver,
L'enfant n'est pas de moi,
Tu m'as trompé, je vois!
A mort il l'a blessa
Et l'enfant dans ses bras
La colline il monta,
Là haut l'abandonna...

{Refrain}

Et les soirs où l'enfant joue et sourit,
de joie aussi la lune s'arrondit
Et lorsque l'enfant pleure
Elle décroît pour lui faire
Un berceau de lumière
Fil fermé

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés